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Dernières soutenances

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4185 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 31 à 40
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  • La prise en charge thérapeutique de l'asthme chez le sportif de haut niveau et ses contraintes    - Tresarrieu-besincq Thomas  -  22 novembre 2024  - Thèse d'exercice

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    La physiologie de l'asthme demeure bien connue et bien documentée.

    Parmi les patients asthmatiques, certains, sportifs de haut niveau, entrent sous le coup d'une législation bien spécifique. Celle-ci autorise certaines substances et en interdit d'autres partiellement sous conditions ou totalement.

    Les traitements sont multiples et les patients sportifs sont traités aussi efficacement que les autres. Le but étant d'allier un traitement optimal et les différentes règles et législations afin d'obtenir le contrôle optimal de la maladie.

    Des contrôles servent à vérifier le bon usage des ces thérapeutiques. Ces seuils sont définis par différentes études et sont propres à chaque molécule.

    Malgré le manque de connaissances et la mauvaise utilisation des traitements, les sportifs demeurent responsables de toute substance présente dans leur organisme. L'éducation thérapeutique est donc une composante primordiale de la prise en charge de l'asthme.

  • Dépistage de la scoliose idiopathique de l'enfant et de l'adolescent : Étude des pratiques des médecins généralistes de l'ancienne région Poitou-Charentes    - Noyer Camille  -  14 novembre 2024  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La scoliose est une déformation tridimensionnelle du rachis, définie par un angle de Cobb supérieur à 10° sur une radiographie du rachis entier. Environ 80% des scolioses sont d'origine idiopathique. Elles apparaissent et évoluent au cours de l'enfance, avec un risque d'aggravation au cours de la puberté. Le médecin généraliste joue un rôle important dans le dépistage précoce et le suivi afin de limiter les complications fonctionnelles, esthétiques et psychologiques impactant la qualité de vie des patients.

    Objectif : L'objectif principal de cette étude est de décrire et analyser les pratiques des médecins généralistes de l'ancienne région Poitou-Charentes concernant le dépistage de la scoliose idiopathique chez les enfants et les adolescents.

    Matériel et méthodes : Il s'agit d'une étude observationnelle descriptive, menée à partir d'un auto-questionnaire anonyme, diffusé par courriel aux différents CDOM de l'ancienne région Poitou-Charentes, ainsi qu'à certains MSU.

    Résultats : Parmi les 40 médecins généralistes ayant répondu à notre étude, 57,5% ont exprimé un inconfort dans la gestion de la scoliose idiopathique. Malgré cela, 77,5% effectuaient systématiquement le dépistage chez tous les enfants et adolescents vus en consultation. Ils le débutaient le plus souvent entre 6 et 8 ans et le poursuivaient jusqu'à un âge compris entre 16 et 18 ans. Bien que tous les médecins recherchaient la présence d'une gibbosité, seulement 2,5% utilisaient un scoliomètre lors de l'examen physique. En terme d'imagerie, 62,5% privilégiaient le « télérachis », tandis que 47,5% mentionnaient le système EOS. Concernant le suivi, 70% assuraient un suivi régulier tous les 4 à 6 mois et la majorité des médecins adressaient les patients à un chirurgien orthopédiste. Enfin, 90% des médecins ont exprimé un intérêt à mettre à jour leurs connaissances sur le diagnostic, la prise en charge et le suivi de la scoliose idiopathique de l'enfant et de l'adolescent.

    Conclusion : Le dépistage de la scoliose est globalement bien réalisé, mais des améliorations dans les connaissances et la formation des médecins généralistes seraient intéressantes pour permettre un dépistage et une prise en charge optimale des patients scoliotiques.

  • Arrêts de travail de longue durée : Connaissance des acteurs, difficultés de prise en charge et attentes des médecins généralistes des Deux-Sèvres    - Grand-Jean Jérémy  -  14 novembre 2024  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Les arrêts de travail de longue durée sont vecteurs de plusieurs problématiques connues. Ils représentent un facteur de risque majeur de désinsertion professionnelle, avec une perte de 50% de chance de retrouver son emploi ou un emploi au décours de l'arrêt. D'autre part, ils constituent une problématique financière avec une augmentation constante des dépenses d'indemnités journalières en rapport avec une durée moyenne des arrêts de travail de plus en plus longue (21,4 jours en moyenne en 2021). Enfin, la communication entre les différents acteurs est difficile dans la prise en charge de ces patients. Des études auprès de médecins généralistes d'autres départements montrent un manque de connaissance de ces acteurs et de leur rôle.

    Objectifs : Réaliser un état des lieux de la connaissance des acteurs, des difficultés de prise en charge des patients en arrêt de travail de longue durée et des axes d'améliorations auprès des médecins généralistes des Deux-Sèvres.

