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Dernières soutenances

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  • Etat des lieux de l'informatisation des cabinets de médecine générale dans la Vienne    - Torzini Vincent  -  27 juin 2019  - Thèse d'exercice

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    Depuis une décennie, nous assistons à une informatisation globale de notre société y compris dans le milieu médical. L’objectif de cette étude est de faire un état des lieux de l’informatisation des cabinets de médecine générale dans la Vienne. Cette étude a été réalisée par sondage quantitatif dématérialisé auprès des médecins généralistes de la Vienne. L’attention a été portée sur l’utilisation des fonctionnalités, la communication informatique médicale, les limites de l’informatisation, le Dossier Médical Partagé et la télémédecine.

    96% des médecins de l’échantillon utilisent l’informatique au sein de leur cabinet. Le matériel informatique est cependant peu renouvelé. Plus de 75% des praticiens utilisent les fonctionnalités informatiques sauf les aides médicales et les fiches patients. Les principales limites sont le manque de temps, d’autres habitudes d’exercice ou une formation insuffisante. Moins d’un tiers des médecins communiquent professionnellement par courriel alors que 92% d’entre eux possèdent une messagerie sécurisée. L’usage principal de ces messageries restant la réception de compte-rendu et de biologies. Les limites d’utilisation sont la méfiance envers la sécurisation des données et le secret professionnel. L’usage de la télémédecine et du Dossier Médical Partagé ne fait actuellement pas consensus. Moins de la moitié des médecins affirment être prêt à utiliser ces nouvelles modalités d’exercice.

    L’informatisation des cabinets de médecine générale dans la Vienne est totale. Cette étude montre que les fonctionnalités informatiques créées de longue date sont bien usitées. Il n’est pas possible de généraliser ce résultat pour les fonctionnalités nouvelles. Face à l’évolution de l’informatique et des sociétés, les médecins devront faire un choix : accompagner les mutations pour les façonner à leurs usages ou subir ces mutations et se voir priver de leurs libres arbitres.

  • Modifications de la place du bureau en consultation : point de vue des médecins généralistes    - Colas Clémentine  -  27 juin 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le bureau du médecin généraliste est l'antre du colloque singulier entre les médecins et les patients. Les patients tout comme les médecins recherchent un relationnel de qualité. L'objectif de cette étude était de connaitre les raisons des médecins généralistes de modifier la place de leur bureau et d'évaluer les avantages et les inconvénients de cette disposition.

    Matériel et Méthodes : cette étude qualitative a interrogé des médecins généralistes lors d'entretiens semi-directifs. Le guide d'entretien a abordé leurs objectifs, les avantages et les inconvénients de cette disposition. L'analyse et le codage ont été effectués à l'aide du logiciel NVIVO (par 2 investigateurs).

    Résultats : 14 médecins ont été interrogés entre mars et avril 2019. La relation médecin-malade leur apparait améliorée par cette disposition grâce à une meilleure communication. Les médecins sont plus proches du malade et la distance entre les deux est facilement modulable. La pédagogie des patients semble plus performante.

    Discussion : l'abolition de la barrière du bureau entraine une relation moins asymétrique et favorise la relation de partenariat. La proximité et la distance modulable favorisent la parole du patient, son éducation et permettent une meilleure communication non verbale. Le patient est encouragé comme acteur de sa santé et est placé au centre de la consultation. La disposition modulable permet également de s'adapter plus facilement aux différentes cultures des patients.

    Conclusion : La disposition non conventionnelle du bureau est un atout pour améliorer la communication et la relation médecin-malade.

  • Modifications de la place du bureau en consultation : point de vue des médecins généralistes    - Colas Clémentine  -  27 juin 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le bureau du médecin généraliste est l'antre du colloque singulier entre les médecins et les patients. Les patients tout comme les médecins recherchent un relationnel de qualité. L'objectif de cette étude était de connaitre les raisons des médecins généralistes de modifier la place de leur bureau et d'évaluer les avantages et les inconvénients de cette disposition. Matériel et Méthodes : cette étude qualitative a interrogé des médecins généralistes lors d'entretiens semi-directifs. Le guide d'entretien a abordé leurs objectifs, les avantages et les inconvénients de cette disposition. L'analyse et le codage ont été effectués à l'aide du logiciel NVIVO (par 2 investigateurs). Résultats : 14 médecins ont été interrogés entre mars et avril 2019. La relation médecin-malade leur apparait améliorée par cette disposition grâce à une meilleure communication. Les médecins sont plus proches du malade et la distance entre les deux est facilement modulable. La pédagogie des patients semble plus performante. Discussion : l'abolition de la barrière du bureau entraine une relation moins asymétrique et favorise la relation de partenariat. La proximité et la distance modulable favorisent la parole du patient, son éducation et permettent une meilleure communication non verbale. Le patient est encouragé comme acteur de sa santé et est placé au centre de la consultation. La disposition modulable permet également de s'adapter plus facilement aux différentes cultures des patients. Conclusion : La disposition non conventionnelle du bureau est un atout pour améliorer la communication et la relation médecin-malade.

