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Diplôme d'état de Sage femme

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88 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1 à 10
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  • Ressentis des sages-femmes et formation par les écoles à l’exercice libéral. Etude observationnelle prospective sur les sages-femmes de France ayant une expérience dans le libéral, et état des lieux de la formation libérale donnée par les 35 écoles de sages-femmes de France    - Lamarque Charlene  -  27 septembre 2022

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    Introduction : Les sages-femmes peuvent débuter leur carrière dans le libéral dès l’obtention de leur diplôme. Les sages-femmes se sentent -elles/ils assez formé.e.s à celui-ci et quelles sont les formations faites par les écoles pour ce mode d’exercice, une amélioration de la formation est-elle nécessaire et possible ?

    Matériel et méthodes : C’était une étude observationnelle prospective. Un premier questionnaire a recueilli les ressentis des sages-femmes de France, ayant une expérience dans le libéral, face à ce mode d’exercice. Un deuxième questionnaire, a servi à faire l’état des lieux de la formation libérale donnée par les 35 écoles de sages-femmes de France. De plus, un comparatif entre les sages-femmes diplômé.e.s avant 2015 et celles diplômé.e.s en 2015 et après, a été fait car les sages-femmes diplômé.e.s en 2015 sont les premièr.e.s à avoir eu la formation actuellement donnée.

    Pour les sages-femmes 1004 réponses ont été collecté et 817 ont été exploitable. Quant à celui pour les directeurs 35 demandes de participations ont été envoyé et 22 réponses ont été récoltés.

    Résultats : Pour les sages-femmes diplômé.e.s avant 2015, 85% étaient d’accord pour dire que selon eux leur formation initiale ne les avait pas préparés de façon adéquate à l’exercice libéral. Et aucun d’entre eux n’avait trouvé que cette formation les avait bien préparés à ce mode d’exercice, les 15 autres pourcents étaient mitigés. Pour les sages-femmes diplômé.e.s en 2015 et après, 65% trouvaient que leur formation initiale ne les avait pas préparés de façon adéquate à l’exercice libéral, et 5% trouvaient que leur formation était suffisante.

    De plus, il y a une inégalité de propositions dans les écoles de cours pour la gestion d’un cabinet libéral et de stages dans ce domaine.

    Conclusion : Les sages-femmes qui ont bénéficié du programme de formation actuel semblent mieux formé.e.s à l’exercice libéral mais cela reste encore insuffisant. Avec le projet de la sixième année, le programme ne pourrait-il pas consacré plus de temps à ce mode d’exercice, et harmoniser les propositions de cours et de stage dans les écoles ?

  • État des lieux des connaissances du cycle menstruel par les femmes. Étude descriptive réalisée sur les réseaux sociaux auprès de 733 femmes    - Morisseau Marion  -  26 septembre 2022

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    Le cycle menstruel est généralement défini comme l'ensemble des phénomènes physiologiques de la femme préparant son organisme à une éventuelle fécondation. Pour les femmes, le cycle menstruel est un rendez-vous parfois accompagné d’un inconfort, de manifestations physiologiques ou de problèmes de santé. Le connaître représente un atout pour la femme.

    Objectifs de l’étude : L’objectif principal de cette étude était d’évaluer le niveau de connaissances des femmes sur le cycle menstruel. Les objectifs secondaires étaient de mettre en relation le niveau de connaissance avec le profil de la personne interrogée et de recenser les sources d’informations utilisées par ces femmes.

    Matériel et Méthodes : Il s’agissait d’une étude descriptive, transversale réalisée par questionnaire anonyme posté via les réseaux sociaux, réalisée du 20 octobre 2021 au 3 décembre 2021 inclus.

