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Dernières soutenances

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  • Les stimulations oro-faciales dans la réhabilitation des paralysies faciales centrales : élaboration d'un support spécifique destiné aux orthophonistes    - Jullemier Heloise  -  19 juin 2023

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    La paralysie faciale centrale est un trouble de la motricité dû à une lésion supra-nucléaire du nerf facial. Les étiologies possibles sont variées mais la plus fréquente est l’accident vasculaire cérébral. Le diagnostic précoce et la rééducation intensive de cette pathologie permet d’améliorer significativement la qualité de vie des patients atteints. Cependant, cette rééducation est encore peu connue des orthophonistes. L’objectif principal de cette étude était de montrer que la création et la mise à disposition d’un support spécifique à la réhabilitation des paralysies faciales centrales permettaient de répondre à la demande des orthophonistes. Ce support sera ensuite évalué par les thérapeutes afin de savoir s’ils l’ont jugé utile et adapté aux patients. Ainsi, un ensemble de vidéos expliquant les stimulations oro-faciales a été transmis aux orthophonistes volontaires afin d’être testé avec leurs patients. Ces vidéos étaient accompagnées d’un protocole de passation exposant une thérapie quotidienne et intensive basée sur le principe de la thérapie par le mime. La durée du protocole était de six semaines. L’analyse statistique des scores obtenus aux bilans initiaux et finaux a permis de mettre en évidence une régression de la paralysie faciale chez la plupart des patients. L’analyse des réponses au questionnaire de satisfaction a permis de conclure que l’outil créé est pertinent pour la réhabilitation des paralysies faciales centrales, le contenu intéressant et le support a été jugé facile d’utilisation et n’impliquant pas d’aide pour sa mise en place. Cependant, certains points restent à améliorer et nécessitent une révision. Même si les résultats obtenus à cette expérimentation sont encourageants, une étude sur un plus grand échantillon serait pertinente afin de juger de la réelle efficacité du support. Les recherches doivent être prolongées afin de valider scientifiquement les résultats et pouvoir apporter un nouvel outil rééducatif à la profession.

  • Facteurs de risque d’échec d'extraction instrumentale    - Lutgen Agathe  -  16 juin 2023  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Les accouchements instrumentaux représentent 12,4% des naissances. Le succès d'une extraction instrumentale repose sur de multiples facteurs rendant difficile de prédire la réussite ou l'échec de l'extraction. L'échec d'extraction instrumentale est principalement défini par l'utilisation séquentielle de deux instruments ou la réalisation d'une césarienne après tentative d'extraction instrumentale. Objectif : Identifier les facteurs de risque d'échec d'extraction instrumentale dans notre centre en se focalisant sur les doubles instrumentations.

    Matériel et méthodes : Étude rétrospective monocentrique du 1er Mai 2017 au 31 Octobre 2020 concernant tous les accouchements instrumentaux sur un singleton vivant en présentation céphalique, après 34 semaines d'aménorrhée. Nous avons séparé les extractions instrumentales en deux groupes, succès ou échec en considérant l'échec comme une double instrumentation. Nous avons recueilli les données maternelles et celles liées à l'accouchement pouvant avoir un impact sur le succès ou l'échec de l'extraction et avons réalisé des analyses univariées et multivariables avec un seuil de significativité p < 0,05.

    Résultats : Nous avons enregistré 796 accouchements instrumentaux sur la période étudiée dont 126 par doubles extractions (soit 15,8%). Le taux d'échec dans notre centre est donc de 15,8% en ne considérant que les doubles instrumentations. Après analyse on retrouve plusieurs facteurs de risque d'échec d'extraction instrumentale : la primiparité (OR 2,27 ; 95% IC [1,32 ; 4,08] ; p<0.01), la présentation postérieure (OR 1.86 ; 95% IC [1.14 ; 2.99] ; p = 0.012), le poids élevé de naissance (OR 1.07 ; 95% IC [1.02 ; 1.11] ; p<0,01), une présentation haute (OR 8.73 ; 95% IC [2.97 ; 37.3] ; p<0.001), ou non engagée (OR 8.46 ; 95% IC [2.57 ; 38.5] ; p<0.01).

    Conclusion : Le taux d'échec d'extraction instrumentale est élevé et sous-estimé du fait de l'absence de prise en compte des césariennes après tentative d'extraction instrumentale. Ce taux s'explique en partie par la réalisation de ventouse en partie haute ou non engagée.

