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Médecine d’urgence

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  • L'impact du Nirsévimab sur les hospitalisations pour Bronchiolite au cours de l'hiver 2023-2024 au CHU de Poitiers    - Berroir Lise  -  04 octobre 2024  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La bronchiolite constitue un problème de santé publique majeur, avec une atteinte de 30% des enfants de moins d'un an. Pour l'épidémie hivernale de 2023-2024, a été mis en place un nouveau traitement préventif : le nirsévimab. Cet anticorps monoclonal, permet une : protection de cinq mois, après réalisation d'une injection intramusculaire. L'objectif de cette étude était d'évaluer l'impact du nirsévimab sur l'hospitalisation des enfants atteints de bronchiolite

    Méthode : Réalisation d'une étude observationnelle rétrospective mono-centrique menée aux urgences du CHU de Poitiers, lors des deux épidémies hivernales du 1er novembre au 28 (ou 29) février des années 2022-2023 et 2023-2024.

    Résultats : Au total, 731 patients ont été inclus dans l'étude, 413 durant l'épidémie de 20222023 et 318 durant l'épidémie de 2023-2024. Il est constaté un taux d'hospitalisation de 40,7% en 2022-2023 et 43,1% en 2023-2024 sans différence statistique significative entre les deux épidémies, avec une augmentation significative du nombre de patients hospitalisés en Unité d'Hospitalisation de Courte Durée (UHCD) (17,9 % versus 9 % : p < 0.001). Il est également observé une réduction du nombre de passages aux urgences de 23%.

    Conclusion : Aucune différence significative dans le taux d'hospitalisation n'est observée entre les deux épidémies hivernales malgré la mise en place du nirsévimab. Cependant, il est mis en évidence une réduction du nombre de passages aux urgences.

  • Évaluation de l'utilisation de la Kétamine aux urgences pédiatriques au sein des centres hospitaliers de Poitou-Charentes    - Hoareau Manon  -  04 octobre 2024  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Nous avons constaté une prise en charge insuffisante de la douleur aux urgences pédiatriques. La douleur provoquée par les soins est la plus fréquente. La Kétamine a prouvé son efficacité et sa sécurité d'utilisation, mais elle est peu utilisée.

    Matériel et méthodes : Il s'agit d'une étude observationnelle descriptive multicentrique réalisée à partir d'un questionnaire en ligne, diffusé par voie électronique de février à mai 2024. L'objectif principal de notre étude était de montrer s'il existait, ou non, un frein à la prescription de Kétamine en évaluant la proportion des soignants n'utilisant pas cette molécule. Les objectifs secondaires étaient de déterminer quels freins pouvaient impacter sa prescription, tels que la profession, la spécialité, l'ancienneté et la formation.

    Résultats : 80 questionnaires ont été analysés. 45% de la population étudiée déclarent ne pas utiliser la Kétamine dans leur pratique courante. Les IDE et les internes ressentent avoir le moins de connaissances sur le sujet (p=0,05). Ces derniers ont majoritairement peur des effets indésirables (p=0,045). Les soignants avec moins d'expérience utilisent moins la Kétamine (p=0,022). Ils craignent d'autant plus les surdosages (p=0,007) et les effets indésirables (p=0,042). Cette population indique vouloir plus de formations pratiques (p=0,008). La spécialité et la formation ne semble pas influencer son utilisation (respectivement p=0,072 et p=0.115).

    Conclusion : Il existe un frein à la prescription de la Kétamine. La mise en place de formations pratiques pourrait pallier au manque de connaissance et aux craintes ressentis par les moins expérimentés, tels que les internes et les infirmières.

  • Impact de la régulation médicale en période nocturne pour l'accès aux urgences du centre hospitalier de Niort (79) sur le taux d'hospitalisation    - Blayac Laurianne  -  30 septembre 2024  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La surfréquentation des urgences est une problématique mondialement connue, en constante augmentation depuis les années 1990. Elle est associée à des conséquences néfastes pour les patients et pour les soignants. Devant cette problématique, le Gouvernement Français a édité des recommandations, ayant permis la mise en place du SAS depuis 2020 afin d'améliorer l'orientation des patient dans les filières de soins. En accord avec ces recommandations, le CH de Niort a mis en place un système d'accès régulé aux urgences depuis le 3 juillet 2023 entre 20 heures et 8 heures le lendemain matin.

