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2014

Les travaux soutenues en 2014

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284 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 31 à 40
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  • Évaluation de la formation en SASPAS par les internes de Médecine Générale de la Faculté de Poitiers    - Andrieux Marine  -  03 décembre 2014  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La Médecine Générale est considérée comme spécialité à part entière depuis 2004. Des réformes du Diplôme d'Etudes Spécialisées (DES) de Médecine Générale sont prévues par le Ministère de la Santé pour 2016, rendant le Stage Ambulatoire en Soins Primaires en Autonomie Supervisée (SASPAS) obligatoire dans le cursus de l'interne.

    Objectifs : Evaluer la satisfaction des internes de Médecine Générale quant à leur formation pendant le SASPAS.

    Matériel et Méthodes : Enquête déclarative d'opinion. Un questionnaire évaluant la formation a été envoyé au mois d'août 2014 par courriel aux internes ayant réalisé un SASPAS entre mai 2013 et mai 2014 à la faculté de Poitiers.

    Résultats : Le taux de réponses était de 65%. La formation était jugée satisfaisante par la majorité des internes. La note globale de satisfaction était supérieure ou égale à huit sur dix pour 74% des internes interrogés. Les internes ont ressenti une progression en terme d'autonomisation entre le début et la fin du stage à 71%. Les points faibles de la formation étaient la rétroaction quotidienne non systématique et les versants administratifs et comptables insuffisamment traités. Les internes étaient davantage confrontés à des consultations de pathologies aiguës programmées ou non qu'à des consultations de suivi de pathologies chroniques. Le SASPAS a conforté les internes dans leur choix de Médecine Générale à 81%.

    Discussion : Les internes sont globalement satisfaits de leur formation en SASPAS. Toutefois, des améliorations peuvent être apportées notamment sur la rétroaction quotidienne, la confrontation à certaines situations cliniques, et la formation à la comptabilité. Il est nécessaire de poursuivre les efforts visant à améliorer la formation des internes pendant ce stage professionnalisant afin qu'ils se sentent mieux préparer à exercer leur futur métier.

  • Les freins à la prescription de l'ostéopathie en médecine générale : état des lieux des connaissances et des pratiques des médecins généralistes libéraux et internes en médecine générale    - Binson Rachel  -  01 décembre 2014  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Victime d'un véritable engouement de la population, l'ostéopathie incite de plus en plus de médecins à l'utiliser. Cette étude descriptive quantitative présente les différents freins à la prescription de l'ostéopathie. Elle évalue également la place d'une (in)formation sur ce sujet chez les médecins.

    Méthode : Un questionnaire fut distribué à des médecins généralistes libéraux et des internes en médecine générale, entre mars et octobre 2014. Cette enquête testait les connaissances y compris juridiques et évaluait les pratiques de l'ostéopathie en médecine générale libérale, et le désir d'une information.

    Résultats : 59 % des internes versus 83 % des médecins généralistes étaient prescripteurs sur respectivement 871 et 305 questionnaires analysés sur la France. Les médecins ont de véritables lacunes sur l'ostéopathie, mais également sur le plan juridique. Seuls 22 % des internes et 57 % des médecins généralistes connaissent ses indications. Pourtant ils émettent tous autant de réserve à son égard, ce qui rend complexe l'étude des freins de sa prescription.
    La méconnaissance de l'ostéopathie n'est pas le seul frein à sa prescription. Ceux-ci sont complexes et intriqués.
    Le souhait des médecins d'être informé sur l'ostéopathie est unanime.

    Conclusion : Une formation sur l'ostéopathie trouverait sa place dans le cursus universitaire. Les médecins généralistes pourraient recevoir un « consensus d'information » sur ses indications en médecine générale.

  • Intoxications aux médicaments psychotropes : enquête aux urgences du centre hospitalier universitaire de Poitiers    - Borderie Lucie  -  28 novembre 2014  - Thèse d'exercice

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    La consommation de médicaments psychotropes est très répandue dans notre pays et ses conséquences, aussi bien sur le long terme que lors d’intoxications aiguës sont mal connues.