    Nous avons identifié plusieurs facteurs de risque d'échec d'extraction instrumentale qui sont à prendre en compte lors de la décision d'effectuer une extraction afin d'éviter des tentatives d'extractions inutiles et potentiellement délétères.

  • médicaments génériques en France et aux Etats-Unis : perspective historique, économique et règlementaire    - Boudjeloud Aida  -  16 juin 2023  - Thèse d'exercice

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    Au cours des dernières années, la prescription de médicaments génériques en France et aux États-Unis a connu une croissance significative, soutenue par la mise en place de réglementations visant à garantir leur qualité, leur sécurité et leur efficacité tout au long de leur cycle de vie. Cependant, les médicaments génériques ont rencontré des obstacles importants avant de s'imposer sur le marché ce qui a fortement entravé leur acceptation aux yeux des patients.

    Il est essentiel de garantir l'accessibilité des médicaments génériques afin de répondre aux besoins constants des patients en matière de traitements tout en limitant les dépenses de santé. La disponibilité des génériques est un enjeu majeur pour assurer une équité d'accès aux soins pour tous. Les génériques peuvent jouer un rôle clé dans la réduction des coûts de santé, mais ils doivent surmonter les défis persistants tels que l'accès inégal ou encore les obstacles économiques. Des efforts continus sont nécessaires afin de promouvoir leur utilisation et garantir la pérennité de cette alternative plus abordable pour les patients.

  • Prescription de naloxone par les médecins généralistes en Pays de la Loire : Freins et améliorations des pratiques    - Jaulin Emmanuelle  -  15 juin 2023  - Thèse d'exercice

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    INTRODUCTION : Les dernières années ont connu une hausse de la consommation d'opioïdes à visée thérapeutique, notamment dans le contexte d'une amélioration de la prise en charge de la douleur, avec l'apparition d'un nouveau profil de consommateurs, présentant des troubles de l'usage dans les suites d'une prescription médicale. En parallèle se dessine une augmentation des effets indésirables liées à ces substances : une augmentation des hospitalisations liées aux opioïdes de 167% entre 2000 et 2017 en France, et une augmentation des décès (pourtant sous-estimés) de 146% entre 2000 et 2015.

    Les médecins généralistes sont prépondérants parmi les prescripteurs d'opioïdes quelle que soit leur indication thérapeutique. Face à cette situation et fortes de l'expérience de la crise des Etats-Unis, les autorités de santé ont mis en place des recommandations et des feuilles de route pour prévenir les surdoses aux opioïdes. On y retrouve notamment la nécessité de diffusion de la naloxone en ambulatoire chez les sujets à risque. Pourtant, la délivrance de naloxone semble anecdotique.

    Notre travail vise à identifier les freins à la prescription de naloxone par les médecins généralistes des Pays de la Loire, qui pourraient être levés par une formation adaptée sous forme audiovisuelle.

    MATÉRIEL ET MÉTHODES : Cette étude est descriptive, observationnelle et transversale. A partir d'un questionnaire adapté, construit avec un comité de pilotage et transmis aux médecins généralistes libéraux des Pays de la Loire par mail, nous évaluons les freins à la prescription de naloxone.

    L'analyse des résultats a permis la réalisation une formation audio-visuelle ayant pour objectif de lever les freins des médecins généralistes à la prescription de naloxone.

    RÉSULTATS : 167 médecins généralistes de Pays de la Loire (4,5%) ont répondu au questionnaire. L'absence de prescription de naloxone par près de 90% des médecins généralistes peut s'expliquer par différents freins : un manque de connaissances sur le sujet est rapporté de manière prépondérante, mais également des obstacles pratiques (manque de temps, etc.) et des difficultés d'incarnation des situations à risque listées dans les recommandations. Une formation adaptée à ces réponses a pu être créée.

    CONCLUSION : Il existe des freins à la prescription de naloxone par les médecins généralistes. Une étude en cours (SINFONI) évaluera de l'impact de la formation réalisée dans le cadre de ce travail.