    Matériel et méthodes : Analyse descriptive quantitative avec un questionnaire anonyme diffusé par le Conseil de l'Ordre des Médecins du 79 et de la CPTS du Niortais, par mail, aux médecins généralistes des Deux-Sèvres.

    Résultats : 74 médecins en répondu au moins partiellement au questionnaire. Les médecins de l'étude ont un exercice majoritairement libéral avec une durée d'installation supérieure à 5 ans pour la majorité d'entre eux. Les trois principales difficultés notées par les médecins généralistes sont le manque de temps, la charge administrative et la difficulté de communication avec les acteurs médicaux et sociaux. La communication est surtout difficile avec le médecin du travail, même si les patients sont adressés rapidement par les médecins généralistes de l'étude. La qualité de la coordination est jugée insuffisante. Quant à la connaissance des différents acteurs sociaux, elle est faible, avec en moyenne un seul acteur cité, et une très faible sollicitation de ceux-ci. Les médecins de l'étude sont en faveur d'une plateforme de coordination via Amelipro pour améliorer la communication entre les acteurs et la prise en charge de ces patients.

    Conclusion : Les résultats concordent avec ceux d'études précédentes. La connaissance des acteurs de prévention de la désinsertion professionnelle est faible et ceux-ci sont peu sollicités. Elle doit être améliorée afin d'anticiper la prise en charge. Ce thème pourrait notamment être abordé lors des sessions de formation médicale continue. La coordination de la prise en charge doit aussi être améliorée et fait l'objet d'un axe d'étude du PRST 4 Nouvelle-Aquitaine. L'idée d'une plateforme de coordination via Amelipro où le médecin généraliste, le médecin du travail et le médecin-conseil pourraient communiquer à propos de la prise en charge d'un patient est à explorer.

  • État des lieux de la primo-prescription de traitement hormonal substitutif féminisant pour les personnes transgenres, par les médecins généralistes dans le Poitou-Charentes    - Soussi Jihane  -  07 novembre 2024  - Thèse d'exercice

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    La primo-prescription d'un traitement hormonal substitutif (THS) féminisant pour les personnes transgenres est accessible aux médecins généralistes (MG) mais encore trop peu réalisée. Nous voulons faire un état des lieux de cette primo-prescription dans la région Poitou-Charentes et identifier les éventuels freins à celle-ci.

    Matériel et Méthode : Nous avons réalisé une étude transversale, observationnelle, descriptive et quantitative en interrogeant à l'aide d'un questionnaire un échantillon de médecins généralistes du Poitou-Charentes. 272 questionnaires ont été envoyés entre le 5 février et le 30 juin 2024 et 104 questionnaires complets ont finalement été analysés.

    Résultats : Le taux de réponse est de 76.5 %. 92.3 % des MG interrogés refusent de réaliser la primo-prescription de THS féminisant. Le principal frein identifié, à 76 %, est le manque de formation, puis le sentiment de manque de légitimité, 15,4 %.

    Conclusion : Les MG du Poitou-Charentes refusent en grande majorité d'initier un THS féminisant. Ces résultats sont cohérents avec la littérature actuelle bien que non significatifs. Une formation spécifique est nécessaire dès le début des études de médecine et doit se poursuivre pendant la formation continue. Des nouvelles recommandations de bonnes pratiques sont en cours de rédaction par la Haute autorité de santé afin de mieux encadrer cette primo prescription et permettre d'accompagner les MG qui voudraient s'impliquer.

  • Le Bilan Partagé de Médication à l’échelle locale    - Hernandez Justine  -  05 novembre 2024  - Thèse d'exercice

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    L’intérêt de cette thèse était d’évaluer le développement des bilans partagés de médication à l’échelle locale. Ces nouveaux entretiens lancés en 2018 s’intéressent aux patients à partir de 65 ans avec un traitement chronique de plus 6 mois comprenant au moins 5 molécules actives.

    Les bilans se décomposent en différents entretiens permettant de recueillir les informations concernant le patient ainsi que son traitement, d’en faire l’analyse puis de faire un retour au patient afin de lui apporter les conseils dont il a besoin. J’ai voulu faire ma propre expérience afin de me rendre compte des différentes difficultés que l’on pouvait rencontrer dans la mise en place et la réalisation de ces bilans. Les différents freins rencontrés commencent dès le recrutement et se poursuivent durant les différentes étapes des bilans partagés de médication.

    L’intérêt des patients et des pharmaciens pour cette nouvelle mission est positif et encourageant permettant de rester motivé à développer ces bilans et de trouver des solutions pour simplifier la mise en place ainsi que la réalisation de ces derniers.

