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Cette étude porte sur l’influence d’une reconnaissance sociale qui impacte nos pratiques enseignantes qui font autorité. Nous vivons actuellement dans une société qui est en plein changement et dont les facteurs économiques, sociaux et politiques sont les principaux facteurs. La reconnaissance sociale que les jeunes ont des adultes d’une manière générale mais encore plus de nous enseignants évolue également. L’autre pendant de cette recherche est d’étudier les différents outils pédagogiques qui permettent de faire autorité (l’autorité éducative) pour pallier ce manque de reconnaissance des élèves pour les enseignants. Quelques outils pédagogiques ont été testés et analysés à l’aide de grilles d’analyse de pratiques : types d’activités et modalités de travail. Le constat principal est que, quel que soit le type d’activités, dans une société où le manque de repères et de cadre est grandissant, l’école doit poser des règles aux jeunes. Et à l’intérieur de ce cadre, différencier et varier au maximum les activités de manière à s’adapter à chacun, pour que tous puissent travailler et apprendre dans un climat serein et ainsi ne pas perturber la classe : c’est donc cela faire autorité.

Depuis quelques années, les élèves montrent un certain désintérêt pour les mathématiques au cours de leur scolarité, désintérêt se manifestant par de nombreux comportements inattentifs et entrainant par la même occasion des résultats faibles. Il parait alors essentiel de faire varier les pratiques d’enseignement pour favoriser la réussite des élèves sans toutefois tomber dans l’excès du tout numérique. Les TICE ont été introduites comme étant la solution pour palier à cet intérêt décroissant, Est-ce la bonne alternative ? Cette question a permis de soulever la problématique suivante : le type du support pédagogique a-t-il un impact sur l’attention, la motivation et la performance de l’élève ? Pour y répondre, une expérimentation a été menée au collège, en salle informatique avec une classe de quatrième. Durant deux séances, l’enseignant a évalué l’attention, la motivation et la performance des élèves et ce grâce à plusieurs outils. Les résultats montrent que le support numérique a un impact positif sur l’attention, la motivation et la performance. Nous constatons de tel résultats dans une ère où le numérique est en pleine essor, constaterons-nous encore le même impact dans trente ans, quand le numérique sera parfaitement installé ? Cela pourra faire l’objet d’une future expérimentation.

Ce travail qui traite de l'égalité filles-garçons part d'un constat des volontés actuelles de l'Éducation nationale nous amenant à nous demander dans quelle mesure les interactions entre enseignant et élèves sont vectrices d'inégalité entre les sexes. Il prend appui sur les travaux de sociologues tel que N. Mosconi. Pour répondre à la problématique, un travail sur le terrain a été mené à l'aide de grilles d'observations. L'analyse de ces matériaux a permis de faire un parallèle avec les travaux des sociologues.

Les séances de cours de fin de journée sont très souvent les plus difficiles à assurer. Ceci est en partie dû au manque d'attention des élèves durant ces créneaux. Plusieurs études ont été menées afin de faire varier le contenu du cours pour capter l'attention d'un maximum d'élèves. Ce mémoire s'intéressera à faire varier, non pas le contenu, mais le format du cours. Il cherchera à répondre à la problématique suivante : En quoi le dispositif pédagogique utilisé en cours influence-t-il l'attention soutenue des élèves en fin de journée ? Pour cela, un travail expérimental a été fait auprès d'une classe de quatrième durant la dernière heure de cours du vendredi après-midi afin de déterminer quel procédé, parmi la séance d'exercices, le travail de groupe ou la séance informatique, permet de capter au mieux l'attention des élèves.

Il s’agira de montrer que l’apparence vestimentaire des élèves va influencer de manière plus ou moins inconsciente le jugement scolaire de l’enseignant. De plus, nous affinerons ce constat par le biais d’un questionnaire qui nous permettra de croiser l’apparence vestimentaire et le jugement scolaire avec le comportement élève en classe. Matériel et méthode : Un échantillon de 410 élèves issus de différents contextes, permettant de dégager plusieurs profils vestimentaires d’élèves, croisés avec les moyennes scolaires de ces derniers. Un questionnaire transmis à nos collègues enseignants permettant de caractériser l’apparence vestimentaire des élèves avec leur comportement en classe. Résultats : Nous pouvons ressortir deux profils vestimentaires d’élèves en fonction des résultats scolaires. L’enseignant va avoir tendance à valoriser les critères de l’apparence vestimentaire des élèves ayant de bons résultats scolaires, et inversement pour les élèves ayant de moins bons résultats scolaires. En ce qui concerne la corrélation entre l’apparence vestimentaire et le comportement de l’élève, nous pouvons constater qu’un élève ayant un comportement positif va plutôt avoir une apparence vestimentaire soignée et stylée. Tandis qu’un élève ayant un comportement négatif va plutôt avoir une apparence vestimentaire colorée. L’enseignant semble nier tout lien entre l’apparence vestimentaire, le comportement élève et les résultats scolaires. Nous pouvons nous interroger sur la fiabilité de notre expérience, l’apparence vestimentaire des élèves étant une donnée subjective. Pour autant, au regard de l’importance de notre échantillon, nous pouvons avancer que les profils d’élèves établis avec l’apparence vestimentaire et le jugement scolaire sont plutôt fiables. En revanche, la passation de notre questionnaire s’est faite auprès d’une trentaine d’enseignants ce qui ne nous permet pas d’avancer un lien crédible entre l’apparence vestimentaire et le comportement élève.