    Résultats : 733 questionnaires ont été analysés. Les résultats ont montré que la population de l’étude était bien informée sur la définition du cycle menstruel, les facteurs responsables des dérèglements et les signes cliniques reliés au cycle car 87,7% de bonnes réponses ont été obtenues sur la totalité du questionnaire. Le niveau d’étude (p=0,04) ainsi que le fait d’avoir fait des études supérieures dans le domaine de la santé (p<0,01) sont des variables associées de manière significative au niveau de connaissances alors que l’âge, la situation personnelle ainsi que les antécédents gynécologiques et obstétricaux ne représentent pas des critères significatifs. S’agissant des sources d’informations utilisées par ces femmes, les cours dispensés en milieux scolaire et enseignements supérieurs représentent la principale source de connaissance pour 30,7% des femmes interrogées.

    Conclusion : Notre étude a montré une très bonne connaissance des femmes sur le cycle menstruel qui reste conditionnée à leur niveau d’études. Les connaissances sur ce sujet peuvent être acquises grâce à de multiples sources d’information : école, Internet, entourage, professionnels. L’éducation au travers des programmes scolaires parait une porte d’entrée pertinente. Les professionnels de santé spécialisés en gynécologie représentent pour les femmes des relais d’information tout au long de leur vie. Eduquer, informer, expliquer représente « le trio gagnant » pour permettre aux femmes de « bien » vivre leur cycle menstruel.

  • Endométriose : le vécu de l’annonce    - Romain Chloe  -  16 juin 2022

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    Introduction : Peu connue avant les années 2000 et peu enseignée dans les cursus médicaux avant très récemment, l’endométriose est une pathologie gynécologique qui touche une femme sur 10 en âge de procréer. De nombreuses études sont effectuées afin de mieux comprendre cette maladie mais peu d’études sont réalisées sur l’aspect psychologique de cette maladie chronique. C’est pourquoi nous avons voulu étudier le vécu des femmes atteintes d’endométriose, et plus particulièrement au moment de l’annonce de la maladie.

    Méthodes : Nous avons mené une étude qualitative par entretiens semi-directifs structurés par une grille d’entretien afin d’obtenir des éléments comparatifs. Dix entretiens ont été réalisés, enregistrés et retranscrits afin d’être analysés par théorisation ancrée. L’objectif de cette étude était d’interroger les patientes sur le vécu de l’annonce de ce diagnostic, de leur parcours médical et les facteurs influençant ce vécu.

    Résultats : Dix patientes ont été interrogées de janvier à mars 2022. Le vécu de l’annonce du diagnostic d’endométriose variait selon des facteurs internes, tels que leur histoire de vie, le parcours diagnostic, l’intensité des symptômes, et des facteurs externes tels que l’attitude du professionnel de santé, la présence des membres de la famille soutenants. Ce vécu a été marqué par des éléments positifs tels que le soulagement, l’espoir de soulager les douleurs par les traitements et de pouvoir améliorer la fertilité. Mais il y a également eu des éléments négatifs comme la peur, la colère, la tristesse, le choc et le déni. Les explications claires et les dessins explicatifs des médecins au moment de l’annonce ont été appréciés par les patientes qui en ont bénéficié et les autres l’ont déploré car elle ne connaissait pas cette maladie.

    Conclusion : Cette étude a montré que le parcours diagnostic des femmes atteintes d’endométriose est souvent long et compliqué. Au moment de l’annonce du diagnostic les sentiments sont intenses et vont du soulagement à la peur et ces angoisses sont fortement apaisées par les informations claires et concises des professionnels de santé ainsi que par le soutien des proches. Il aurait pu être intéressant d’étudier le vécu des partenaires et des enfants de ces femmes qui sont souvent impliqués et impactés par leur maladie.

  • L’apprentissage ludique de la contraception. Évaluation de l’intérêt d’un jeu pédagogique sur la contraception auprès des étudiants sages femmes de Poitiers    - Pezet Eloise  -  16 juin 2022


  • Prise en charge de la douleur périnéale dans le post-partum. Évaluation dans le post-partum immédiat au Centre Hospitalier Universitaire de Poitiers    - Perin Emma  -  16 juin 2022

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    Introduction : Les douleurs périnéales postnatales non soulagées sont des facteurs de risque sur les plans physique et psychologique dans le post-partum immédiat et à long-terme. Ce travail visait à déterminer la prise en charge de ces douleurs dans le post-partum immédiat et d’évaluer leurs conséquences au CHU de Poitiers.