  • Quels sont les freins des médecins généralistes, à la mise en place et au déploiement de la pratique avancée infirmier en Charente-Maritime ? Etude prospective réalisée en 2023    - Rancher Thomas  -  15 juin 2023  - Thèse d'exercice

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    Introduction : En Juillet 2018, la ministre de la santé Mme Buzyn instaure un ensemble de décrets et d'arrêtés permettant la mise en place effective de la pratique avancée infirmier en France. Elle s'instaure dans un contexte de pénurie médicale et de réorganisation des soins primaires.La loi prévoit un mode de collaboration entre l'infirmier de pratique avancée et le médecin généraliste, intégrant ce dernier de manière active dans son organisation. L'objectif de cette thèse est alors d'évaluer premièrement la connaissance des médecins généralistes en Charente Maritime sur cette pratique avancée et secondairement connaitre leurs opinions et freins au déploiement de cette nouvelle collaboration.

    Méthode : Etude quantitative descriptive par diffusion d'un questionnaire informatisé aux médecins généralistes en Charente Maritime.

    Résultats : À l'issue de notre étude, nous pouvons constater une méconnaissance globale de ce nouveau dispositif par la grande majorité des médecins répondants. L'intérêt global de la mesure est très partagé, comprise mais également très critiqué. Il en résulte un rejet de cette collaboration, qui repose majoritairement sur les répercussions de cette nouvelle organisation encore incertaine sur le rôle du médecin généraliste au sein de cette collaboration et la possible dégradation de la relation médecin-patient.

    Discussion : Ces différents freins peuvent être en partie solutionnés par la promotion positive de cette pratique avancée, notamment à travers de nouveaux moyens de communication comme le partage d'expérience entre professionnels ou la mise en situation pratique.

  • Analyse de la recherche d'informations en santé pelvi-périnéale. Enquête sur les réseaux sociaux auprès de 1667 personnes    - Berthonneau Justine  -  13 juin 2023

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    Introduction : L’objectif de notre étude était d’identifier les sujets de Santé Pelvi-Périnéale (SPP) qui ont fait l'objet de recherches d'informations et de décrire ces recherches dans le but de développer une éducation en SPP efficace et adaptée à la demande.

    Méthode : Cette étude observationnelle, transversale, descriptive et quantitative a été réalisée via un questionnaire diffusé sur les réseaux sociaux, auprès de 1667 personnes de plus de 15 ans.

    Résultats : La rééducation périnéale et les dyspareunies sont les deux sujets de SPP les plus recherchés, chez les femmes comme chez les hommes.

    Les recherches suivent une logique de prévalence. Les plus jeunes recherchent majoritairement des informations sur les dyspareunies quand les plus âgées vont plutôt s’intéresser à l’incontinence urinaire d’effort. De même, les personnes ayant déjà eu des fuites urinaires recherchent significativement plus d’informations que celles qui n’en n’ont jamais eu (p<0,001).

    Les sujets de SPP faisaient l’objet d’une demande supplémentaire d’information contrairement aux sujets d’IST et de contraception pour lesquels les informations reçues étaient suffisantes.

    La motivation principale d’une recherche d’information était d’être concerné directement ou indirectement par le sujet. La première source d’information, tous âges confondus était Internet à 63,5%.

    Conclusion : La demande d’informations en SPP est importante mais les informations disponibles ne semblent pas satisfaire les besoins. La prévention des troubles pelvi-périnéaux reste à développer. Internet étant la source privilégiée pour la recherche d’informations, l’élaboration d’un site internet dédié à l’éducation en SPP est à considérer.

  • Reconversion professionnelle des sages-femmes : facteurs déterminants, difficultés et avenir    - Gatellier-guilloux Eva  -  13 juin 2023

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    Introduction : En 2020, 55% des sages-femmes hospitalièr.e.s et libéral.e.s envisageaient de se reconvertir. En 2022 le CNOSF annonce une hausse de 112% des radiations professionnelles. L’étude avait pour objectif de faire un état des lieux de la reconversion des sages-femmes, afin de connaître les facteurs déterminants, les difficultés rencontrées et leur avenir.

    Matériel et méthode : Il s’agissait d’une étude prospective qualitative par le biais d’un entretien individuel semi-directif qui a été réalisé du 15 mars au 15 juin 2022 auprès de huit anciennes sages-femmes hospitalières.

    Résultats : Les sages-femmes hospitalières étaient toutes satisfaites en début de pratique malgré des difficultés déjà présentes inhérentes à la profession, mais aussi en lien avec les conditions de travail. Face à celles-ci, certaines s’orientent vers une reconversion. La politique Hospitalière actuelle ne permet pas l’épanouissement des sages-femmes dans leurs pratiques empêchant l’accompagnement dans la physiologie. Cette organisation des soins impactent négativement leur vie personnelle. A travers leurs parcours de reconversion, la non-reconnaissance et la méconnaissance de la profession de sages-femmes persistent. Elles sont peu nombreuses à souhaiter un jour ré-exercer en tant que sage-femme dans ces conditions ; bien que l’attachement à leur métier reste très fort.

