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Titre : Evaluation de la qualité méthodologique des thèses de médecine générale des promotions 2017, 2018 et 2019 de la faculté de Poitiers. Etude observationnelle descriptive rétrospective.

Introduction : La thèse d'exercice est une étape incontournable de la fin des études médicales mais c'est aussi l'occasion d'un travail de recherche destiné à enrichir les connaissances d'une spécialité. Ce travail se doit d'être de bonne qualité pour espérer être diffusé. A Poitiers, le taux de valorisation des thèses est faible et fait questionner la qualité de ces dernières. L'objectif principal de cette thèse est d'évaluer la qualité méthodologique des thèses poitevines.

Méthode : Nous avons réalisé une étude observationnelle, descriptive et transversale de la qualité des thèses de médecine générale produites par les internes des promotions 2017, 2018 et 2019 inscrits à la faculté de médecine de Poitiers. Une double évaluation a été réalisée indépendamment par les deux thésardes selon les grilles de référence STROBE, COREQ et PRISMA. En cas de divergence, un consensus était recherché par concertation. Il a été réalisé une analyse descriptive avec expression des résultats en pourcentage d'items présents.

Résultats : 98 thèses ont été incluses. Le taux d'items présents toutes méthodologies confondues est de 73,15%. Les thèses quantitatives ont un taux d'items présents de 72,17%. Les thèses qualitatives ont un taux d'items présents de 80,83%. Les revues de la littérature ont un taux d'items présents de 60,48%. Il n'existe pas de différence significative entre les taux d'items présents à Poitiers avec ceux de La Réunion ou de Grenoble.

Conclusion : Les thèses poitevines semblent être de bonne qualité méthodologique, cela n'explique donc pas le faible taux de valorisation. Une amélioration de la qualité méthodologique reste possible et de nouveaux outils sont développés en ce sens.

Titre : Évaluation de la qualité méthodologique des thèses de médecine générale des promotions 2017, 2018 et 2019 de la faculté de Poitiers. Étude observationnelle descriptive rétrospective.

Introduction : La thèse d'exercice est une étape incontournable de la fin des études médicales mais c'est aussi l'occasion d'un travail de recherche destiné à enrichir les connaissances d'une spécialité. Ce travail se doit d'être de bonne qualité pour espérer être diffusé. A Poitiers, le taux de valorisation des thèses est faible et fait questionner la qualité de ces dernières. L'objectif principal de cette thèse est d'évaluer la qualité méthodologique des thèses poitevines.

Méthode : Nous avons réalisé une étude observationnelle descriptive et transversale de la qualité des thèses de médecine générale produites par les internes des promotions 2017, 2018 et 2019 inscrits à la faculté de médecine de Poitiers. Une double évaluation a été réalisée indépendamment par les deux thésardes selon les grilles de référence STROBE, COREQ et PRISMA. En cas de divergence, un consensus était recherché par concertation. Il a été réalisé une analyse descriptive avec expression des résultats en pourcentage d'items présents.

Résultats : 98 thèses ont été incluses. Le taux d'items présents toutes méthodologies confondues est de 73,15%. Les thèses quantitatives ont un taux d'items présents de 72,17%. Les thèses qualitatives ont un taux d'items présents de 80,83%. Les revues de la littérature ont un taux d'items présents de 60,48%. Il n'existe pas de différence significative entre les taux d'items présents à Poitiers avec ceux de La Réunion ou de Grenoble.

Conclusion : Les thèses poitevines semblent être de bonne qualité méthodologique, cela n'explique donc pas le faible taux de valorisation. Une amélioration de la qualité méthodologique reste possible et de nouveaux outils sont développés en ce sens.

Face à l’augmentation conséquente du nombre de protheses de genou posées chaque année et par conséquent le nombre croissant de reprises qui en découle la question se pose de savoir quel serait le matériau idéal qui pourrait composer les augments comblant le déficit osseux.

Pour se faire les composés tantale et titane poreux ont été étudiés afin de savoir si l’un avait une supériorité d’utilisation par rapport à l’autre. Le composé titane est un métal très utilisé en orthopédie et bien connu pour ses propriétés bio-compatibles et sa résistance. Le tantale quant à lui est encore peu utilisé mais donne des résultats prometteurs.

Les deux métaux ont alors été étudiés sur les aspects suivants: leurs propriétés chimiques, avec la corrosion, leurs propriétés mécaniques avec le module d’élasticité, la résistance ultime, la porosité, la biocompatibilité, l’ostéo-intégration, l’adhérence bactérienne, le risque de métallose et les études cliniques.