    Matériel et méthodes : Cette étude rétrospective, observationnelle, monocentrique, compare la période nocturne d'accès libre en 2022 et la période nocturne d'accès régulé en 2023 dans le service des urgences du CH de Niort. Le critère de jugement principal est le taux d'hospitalisation depuis les urgences. Les critères de jugement secondaires sont : le nombre de passages aux urgences, l'adressage des patients aux urgences, l'orientation du patient dans les urgences, la gravité des patients et le nombre d'appels au SAMU Centre 15).

    Résultats : On observe une augmentation significative de 1,7% des hospitalisations depuis les urgences, associée à une diminution de 3,5% des passages aux urgences, une augmentation de 1,2% des appels au SAMU Centre 15 et une augmentation des proportions de CCMU 3 et GEMSA 4.

    Conclusion : Ce système de régulation médicale pour l'accès aux urgences semble être une piste intéressante pour limiter la surfréquentation. Il permet une diminution du nombre de passages aux urgences permettant une meilleure utilisation du temps médical pour les patients les plus graves. Cependant, il augmente le travail du médecin régulateur. Enfin, ce système seul ne suffit probablement pas à juguler l'augmentation des consultations aux urgences.

  • Création d'une formation en secours routier à destination des équipes SMUR à l'aide d'une vidéo 360°    - Abjean Maxime  -  24 septembre 2024  - Thèse d'exercice

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    Introduction : L'observatoire national interministériel de la sécurité routière recense sur le territoire français en 2023 plus de 16 000 blessés graves et 3 398 décès, avec une moyenne dans les territoires de l'ancienne région Poitou-Charentes supérieure à la moyenne nationale. Les patients traumatisés graves dans un contexte d'accident de la voie publique (AVP) sont pris en charge par le SMUR dès le pré-hospitalier, en coordination avec les sapeurs-pompiers. La simulation est un outil recommandé pour la formation pluriprofessionnelle aux soins critiques. Cette étude évalue la performance d'une formation avec simulation immersive par vidéo 360° en secours routier pour les équipes médicales.

    Méthodes : Une population d'internes en médecine d'urgence a répondu à un questionnaire pré-test portant sur le secours routier. Les apprenants ont été invités par la suite à lire un référentiel de secours routier, puis à effectuer une simulation par vidéo immersive 360° de la prise en charge d'un AVP. Un questionnaire post-test immédiat évaluait la satisfaction des internes et l'évolution de leurs connaissances en secours routier, selon les 2 premiers niveaux de l'échelle de Kirkpatrick. La satisfaction a été évaluée par une échelle de Likert, tout comme la cyber-sickness. Les internes ont ensuite répondu à un questionnaire post-test à 1 mois.

    Résultats : Le taux de satisfaction est supérieur à 80 % pour 10 des 12 items portant sur la satisfaction. La médiane des réponses au questionnaire pré-test est de 4 sur 23 (3-5), 5,5 (4,25-7) au post-test immédiat et 4 (3-6,75) au post-test à 1 mois. Dans le sous-groupe d'internes ayant lu le référentiel, les notes aux questionnaires post-test immédiat et à 1 mois sont respectivement à 7(6,5-10,5) et 4(3,5-8). Le taux de satisfaction est supérieur à 80 % pour 3 des 4 items portant sur la cyber-sickness.

    Discussion : Les 18 apprenants sont satisfaits par la formation et son support de vidéo 360°. L'évolution des connaissances est modeste en post-test immédiat et à 1 mois, meilleure dans le sous-groupe des 11 internes ayant lu le référentiel. La cyber-sickness n'a pas entravé l'apprentissage des internes.

    Conclusion : La formation créée (vidéo 360° avec référentiel en secours routier) a permis une expérience d'apprentissage satisfaisante pour les internes en médecine d'urgence. L'évolution des connaissances est toutefois modeste.

  • Optimisation de l'accès aux soins intensifs par règle décisionnelle chez les patients admis pour intoxication médicamenteuse volontaire : Etude SCREENER    - Estèves Marina  -  23 septembre 2024  - Thèse d'exercice

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    Objectif : L'intoxication médicamenteuse volontaire (IMV) est un motif fréquent de recours aux services d'urgences. Malgré une mortalité globale faible, la difficulté résulte en l'identification des patients à risque de dégradation. Il n'existe pas de protocole ou score permettant de dépister les patients à risque de défaillance d'organe pouvant conduire à une admission en unité de soins intensifs. La règle COBRA prédit avec une excellente valeur prédictive négative (VPN) la non-nécessité d'intervention intensive dans les suites d'une IMV dès H3 de prise en charge. L'objectif principal de notre étude était d'évaluer les performances discriminantes du score COBRA calculé à H3 pour prédire la non-admission en unité de SI.

