Vous êtes ici : Accueil > Formations > Diplôme d'état de Médecine

Diplôme d'état de Médecine

Les travaux sélectionnés

Pour être informé de la mise en ligne des nouveaux travaux correspondant à la recherche effectuée, abonnez-vous au flux RSS : rss

accès internet    accès intranet    pas d'accès
2166 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 21 à 30
Tri :   Date travaux par page
  • État des lieux de la primo-prescription de traitement hormonal substitutif féminisant pour les personnes transgenres, par les médecins généralistes dans le Poitou-Charentes    - Soussi Jihane  -  07 novembre 2024  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    La primo-prescription d'un traitement hormonal substitutif (THS) féminisant pour les personnes transgenres est accessible aux médecins généralistes (MG) mais encore trop peu réalisée. Nous voulons faire un état des lieux de cette primo-prescription dans la région Poitou-Charentes et identifier les éventuels freins à celle-ci.

    Matériel et Méthode : Nous avons réalisé une étude transversale, observationnelle, descriptive et quantitative en interrogeant à l'aide d'un questionnaire un échantillon de médecins généralistes du Poitou-Charentes. 272 questionnaires ont été envoyés entre le 5 février et le 30 juin 2024 et 104 questionnaires complets ont finalement été analysés.

    Résultats : Le taux de réponse est de 76.5 %. 92.3 % des MG interrogés refusent de réaliser la primo-prescription de THS féminisant. Le principal frein identifié, à 76 %, est le manque de formation, puis le sentiment de manque de légitimité, 15,4 %.

    Conclusion : Les MG du Poitou-Charentes refusent en grande majorité d'initier un THS féminisant. Ces résultats sont cohérents avec la littérature actuelle bien que non significatifs. Une formation spécifique est nécessaire dès le début des études de médecine et doit se poursuivre pendant la formation continue. Des nouvelles recommandations de bonnes pratiques sont en cours de rédaction par la Haute autorité de santé afin de mieux encadrer cette primo prescription et permettre d'accompagner les MG qui voudraient s'impliquer.

  • Les stéréotypes des médecins généralistes relatifs à leurs patients sur l'éducation à la santé environnementale    - Nunes Marie  -  05 novembre 2024  - Thèse d'exercice


  • Etude qualitative sur les représentations des freins au signalement des cas de maltraitance infantile par les médecins généralistes    - Siaudeau Mathilde  -  31 octobre 2024  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : La maltraitance infantile est un problème majeur de santé publique. Les médecins généralistes jouent un rôle essentiel dans le dépistage précoce et le signalement des cas de maltraitance, mais ils rencontrent de nombreux obstacles.

    Objectif : Identifier les freins ressentis par les médecins généralistes des départements de la Vienne et des Deux-Sèvres dans le signalement des situations de maltraitance infantile suspectées.

    Méthodes : Une étude qualitative a été réalisée à partir d'entretiens semi-dirigés menés auprès de neuf médecins généralistes de la Vienne et des Deux-Sèvres. Les données ont été analysées selon l'approche de la théorisation ancrée.

    Résultats : Les principaux freins identifiés sont d'ordre relationnel avec la peur de conflits avec les familles ou de nuire au suivi médical de l'enfant ; d'ordre juridique avec les craintes liées aux conséquences juridiques du signalement ; et liés à leur pratique, notamment avec un manque de communication avec les autres professionnels de la protection de l'enfance, une charge de travail trop importante et une formation insuffisante sur les démarches administratives. Malgré ces difficultés, les médecins reconnaissent l'importance de leur rôle dans la protection des enfants à risque et soulignent le besoin de soutien et de collaboration interprofessionnelle.

    Conclusion : Améliorer la formation et le soutien des médecins généralistes, renforcer la communication entre professionnels et simplifier les procédures de signalement sont des actions essentielles pour lever ces obstacles et garantir une meilleure protection des enfants en danger.