On observe alors que le tantale et le titane ont tous deux des avantages par rapport à l’autre selon le critère évalué, néanmoins aucun des deux matériaux ne semble apporter une efficacité d’utilisation supérieure. Le choix de l’utilisation se fera alors à l’appréciation du médecin en fonction des besoins du patient et en fonction des couts ce qui concède un net avantage au titane qui est beaucoup moins cher que le tantale.

Introduction : Le Reflux Gastro-Œsophagien (RGO) symptomatique chez l’enfant de moins de 1 an est une problématique fréquemment rencontrée par tout médecin généraliste, en soins primaires. La prévalence maximale du RGO est de 60 % à 70 % chez les enfants de 4 mois. Le RGO devient pathologique lorsque ce dernier entraine des symptômes cliniques sur les plans digestif (vomissements), cardio-respiratoire (apnée, bradycardie) et comportemental (pleurs). Cette situation entraine une prescription d’un traitement médicamenteux avec notamment le recours aux Inhibiteurs de la Pompe à Protons (IPP).

Objectif : Cette revue systématique de littérature a pour objectif de déterminer l’efficacité des IPP sur les symptômes de RGO chez les enfants de moins de 1 an.

Méthodologie : Le protocole de recherche de cette revue de littérature, défini a priori, suit les recommandations PRISMA-P 2020. Une recherche documentaire systématique a été effectuée sur les bases de données PubMed, Cochrane Library et Embase. Toutes les études randomisées, publiées avant le 8 juillet 2023, comparant l’efficacité d’un IPP contre placebo sur les symptômes de RGO chez les enfants de moins de 1 an ont été inclues.

Résultats : A partir des 385 études identifiées, une totalité de 9 études cliniques randomisées comparant un IPP à un placebo ont été inclues. L’analyse narrative a permis de mettre en avant des résultats concordants. Huit études n’ont pas montré de différence significative pour l’efficacité des IPP en comparaison au placebo sur les symptômes cliniques de RGO. Seule une étude met en avant une amélioration des symptômes avec le lansoprazole mais cette étude présente un risque global de biais élevé. Cinq études ont mis en évidence une amélioration significative des symptômes (pleurs, irritabilité, vomissements, etc.) au cours des études indépendamment du traitement administré.

Conclusion : Cette revue de littérature montre une absence de preuve d’efficacité des IPP sur les symptômes de RGO chez les enfants de moins de un an. Cette étude confirme que l’amélioration des symptômes de reflux gastro-œsophagien au cours de la première année évolue indépendamment du traitement reçu (inhibiteurs de la pompe à protons ou placebo).

Contexte : Ces dernières années, nous assistons à une baisse de la démographie médicale, surtout dans un département comme la Charente où quasiment toutes les communes sont classées en ZIP par l'ARS. En revanche, on observe une augmentation de l'effectif des sage-femmes, notamment en libéral. Il n'existe pas de recommandation sur la fréquence du suivi gynécologique mais avec la mise en place du dépistage collectif du cancer du sein et du cancer du col de l'utérus, un suivi régulier paraît indispensable. En lien avec les changements de démographie médicale, le concept de praticien de premier recours gynécologique par le médecin généraliste et la sage-femme apparait. On assiste donc à une multiplication des types de praticiens compétents pour la consultation gynécologique.

Objectifs : L'objectif principal de l'étude était de comprendre les critères de choix de praticien pour une consultation gynécologique. Les objectifs secondaires étaient de déterminer l'influence de la désertification médicale sur le choix de praticien et la place que les femmes accordent à leur médecin traitant dans leur prise en charge gynécologique.

Méthode : Une étude qualitative par entretiens individuels semi-dirigés a été menée. Onze entretiens ont été réalisés. Le recrutement était multicentrique dans plusieurs cabinets de médecine générale en Charente sur deux périodes : du 14/03/23 au 12/05/23 et du 15/09/23 au 27/10/23.