  • Elaboration et début de validation d’une échelle de dépistage rapide des troubles du langage en phase aigüe des accidents vasculaires cérébraux hémisphériques droits : R-LAST    - Chauveau Salome  -  25 juin 2019

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    L’aphasie croisée atypique se définit comme une aphasie survenant dans le cadre d’un accident vasculaire hémisphérique droit. Contrairement à l’aphasie croisée miroir, elle ne mime pas une aphasie hémisphérique gauche. La prévalence de l’aphasie atypique ne fait pas consensus dans la littérature, en raison de l’absence de test permettant d’évaluer en phase aigüe les composantes du langage qui y sont altérées. R-LAST a été élaboré pour pallier ce manque en USINV. Il permet de dépister les aphasies croisées atypiques en phase aigüe de l’AVC hémisphérique droit, et ainsi permettre aux patients dépistés, une orientation plus précoce vers de la rééducation orthophonique. R-LAST fait l’objet d’une validation interne (homogénéité des items, items plafond ou plancher), inter-examinateur (corrélation de scores cotés par deux examinateurs en double aveugle) et externe (résultats conformes à notre gold standard : la MEC-P, test orthophonique d’une durée de 30 minutes destiné au diagnostic des aphasies atypiques en phase de stabilisation de l’AVC droit). La validation interne et la validation inter-examinateur consistent en la passation du R-LAST en double aveugle à tous les patients entrant avec un AVC droit dans les USINV du Centre Hospitalier Sud-Francilien et du Centre Hospitalier de Versailles. La validation externe est réalisée lors des consultations post-AVC de patients présentant un AVC droit sans aphasie croisée miroir (score normal au LAST) et porte sur la comparaison des scores obtenus au R-LAST et à la MEC-P. Les résultats présentés sont ceux obtenus après 7 mois d’inclusion. Le temps de passation moyen du R-LAST est d’environ 3 minutes, proposant un gain de 27 minutes par rapport à la MEC-P. Nous ne notons pas d’item plancher, un possible effet plafond (cependant les inclusions ne sont qu’à 12% de l’objectif fixé), une corrélation parfaite des scores inter-examinateur, une bonne sensibilité (1/20 faux-négatif) et une bonne spécificité (1/20 faux-positif).

  • La rééducation orthophonique du trouble développemental du langage avec une approche multimodale : étude d’un cas    - Foucart Severine  -  25 juin 2019

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    Le vocabulaire employé pour caractériser et définir les troubles du langage oral a été clarifié et harmonisé sous les termes de : trouble développemental du langage (TDL), trouble du langage associé à une pathologie, difficultés de langage et trouble du développement des sons de la parole. Le diagnostic du TDL s’appuie sur le fait que plusieurs aspects du langage comme la phonologie, le lexique, soient perturbés, entraînant des répercussions au quotidien. Les prises en charge orthophoniques traditionnelles de ce trouble s’appuient sur les aspects linguistiques spécifiques mais également sur une entrée précoce dans le langage écrit. Cependant, l’être humain regroupe plusieurs sens. Après avoir fait, l’analogie avec le langage, nous allons étudier l’apport de la multimodalité dans une prise en charge orthophonique sur le langage oral et les prérequis au langage écrit. Une étude de cas a été réalisée chez un patient de grande section de maternelle ayant un trouble développemental du langage. Le protocole consiste à réaliser des tâches de conscience phonologique (maniement des syllabes et des phonèmes) ainsi que la correspondance phonème-graphème avec un support multimodal (méthode Borel-Maisonny et lettres en relief de Montessori) à travers les matériels développés pour cette étude. Des résultats positifs sont obtenus pour la discrimination phonologique et les habiletés pour le langage écrit, confirmant une des deux hypothèses. Cependant il n’y a pas de transfert sur l’articulation, possiblement en raison du temps faible d’observation et des difficultés très importantes d’expression du patient. Les conclusions confirment l’intérêt d’orienter la prise en charge orthophonique vers le multimodal.

