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Perret Cyril

Les travaux encadrés par "Perret Cyril"

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12 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1 à 10
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  • Exploration des processus cognitifs impliqués dans l’accès aux codes allographiques en production manuscrite    - Armand Coline  -  19 juin 2023


  • L’évolution de l'accord sujet-verbe chez les enfants typiques de CE2 à CM1 à partir d'enregistrements de la dynamique d'écriture    - Enet Victoria  -  21 juin 2022

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    Plusieurs recherches se sont intéressées à l’évolution de l’accord sujet-verbe chez les enfants typiques. Elles ont démontré que le nombre d’erreurs diminuait au cours du développement. En effet, les erreurs surviennent lorsque le processus d’accord amène à une surcharge cognitive. Ainsi, plus la règle est maîtrisée et plus le coût cognitif diminue. Nous nous sommes alors demandé si la stratégie d’écriture chez les enfants typiques était différente en fonction de l’âge et nous avons souhaité observer l’impact d’un indice phonologique entre le pronom et le verbe. Pour cela, nous avons comparé les productions d’enfants de CE2 et de CM1 afin d’analyser le taux d’erreurs mais aussi la dynamique d’écriture (durée de latence d’initialisation et durée d’écriture). Les résultats ont montré que les CM1 ont une meilleure maîtrise de l’accord sujet-verbe puisqu’ils produisent moins d’erreurs que les CE2. Toutefois, ce processus leur demande encore beaucoup de ressources cognitives, ils utilisent donc toujours une stratégie sérielle. La présence d’un indice phonologique permet aux deux classes de produire moins d’erreurs mais les enfants mettent plus de temps à réfléchir avant de commencer à écrire. Cette étude confirme donc que le coût cognitif lors de l’accord sujet verbe diminue avec l’âge et qu’il impacte la dynamique d’écriture.

  • Dynamique d'écriture et erreurs orthographiques dans l'accord sujet-verbe chez l'enfant ayant un trouble spécifique des apprentissages de CE2 à CM1    - Luneau Gwendoline  -  21 juin 2022

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    Plusieurs études se sont intéressées aux erreurs dans l’accord sujet-verbe, d’abord chez l’adulte, puis chez l’enfant typique. Les recherches tendent à affirmer qu’accorder correctement le sujet à son verbe nécessite une charge cognitive importante ne pouvant s’acquérir que vers l’âge de dix ans. Quant à lui, l’enfant dys doit mobiliser davantage de ressources pour traiter l’accord puisque le traitement lexical n’est pas toujours résolu. Cependant, une forme d’apprentissage implicite, c’est-à-dire, le langage oral, peut aider à répondre à l’accord grammatical. De plus, si le geste graphique apparaît plus fluide, cela libère des ressources cognitives et le temps d’écriture apparaît moins long. De ce fait, nous nous sommes interrogée sur les erreurs d’accord sujet-verbe et sur la dynamique d’écriture en comparant des enfants typiques et des enfants dys. Nous avons comparé le taux d’erreurs, le temps de réaction et la durée globale d’écriture du pronom et du verbe avec et sans la présence de l’indice phonologique. Nous avons cherché à vérifier si les participants dys feraient plus d’erreurs que les participants typiques. Nous avons également cherché à savoir si le temps d’écriture du verbe chez les dys serait plus long que chez les typiques avec la présence de la liaison. Globalement, les résultats ont montré que les enfants dys émettent un taux d’erreurs similaire aux enfants typiques et que la durée d’écriture est plus longue lorsque tous les participants doivent écrire le verbe lorsqu’il y a une liaison. Finalement, au regard des recherches déjà effectuées, notre étude confirme le fait que l’automatisation de l’accord nécessite du temps et de l’énergie pour chaque participant et que la présence d’un indice phonologique est un élément essentiel dans l’écriture de l’accord.