  • Les stéréotypes des médecins généralistes relatifs à leurs patients sur l'éducation à la santé environnementale    - Nunes Marie  -  05 novembre 2024  - Thèse d'exercice


  • Etude qualitative sur les représentations des freins au signalement des cas de maltraitance infantile par les médecins généralistes    - Siaudeau Mathilde  -  31 octobre 2024  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La maltraitance infantile est un problème majeur de santé publique. Les médecins généralistes jouent un rôle essentiel dans le dépistage précoce et le signalement des cas de maltraitance, mais ils rencontrent de nombreux obstacles.

    Objectif : Identifier les freins ressentis par les médecins généralistes des départements de la Vienne et des Deux-Sèvres dans le signalement des situations de maltraitance infantile suspectées.

    Méthodes : Une étude qualitative a été réalisée à partir d'entretiens semi-dirigés menés auprès de neuf médecins généralistes de la Vienne et des Deux-Sèvres. Les données ont été analysées selon l'approche de la théorisation ancrée.

    Résultats : Les principaux freins identifiés sont d'ordre relationnel avec la peur de conflits avec les familles ou de nuire au suivi médical de l'enfant ; d'ordre juridique avec les craintes liées aux conséquences juridiques du signalement ; et liés à leur pratique, notamment avec un manque de communication avec les autres professionnels de la protection de l'enfance, une charge de travail trop importante et une formation insuffisante sur les démarches administratives. Malgré ces difficultés, les médecins reconnaissent l'importance de leur rôle dans la protection des enfants à risque et soulignent le besoin de soutien et de collaboration interprofessionnelle.

    Conclusion : Améliorer la formation et le soutien des médecins généralistes, renforcer la communication entre professionnels et simplifier les procédures de signalement sont des actions essentielles pour lever ces obstacles et garantir une meilleure protection des enfants en danger.

  • Syndrome néphrotique secondaire aux glomérulonéphrites extra-membraneuses, lésions glomérulaires minimes ou hyalinoses segmentaires et focales au cours des hémopathies plasmocytaires et lymphocytaires B : étude de 16 cas    - Lieurain David  -  30 octobre 2024  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Les complications rénales des hémopathies plasmocytaires et lymphocytaires B sont fréquentes. Elles sont liées à 2 mécanismes principaux : masse tumorale ou toxicité rénale de l'immunoglobuline monoclonale sécrétée. D'autres néphropathies peuvent être observées, comme les lésions glomérulaires mimines, la hyalinose segmentaire et focale ou la glomérulonéphrite extra-membraneuse, dont le mécanisme paranéoplasique est suspecté. L'objectif de l'étude est de décrire chez ces patients les caractéristiques cliniques, immuno-hématologiques, anatomopathologiques, ainsi que la stratégie thérapeutique et l'évolution après traitement.

    Matériel et méthodes : Il s'agit d'une étude rétrospective, multicentrique, ayant inclus 8 patients dans le groupe « GEM » et 8 patients dans le groupe « LGM/HSFi ». Les critères d'inclusion étaient le diagnostic d'un syndrome néphrotique par GEM, LGM ou HSFi et le diagnostic d'une hémopathie lymphoplasmocytaire par mise en évidence d'un composant monoclonal sérique ou urinaire, par analyse du myélogramme ou par analyse anatomopathologique.

    Résultats : Les données clinico-biologiques au diagnostic étaient comparables entre les 2 groupes, hormis la créatininémie, qui était significativement plus élevée (p=0,05) dans le groupe LGM/HSFi. 50% des patients avaient une histoire de maladie dysimmunitaire, connues ou apparues au cours du suivi. Trois patients (20%) ont évolué vers l'insuffisance rénale terminale. Toutes lignes de traitement confondues, les patients présentaient significativement moins de rechute rénale après une chimiothérapie ciblant le clone (p=0,047) et en cas de réponse hématologique associée (partielle, VGPR ou complète) (p = 0,047).

    Discussion : Cette étude suggère fortement un lien paranéoplasique entre glomérulopathie par GEM/LGM/HSFi et hémopathies lymphoplasmocytaires. La présence d'un infiltrat interstitiel tumoral pourrait être un facteur prédisposant, tout comme l'existence d'un terrain auto-immun/dysimmunitaire. Les mécanismes de ces néphropathies paranéoplasiques restent indéterminés, complexes et multifactoriels. La stratégie thérapeutique la plus efficace semble être l'administration d'une chimiothérapie ciblant le clone.

    Conclusion : Notre étude confirme le lien entre hémopathies lymphoplasmocytaires et glomérulopathie par GEM, LGM ou HSFi et suggère fortement l'intérêt d'un traitement du clone dans ces situations. Les mécanismes restent en grande partie incompris et pourraient faire l'objet d'études ultérieures.