  • État des lieux des pratiques et des besoins des professionnels de santé concernant les prises en soin des troubles de l’oralité alimentaire en groupes thérapeutiques : vers la création d’un outil d’évaluation et de suivi des groupes thérapeutiques    - Fournier Olivia  -  25 juin 2019

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    Les troubles de l’oralité résultent de l’interaction de différents facteurs. Ils peuvent provenir de difficultés concernant l’intégration sensorielle des patients, mais aussi de difficultés oro-motrices propres à chaque individu. L’environnement a également un impact et apporte une dimension comportementale à ces troubles. La prise en soin des troubles de l’oralité alimentaire en groupes thérapeutiques est pluriprofessionnelle. Elle implique différents corps de métier (orthophonistes, kinésithérapeutes, ergothérapeutes, etc.). L’objectif de ce mémoire est de dresser un état des lieux des pratiques actuelles des professionnels de santé concernant l’élaboration d’un outil d’analyse de ces groupes. Nous avons donc diffusé aux professionnels de santé français, proposant ou non un groupe thérapeutique, un questionnaire s’intéressant à leur pratique et permettant d’exprimer leurs besoins. Nos résultats démontrent un intérêt mitigé pour l’élaboration d’un outil d’analyse. Ils mettent cependant en évidence des attentes concernant un outil qualitatif et quantitatif. Ces attentes concernent également l’évaluation des participants au démarrage des groupes. La perspective éventuelle de poursuite de ce travail serait l’élaboration et le test d’un outil d’analyse des groupesthérapeutiques à la lumière de ces résultats.

  • Qualité de vie relative à la voix après pharyngo-laryngectomie totale : développement d’un questionnaire d’auto-évaluation    - Garapin Berenice  -  25 juin 2019

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    Introduction : La (pharyngo)-laryngectomie totale est préconisée chez les patients atteints de cancer du larynx. Cette opération mutilante les prive de leur voix originelle. Il leur est proposé d’apprendre à utiliser une voix de substitution. Leur handicap vocal a un impact certain sur leur qualité de vie.

    Méthode : Une analyse de la littérature a été réalisée afin de rechercher les limites des outils actuellement disponibles pour évaluer la qualité de vie relative à la voix des patients opérés de (pharyngo)-laryngectomie totale, ainsi que recueillir les plaintes formulées par ce groupe de patients.

    Résultats : le Voice Handicap Index (VHI) et le Voice-Related Quality of life (V-RQOL) ne sont pas suffisamment adaptés pour évaluer la qualité de vie relative à la voix des patients opérés de (pharyngo)-laryngectomie totale et n’ont jamais été validés auprès de ce groupe de patients, si particuliers de par leur voix alaryngée. Le recueil des plaintes liées à la voix a permis l’élaboration d’un nouvel outil d’évaluation de la qualité de vie relative à la voix : le VHI-LT.

    Discussion : Le VHI-LT est fondé sur les préoccupations réelles des patients opérés de (pharyngo)-laryngectomie totale et sa forme est semblable à celles des outils de référence connus aujourd’hui. Il est composé de 18 items ce qui le rend facile et rapide à compléter pour le patient, et à analyser pour le clinicien. Il explore de façon équilibrée les trois domaines qui renvoient à la qualité de vie, les domaines physique, fonctionnel et émotionnel. Cette étude s’appuie exclusivement sur la littérature et n’a pas encore été soumis à un groupe de patients. Un travail de validation est encore nécessaire pour montrer la pertinence du VHI-LT.

  • Étude des liens entre les difficultés de mastication et le développement langagier    - Gilles Celia  -  25 juin 2019

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    L’intérêt des orthophonistes pour les troubles de l’oralité alimentaire est grandissant. L’oralité alimentaire et l’oralité verbale partagent de nombreux points communs : elles se développent en parallèle chez le jeune enfant, utilisent des effecteurs anatomiques communs et semblent partager des structures cérébrales. La comorbidité des troubles de l’oralité alimentaire et du langage oral est observée, mais peu d’études à ce jour ont cherché à tester expérimentalement l’existence de ce lien. De plus, la mastication et la parole se caractériseraient par des cycles successifs d’oscillation mandibulaire. C’est pour ces différentes raisons que nous avons choisi de vérifier l’impact d’un trouble de la mastication sur le développement de la parole en comparant les compétences masticatoires et articulatoires chez des enfants âgés entre 2 ans ½ et 3 ans. L’objectif de cette recherche est donc d’étudier l’interaction entre l’oralité alimentaire et verbale en comparant les résultats de 8 enfants au développement typique à ceux de 3 enfants ayant des difficultés de mastication. Pour répondre à cet objectif, les compétences des enfants ont été testées à partir d’épreuves concernant la mastication d’un gâteau et d’épreuves concernant l’articulation à savoir le tableau phonétique, le débit articulatoire, la complexité des productions et les diadococinésies. Les résultats obtenus ne permettent pas d’affirmer clairement l’influence d’un trouble de l’oralité alimentaire sur l’oralité verbale. Dans notre étude, le paramètre de l’intelligibilité de la parole n’a pas été testé alors que le débit et la précision articulatoire sont liés à celle-ci. Des chercheurs ont trouvé un lien entre compétences masticatoires et l’intelligibilité de la parole. Il serait intéressant lors de futures recherches d’investiguer dans cette direction.