    Matériel et méthode : Nous avons analysés prospectivement 132 dossiers de patients intoxiqués majeurs au Centre Hospitalier Universitaire de Poitiers durant quatorze mois. Nous n'avons pas inclus les patients vulnérables ; intubés en préhospitalier ; intoxiqués de manière isolée à l'alcool ou au paracétamol ; présentant une intoxication à une galénique de type “libération prolongée” ou à un toxique lésionnel ; associant une tentative de suicide lésionnelle. Le critère de jugement principal correspondait à la VPN du score COBRA dans la prédiction de non-admission en unité de SI à H3 de prise en charge. Les objectifs secondaires étaient d'évaluer les performances discriminantes du score COBRA calculé à H0 et H6 pour prédire la non-admission en unité de SI. Nous avons également évalué la mortalité au sein de la cohorte et quantifié le nombre de patients nécessitant des interventions relatives à l'intoxication.

    Résultats : Sur 528 patients screenés, 132 patients ont été inclus et analysés, 22 patients (16,7%) ont été admis en soins intensifs. La population de l'étude était marquée par une majorité de femmes (65%) avec un âge médian de 40,5 ans [25 ; 51,25 années]. II n'était retrouvé aucune différence démographique significative entre les deux groupes. Le score COBRA à H3 de prise en charge présentait une VPN à 96,7% [88,6 ; 99,1]. La VPN calculée à H0 était de 89,5 % [68,5 ; 97,1] ; à H6 de 97,1% [82,8 ; 99,6]. Sur les 22 patients admis aux soins intensifs, 9 ont nécessité un support ventilatoire par ventilation mécanique, 1 patient a nécessité un support vasopresseur. 17 patients, soit 12,9% de tous les patients n'ont pas nécessité d'intervention spécifique autre qu'une surveillance neurologique aux urgences. Sur les 51 interventions relevant des soins intensifs, 14 interventions (27,5%) des interventions de SI ont été réalisées aux urgences. La mortalité globale était nulle.

    Conclusion : La règle COBRA, malgré certaines limites, apparaît comme un outil intéressant de triage pour les urgentistes afin de dépister rapidement les patients intoxiqués les moins à risque de dégradation clinique. Le développement de protocoles de soins et d'un recueil national semblent intéressants afin d'uniformiser les prises en charge chez ces patients.

  • Etude de la morbi-mortalité des patients gériatriques passant une nuit sur un brancard aux urgences    - Guilbot Mélissa  -  23 septembre 2024  - Thèse d'exercice


  • Identification de facteurs CLINIques prédictifs de BACTériémie aux Urgences du CHU de Poitiers : Etude CLINIBACT    - Deschatres Chloé  -  16 septembre 2024  - Thèse d'exercice


  • Développement d'un score prédictif de support ventilatoire précoce chez les patients contactant le SAMU pour une dyspnée aiduë : Étude observationnelle prospective multicentrique (RedyV)    - Mimouni Pauline  -  28 juin 2024  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La dyspnée aiguë est un motif fréquent (8%) d'appel en régulation médicale. Les étiologies peuvent être multiples et nécessitent des thérapeutiques spécifiques, notamment le recours à un support ventilatoire (VNI, OHD, VM + IOT). Ce dernier a montré une réduction de la morbi-mortalité des patients en détresse respiratoire lors de leur emploi en préhospitalier.

    Matériel et méthode : Il s'agissait d'une étude observationnelle prospective multicentrique, réalisée du 22 janvier 2024 au le 07 mars 2024. Au total, 649 patients ont été inclus. L'objectif était de développer un score prédictif de support ventilatoire utilisable précocement, dès le premier appel à la régulation, en validant prospectivement la performance des critères de gravité d'une dyspnée. L'objectif secondaire était de comparer la performance de ce score à l'intuition du MRU.

    Résultats : 8% (n = 49) des patients ont eu recours à un support ventilatoire dans l'heure suivant la prise en charge. Les facteurs prédictifs du besoin de soutien ventilatoire statistiquement significatifs étaient l'incapacité à faire des phrases complètes (OR = 8,92, IC95% [3,61 – 22,05]) et le balancement thoraco-abdominal (OR = 2,24, IC95% [1,14 – 4,43]). Les autres facteurs prédictifs qui étaient l'altération de la conscience, l'auto-évaluation de l'inconfort de la dyspnée > 7/10, l'antécédent de maladie pulmonaire chronique, et la cyanose n'étaient pas statistiquement significatifs. Le score TeLePoR a été développé en fonction des points attribués aux facteurs de risques associés de manière indépendante au recours à un support ventilatoire, disponibles dès l'appel initial aux Centres 15. L'aire sous la courbe du score TeLePoR avait une performance comparable à celle l'intuition du régulateur médical, avec respectivement AUC = 0,835 (IC95% [0,785 – 0,844]) et AUC = 0,836, valeur p = 0,923.