  • Syndrome néphrotique secondaire aux glomérulonéphrites extra-membraneuses, lésions glomérulaires minimes ou hyalinoses segmentaires et focales au cours des hémopathies plasmocytaires et lymphocytaires B : étude de 16 cas    - Lieurain David  -  30 octobre 2024  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : Les complications rénales des hémopathies plasmocytaires et lymphocytaires B sont fréquentes. Elles sont liées à 2 mécanismes principaux : masse tumorale ou toxicité rénale de l'immunoglobuline monoclonale sécrétée. D'autres néphropathies peuvent être observées, comme les lésions glomérulaires mimines, la hyalinose segmentaire et focale ou la glomérulonéphrite extra-membraneuse, dont le mécanisme paranéoplasique est suspecté. L'objectif de l'étude est de décrire chez ces patients les caractéristiques cliniques, immuno-hématologiques, anatomopathologiques, ainsi que la stratégie thérapeutique et l'évolution après traitement.

    Matériel et méthodes : Il s'agit d'une étude rétrospective, multicentrique, ayant inclus 8 patients dans le groupe « GEM » et 8 patients dans le groupe « LGM/HSFi ». Les critères d'inclusion étaient le diagnostic d'un syndrome néphrotique par GEM, LGM ou HSFi et le diagnostic d'une hémopathie lymphoplasmocytaire par mise en évidence d'un composant monoclonal sérique ou urinaire, par analyse du myélogramme ou par analyse anatomopathologique.

    Résultats : Les données clinico-biologiques au diagnostic étaient comparables entre les 2 groupes, hormis la créatininémie, qui était significativement plus élevée (p=0,05) dans le groupe LGM/HSFi. 50% des patients avaient une histoire de maladie dysimmunitaire, connues ou apparues au cours du suivi. Trois patients (20%) ont évolué vers l'insuffisance rénale terminale. Toutes lignes de traitement confondues, les patients présentaient significativement moins de rechute rénale après une chimiothérapie ciblant le clone (p=0,047) et en cas de réponse hématologique associée (partielle, VGPR ou complète) (p = 0,047).

    Discussion : Cette étude suggère fortement un lien paranéoplasique entre glomérulopathie par GEM/LGM/HSFi et hémopathies lymphoplasmocytaires. La présence d'un infiltrat interstitiel tumoral pourrait être un facteur prédisposant, tout comme l'existence d'un terrain auto-immun/dysimmunitaire. Les mécanismes de ces néphropathies paranéoplasiques restent indéterminés, complexes et multifactoriels. La stratégie thérapeutique la plus efficace semble être l'administration d'une chimiothérapie ciblant le clone.

    Conclusion : Notre étude confirme le lien entre hémopathies lymphoplasmocytaires et glomérulopathie par GEM, LGM ou HSFi et suggère fortement l'intérêt d'un traitement du clone dans ces situations. Les mécanismes restent en grande partie incompris et pourraient faire l'objet d'études ultérieures.

  • Étude des IVG réalisées entre 14 et 16 SA en Ile-de-France, dans l'année suivant l'allongement du délai légal à 16 SA : complications immédiates et place des médecins généralistes    - Vermeulen Ines  -  29 octobre 2024  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Objectifs. - Comparer le taux de complications majeures et mineures des IVG réalisées entre 14 et 16 SA par rapport à celles réalisées entre 12 et 14 SA. Décrire les patientes ayant réalisé une IVG entre 14 et 16 SA. Décrire les professionnels de santé qui se sont lancés cette pratique suite à la loi du 2 mars 2022, et en particulier les médecins généralistes.

    Matériel et méthodes. - Étude rétrospective multicentrique portant sur les centres d'IVG de l'AP-HP dans lesquels des médecins généralistes ont réalisé des IVG entre 14 et 16 SA, entre le 02/03/2022 et le 02/03/2023 : comparaison des IVG effectuées entre 14 et 16 SA à un nombre équivalent d'IVG entre 12 et 14 SA.

    Résultats. - 157 IVG entre 14 et 16 SA ont été inclues. La comparaison à 157 IVG entre 12 et 14 SA n'a pas montré de différence significative en termes de complications majeures (0,6% pour les IVG du groupe 14-16 SA et 1,3% pour celles du groupe 12-14 SA, p = 0,562). Un taux de complications mineures significativement supérieur a été retrouvé pour les IVG entre 12 et 14 SA (8,3% vs 2,5%, p = 0,022). Cela concernait en particulier le taux d'hémorragie entre 500mL et 1L sans nécessité de transfusion. 87,9% des IVG entre 14 et 16 SA ont été réalisées par des médecins généralistes, contre 65,2% des IVG entre 12 et 14 SA (p=0,00001). Ce sont les médecins généralistes les plus expérimentés qui se sont lancés dans cette pratique. Il n'y avait pas de différence significative entre les deux groupes en termes de taux de femmes mineures, nombre d'antécédents d'IVG, couverture sociale, situation professionnelle, et fréquence des violences.