Résultats : Il existe 2 catégories de patientes : celles qui souhaitent absolument consulter un spécialiste pour tout motif gynécologique car le juge le plus compétent des praticiens et celles qui ont d'autres critères de choix comme la relation développée avec le praticien. Il apparaît que bon nombre de patientes n'ont pas connaissance des compétences des praticiens de premiers recours. La désertification médicale induit une difficulté d'accès au gynécologue. Les femmes se tournent donc vers les praticiens de premier recours pour leur suivi classique ou pour prendre un avis médical en cas d'urgence gynécologique. Les patientes faisant ce choix apprécient la proximité géographique du praticien ainsi que les délais courts de rendez-vous. Le médecin généraliste effectuant le suivi gynécologique, souvent détenteur d'un DU ou DIU, dédie un rendez-vous spécifique. C'est un moment privilégié où l'écoute est au premier plan. Conclusion : Il paraît évident qu'une communication plus large est nécessaire afin que toutes les femmes aient ces connaissances des compétences des praticiens de premier recours et se dirigent davantage vers eux. Cela faciliterait l'accès au gynécologue quand réellement indispensable, c'est-à -dire lors d'une pathologie. Une dynamique de coopération entre les sage-femmes, les médecins généralistes et les gynécologues-obstétriciens et médicaux semble donc indispensable.

Les rotavirus (RV) constituent les principaux agents des gastro-entérites aiguës chez l’enfant de moins de 2 ans. Ils sont l'un des principaux vecteurs de la surcharge hospitalière hivernale et des consultations ambulatoires. Malgré les mesures de préventions primaires mises en place en période épidémique, celles-ci restent insuffisantes. En 2006, deux vaccins contre le rotavirus (RV) obtiennent une AMM et sont commercialisés en France. Cependant ces vaccins sont relativement peu prescrits, notamment du fait de divergences de recommandation ces dernières années. En juin 2022, la HAS établit de nouvelles recommandations en faveur du vaccin, il devient remboursé en Novembre 2022. Ces dernières années, au vu des diverses prises de position sur la vaccination antirotavirus (VAR) et des nouvelles recommandations, nous nous sommes demandé quelles étaient les pratiques des pédiatres libéraux (PL) et des médecins généralistes (MG) de l'ex région Poitou-Charentes vis à vis de ce vaccin. Matériel et méthodes : Nous avons réalisé une étude observationnelle, transversale, analytique auprès des MG et PL de l'ancienne région Poitou-Charente. Après avoir effectué une randomisation des MG, nous avons envoyé des questionnaires par boite postale début Mai 2023, auprès de 261 MG et des 48 PL . L'ensemble des questionnaires a été réceptionné de Mai à Juillet 2023. Résultats : Le taux de réponse est de 42 %. 61% des MG ont déclaré ne jamais proposer la vaccination. L'ensemble des PL interrogés la propose. Les freins les plus fréquemment évoqués sont la possibilité d'effets indésirables (IIA) et les divergences de recommandation. Malgré les nouvelles recommandations et le remboursement du vaccin, la majorité des MG à 64% et 21% des PL ne proposeront pas systématiquement la vaccination. Les résultats semblent similaires à ceux retrouvés en 2019 par Corette J. dans le département de l'Oise. Conclusion : La VAR reste sous-proposée par les MG malgré les nouvelles recommandations de la HAS.

Introduction : L'obésité infantile a connu une augmentation importante de sa prévalence avec des conséquences sur la santé physique et psychique à court et long termes représentant un enjeu de santé publique. De nombreux mécanismes rentrent en jeu dans l'obésité et notamment le mode de vie avec des habitudes alimentaires et physiques qui doivent se travailler avec l'ensemble de la famille pour des modifications pérennes. Améliorer la compréhension des perceptions parentales du risque pour la santé de l'obésité de leur enfant et de leurs attentes pourrait aider à améliorer l'offre de soins pour répondre à leurs demandes.

Objectif : Notre objectif principal était d'étudier le lien entre les connaissances des risques pour la santé de l'enfant et les freins des parents d'enfants en situation d'obésité suivis aux Terrasses. Notre objectif secondaire était de décrire les connaissances et les freins pouvant impacter cette prise en charge.

Matériel et méthode : En 2023, une enquête qualitative par questionnaire distribué aux parents d'enfants pris en charge aux Terrasses, centre d'accueil d'enfant en situation d'obésité de niveaux 2 et 3, à Niort, a été menée sur la base du volontariat.

Résultats : Les conséquences de l'obésité sur la santé sont déclarées comme bien connues par les parents d'enfant en situation d'obésité. Cependant on remarque que les conséquences psychologiques sont rarement reconnues comme des complications de l'obésité bien qu'elles soient souvent révélées comme la cause d'une décision de prise en charge médicale, du fait du mal-être et du harcèlement subis souvent engendrés par l'obésité.