    Conclusion : Les résultats de cette étude doivent être confrontés avec des études quantitatives. La fuite des sages-femmes va de pair avec la politique hospitalière actuelle. Rendre la profession plus attractive et viable passe par une meilleure reconnaissance, et connaissance de celle-ci, ainsi qu’une amélioration des conditions de travail.

  • Dépistage des troubles des conduites alimentaires chez la femme enceinte. Protocole de recherche interventionnelle à risques et contraintes minimes (catégorie 2)    - Lochet Candice  -  13 juin 2023

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    Introduction

    Les troubles des conduites alimentaires (TCA) entraînent des complications physiques et psychologiques, et le risque suicidaire est majoré chez les adultes qui en sont atteints.

    La période périnatale est un moment particulièrement à risque pour leur précipitation, leur réémergence ou leur exacerbation. Les mères qui en sont atteintes ont un risque majoré de fausse couche, d’accouchement prématuré et de recours à la césarienne.

    Enfin, Les TCA présentés par les mères, influencent le développement de leur enfant qu’il soit physique, émotionnel ou cognitif et cela au long cours, avec un risque accru pour celui -ci de développer lui-même un TCA.

    Pourtant, les questionnaires de dépistage des TCA dans la littérature sont multiples, mais nous constatons une absence d’outil spécifique et validé pour leur dépistage pendant la grossesse. Ces troubles sont ainsi insuffisamment dépistés et tardivement ou non pris en charge.

    L’objectif principal de cette étude est d’évaluer quels items des questionnaires SCOFF et EDEQ pourraient être spécifiques d’un TCA pendant la grossesse et non liés au simple état de grossesse, en comparant les réponses de femmes enceintes, pour lesquelles le diagnostic de TCA a été posé, à celles de femmes enceintes ne présentant pas de TCA.

    Notre objectif secondaire est d’évaluer si les items restent spécifiques d’un TCA à différentes périodes de la grossesse.

    Méthodologie

    Le recrutement des femmes enceintes majeures ayant un TCA actuel sera effectué au sein du Centre Médico-Psychologique, du Centre d'Écoute, de Consultation et d’Activité Thérapeutique du Centre Henri Laborit et des consultations obstétricales du CHU de Poitiers.

    Les femmes enceintes sans TCA seront recrutées notamment grâce au concours d’un cabinet de sages-femmes libérales. Une visite d’information expliquant le protocole de recherche ainsi qu’une visite d’inclusion par téléphone sera réalisée. Le diagnostic de TCA sera confirmé pour les femmes diagnostiquées TCA et exclues pour les femmes considérées comme non TCA. Un code de connexion à la plateforme en ligne leur sera administré, sur laquelle elles répondront à deux questionnaires, le SCOFF et l’EDE-Q. Seront renseignés des questions d’ordre socio-démographique, leur traitement en cours, leurs pathologies psychiatriques et somatiques. Il s’agit d’une étude préliminaire monocentrique portant sur le recrutement de 50 femmes enceintes, dont 25 présentant un TCA contre 25 ne présentant pas de TCA. La période d’inclusion se fera sur une durée de 36 mois.

    Analyse

    Nous utiliserons une analyse factorielle discriminante afin d’étudier s’il existe des items permettant de distinguer durant la grossesse les femmes présentant un TCA de celles qui n’en présentent pas.

    Retombées attendues

    Identifier les femmes enceintes souffrant de TCA afin de leur proposer une prise en charge adaptée et d’offrir une meilleure trajectoire développementale à leur enfant.

  • La contraception masculine : vers une contraception partagée ? Connaissance et acceptabilité de la contraception masculine chez les hommes. Evaluation de la plaquette du CeGIDD de Poitiers comme outil d’information    - Mercie Camille  -  13 juin 2023

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    Introduction : actuellement, la contraception est majoritairement prise en charge par les femmes. Pourtant des méthodes contraceptives masculines existent (préservatif, retrait, vasectomie) et de nouvelles se démocratisent (contraception masculine thermique et hormonale). Les hommes sont favorables à leur utilisation mais leur accessibilité est limitée et sont peu connues du grand public. Dans une démarche de contraception partagée au sein du couple, se pose la question de la place de l’homme dans la contraception. L’objectif est d’évaluer les connaissances et l’acceptabilité des hommes pour la contraception masculine et dans un deuxième objectif de déterminer la pertinence de la plaquette du CeGIDD de Poitiers comme outil d’information de la contraception masculine.

