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Les parabènes sont couramment utilisés comme conservateurs, pour leurs propriétés antibactériennes et antifongiques, dans l'alimentation, les cosmétiques et les médicaments depuis le XXème siècle. En raison de leur impact sur le système endocrinien, les parabènes suscitent une préoccupation croissante de santé publique, entraînant des réglementations et des efforts de surveillance à l'échelle nationale et internationale. Néanmoins, bien que des études aient déjà évalué la présence de parabènes dans différentes matrices biologiques, les informations sur la répartition spécifique de leur métabolisme hépatique (glucuronidation, sulfonation, hydrolyse et oxydation) restent limitées. Les objectifs de cette étude consistaient à évaluer les paramètres enzymatiques (Vmax, Km et Cl) du méthylparabène (MPb) et du propylparabène(PrPb), ainsi qu’à estimer la proportion de chaque voie métabolique afin de mieux décrire les risques et l'exposition de l'Homme aux parabènes. L'utilisation du modèle in vitro des microsomes humains S9 (HMSP9) a permis d'étudier chaque voie métabolique de manière indépendante en activant spécifiquement les facteurs et cofacteurs nécessaires. Ces données sont essentielles pour améliorer notre compréhension des risques liés aux parabènes et de l'exposition de l'Homme à ces composés. Une méthode de dosage par HPLC-UV a été validée selon ICHQ2r1 pour mesurer le taux de disparition du MPb et du PrPb. Les résultats obtenus révèlent une variation métabolique en fonction de la nature des parabènes. La principale voie métabolique pour le MPb et le PrPb est l'hydrolyse, représentant respectivement 75% et 57% de la clairance métabolique. La glucuronidation, la sulfonation et l'oxydation jouent un rôle minoritaire dans leur métabolisme tout en ayant l’avantage d’être spécifiques.

La relation client occupe une place de plus en plus importante auprès des laboratoires pharmaceutiques. Elle est devenue un levier de différenciation dans les marchés hyperconcurrentiels. Les industriels de la santé doivent faire face à un milieu restreint par la réglementation, et à des professionnels de santé de plus en plus exigeants et de moins en moins disponibles. L’intérêt de la relation client est justement de répondre à quelques-uns de ces besoins en proposant des services personnalisés et exclusifs, par le biais de différents canaux pour multiplier les points de contacts. L’important est d’entretenir un contact continu et régulier avec la clientèle de façon harmonisée. L’omnicanalité prend alors tout son sens, d’autant plus avec la pandémie liée à la COVID-19 qui a su accélérer la digitalisation de la communication des laboratoires pharmaceutiques. L'omnicanalité est la capacité à offrir une expérience cohérente et intégrée à travers différents canaux de communication, tels que les médias sociaux, les applications mobiles, les sites web, les courriels, les appels téléphoniques et les interactions en personne. En l’exploitant correctement, les laboratoires pharmaceutiques peuvent optimiser leur relation client de plusieurs façons :

- Offrir une expérience client personnalisée : L'omnicanalité permet aux laboratoires pharmaceutiques de mieux comprendre les besoins de leurs clients en rassemblant des données de différentes sources.

- Accroître l'engagement du client : L'omnicanalité permet aux clients d'interagir avec les laboratoires pharmaceutiques via le canal de leur choix, ce qui facilite la communication et accroît l'engagement du client. Les entreprises peuvent également offrir une réponse rapide et précise aux questions et aux préoccupations des clients, ce qui renforce la confiance et la fidélité.

- Améliorer l'efficacité opérationnelle : les laboratoires pharmaceutiques peuvent rationaliser les processus opérationnels, améliorer l'efficacité et réduire les coûts.

La principale difficulté est de veiller à ce que les messages et les contenus soient synchronisés sur tous les canaux. Au travers de nombreux produits dont XOLAIR®, Novartis utilise aujourd’hui l’omnicanalité pour faire face à l’émergence de nombreux concurrents et proposer des services personnalisés à ses clients.