    L’objectif de cette thèse est d’étudier les intoxications aux psychotropes à travers une étude descriptive rétrospective menée aux urgences du Centre Hospitalier Universitaire de Poitiers du 1er mai au 31 aout 2012 sur 114 cas d’intoxications. Quels sont les profils des patients ? Quelles sont les circonstances des intoxications ? Quels produits sont consommés ? Quels sont les retentissements cliniques et l’évolution ?

    Tous les cas d’intoxication recensés dans cette enquête ont eu une évolution favorable. La grande majorité des intoxications est d’origine volontaire et a lieu chez des personnes fragiles (antécédents de maladie psychiatrique voire d’autres intoxications, traitement psychiatrique en cours), dans des contextes familiaux ou sociaux difficiles.

    L’enjeu est d’essayer de réduire la fréquence et la gravité de ces intoxications, d’une part en identifiant les personnes à risques, et d’autre part en contrôlant mieux la dispensation des médicaments psychotropes (en particulier les benzodiazépines qui sont les plus impliquées dans les intoxications) qui figurent parmi les médicaments les plus retrouvés dans les cas de mésusage.

  • Les erreurs médicamenteuses en Poitou-Charentes de 2007 à 2012 : intérêts d’une base régionale de signalements    - Abdallah Sarah  -  28 novembre 2014  - Thèse d'exercice

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    L’OMEDIT Poitou-Charentes a proposé aux établissements de santé une approche régionale de sensibilisation, signalement et prévention des erreurs médicamenteuses. Il a réalisé et diffusé aux établissements de santé de la région Poitou-Charentes une fiche de déclaration des erreurs médicamenteuses, créant ainsi une base de données régionale des erreurs médicamenteuses.

    Notre travail a pour objectif de mettre en avant les intérêts de cette base régionale en homogénéisant et en exploitant ces données. Cette base permet de cibler au sein des établissements de santé les étapes du circuit du médicament où s’effectuent les erreurs médicamenteuses, de pointer les types d’erreurs les plus fréquents, d’identifier les classes médicamenteuses les plus touchées et de remarquer les médicaments nécessitant une attention particulière.

  • Evaluation des connaissances des patients sur le VIH, se présentant aux urgences pour AEV sexuel    - Poirot Roosens Fanny  -  28 novembre 2014  - Thèse d'exercice

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    Objectif : Evaluer les connaissances des patients sur le VIH se présentant aux urgences pour Accident d'Exposition au VIH (AEV) sexuel, afin de mieux comprendre les mécanismes préventifs mis en place par les patients et d'élaborer ensuite une stratégie de prévention qui tienne compte de leurs représentations et de leur mode de vie.

    Matériel et méthode : Entre le 1er janvier et le 31 juillet 2014, nous avons réalisé une étude prospective observationnelle dans les services des urgences des CHU de Bordeaux et de Poitiers. Les patients inclus présentaient un risque d'AEV sexuel. Un questionnaire en trois parties a été établi. Celui-ci était remis aux patients lors de leur consultation aux urgences. Le niveau de connaissances corrélait à un score sur 20 points, obtenu par l'addition des bonnes réponses des patients au questionnaire. Nous avons également évalué la prévalence des AEV aux urgences, la prévalence de l'utilisation du préservatif et le taux de patients ayant bénéficié d'une information préventive antérieure.

    Résultats : 42 patients répondaient aux critères d'inclusion. Leur niveau global de connaissances était à 60% certain. Nous avons démontré qu'il n'y avait pas de relation significative entre le niveau de connaissances et l'âge des patients (p=0,60) ou le niveau d'étude (0,37). Nous avons pu constater une absence du port du préservatif dans 48% des cas. Nous avons établi qu'il n'y avait pas de différence significative entre l'utilisation du préservatif et l'orientation sexuelle (p=0,40), l'âge (p=0,45) ou le niveau d'étude (p=0,95). Le niveau de connaissances des patients était en adéquation avec le fait d'avoir bénéficié ou non d'une information préventive antérieure (66% des patients possédaient un niveau de connaissances certain contre 45%). Nous avons observé que le niveau de connaissances des patients était moyen lorsque l'information antérieure émanait du médecin généraliste.
    Nous avons constaté que 81% de la population était favorable à une forme de « dépistage pour tous ».