  • Etude de la variation de la distribution des erreurs lexicales et morphosyntaxiques au cours du développement chez des sujets neurotypiques du CE2 à la Licence 2    - Braud Celine  -  21 juin 2021

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    De nombreuses recherches se sont attachées à décrire les processus cognitifs sous-jacents au développement du langage écrit chez l'enfant neurotypique. Les études s'accordent à dire que les traitements orthographiques et moteurs se parallélisent progressivement, permettant une diminution des erreurs commises, par l'intermédiaire d'une libération des ressources cognitives. Deux grands types d'erreurs ont été mis en évidence dans la littérature : les erreurs lexicales et morphosyntaxiques. L'objectif de ce travail est d'inscrire la description de ces erreurs dans une perspective "life-span". Nous avons cherché à savoir si la survenue de ces erreurs diminue dans le temps et si les erreurs lexicales sont plus nombreuses que les erreurs morphosyntaxiques. Enfin, nous avons cherché à vérifier si le nombre d'erreurs lexicales diminue plus rapidement que le nombre d'erreurs morphosyntaxiques. L'analyse des bayes factors a été effectuée sur les productions sous dictée des participants de primaire, de collège et de licence. Les résultats indiquent que le nombre d'erreurs diminue dans le temps, avec un palier atteint aux alentours de la 6ème – 5ème. Ces erreurs sont présentes dans les mêmes proportions et leur nombre diminue à la même vitesse.

  • La dyslexie et ses impacts en production écrite    - Delorme Emilie  -  21 juin 2021

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    Depuis une quarantaine d'années, des chercheurs ont travaillé sur les mécanismes impliqués dans l'apprentissage de la lecture, jusqu'à en définir des modèles, aujourd'hui, indiscutables. La dyslexie est un trouble sévère et persistant de la lecture. Qu'elle soit phonologique, de surface, mixte ou encore visuo-attentionelle, la dyslexie a des impacts certains sur la production écrite des individus qui en souffrent. L'acte d'écrire plus complexe que l'acte de lire requiert également une maîtrise de la phonologie mais aussi la maîtrise de la morphologie. Ces compétences sont inéluctables pour devenir un bon orthographieur dans une langue où la morphologie est particulèrement silencieuse. L'apprentissage implicite de l'orthographe relatif aux connaissances prérequises développées par les expériences dans l'environnement est impliqué dans les différents stades d'acquisition des règles orthographiques explicitées à l'école. Alors que chez les enfants normo-scripteurs, le développement de la production écrite suit un chemin "standard", chez les dyslexiques, les étapes de développement ne semblent pas être aussi chronologiques. Elles apparaissent et s'installent en progression avec l'avancée en classe et en âge, de façon concomitante ou archaïque. Toutefois, les dyslexiques possèdent des compétences dans certains domaines orthographiques qui leurs permettent de compenser des difficultés dans d'autres.

  • Influence des troubles du langage écrit sur les aspects lexicaux en production écrite    - Gabiller Camille  -  21 juin 2021

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    Depuis quelques années, la recherche s’intéresse à la dynamique de l’écriture, particulièrement chez l’enfant. Vers l’âge de huit ans, avec l’automatisation du geste graphique, il est possible d’observer une interaction entre les traitements de haut et de bas niveau. Par ailleurs, de précédentes études ont démontré l’influence des processus orthographiques sur les processus moteurs en production écrite. Dans ce contexte, l’étude que nous avons menée s’est intéressée aux performances des enfants dys en dictée de mots et de pseudomots sur une tablette graphique. Nous les avons comparées à celles d’enfants sans trouble. Nous avons analysé les données cinématiques (latence et durée) et le taux d’erreurs orthographiques. Les résultats ont révélé que, globalement, les enfants avec un TSAp conservaient un traitement sériel en raison de latences plus conséquentes que leurs pairs. Ils étaient également d’autant plus impactés par l’effet de lexicalité dans la dynamique de leur écriture et sur leurs erreurs, du fait d’un traitement central moins efficient. Finalement, notre étude confirme l’idée selon laquelle le TSAp affectant le langage écrit, influence les aspects lexicaux en production écrite, que ce soit sur la dynamique de l’écriture, ou sur les erreurs orthographiques.