    Conclusion. - Les professionnels de santé peuvent être rassurés quant au risque de complications majeures et mineures pour la réalisation d'IVG entre 14 et 16 SA. Il ne semble pas y avoir de surrisque de complications si les IVG entre 14 et 16 SA sont réalisées par des médecins généralistes. L'expérience de l'opérateur semble jouer sur le risque de complications. Les patientes réalisant des IVG entre 14 et 16 SA ne semblent pas plus vulnérables que celles réalisant une IVG entre 12 et 14 SA.

  • Téléradiologie et permanences de soins : étude de l'impact sur l'activité scanographique en permanence de soins dans le Poitou Charentes.    - James Robin  -  28 octobre 2024  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : La téléradiologie, en réponse à la demande croissante de soins d’imagerie est devenue un outil essentiel pour assurer la permanence des soins radiologiques, notamment dans les centres hospitaliers de petite et moyenne taille, impactés par la disparité démographique des radiologues. Cependant, son impact sur le volume et la répartition des scanners réalisés durant la nuit profonde (00h00 - 08h30) reste peu exploré.

    Objectif : Cette étude vise à évaluer si la téléradiologie entraîne une augmentation des examens nocturnes, comparativement aux gardes classiques réalisées sur place par des internes ou des seniors d’astreinte.

    Méthode : Cette étude rétrospective a porté sur les scanners réalisés en 2022 dans cinq centres hospitaliers de la région Poitou-Charentes. Les données ont été analysées selon deux types de permanence de soins : téléradiologie externalisée et garde classique interne, pour des périodes spécifiques (18h30-22h, 22h-00h, 00h-04h, et 04h-08h30). Les analyses statistiques incluaient également les caractéristiques « demandé par les urgences » et « patient de moins de 18 ans ».

    Résultats : Les scanners réalisés après minuit étaient significativement plus nombreux lors des permanences de téléradiologie, avec une majoration de 40 à 69 % dans quatre des cinq centres étudiés (p < 0,01). La proportion de scanners en nuit profonde atteignait jusqu’à 39 % dans le groupe téléradiologie contre 31% dans le groupe interne. Cette tendance était également observée pour les patients pédiatriques, avec une augmentation des scanners après minuit dans les permanences de soins assurées par la téléradiologie externe.

    Conclusion : Cette étude met en évidence un décalage temporel et une augmentation du nombre de scanners réalisés durant la nuit profonde sous téléradiologie. Ces résultats soulignent l'importance de réguler l’utilisation de la téléradiologie pour limiter une possible inflation des examens et garantir la qualité des soins en horaires nocturnes.

  • Les difficultés du médecin généraliste avec les patients de cultures différentes en Bocage Bressuirais et les adaptations mises en place    - Almirall Martorell Marina  -  24 octobre 2024  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction

    La migration est un sujet d'actualité. En France, plus de 10% de la population sont des migrants et sont sur Bressuire presque 6%. De ce fait, plusieurs cultures co-existent dans un même endroit. Devant cette mobilité des populations, les médecins du Bocage Bressuirais sont amenés à traiter des patients de cultures différentes. Quelles sont leurs difficultés et comment s'y adaptent-ils?

    Matériel et méthode

    Une étude qualitative phénoménologique moyennant des entretiens semi-dirigés a été réalisée. La population ciblée a été les médecins généralistes du Bocage Bressuirais. Les entretiens ont été transcrits et ensuite une analyse thématique avec triangulation a été menée.

    Résultats

    Dix médecins généralistes ont formé l'échantillon de l'étude. Les difficultés les plus ressorties ont été la communication et les représentations des médecins face aux cultures différentes. Les autres problèmes évoqués ont été leur suivi, leur mode de vie et leur parcours migratoire. Tous les médecins ont précisé également les différentes adaptations appliqués pour palier ces barrières.