  • Analyse de la réhabilitation vocale par implant phonatoire chez les patients traités par (pharyngo)-laryngectomie totale    - Jobert Anais  -  25 juin 2019

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    La réhabilitation vocale des patients (pharyngo)-laryngectomisés porteurs d’un implant phonatoire concerne l’apprentissage de la voix trachéo-oesophagienne. La qualité de cette voix de substitution est d’une importance cruciale pour un accès à une communication orale optimale. La qualité de voix trachéo-oesophagienne témoigne aujourd’hui d’une grande variabilité selon les patients et leurs modalités de traitement et de prise en charge. Il était donc pertinent d’évaluer la qualité de voix trachéo-oesophagienne des patients (pharyngo)-laryngectomisés afin de rendre compte de cette hétérogénéité et des difficultés éventuelles rencontrées. Une étude rétrospective a été réalisée au sein du service ORL du CHU de Poitiers sur un échantillon de dix patients évalués à douze mois minimum de la fin de toute thérapie. Le protocole comprenait différents outils d’évaluation subjective et objective de la qualité de voix trachéo-oesophagienne. Les résultats ont mis en évidence une qualité de voix satisfaisante en termes de fonctionnalité au quotidien. Néanmoins, des difficultés persistaient, même à distance des traitements. Elles résultaient d’une atteinte physique et psychique et s’illustraient principalement par une altération du timbre vocal, une mauvaise gestion du souffle trachéal, des efforts à l’émission vocale ou encore une impossibilité à communiquer en groupe ou dans le bruit. De plus, le ressenti des patients quant à leur voix de substitution n’était pas toujours en lien avec le degré d’atteinte vocale objectivé. Ce ressenti pouvait également différer de celui de leur interlocuteur. Enfin, une variabilité de la qualité de voix trachéo-oesophagienne a pu être confirmée selon des facteurs inhérents aux patients et à leur parcours de soin. La prise en charge orthophonique du patient (pharyngo)-laryngectomisé doit tenir compte de la présence de ces difficultés sur le long terme tout en considérant la notion d’hétérogénéité qui nécessite de repartir de la plainte de chacun pour une prise en charge la mieux adaptée possible.

  • Développement des compétences phonologiques chez l’enfant implanté cochléaire    - Guilbaud Lisa  -  25 juin 2019

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    Cette étude longitudinale porte sur les compétences phonologiques chez quinze enfants sourds implantés entre 22 et 60 mois suivis à 18 mois et à 10 ans post implant. Elle a comme objectif d'analyser la proportion correcte des consonnes (PCC), des voyelles (PVC) et des groupes consonantiques (PGC) en production spontanée afin de déterminer si l'âge d'implantation et/ou le mode de communication gestuelle sont les meilleurs prédicteurs de la phonologie. Des enregistrements de la parole spontanée en situation de jeu et de narration ont été effectués puis retranscrits selon les codes du CHILDES. L'analyse phonologique des énoncés a été réalisée via le logiciel Phon pour mesurer le taux correct des consonnes, des voyelles et des groupes consonantiques. Les résultats montrent que la parole de trois enfants à 10 ans d’implantation reste marquée par de nombreuses omissions. D’autres développent un sigmatisme portant sur la consonne /s/. L’âge d’implantation précoce est un prédicteur meilleur que l’utilisation de la langue parlée complétée (LPC) sur les 3 mesures de précision phonologique. Cependant, l’évolution de la précision des consonnes est prédite par l’interaction entre ces deux facteurs (i.e. la combinaison entre âge d’implantation précoce et l’utilisation du LPC). Si ces résultats restent à discuter en raison d'une forte variabilité interindividuelle, ils permettent néanmoins d’ouvrir des perspectives cliniques orthophoniques. Des études ultérieures devront permettre de confronter ces résultats à une analyse acoustique et morphosyntaxique afin de mettre en lien les différents niveaux de la parole et de vérifier ces prédicteurs.

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