  • Etude de la rétrogenèse dans la gestion des processus de l'écriture manuscrite au sein de la maladie d'Alzheimer    - Guillouche Romane  -  26 juin 2018

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    Tout au long de notre vie, l'écriture occupe une place centrale dans nos apprentissages et nos habiletés de communication. Ecrire implique différents processus, centraux ou orthographiques et périphériques ou moteurs. Ces processus interagissent, partiellement chez l'enfant, entièrement chez l'adulte pour qui les traitements périphériques débutent avant la fin des centraux. Ces derniers se répandant ensuite sur ceux périphériques à l'image d'une cascade. Ce phénomène ne serait pas encore constaté chez l'enfant de CE2 pour qui processus centraux et périphériques opèrent de façon sérielle. L'objectif de cette étude est d'étudier l'évolution du phénomène de cascade au regard de l'hypothèse de rétrogenèse au sein de la maladie d'Alzheimer, l'écriture étant peu étudiée au sein de cette pathologie. L'hypothèse de rétrogenèse suppose que les mécanismes dégénératifs imposent un parcours de déconstruction des capacités allant à l'inverse de l'ordre d'acquisition. Cette étude intègre donc des élèves de CE2, de CM2, des jeunes adultes et des sujets atteints de la maladie d'Alzheimer. L'effet du vieillissement sera questionné grâce à l'inclusion de personnes âgées contrôles sans troubles cognitifs. Le phénomène de cascade observé chez les enfants de CM2 et les jeunes adultes devrait donc être présent chez les personnes âgées sans troubles cognitifs. Par contre, les patients avec une démence de type Alzheimer devraient présenter un patron de résultat proche des enfants de CE2. C'est ce que montre notre étude. Le pattern de résultat des patients Alzheimer diffère amplement de celui des adultes et des personnes âgées sans troubles cognitifs. Il se situe plus précisément entre celui de CE2 et des CM2 confirmant l'hypothèse d'une rétrogenèse dans la dégradation de l'écriture au sein de la maladie d'Alzheimer.

  • L'erreur comme outil d'étude de connaissances du système orthographique et de son développement : classification et comparaison des erreurs orthographiques d'élèves en CM1 et d'étudiants en L1 de psychologie    - Ristord Aline  -  08 juillet 2015

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    Les erreurs orthographiques constituent une véritable fenêtre ouverte sur les processus cognitifs mis en jeu lors de la production écrite puisqu’elles indiquent un dysfonctionnement du système orthographique. L’objectif de cette recherche était d’explorer l’évolution, à travers l’âge, des représentations orthographiques et morphologiques impliquées dans la production écrite, grâce à l’analyse de ces erreurs. Pour ce faire, nous avons tout d’abord recueilli une série de données expérimentales auprès de deux groupes de participants : 102 élèves de CM1 ont réalisé une rédaction libre et 70 étudiants de première année de licence (L1), mention Psychologie, ayant rédigé un résumé de texte lors d’une épreuve de partiel. Ensuite, nous avons relevé les erreurs produites par ces deux populations. Enfin, nous les avons classées selon une typologie construite au préalable, afin d’établir des comparaisons sur le type des erreurs commises et mieux comprendre l’évolution et l’utilisation des processus orthographiques en fonction de l’âge. Selon notre première hypothèse, il existerait un effet de l’âge sur le nombre d’erreurs. Cette hypothèse a été validée puisque les élèves de CM1 ont réalisé significativement plus d’erreurs que les étudiants de L1, et ce, quelle que soit la catégorie d’erreurs. Notre deuxième hypothèse supposait que le profil et la nature des erreurs se distinguaient selon l’âge. Cette hypothèse a été réfutée puisque de façon globale, la répartition des types d’erreurs des deux populations était similaire. Cette étude n’est qu’une ébauche de la recherche sur l’organisation et le développement du système orthographique. Elle mérite cependant d’être poursuivie à plus grande échelle et de façon plus approfondie avec une méthodologie de recueil et d’analyse plus précise et adaptée.