Le diagnostic des infections de DVE est complexe et aggrave le pronostic neurologique des patients cérébrolésés. Un traitement adapté est nécessaire rapidement mais difficile à obtenir du fait de la distribution limitée dans le LCS due à la barrière hémato-liquidienne. La première cause d’infection liée aux DVE (53%) est due aux Cocci gram positifs, les Staphylocoques notamment à coagulase négative. Ainsi, la vancomycine est le traitement recommandé malgré une diffusion faible de 3 à 48% dans le LCS. Le but de l’étude était de décrire la PK de la vancomycine et d’évaluer son efficacité théorique sur des staphylocoques de différents niveaux de sensibilité.

PKpopLCR, étude prospective multicentrique a inclus 25 patients (CPP17-016a/2017-002993-37) porteurs d’une DVE, traités par vancomycine pour une infection cérébroméningée (ICM) ou extracérébrale (IEC). 120 échantillons de sang et de LCS étaient collectés à J1, J2, J3 et à la fin du traitement : H1, H4, H8. Les concentrations de vancomycine plasmatiques et dans le LCS (CLCS), étaient obtenues par LC-MC/MS. Les concentrations libres (CPL) étaient calculées à partir de la fixation protéique théorique, 45%. L’analyse non compartimentale permettait de calculer les surfaces sous courbe (SSC) des concentrations à l’état d’équilibre (Css), le rapport de concentrations libres (CLCS/CPL) et des SSC (SSCLCS/SSCPL) représentant la diffusion de la vancomycine dans le LCS. Pour la première fois, le paramètre PD retenu pour définir la bactéricidie de la vancomycine dans le LCS était déterminé par le rapport SSC/CMI > 400. Les valeurs de CMI testées étaient 2 et 4 mg/L pour les Staphylocoques.

Les doses de vancomycine reçues étaient de 25 à 90 mg/kg/24h avec dose de charge, excepté 3 patients. Une dose inférieure à 50 mg/kg/24h ne permettait pas d’atteindre des concentrations thérapeutiques plasmatiques 20 – 25 mg/L et cérébrales > 4 – 5 μg/mL. Les SSCLCS/SSCPL étaient supérieurs dans les ICM 0,14 ± 0,11 versus 0,08 ± 0,09 dans les IEC.

Tableau : Rapport SSC/CMI dans le LCS sur des Staphylocoques à des CMI de 2 et 4 mg/L

SSC / CMI (médiane± SD) Efficacité (%)

CMI 2 mg/L 26 ± 21 0% (n = 0)

CMI 4 mg/L 13 ± 11 0% (n = 0)

Aucun patient n’atteignait les objectifs théoriques d’efficacité PK – PD dans le LCS. Nos résultats confirment la faible diffusion de la vancomycine dans le LCS ainsi qu’une efficacité théorique nulle contre les Staphylocoques. Devant ces objectifs PK – PD jamais atteints et une fenêtre thérapeutique très étroite, l’indication de la vancomycine en traitement probabiliste dans les ICM est à réévaluer.

Introduction : Les infections cérébro-méningées (ICM) associées aux soins nécessitent une antibiothérapie efficace dont la diffusion est restreinte par les barrières physiologiques cérébrales. L'incidence croissante et la mortalité élevée des infections à bacilles à Gram négatif (BGN) résistantes dont le Pseudomonas aeruginosa impliquent une optimisation du traitement probabiliste. Cette étude vise à évaluer la distribution et la PD théorique du Céfépime dans le LCS chez des patients de neuro-réanimation.