    Conclusion : Ces résultats observationnels suggèrent que le score TeLePoR pourrait servir d'outil d'évaluation de la dyspnée dès l'appel au Centre 15.

  • Réalisation d'une évaluation des pratiques professionnelles de la sédation procédurale aux urgences : Etude RANTAnPlaM. Etude réalisée dans le service des urgences du Centre Hospitalier Universitaire de Poitiers    - Duviquet Juliette  -  28 juin 2024  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Il n'existe pas de recommandations pour une pratique consensuelle de la sédation procédurale ce qui peut être source de défaut de prise en charge de la douleur. L'objectif de notre étude était d'évaluer l'amélioration de la prise en charge douleur lors de l'utilisation de la sédation procédurale aux urgences du CHU de Poitiers après la mise en place d'un protocole de service et la formation des équipes médicales et paramédicales.

    Matériel et méthodes : Il s'agissait d'une étude analytique prospective type avant-après entre le 20 octobre 2022 et le 20 avril 2024 ; 79 patients ont été inclus avec respectivement 35 et 38 pour les périodes avant et après protocole. L'objectif principal de l'étude était la différence d'évaluation de la douleur sur l'EN, avant et après la mise en place du protocole et des sessions de formation. Les objectifs secondaires étaient l'évaluation de l'incidence des effets indésirables, l'évaluation de l'anxiété, et l'évaluation du nombre de tentatives avant et après protocole et sessions de formation.

    Résultats : La différence d'évaluation de la douleur sur l'EN n'était pas améliorée après la mise en place du protocole (Delta EN 4.21 vs 3.76, p=0.61). Le nombre de tentatives nécessaires était diminué (1.34 vs 1.08, p=0.032). Aucune différence significative n'a été retrouvée pour les autres critères étudiés.

    Discussion : La mise en place du protocole de service n'a pas permis d'améliorer la prise en charge de la douleur, mais elle a permis de diminuer le nombre de tentatives pour réussir le geste. Il semble pertinent de conduire un essai avec un plus grand effectif de patients, tout en intégrant toutes les techniques disponibles dans notre protocole.

  • Le traumatisme crânien pédiatrique : évaluation de l'orientation aux urgences pédiatriques par la régulation médicale après formation par E-learning    - Houdaille Valentin  -  10 juin 2024  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le traumatisme crânien pédiatrique est un motif fréquent d'admission au sein des urgences. Bien que souvent bénin, il peut avoir d'importantes répercussions. La principale difficulté réside dans l'orientation de ces patients, ce qui a motivé la réalisation d'un protocole d'aide à la régulation lors d'un travail précédent. Ce protocole était enseigné aux médecins régulateurs du CHU de Poitiers à partir d'une formation par E-learning. Notre étude a pour objectif principal de mesurer l'impact de cette formation sur l'orientation des traumatismes crâniens pédiatriques aux urgences pédiatriques par la régulation médicale.

    Matériel et méthode : Il s'agit d'une étude observationnelle monocentrique de type avant/après. Nous avons référencé les traumatismes crâniens reçus aux urgences pédiatriques du CHU de Poitiers trois mois avant la formation par E-learning (octobre à décembre 2021) puis ceux reçus trois mois après (aout à octobre 2022). Nous avons ainsi retenu tous les dossiers adressés par la régulation médicale permettant d'évaluer l'orientation. Parallèlement, nous étudions les patients bénéficiant d'un scanner cérébral et/ou d'une surveillance neurologique aux urgences.

    Résultats : Quatre-vingt-dix-sept dossiers ont été orientés par la régulation médicale dont soixante-quatre par des médecins régulateurs formés. Nous n'avons pas montré de différence significative dans l'orientation des patients entre avant et après formation. La majorité était bien orientée selon le protocole de régulation, et ne nécessitait ni de scanner ni de surveillance spécialisée.

    Discussion : Notre étude interroge sur l'applicabilité de ce protocole pour la régulation médicale. Aussi, l'on constate que de nombreux patients sont reçus aux urgences sans contact médical initial. Il serait alors intéressant d'ajuster ce protocole en proposant d'avantage de réévaluations à distance par la régulation. De plus, il semble pertinent de développer des actions de santé publique pour sensibiliser la population générale. Nous proposons un nouveau protocole de régulation qu'il serait intéressant d'étudier au cours d'une future étude.

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