    Méthode : C’était une étude de cohorte, réalisée par l’intermédiaire d’un questionnaire remis aux femmes lors de leur séjour à la maternité, 120 femmes y ont répondu.

    Résultats : Dans notre étude, 12,5% des femmes présentaient un antécédent de dépression, 2,5% présentaient des douleurs périnéales avant leur grossesse et 25,8% pendant leur grossesse. 71,7% des femmes de notre étude étaient concernées par la réfection d’une lésion périnéale et la douleur moyenne ressentie était de 3,2/10.

    43,3% des femmes présentaient des douleurs lors de leur arrivée en chambre et présentaient en moyenne une EN à 3/10 pendant leur séjour après la proposition d’antalgiques. Les moyens antalgiques les plus utilisées étaient le paracétamol (90,8%), le Spasfon® (43,3%) et la glace (44,2%).

    Pour 13,3% des femmes, ces douleurs ont eu un impact sur les soins qu’elles pouvaient apporter à leur enfant. A la sortie de la maternité, les femmes présentaient une EN moyenne à 1,5/10.

    Conclusion : Cette étude nous a montré que la prise en charge des douleurs périnéales au CHU de Poitiers était globalement satisfaisante. Cette étude sera complétée par le mémoire d’une autre étudiante sage-femme par le recueil de données dans les dossiers obstétricaux de ces femmes.

  • Sexualité et grossesse. Évaluation de la fonction sexuelle pendant la grossesse et ses déterminants, enquête sur les réseaux sociaux    - Praszezynki Louisa  -  16 juin 2022

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    Introduction – La santé sexuelle fait partie intégrante de la santé de chacun avec des effets protecteurs sur certaines pathologiques de la grossesse et du post-partum. Pourtant, les études sur ce sujet restent rares dans la littérature. Nos objectifs sont de décrire la prévalence de la dysfonction sexuelle chez la femme enceinte, d’évaluer les facteurs associés à la dysfonction sexuelle, à la diminution de la satisfaction sexuelle et aux mauvaises connaissances sur ce sujet.

    Méthodologie – Cette étude a été menée sur les réseaux sociaux, par le biais d’un questionnaire anonyme à destination des femmes enceintes francophones. Le questionnaire a permis de collecter les principales caractéristiques des sujets, des informations sur le déroulement de la grossesse et les connaissances sur ce thème. La fonction sexuelle a été évaluée via le Female Sexual Function Index (FSFI). Une analyse multivariée par régression logistique a permis de rechercher les facteurs associés à la dysfonction sexuelle, à la diminution de la satisfaction sexuelle et aux faibles connaissances sur le sujet.

    Résultats – La prévalence de la dysfonction sexuelle représentait 51,9% (n = 110) de notre échantillon, avec une diminution du désir sexuel pour plus de 70%. Plus d’une femme sur trois ont rapporté une satisfaction de leur vie sexuelle diminuée pendant leur grossesse. L’âge inférieur à 25 ans et l’hospitalisation pendant la grossesse étaient associés à une plus forte proportion de dysfonctions sexuelles. Le sujet de la sexualité pendant la grossesse a été abordé par seulement 32% des femmes.

    Conclusion – Les femmes jeunes et les femmes hospitalisées en service de grossesses pathologiques sont les plus touchées par la dysfonction sexuelle. Le sujet est peu abordé auprès des femmes enceintes. Il est nécessaire de mieux conseiller ces femmes enceintes et ces couples afin qu’elles préservent leur qualité de vie sexuelle.

  • La place de père dans un contexte d’allaitement maternel. Etude observationnelle, descriptive, quantitative et transversale auprès de 46 pères    - Lepretre Clemence  -  15 juin 2022

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    Introduction : La place de père a beaucoup évolué au fur et à mesure des époques, actuellement nous sommes face à des pères de plus en plus impliqués et l’allaitement maternel peut être perçu comme un frein à l’établissement de la relation père enfant. C’est pourquoi, nous avons voulu étudier les facteurs qui permettaient au père d’un bébé allaité de trouver sa place et de savoir si l’allaitement en était un frein.