    Discussion

    Cette étude confirme que les médecins du Bocage Bressuirais présentent des difficultés lors des consultations avec des patients de cultures différentes et qu'ils ont mis en place des adaptations. Il restent toujours des freins. C'est pour cette raison qu'une thèse sur le point de vue des patients serait intéressante. Des rencontres entre les soignants et les patients de cultures différentes pourraient être expérimentées dans le cadre de nouvelles missions des CPTS.

  • Validation par méthode Delphi modifiée d'un questionnaire évaluant les connaissances, les attitudes et les pratiques des médecins en soins primaires dans la lutte contre l'infection à Helicobacter pylori en France    - Doutaux Julie  -  24 octobre 2024  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : Helicobacter pylori infecte la moitié de la population mondiale. Les médecins généralistes sont les premiers acteurs dans la détection et la prise en charge de la bactérie. Une étude scientifique à l'échelle nationale permettrait d'évaluer si les médecins généralistes français sont en adéquation avec les recommandations actuelles vis-à-vis d'Helicobacter pylori. L'objectif de ce travail était de valider scientifiquement puis de distribuer un questionnaire évaluant la détection, le traitement et le suivi de l'éradication d'Helicobacter pylori par les médecins généralistes français.

    Méthode : Une méthode Delphi modifiée a été utilisée. Il s'agit d'une méthode qualitative de consensus. Un questionnaire structuré réalisé dans une étude préalable a été envoyé à un groupe de 18 experts membres du GEFH afin de l'interroger sur la pertinence des questions de ce dernier. Le questionnaire était validé si la médiane des notes aux questions était supérieure à 7 et si au moins 30 % des scores étaient entre 1 et 3 et 30 % des scores étaient entre 7 et 10. Les questions étaient modifiées selon les remarques des experts s'il y avait 2 commentaires ou plus. Le questionnaire a été distribué par QR code aux médecins généralistes français thésés.

    Résultats : Le consensus de 15 experts a été obtenu en 1 tour selon méthode Delphi modifiée. Les experts ont formulé 69 commentaires. Seize questions ont été modifiées. Deux questions ont été ajoutées.

    Discussion : Des questions socio-démographiques ont été ajoutées telles que l'ont fait les études internationales. Cela pourrait permettre la réalisation d'études analytiques afin d'évaluer d'éventuelles disparités de pratique. Ce consensus Delphi est comparable à ceux étudiés dans la revue de littérature de Boulkedid et al. Ce questionnaire validé selon Delphi modifié sera distribué aux médecins généralistes français. Il pourrait permettre de recueillir les besoins pour une meilleure pénétration des recommandations concernant H. pylori sur le terrain.

  • État des lieux des connaissances, attitudes et pratiques des médecins de soin primaire concernant l'infection à Helicobacter pylori (H. pylori) dans le but de faire diminuer l'incidence du cancer gastrique    - Leclerc Anne  -  24 octobre 2024  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : Les avancées scientifiques considérables sur la pathogénie d'Helicobacter pylori et la validation de tests diagnostiques non-invasifs ont rapidement propulsé les médecins de soin primaire en première ligne du parcours de soin des patients infectés à risque de développer un cancer gastrique.

    Objectif et méthode : Cette revue narrative de la littérature vise à décrire les approches théoriques et pratiques des médecins de soin primaire concernant l'infection à H. pylori. Il s'agit d'une étude quantitative. Les résultats sont présentés par thématiques puis analysés par tranches de rapports de consensus de Maastricht.

    Résultats : La prévalence de l'infection à H. pylori était connue par 16,1-21% des médecins de soin primaire (17,18). La ressource préférée était la revue médicale (16,19,24).

    Chez tous les patients testés positifs à H. pylori, ils étaient 7-35,7% à tenter d'éradiquer la bactérie (13,17,26,30). Chez les patients asymptomatiques à cibler, 7,3-83,9% dépistaient H. pylori et 41,9-59% l'éradiquaient (21–23).

    L'endoscopie diagnostique initiale était utilisée par 22,1-92,9% (13,14,16,17,20,24–30).