  • L'erreur lexicale comme outil d'étude des connaissances de lecture et d'orthographe chez des enfants présentant une dyslexie et/ou dysorthographie développementale    - Outy Jeanne  -  08 juillet 2015

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    Il existe une certaine relation entre le développement de la lecture et celui de la production écrite. L’objectif de cette étude est de tenter de déterminer en quoi les connaissances liées à la lecture vont avoir une répercussion sur l’écriture chez des sujets atteints de trouble du langage écrit. Pour cela nous collecterons des performances à des tests impliquant ces deux activités auprès d’une population d’enfants dyslexiques, dysorthographiques et/ou dyslexiquesdysorthographiques en la comparant à une population contrôle d’enfants tout-venants de niveau scolaire CE2 au CM2. Notre objectif est ainsi d’analyser les caractéristiques des erreurs produites par les enfants. Nous nous focaliserons ici sur les aspects d’orthographe lexicale afin de mettre en relation la qualité de représentation orthographique et les performances en lecture, en tenant compte des caractéristiques de la pathologie. Les résultats montrent que les enfants dyslexiques ont des performances inférieures à celles des toutvenants. Les résultats sont discutés en fonction des connaissances que doivent développer les lecteurs et scripteurs dyslexiques et des pistes orthophoniques à envisager.

  • Etude des erreurs morphosyntaxiques d'enfants dyslexiques-dysorthographiques en production écrite    - Szopinski-virondeau Guillaume  -  24 juin 2015

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    La morphologie est une composante de l’orthographe peu étudiée, y compris concernant la dyslexie-dysorthographie. Les recherches ont commencé à présenter l’idée que les enfants dyslexiques possèderaient des compétences morphologiques préservées, en partie indépendantes de leurs difficultés globales en langage écrit. Notre étude a pour objectif d’analyser et de catégoriser les erreurs morphologiques dérivationnelles et flexionnelles produites par des enfants dyslexiques et des enfants contrôles appariés par âge chronologique et par âge lexique. Trois types de tâches leur ont été proposés : lecture, dictée de texte et rédaction écrite. Nous hypothèse principale est que les performances des enfants dyslexiques seraient inférieures à celles des enfants contrôles de même âge chronologique dans les trois types d’activités, et qu’elles seraient également inférieures à celles des enfants contrôles de même âge lexique dans les deux activités de production écrite. Néanmoins, leurs performances en lecture seraient supérieures à celles des enfants contrôles de même âge lexique. Le groupe des enfants dyslexiques était composé de 20 participants, tandis que le groupe des enfants contrôles était composé de 254 participants. Nos résultats montrent que les performances des enfants dyslexiques sont inférieures à celles des enfants de même âge chronologique dans toutes les activités, mais qu’elles sont égales à celles des enfants de même âge lexique en lecture. De plus, les enfants dyslexiques ont produit autant, voire moins d’erreurs morphologiques dérivationnelles en dictée et en rédaction que les enfants de même âge lexique. Ceci confirmerait l’idée que les enfants dyslexiques s’appuieraient sur leurs capacités de traitement morphologiques pour compenser leurs difficultés. Cette perspective offrirait de grandes possibilités thérapeutiques pour soutenir les enfants dyslexiques à l’écrit.

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affiche de communication sur le dépôt des travaux d'étudiants : 215, c'est le nombre de fois où le réveil a sonné trop tôt cette année pour travailler sur mon mémoire. Franchement j'aimerai ne pas être le seul à l'avoir lu ! / Lionel Bernardin / idsworks.com
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