Méthode : L'étude prospective multicentrique PKpopLCR (NCT03481569) a permis d'inclure 29 patients cérébro-lésés (médiane d'âge 61 ans) porteurs d'une DVE et traités par Céfépime pour une ICM ou extra-cérébrale (IEC). Des échantillons de plasmas et de LCS étaient collectés à différents temps selon le régime d'administration : continue (AC) pour 25 patients, intermittente (AI) pour 4 patients. L'analyse était réalisée par LCMS-MS et la concentration libre plasmatique (Clp) calculée selon la fixation protéique (@20%). Une analyse non compartimentale permettait le calcul des rapports des concentrations à l'équilibre dans le LCS (CLCS) et le plasma (CLCS/Clp) pour l'AC et des surfaces sous courbe (SSCLCS /SSClp) pour l'AI. Le paramètre PD était le temps du Céfépime dans le LCS au-dessus de la CMI (objectif 100% pour TLCS > CMI). Des CMI de 1, 2 et 4 mg/L étaient retenues afin de cibler les CMI du P. aeruginosa (S<0,001 mg/L, R>8mg/L) et des entérobactéries (S<1mg/L, R>4mg/L).

Résultats : A l'état d'équilibre, le rapport CLCS/Clp était de 0,18 +/- 0,10 et le rapport SSCLCS / SSClp était de 0,14 +/- 0,09. Les patients avec ICM avaient un rapport CLCS/Clp à 0,25 +/- 0,06 et SSCLCS /SSClp à 0,30 versus 0,17 +/- 0,10 et 0,08 +/- 0,02 en cas d'IEC, respectivement.

Les TLCS > CMI sont présentés ci-dessous :

____________:___AC : TLCS > CMI________AI : TLCS > CMI

CMI = 1 mg/L_:____93% +/- 20%___________99 +/- 3%

CMI = 2 mg/L_:____76 +/- 38% ____________67 +/- 38%

CMI = 4 mg/L_:____54 +/- 44 %____________32 +/- 47%

L'encéphalopathie au Céfépime était décrite pour 3 patients dont 2 qui présentaient une concentration cérébrale élevée.

Discussion et Conclusion : La diffusion du Céfépime dans le LCS présente une forte variabilité inter-individuelle entre moins de 10% et plus de 30% selon les patients. Une ICM augmente la diffusion dans le LCS. Le TLCS > CMI n'atteint pas l'objectif PD pour le P. aeruginosa et les entérobactéries avec le Céfépime aux doses recommandées lorsque les CMI sont > 2 mg/L. En cas de traitement probabiliste d'une ICM, une augmentation des posologies pour une concentration cérébrale optimale serait nécessaire. Cependant, la neurotoxicité du Céfépime, largement rapportée dans la littérature, limite cette adaptation posologique.

Ce mémoire expérimente l’impact des arts plastiques, de l’écriture et de la musique en art-thérapie via une étude de cas de trois enfants de 8 à 12 ans, souffrant d’un manque atten-tionnel, de concentration et d’estime de soi. Notre étude soutient notre hypothèse qu’en favori-sant des activités art-thérapeutiques au plus près de leurs aspirations, les jeunes enfants éprou-vent un meilleur ressenti et in facto, mobilisent mieux leur attention et leur concentration dans leurs créations. Par conséquent, celles-ci donnent un résultat satisfaisant pour les enfants qui en sont fiers et in fine, accroissent leur estime de soi. Dès lors, nous pouvons conclure que les arts plastiques, l’écriture et la musique sont toutes d’importance égale en art-thérapie. Ces média sont à la fois efficaces et complémentaires, et crédibilisent hautement l’art-thérapie comme ac-compagnement des personnes en difficultés.