    Méthode : Nous avons mené une étude observationnelle, descriptive, quantitative et transversale réalisée via un questionnaire en ligne. Ce questionnaire destiné aux primi-pères était en deux temps. Un premier durant la grossesse puis un second un mois après la naissance de leur enfant. L’objectif était d’étudier l’implication dans la grossesse, dans l’allaitement, leurs potentielles craintes et leur investissement auprès de leur enfant afin de voir ce qui influençait la mise en place de la relation père-enfant. L’échantillon était composé de 46 pères.

    Résultats : Les pères ayant répondu à l’étude avaient tous trouvé leur place de père à la fin du premier mois. Il s’agissait de pères très investis durant la grossesse : lors des échographies (80.43%), des cours de préparation à la naissance et à la parentalité (69.57%) ou aux consultations (93.48%). Ils étaient impliqués dans le choix de l’allaitement dans 86.95% des cas et informés dessus à 69.57%. Ils avaient été présents et impliqués durant le premier mois, 69.57% des pères avaient pris leur congé paternité. Seulement 13.04% avaient des craintes en anténatal vis-à-vis de l’allaitement. In fine, aucun des pères ayant un bébé allaité exclusivement au sein, ne souhaitait donner de biberon car ils avaient trouvé leur place autrement que via l’alimentation.

    Conclusion : Cette étude a montré que l’implication du père dans la grossesse et dans l’allaitement lui permet d’aborder avec peu de craintes le fait de devenir père et pour cela l’information, l’investissement et la préparation à la naissance en anténatal semblent essentielles. Le fait d’être présent et impliqué dans l’allaitement, les aide à trouver leur place durant le premier mois et à mettre en place une relation père-enfant de qualité et une triade père-mère-enfant équilibrée.

    Il aurait pu être intéressant de mener cette même étude en comparant les réponses des parents qui se tournaient vers un allaitement artificiel et ceux qui se tournaient vers un allaitement maternel.

  • Le frein de langue restrictif. Etat des lieux sur les connaissances et les prises en charge des sages-femmes de la Nouvelle-Aquitaine    - Martin Celia  -  15 juin 2022

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    Introduction : L’ankyloglossie est une anomalie congénitale pouvant entrainer des conséquences sur le développement global du nouveau-né et sur la mise en place d’un allaitement. En l’absence de recommandations nationales ou de consensus de la part des sociétés savantes sur la prise en charge de l’ankyloglossie, nous nous sommes interrogés sur le niveau de connaissances des sages-femmes de la Nouvelle-Aquitaine à ce sujet et sur les pratiques qu’elles réalisaient.

    Matériel et méthode : Pour mener ce mémoire, nous avons réalisé une étude observationnelle transversale. Nous avons interrogé 218 sages-femmes de la Nouvelle-Aquitaine via un auto-questionnaire anonyme.

    Résultats : Le niveau de connaissance des sages-femmes s’est révélé être moyen avec une moyenne de 10,9 sur 20. Les sages-femmes exerçant en milieu libéral et territoriales avaient de meilleures connaissances, dépistaient et orientaient significativement plus que les sages-femmes hospitalières. Les prises en charge étaient diverses allant de l’orientation vers un professionnel à la réalisation de la frénotomie qui n’est pas inscrite dans le référentiel des compétences de la sage-femme. Concernant la formation, la majorité des sages-femmes n’ont pas été formées spécifiquement à cette thématique.

    Conclusion : Une formation des sages-femmes sur les conséquences de l’ankyloglossie et sur son diagnostic permettrait une harmonisation des prises en charge afin de prévenir l’impact d’un frein de langue restrictif sur le développement du nourrisson et de favoriser la mise en place de l’allaitement. Des recommandations nationales ou un protocole inter-réseaux seraient nécessaire afin d’encadrer les pratiques professionnelles.