    Conclusion : Malgré une majorité de patients ayant de bonnes connaissances sur le VIH, la prévalence des AEV sexuels aux urgences reste importante. Notre étude met en évidence qu'il faut accentuer la prévention en amplifiant les campagnes d'information, en réaffirmant l'efficacité du port du préservatif, en intensifiant le dépistage et en sensibilisant davantage les médecins généralistes d'une possible exposition au VIH de leurs patients.

  • Les corticoïdes réduisent-ils la chute débutante des plaquettes au cours de la prééclampsie ? Résultats de l'étude PRETTY    - Dorey Marie  -  28 novembre 2014  - Thèse d'exercice

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    Objectif : Étudier l'efficacité de la méthylprednisolone (MP) à forte dose sur la chute des plaquettes compliquant la prééclampsie (PE).

    Matériel et méthodes : Cette étude prospective, randomisée, contrôlée, en double aveugle incluant des patientes enceintes (terme>24SA), présentant une PE (hypertension artérielle ≥ 140/90 mmHg et protéinurie ≥ 0,3g/24 heures) compliquée de thrombopénie mineure à modérée (plaquettes comprises entre 50 et 150 G/L), a été menée dans quatre CHU entre octobre 2007 et février 2011. Les patientes étaient randomisées en deux groupes et recevaient quatre injections intraveineuses de MP (60mg/60mg/40mg/20mg) ou de placebo à 12 heures d'intervalle. Le critère de jugement principal était le chiffre de plaquettes à H36 (défini comme un succès si supérieur à 100 G/L). Les critères secondaires de jugement étaient représentés par l'effet du traitement sur le nombre de syndromes HELLP, chacun des paramètres biologiques définissant le syndrome HELLP, la réalisation d'une anesthésie locorégionale, la transfusion plaquettaire, le taux de morbidité maternelle et la tolérance du traitement. L'analyse a été réalisée en intention de traiter. Le test du Chi2 a été utilisé. Une analyse multivariée avec régression logistique et ajustement sur le traitement par bétaméthasone pour maturation pulmonaire foetale a été réalisée. Un p inférieur à 0,05 a été considéré comme significatif.

    Résultats : Soixante-dix patientes ont été randomisées (36 dans le groupe MP et 34 dans le groupe placebo). Aucune différence significative n'a été trouvée entre les deux groupes (p= 0,82) sur le taux de succès. De même, le chiffre de plaquettes moyen à H36 n'était pas statistiquement différent entre les deux groupes (p=0,27) (141,1 G/L pour le groupe MP versus 131,7 G/L pour le groupe placebo). Par contre, une réduction significative du nombre de syndromes HELLP a été observée dans le groupe traité par la MP (p=0,01) et aucun syndrome HELLP n'est apparu pendant l'étude dans le groupe MP (p=0,0003). Il n'y avait pas de différence significative entre les deux groupes sur le taux d'anesthésie locorégionale, sur le taux de transfusions plaquettaires, sur le taux de morbidité maternelle, ni sur les transaminases et les LDH. La tolérance a été bonne puisqu'il n'y a eu qu'un seul cas d'hyperglycémie supérieure à 2,5g/L et aucun cas d'hypokaliémie. Aucune différence significative n'a été trouvée sur les paramètres néonatals.

    Conclusion : Cette étude n'a pas montré d'efficacité d'un traitement par MP sur l'évolution du chiffre de plaquettes au stade initial de la thrombopénie compliquant une PE. Par contre, ce traitement s'est accompagné d'une réduction significative du nombre de syndromes HELLP.