Notre travail de recherche portait sur l'influence de l’apparence vestimentaire et du comportement de l’élève sur le jugement scolaire de l’enseignant permettant une possible prise de conscience. Nous avons utilisé 2 méthodes pour mesurer cet impact. D'une part à travers un échantillon de 410 élèves, l'apparence vestimentaire de ceux-ci était détaillée selon plusieurs critères. D'autre part avec un questionnaire pour observer le jugement des enseignants sur leurs élèves à travers leur comportement en classe ainsi que leur apparence vestimentaire. Nous pouvons donc ressortir deux profils vestimentaires d’élèves en fonction des résultats scolaires. L’enseignant va avoir tendance à valoriser les critères de l’apparence vestimentaire des élèves ayant de bons résultats scolaires, et inversement pour les élèves ayant de moins bons résultats scolaires.

Cette étude a été focalisée sur les facteurs permettant, ou pas, de mettre en place des conditions propices aux apprentissages dans un contexte difficile (ZEP, RAR). Ce travail repose sur trois grands axes de réflexion : les facteurs sociologiques (principalement l’impact du décalage socioculturel), les facteurs méthodologiques (incidence des pratiques pédagogiques), et les facteurs humains (l'enseignant en tant que personne évoluant dans un environnement particulier).

Les situations déclenchantes sont des outils pédagogiques employés Sciences de la Vie et de la Terre afin d'impliquer les élèves dans le questionnement et la problématisation de la question qu'une situation soulève. Le but est donc que les élèves s'approprient mieux le travail à faire en lui donnant un sens, une application, une explication ; par opposition aux travaux où ils répondent à une question iimposée par le professeur. L'objectif de ce mémoire est de montrer l'impact de la situation déclenchante sur l'attention des élèves, sur leur motivation et leur performance. Le protocole est effectué sur un groupe de 2nde où des séances sont introduites par des situations déclenchantes et d'autres non. L'attention des élèves est mesurée à l'aide d'un tableau qui compte le nombre de comportements inattentifs. La motivation est mesurée par un questionnaire de motivation à la suite des séances. Enfin, la performance est mesurée grâce aux notes des élèves lors des différentes séances. Les résultats montrent qu'avec une situation déclenchante, les élèves sont plus attentifs et plus motivéss. La performance semble également meilleure, bien que des mesures complémentaires soient nécessaires.

Aujourd'hui, le manque d'attention des élèves préoccupe de nombreux acteurs du système éducatif français. L'attention est le processus cognitif à la base de l'apprentissage et le garant d'un climat de classe propice aux enseignements notamment celui des sciences expérimentales. L'objectif de cette étude est de montrer l'influence de la relaxation en début de séance sur l'attention soutenue et la performance des élèves lors d'un cours de Sciences de la Vie et de la Terre qui suit une récréation. Plusieurs modes de relaxation ont ainsi été réalisés et testés sur une classe de 4ème. L'attention soutenue a été mesurée à l'aide d'une grille d'observation à plusieurs moments de la séance. La performance a été évaluée suite à la correction des travaux réalisés par les élèves sur la séance entière. Les résultats ont révélé qu'un court moment de relaxation en début de séance améliore l'attention et la performance des élèves et ce particulièrement lorsqu'elle s'accompagne d'une musique.

La réforme des collèges recommande fortement aux enseignants de sciences et technologie de travailler avec les élèves sous la forme de tâche complexe. Par ce type d’activité, les élèves développent et utilisent différentes compétences contrairement aux tâches simples qui ne permettent de travailler qu’une compétence à la fois. Ce mémoire de recherche s’intéresse aux effets de la réalisation de tâche complexe sur la motivation, l’attention et l’apprentissage en sciences de la Vie et de la Terre en classe de sixième. Les résultats montrent que la tâche complexe favoriserait la motivation, l’attention et la performance des élèves.