Les patients hospitalisés en Lits Identifiés Soins Palliatifs pour une pathologie oncologique incurable sont affectés par des souffrances multidimensionnelles et interconnectées. L’une d’elle concerne la souffrance psychique, se manifestant notamment par des signes d’anxiété, de dépression et d’angoisse de mort. La confrontation à la fin de vie provoque un manque d’envie et une difficulté à éprouver encore du plaisir. L’identité des patients se trouve impactée au travers de leur isolement, leur passivité et l’altération de l’image de soi. Face à ces difficultés majeures, la littérature scientifique démontre l’action bénéfique de l’art-thérapie dans le soulagement de la détresse psychologique des malades. Notre étude témoigne de l’importance de l’apport de nouveauté au regard d’un besoin de croissance préservé, de l’efficacité de l’effet de surprise dans le maintien de l’engagement et du rôle thérapeutique majeur de l’écoute et de l’attention prodiguées. Bien que le soulagement s’observe principalement durant la séance, il n’en reste pas moins essentiel pour détourner de la douleur et pour apporter apaisement et satisfaction. En replaçant le patient dans une position active et en répondant de manière personnalisée à ses goûts et besoins, le soin art-thérapeutique veille à apporter du mieux-être au patient aussi longtemps que possible.

On estime à 850 millions le nombre de personnes atteintes de maladies rénales chroniques dans le monde. En France, d’après la Haute Autorité de Santé, 6 millions de personnes seraient touchées et parmi elles, 3 millions souffriraient d’insuffisance rénale chronique. On dit de cette maladie qu’elle est silencieuse car elle est indolore et asymptomatique jusqu’à un stade avancé, ce qui la rend particulièrement dangereuse et sous-diagnostiquée. Lorsque le stade terminal est atteint, il est nécessaire de recourir à des traitements de suppléance – dialyse ou transplantation - car les reins, vitaux, ne peuvent plus assurer leurs fonctions et la vie du patient est menacée. La qualité de vie des patients touchés par l’insuffisance rénale chronique terminale -environ 100 000 en France- est profondément altérée. Soumis à de nombreuses contraintes, ils s’isolent, perdent confiance, et nombreux sont ceux qui rencontrent des souffrances psychologiques pouvant aller jusqu’au développement de troubles anxieux et dépressifs. Notre étude, effectuée au sein de l’Association pour le Développement de l’Autodialyse en Charente-Maritime vise à démontrer que l’art-thérapie avec le médium arts plastiques, peut soulager les patients dans leurs difficultés face à la maladie, améliorer leur qualité de vie et les amener à retrouver un élan vital. Grâce à la description du parcours de deux patients, nous montrerons que l’art-thérapie a toute sa place en tant que soin de support, dans une approche pluridisciplinaire de la prise en charge du patient souffrant d’insuffisance rénale chronique terminale, qu’il soit dialysé ou en attente de greffe.

La peau, organe complexe et crucial, requiert une attention particulière pour préserver ses fonctions et son intégrité. Elle joue un rôle essentiel en tant que barrière protectrice et est impliquée dans diverses fonctions physiologiques, telles que la cicatrisation, la thermorégulation, les fonctions métaboliques et sensorielles, et intervient dans les interactions sociales.

Cependant, de nombreuses pathologies peuvent perturber son équilibre et entraîner des conséquences significatives. Dans cette thèse, j'ai choisi de présenter les pathologies, qui selon moi, sont les plus fréquentes en Pharmacie d'Officine, notamment les affections inflammatoires comme la dermatite atopique, le psoriasis, la rosacée et l'acné, ainsi que les infections telles que la varicelle, le zona, l'herpès et les candidoses.

Il est crucial que le pharmacien dispose de compétences solides en dermatologie pour accompagner efficacement les patients dans la prise en charge de leurs pathologies cutanées, qui peuvent avoir un impact important sur leur qualité de vie.

En tant qu'expert en médicaments et en produits de santé, le pharmacien joue un rôle clé dans l'entretien et la protection de la peau, en adaptant les conseils et les produits aux besoins spécifiques de chaque individu.