  • Étude des IVG réalisées entre 14 et 16 SA en Ile-de-France, dans l'année suivant l'allongement du délai légal à 16 SA : complications immédiates et place des médecins généralistes    - Vermeulen Ines  -  29 octobre 2024  - Thèse d'exercice

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    Objectifs. - Comparer le taux de complications majeures et mineures des IVG réalisées entre 14 et 16 SA par rapport à celles réalisées entre 12 et 14 SA. Décrire les patientes ayant réalisé une IVG entre 14 et 16 SA. Décrire les professionnels de santé qui se sont lancés cette pratique suite à la loi du 2 mars 2022, et en particulier les médecins généralistes.

    Matériel et méthodes. - Étude rétrospective multicentrique portant sur les centres d'IVG de l'AP-HP dans lesquels des médecins généralistes ont réalisé des IVG entre 14 et 16 SA, entre le 02/03/2022 et le 02/03/2023 : comparaison des IVG effectuées entre 14 et 16 SA à un nombre équivalent d'IVG entre 12 et 14 SA.

    Résultats. - 157 IVG entre 14 et 16 SA ont été inclues. La comparaison à 157 IVG entre 12 et 14 SA n'a pas montré de différence significative en termes de complications majeures (0,6% pour les IVG du groupe 14-16 SA et 1,3% pour celles du groupe 12-14 SA, p = 0,562). Un taux de complications mineures significativement supérieur a été retrouvé pour les IVG entre 12 et 14 SA (8,3% vs 2,5%, p = 0,022). Cela concernait en particulier le taux d'hémorragie entre 500mL et 1L sans nécessité de transfusion. 87,9% des IVG entre 14 et 16 SA ont été réalisées par des médecins généralistes, contre 65,2% des IVG entre 12 et 14 SA (p=0,00001). Ce sont les médecins généralistes les plus expérimentés qui se sont lancés dans cette pratique. Il n'y avait pas de différence significative entre les deux groupes en termes de taux de femmes mineures, nombre d'antécédents d'IVG, couverture sociale, situation professionnelle, et fréquence des violences.

    Conclusion. - Les professionnels de santé peuvent être rassurés quant au risque de complications majeures et mineures pour la réalisation d'IVG entre 14 et 16 SA. Il ne semble pas y avoir de surrisque de complications si les IVG entre 14 et 16 SA sont réalisées par des médecins généralistes. L'expérience de l'opérateur semble jouer sur le risque de complications. Les patientes réalisant des IVG entre 14 et 16 SA ne semblent pas plus vulnérables que celles réalisant une IVG entre 12 et 14 SA.

  • OPPIDUM (Observation des Produits Psychotropes Illicites ou Détournés de leur Utilisation Médicamenteuse). État des lieux de la consommation de substances psychoactives dans l’ex-Poitou-Charentes et l’ex-Limousin en 2022    - Thibault Delphine  -  29 octobre 2024  - Thèse d'exercice

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    L’enquête OPPIDUM (Observation des Produits Psychotropes Illicites ou Détournés de leur Utilisation Médicamenteuse) est une enquête pharmaco-épidémiologique, transversale,nationale et annuelle. Elle est mise en place par l’ANSM et organisée au niveau régional parles CEIP. Le questionnaire OPPIDUM est soumis à chaque patient traité sous TSO, ou présentant une pharmacodépendance ou un abus à une substance psychoactive, et se présentant en structure de soins spécialisés en addictologie durant la période de l’enquête.

    Cette enquête est un dispositif de pharmaco-surveillance et de veille sanitaire sur les substances psychoactives. Elle permet d’établir un suivi des modalités de consommation des substances psychoactives licites et illicites en France métropolitaine.

    Au cours de cette thèse, nous nous intéressons aux résultats de l’enquête OPPIDUM réalisée par le CEIP de Poitiers en 2022. L’enquête a été effectuée auprès des CSAPA et CAARUD de l’ancienne région Poitou-Charentes et de l’ex-Limousin. Les résultats de l’enquête OPPIDUM 2022 ont permis de mettre en avant les principales substances psychoactives illicites retrouvées dans la région : le cannabis, la cocaïne et l’héroïne. Les principales substances psychoactives médicamenteuses faisant l’objet d’abus ou de détournement sont les benzodiazépines et les antalgiques opioïdes. En comparant les résultats de 2022 avec ceux des années précédentes, on note une diminution de la part des sujets suivant un protocole de substitution, la méthadone restant majoritairement consommée. On note également un recul concernant la connaissance et l’accès à la naloxone. Enfin, le principal fait marquant de cette année 2022 est l’apparition de la 3-MMC en ex-Poitou-Charentes et ex-Limousin. Cette substance sévit déjà en France depuis quelques années, mais n’avait pas encore été recensée dans cette région.

    Cet ouvrage permet de résumer les données que le pharmacien doit avoir en sa possession concernant les modalités de consommation des principales substances psychoactives retrouvées en ex-Poitou-Charentes et en ex-Limousin, afin d’adapter au mieux son conseil à l’officine et d’être vigilant concernant les substances faisant l’objet d’abus et de détournement.

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