    La prévalence de la résistance à la clarithromycine concernait 13-62,3% (14,18). La trithérapie PCA était le traitement empirique de 1ère ligne pour 59-93% (13,14,16–18,21–24,28,29).

    La vérification du succès de l'éradication était réalisée par 43,3-60% (12,21,22) et 27,4-96% ne contrôlaient que les patients symptomatiques (18,22,23,26,28).

    L'étude McNicholl et al. 2019 (18) estimait à 77,5% le taux d'application « modérée » aux lignes directrices relatives à la gestion de l'infection à H. pylori. L'analyse chronologique des résultats met en lumière les écarts entre les connaissances, les attitudes et les pratiques des médecins de soin primaire concernant la lutte contre l'infection à H. pylori et confirme leur adhésion sous-optimale aux recommandations.

    Conclusion : En lien avec les gastro-entérologues, les microbiologistes, les infectiologues et les médecins de santé publique, il est nécessaire d'impliquer davantage les médecins de soin primaire dans la réflexion autour du parcours de soin des sujets infectés afin qu'ils deviennent proactifs dans l'intérêt ultime de faire diminuer l'incidence du cancer gastrique.

  • Validation par méthode Delphi modifiée d'un questionnaire évaluant les connaissances, les attitudes et les pratiques des médecins en soins primaires dans la lutte contre l’infection à Helicobacter pylori en France    - Brevet Marie  -  24 octobre 2024  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : Helicobacter pylori infecte la moitié de la population mondiale. Les médecins généralistes sont les premiers acteurs dans la détection et la prise en charge de la bactérie. Une étude scientifique à l'échelle nationale permettrait d'évaluer si les médecins généralistes français sont en adéquation avec les recommandations actuelles vis-à-vis d'Helicobacter pylori. L'objectif de ce travail était de valider scientifiquement puis de distribuer un questionnaire évaluant la détection, le traitement et le suivi de l'éradication d'Helicobacter pylori par les médecins généralistes français.

    Méthode : Une méthode Delphi modifiée a été utilisée. Il s'agit d'une méthode qualitative de consensus. Un questionnaire structuré réalisé dans une étude préalable a été envoyé à un groupe de 18 experts membres du GEFH afin de l'interroger sur la pertinence des questions de ce dernier. Le questionnaire était validé si la médiane des notes aux questions était supérieure à 7 et si au moins 30 % des scores étaient entre 1 et 3 et 30 % des scores étaient entre 7 et 10. Les questions étaient modifiées selon les remarques des experts s'il y avait 2 commentaires ou plus. Le questionnaire a été distribué par QR code aux médecins généralistes français thésés.

    Résultats : Le consensus de 15 experts a été obtenu en 1 tour selon méthode Delphi modifiée. Les experts ont formulé 69 commentaires. Seize questions ont été modifiées. Deux questions ont été ajoutées.

    Discussion : Des questions socio-démographiques ont été ajoutées telles que l'ont fait les études internationales. Cela pourrait permettre la réalisation d'études analytiques afin d'évaluer d'éventuelles disparités de pratique. Ce consensus Delphi est comparable à ceux étudiés dans la revue de littérature de Boulkedid et al. Ce questionnaire validé selon Delphi modifié sera distribué aux médecins généralistes français. Il pourrait permettre de recueillir les besoins pour une meilleure pénétration des recommandations concernant H. pylori sur le terrain.

|< << 1 2 3 4 5 6 7 8 >> >| travaux par page

Haut de page


affiche de communication sur le dépôt des travaux d'étudiants : 215, c'est le nombre de fois où le réveil a sonné trop tôt cette année pour travailler sur mon mémoire. Franchement j'aimerai ne pas être le seul à l'avoir lu ! / Lionel Bernardin / idsworks.com
  • Avec le service Ubib.fr, posez votre question par chat à un bibliothécaire dans la fenêtre ci-dessous ou par messagerie électronique 7j/7 - 24h/24h, une réponse vous sera adressée sous 48h.
    Accédez au formulaire...

 
 

Université de Poitiers - 15, rue de l'Hôtel Dieu - 86034 POITIERS Cedex - France - Tél : (33) (0)5 49 45 30 00 - Fax : (33) (0)5 49 45 30 50
petille@support.univ-poitiers.fr - Crédits et mentions légales