La babésiose canine est une maladie due à des parasites protozoaires du genre Babesia, transmis par certaines espèces de tiques dures. Plusieurs espèces de Babesia peuvent être responsables de babésiose canine, chaque espèce ayant des caractéristiques qui lui sont propres, notamment en termes d’espèces de tiques vectrices, de distribution géographique ou de potentiel pathogène. La babésiose canine est une parasitose cosmopolite, dont la répartition est fortement corrélée à la dynamique de distribution des vecteurs. Le diagnostic de l’espèce de Babesia impliquée dans l’infection est essentiel, en effet, il permet de déterminer la stratégie thérapeutique à mettre en place chez le chien. La prophylaxie de la babésiose repose principalement sur la lutte contre l’infestation des chiens par les tiques. Une chimioprophylaxie peut être également réalisée pour des chiens immunodéprimés en zones endémiques. Un vaccin existe, cependant il possède une efficacité variable et n’empêche pas l’invasion parasitaire chez le chien.

D. immitis est un parasite nématode responsable de la dirofilariose cardio-pulmonaire canine, nommée « maladie des vers du coeur ». Sa transmission aux chiens s’effectue par piqûre de certaines espèces de moustiques. C’est une pathologie cosmopolite, dont la répartition est influencée par un certain nombre de facteurs, notamment par la dynamique de distribution des vecteurs Culicidés. Les signes cliniques sont principalement causés par la localisation des vers de D. immitis au niveau des artères pulmonaires du chien. L’évolution clinique est progressive, et est susceptible d’aboutir au décès du chien par détresse respiratoire. La prophylaxie repose principalement sur la lutte contre les moustiques vecteurs, éventuellement en association à la chimioprophylaxie à base de lactone macrocyclique au sein des zones endémiques. Le traitement repose sur l’utilisation de molécules comme la mélarsomine, présentant des effets indésirables majeurs. Les mesures prophylactiques sont donc particulièrement recommandées.

Ces deux maladies canines à transmission vectorielle sont émergentes. Les vecteurs étant sensibles aux conditions climatiques, le réchauffement climatique influence la distribution des populations de vecteurs et favorise par conséquent l’expansion des agents étiologiques de ces deux maladies canines à transmission vectorielle.

Dans ce contexte, le rôle du pharmacien dans la lutte antivectorielle chez le chien, en tant qu’ayant-droit du médicament vétérinaire, sera probablement amené à se renforcer. Son expertise dans ce domaine, sa connaissance du système de pharmacovigilance vétérinaire, ainsi que sa proximité avec les propriétaires de chien(s) sont des éléments légitimant et valorisant sa place dans la lutte antivectorielle chez le chien.

La loi du 28 décembre 2015 reconnaît les onze millions de français qui accompagnent leurs proches au quotidien. Même si tous ne se reconnaissent pas comme tels, ils sont un enjeu pour notre système de santé qui sans eux, serait encore plus en difficulté et pour notre société qui est vieillissante.

Des dispositifs institutionnels, associatifs sont mis en place, des actions, des journées nationales leur sont consacrées car la question de leur santé est elle-même un enjeu, au même titre que celle des personnes aidées.

Les aidants ont besoin de répit mais doivent bien souvent franchir de nombreux obstacles pour y accéder. L’art-thérapie, soin par l’utilisation d’une ou plusieurs techniques artistiques et par les effets du processus de création peut être une des solutions de répit. Elle peut, comme le montre cette étude augmenter la capabilité de santé des aidants, à savoir, leurs permettre de trouver des ressources qui génèrent un mieux-être, modifiant ainsi leur conception de leur rôle en trouvant des leviers pour prendre soin d’eux et vivre, sans culpabilité.

La communauté 360 qui oeuvre pour des solutions adaptées, innovantes en faveur des aidants a accueilli le projet art-thérapeutique à médiations arts-plastiques et écritures pour des aidantes qui sollicitaient des solutions de répit différentes de celles proposées habituellement.

Cette étude montre les effets de l’art-thérapie sur deux aidantes et ouvrent des perspectives quant à l’intégration de l’art-thérapie, d’une part, dans les offres de répit proposées par la communauté 360 puis nous l’espérons tout d’abord à l’échelle départementale et in fine nationale.