  • Intoxications aux antalgiques opioïdes : Enquête aux Urgences du CHU de Poitiers    - Vivier Elodie  -  28 novembre 2014  - Thèse d'exercice

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    La morphine est une molécule découverte depuis le début du XIXème siècle. Néanmoins, son utilisation remonte à la plus haute antiquité avec l’utilisation de l’opium.

    A partir de la morphine, il a été synthétisé de nombreuses molécules qui sont utilisées dans le traitement de la douleur.

    La morphine et ses dérivés présentent de nombreuses actions pharmacologiques induisant différents signes cliniques : antalgie, nausées, vomissements, myosis, dépression respiratoire, hypotension orthostatique, constipation, etc. La plupart de ces actions pharmacologiques sont en réalité des effets secondaires à l’utilisation de ces médicaments, effets qui peuvent être majorés et donc à risque lors d’intoxications aigues.

    Nous avons réalisé une étude épidémiologique descriptive rétrospective sur des cas d’intoxications aux analgésiques opioïdes observées aux urgences du CHU de Poitiers d’avril 2011 à Février 2013. Nous avons constaté que les personnes concernées par ces intoxications sont pour le plupart des hommes âgés de 40 à 60 ans. Les intoxications accidentelles concernent majoritairement des personnes âgées et dans la moitié des cas la molécule en cause est le fentanyl. Nous avons également observé que dans plus de la moitié des cas un médicament à action neurologique est associé au traitement antalgique impliqué dans l’intoxication. Les signes cliniques les plus fréquemment rencontrés sont des signes neurologiques comme la somnolence, asthénie, myosis. L’antidote, la naloxone, n’est utilisé que dans les cas les plus graves avec détresse respiratoire et atteinte neurologique (Glasgow faible). L’évolution des patients est plutôt favorable avec néanmoins deux décès observés sur trente cas.

    Enfin, nous avons comparé nos résultats avec les résultats d’autres études françaises et étrangères. Puis nous avons vu quelles solutions peuvent être apportées afin de diminuer ces cas d’intoxications.

  • Proposition d'un outil d'aide à la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses dans la prise en charge des facteurs de risque cardiovasculaire    - Benaiteau Alexandra  -  26 novembre 2014  - Thèse d'exercice

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    Objectif : Les maladies cardiovasculaires représentent la première cause de mortalité dans le monde. Malgré des recommandations préconisant des mesures hygieno-diététiques dans la prise en charge précoce des facteurs de risque cardiovasculaire, les données françaises mettent en évidence un certain nombre de freins à leur application en pratique médicale. Pour répondre à cette problématique soulevée par la haute autorité de santé, nous avons réfléchi à la conception d'un outil pratique, facilement accessible pendant la consultation.

    Méthode : Un site internet a été développé autour de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses pour la prise en charge des cinq principaux facteurs de risque cardiovasculaire : surpoids/obésité, dyslipidémie, diabète, hypertension artérielle, tabac.

    Résultat : Preven-Doc, basé sur des recommandations validées, guide le médecin par le biais de schémas décisionnels pendant sa consultation. Il propose au praticien des outils diagnostiques, des documents pédagogiques ou l'impression d'ordonnances de thérapeutiques non médicamenteuses favorables à la prévention cardiovasculaire.

    Conclusion : Preven-Doc apparaît comme une solution « efficiente » qui pourrait permettre de satisfaire aux contraintes de temps et d'organisation des praticiens. En parallèle, la création d'une cotation dédiée au consultation de prévention pourrait être un déterminant majeur pour faire évoluer les comportements des acteurs de notre système de santé actuel.