    Matériel et méthode : une étude prospective quantitative et qualitative à visée descriptive et interprétative a été réalisée entre juillet 2022 et octobre 2022, dans la région Nouvelle-Aquitaine. L'enquête quantitative était basée sur les résultats de 240 questionnaires anonymes recueillis au CeGIDD de Poitiers et en ligne via la plateforme lime survay. Concernant l’enquête qualitative, des entretiens semi-directifs auprès de 11 hommes volontaires ont été menés.

    Résultats : 100% de notre population connaissaient une ou plusieurs méthodes contraceptives masculines, dont 70% connaissaient le préservatif, le retrait et la vasectomie et 74,6% connaissaient la contraception masculine hormonale et/ou thermique. Une majorité des hommes connaissant le préservatif et le retrait, avaient déjà utilisés ces deux méthodes. En revanche concernant la vasectomie, la contraception hormonale et thermique, même si une majorité connaissaient les méthodes, très peu avaient déjà testé l’une de ces méthodes. 90% des hommes étaient prêts à utiliser une contraception uniquement masculine.58,3% s’estimaient insuffisamment informés sur le sujet et 73,5% souhaitaient plus d’information à ce sujet.

    63,6% des hommes interrogés considéraient que la plaquette leur avait apporté des connaissances. 100% d’entre eux pensaient que la plaquette était un bon outil d’information, mais que des améliorations devaient être apportées.

    Conclusion : Les hommes sont prêts à se contracepter. Cependant la sensibilisation, par les médias et les professionnels de santé, restent nécessaires à la mise en place de leurs pratiques.

  • Douleur périnéale à la suite d’un accouchement eutocique : Prise en charge et répercussions dans le post partum immédiat    - Bardan Marina  -  13 juin 2023

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    Objectifs : Evaluer le niveau et les répercussions des douleurs périnéales dans le post-partum immédiat ainsi que leurs prises en charge par l’équipe soignante.

    Méthode : Cette étude de cohorte prospective s’est déroulée du 9/11/2021 au 23/02/2022 et a été réalisé auprès de 108 patientes au sein d’une maternité de niveau III. Le recueil a été effectué par l’intermédiaire d’un questionnaire auto-administré par la patiente lors de son séjour en suite de couche et complété secondairement par un recueil dans leurs dossiers médicaux.

    Résultats : D’après notre étude, 12,0 % des patientes présentaient des douleurs périnéales et/ou des dyspareunies avant la grossesse et 26,9 % en présentaient pendant leur grossesse. Plus de la moitié présentait un antécédent de déchirure et/ou d’épisiotomie.

    71,3 % ont eu recours à une réfection avec une douleur ressentie en moyenne à 3,1/10.

    Les femmes interrogées présentaient, pour 43,5 % d’entre elles, des douleurs lors du retour en chambre alors que seuls 31,5 % ont été notifié par les professionnels.

    Ces douleurs se localisaient au niveau de l’entrée du vagin (33,3 %), au niveau du périnée postérieur (28,7 %), des lèvres (20,4 %), de la cicatrice de la déchirure (19,4 %), du périnée antérieur (16,7 %) et en vaginale profond (11,1 %) et se manifestaient par des tiraillements (41,7 %), des picotements (38,9 %) et/ou des brûlures (26,9 %). Ces douleurs survenaient lorsqu’elles se trouvaient immobiles ou accentuées par une position particulière dans 37,0 % des cas, à la mobilisation et/ou en urinant pour 12,0 % et pour 10,2 %, cette douleur restait constante.

    Les moyens antalgiques les plus utilisés étaient le Paracétamol (90,7 %), le Phloroglucinol (46,3 %), les AINS (13,9 %) et la glace (41,7 %).

    Pour 13,9 % des femmes, ces douleurs ont eu un impact sur les soins qu’elles pouvaient apporter à leur enfant.

    Conclusion : Cette étude a montré que globalement les femmes étaient satisfaites de leur prise en charge au sein de cette maternité de type III bien que ces douleurs périnéales pussent entraîner chez certaines des répercussions dans l’établissement de la relation mère/enfant.

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