  • Le vécu des sages-femmes lors de la prise en charge de patientes exerçant une profession médicale    - Charrier Tiffany  -  29 mars 2022

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    Introduction : Diverses études ont été réalisées concernant le vécu du soignant « soigné » mais peu d’entre elles abordent l’effet miroir de cette situation ; c’est-à-dire le vécu du soignant prenant en charge un autre soignant. Nous nous sommes donc intéressés au vécu des sages-femmes lorsqu’elles ont pris en charge une patiente exerçant une profession médicale.

    Matériel et Méthode : Nous avons réalisé une étude qualitative auprès de 12 sages-femmes du public, du privé et en libéral. Les entretiens réalisés leur ont permis d’exprimer leur vécu et leur ressenti vis-à-vis de ce type de prise en charge et de la relation soigné-soignant. Ils leur ont aussi permis d’aborder l’impact que pouvait avoir la profession des patientes sur ceux-là.

    Résultats : Les prises en charge dépendaient de la facilité des patientes à se détacher de leur statut professionnel. Mêmes si les sages-femmes ont été majoritairement à l’aise, professionnelle et exigeante comme d’habitude, les suivis semblaient être plus compliqués. L’objectivité, l’empathie, la neutralité, le stress et les pratiques habituelles ont été modifiés en fonction de la spécialité de la profession. Ces accompagnements se sont révélés enrichissants et valorisants pour les sages-femmes. Elles ont associé les aspects technique et relationnel pour élaborer une relation de confiance. Ainsi, toutes les sages-femmes ont été satisfaites de leur prise en charge.

    Conclusion : Le vécu de chaque prise en charge a varié d’une sage-femme à une autre mais à l’unanimité, elles ont travaillé avec le stress d’accomplir au mieux leur mission. La salle de naissances s’avère être le secteur où les prises en charge ont été le plus difficile. Une étude quantitative pourrait être intéressante pour approfondir ce constat avec un panel de réponses plus important.

  • Le vécu des sages-femmes lors de la prise en charge de patientes exerçant une profession médicale    - Charrier Tiffany  -  29 mars 2022

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    Introduction : Diverses études ont été réalisées concernant le vécu du soignant « soigné » mais peu d’entre elles abordent l’effet miroir de cette situation ; c’est-à-dire le vécu du soignant prenant en charge un autre soignant. Nous nous sommes donc intéressés au vécu des sages-femmes lorsqu’elles ont pris en charge une patiente exerçant une profession médicale.

    Matériel et Méthode : Nous avons réalisé une étude qualitative auprès de 12 sages-femmes du public, du privé et en libéral. Les entretiens réalisés leur ont permis d’exprimer leur vécu et leur ressenti vis-à-vis de ce type de prise en charge et de la relation soigné-soignant. Ils leur ont aussi permis d’aborder l’impact que pouvait avoir la profession des patientes sur ceux-là.

    Résultats : Les prises en charge dépendaient de la facilité des patientes à se détacher de leur statut professionnel. Mêmes si les sages-femmes ont été majoritairement à l’aise, professionnelle et exigeante comme d’habitude, les suivis semblaient être plus compliqués. L’objectivité, l’empathie, la neutralité, le stress et les pratiques habituelles ont été modifiés en fonction de la spécialité de la profession. Ces accompagnements se sont révélés enrichissants et valorisants pour les sages-femmes. Elles ont associé les aspects technique et relationnel pour élaborer une relation de confiance. Ainsi, toutes les sages-femmes ont été satisfaites de leur prise en charge.

    Conclusion : Le vécu de chaque prise en charge a varié d’une sage-femme à une autre mais à l’unanimité, elles ont travaillé avec le stress d’accomplir au mieux leur mission. La salle de naissances s’avère être le secteur où les prises en charge ont été le plus difficile. Une étude quantitative pourrait être intéressante pour approfondir ce constat avec un panel de réponses plus important.

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