  • Empathie et reconnaissance des émotions faciales chez les mineurs auteurs de violences sexuelles : à partir d'une étude sur 9 mineurs auteurs de violences sexuelles    - Boyer François  -  25 novembre 2014  - Thèse d'exercice

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    Les études sur l'empathie et la reconnaissance des émotions faciales sont rares chez les mineurs auteurs de violences sexuelles. Cette étude s'intéresse au processus multidimensionnel de l'empathie en utilisant comme variable de contrôle l'alexithymie, l'anxiété, la dépression qui sont censées influer sur les émotions et la mesure de l'empathie. Neuf mineurs auteurs de violences sexuelles et trente mineurs témoins de sexe masculin ont passé une épreuve de reconnaissance des émotions faciales présentant six émotions (peur, tristesse, dégoût, colère, joie, surprise) et des autoquestionnaires d'empathie (BES), d'alexithymie (TAS-20), d'anxiété (RCMAS) et de dépression (BDI-13). Les mineurs auteurs de violences sexuelles sont moins précis dans la reconnaissance des émotions faciales, et ce plus particulièrement pour la peur et la tristesse. L'empathie affective, le taux d'erreur et le taux de reconnaissance de la tristesse à l'épreuve de reconnaissance des émotions faciales sont les seules dimensions qui permettent de distinguer les mineurs auteurs de violences sexuelles, des témoins. L'empathie affective et l'empathie cognitive sont positivement corrélées à la reconnaissance des émotions faciales. L'alexithymie, l'anxiété, la dépression sont corrélées de façon négative à l'empathie et ceci plus particulièrement chez les mineurs auteurs de violences sexuelles. Bien que l'échantillon soit petit et que l'étude nécessite d'être menée avec un plus grand nombre de participants, il est retrouvé que les mineurs auteurs de violences sexuelles ont des difficultés à reconnaître des indices permettant de décoder une émotion faciale, ce qui pourrait être en lien avec l'altération de différentes étapes du processus d'empathie, notamment de la contagion émotionnelle.

  • Optimisation de la cryoconservation de cellules nourricières pour la fabrication d'un médicament de thérapie innovante du mélanome cutané    - Billon Julien  -  24 novembre 2014  - Thèse d'exercice

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    Les mélanomes cutanés sont les cancers de la peau les plus mortels. La forte mortalité et l'augmentation de l’incidence en font un problème de santé majeur. Une approche thérapeutique prometteuse pour des stades avancés est l’immunothérapie adoptive basée sur l’utilisation de cellules T effectrices autologues appelées TIL (Tumor Infiltrating Lymphocytes). Ces TIL nécessitent d’être activés via une co-culture avec 120.106 de cellules nourricières LAZ irradiées.

    L’objectif des études réalisées est de définir :

    - un protocole de sevrage des cellules nourricières LAZ, pour nous alléger les contraintes de production et vis-à-vis des contrôles qualité

    - les procédés de congélation idéaux pour la conservation des cellules LAZ en Master Cell Bank (MCB) et Working Cell Bank (WCB).

    Grâce à la création de ces banques, nous aimerions ne décongeler que 2 ou 3 ampoules de cellules irradiées prêt à l’emploi plutôt que de décongeler des LAZ 10j avant une production de TIL, les amplifier puis les irradier à chaque production.

    Ainsi des essais ont été réalisés pour déterminer le protocole de sevrage des cellules, la solution de congélation, la quantité de cellules par ampoule et le système de congélation manuel (Boite Nalgène) ou automatisé (Controlled Rate Freezer).

    Nos résultats concernant le sevrage se sont montrés décevants, ne nous permettant pas d’obtenir des cellules capables de s’amplifier. Nous avons donc décidé de poursuivre nos réalisations de MCB et WCB avec des cellules LAZ non sevrées en sérum. S’agissant de la cryoconservation, nos résultats nous ont conduits à sélectionner la solution de congélation commerciale Cryostor CS10 pour effectuer la MCB et WCB. L’absence de différence significative entre les différents systèmes de congélation testés nous ont permis de faire le choix du système manuel en Boite Nalgène. L’étude réalisée pour déterminer la quantité de cellules à ensemencer par ampoule nous amène à conclure que la congélation de 100.106 de cellules LAZ irradiées par ampoule est optimale.

    Nos études ont servi à l’élaboration des procédés de fabrication des MCB et WCB de cellules LAZ et d’atteindre nos exigences. Les banques MCB et WCB peuvent donc être effectuées au sein des laboratoires conformes aux BPF.

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