Conclusion : Les conséquences physiques sont nombreuses, connues et souvent réversibles chez l'enfant. Les conséquences psychiques sont moins reconnues comme telles mais avec un impact majeur sur la santé psychique de l'enfant à court et long terme. L'isolement, le mal-être et le harcèlement sont souvent la raison d'un recours à une prise en charge médicale. Les médecins généralistes sont la première ressource des parents d'enfant en situation d'obésité, ils attendent d'eux des conseils et une orientation adaptée pour la prise en charge de leur enfant. Cette étude révèle que l'offre de soins ne répond pas toujours à leur demande. Le médecin généraliste a un devoir de dépistage de l'obésité mais aussi des conséquences psychologiques qui peuvent en découler.

Les rotavirus (RV) constituent les principaux agents des gastro-entérites aiguës chez l'enfant de moins de 2 ans. Ils sont l'un des principaux vecteurs de la surcharge hospitalière hivernale et des consultations ambulatoires. Malgré les mesures de préventions primaires mises en place en période épidémique, celles-ci restent insuffisantes. En 2006, deux vaccins contre le rotavirus (RV) obtiennent une AMM et sont commercialisés en France. Cependant ces vaccins sont relativement peu prescrits, notamment du fait de divergences de recommandation ces dernières années. En juin 2022, la HAS établit de nouvelles recommandations en faveur du vaccin, il devient remboursé en Novembre 2022. Ces dernières années, au vu des diverses prises de position sur la vaccination antirotavirus (VAR) et des nouvelles recommandations, nous nous sommes demandé quelles étaient les pratiques des pédiatres libéraux (PL) et des médecins généralistes (MG) de l'ex région Poitou-Charentes vis à vis de ce vaccin.

Matériel et méthodes : Nous avons réalisé une étude observationnelle, transversale, analytique auprès des MG et PL de l'ancienne région Poitou-Charente. Après avoir effectué une randomisation des MG, nous avons envoyé des questionnaires par boite postale début Mai 2023, auprès de 261 MG et des 48 PL . L'ensemble des questionnaires a été réceptionné de Mai à Juillet 2023.

Résultats : Le taux de réponse est de 42 %. 61% des MG ont déclaré ne jamais proposer la vaccination. L'ensemble des PL interrogés la propose. Les freins les plus fréquemment évoqués sont la possibilité d'effets indésirables (IIA) et les divergences de recommandation. Malgré les nouvelles recommandations et le remboursement du vaccin, la majorité des MG à 64% et 21% des PL ne proposeront pas systématiquement la vaccination. Les résultats semblent similaires à ceux retrouvés en 2019 par Corette J. dans le département de l'Oise.

Conclusion : La VAR reste sous-proposée par les MG malgré les nouvelles recommandations de la HAS.

Introduction : Les troubles musculosquelettiques constituent un sujet majeur de santé publique. Si l'existence de tels troubles est documentée chez les professionnels de la petite enfance, elle l'est beaucoup moins chez les parents de jeunes enfants. Ceux-ci semblent pourtant présenter des facteurs de risque comparables de développer des TMS. L'objectif principal était d'estimer la prévalence des symptômes musculosquelettiques chez les parents de jeunes enfants. Les objectifs secondaires étaient d'évaluer l'impact de ces troubles en médecine générale et de mettre en évidence des facteurs associés à leur présence.

Population et Méthodes : Auto-questionnaire distribué par les médecins généralistes et pédiatres libéraux de la Vienne et des Deux-Sèvres aux parents d'enfants de 6 mois à 3 ans vus en consultation (à l'exclusion des patientes enceintes et des parents d'enfants de moins de 6 mois).

Résultats : Quatre-vingt-douze patients ont été inclus. 81,5% ont rapporté l'existence de symptômes musculosquelettiques dans les trois mois précédant leur inclusion. Parmi les sujets « symptomatiques », plus d'un tiers (37,3%) d'entre eux se disaient limités dans les actes de la vie quotidienne en raison de ces symptômes et près de la moitié (45,3%) déclaraient avoir consulté un médecin pour ce motif. Seule la nature de l'activité professionnelle exercée était associée de manière significative à la présence de symptômes musculosquelettiques.

Discussion : Les symptômes musculosquelettiques sont présents chez la majorité des parents de jeunes enfants. Leur impact doit donc être pris en compte par le médecin généraliste qui suit la famille. Des études complémentaires permettraient d'identifier des facteurs de risques de développer des symptômes musculosquelettiques qui soient propres à cette population.

La pratique du trail s'est développée rapidement ces dernières années, attirant un grand nombre de coureurs amateurs pour sa convivialité et sa proximité avec la nature. L’évolution du traileur durant le parcours se fait au contact d’une nature préservée aussi rude que fragile, dans un but de communion avec l’environnement traversé, qui pourra être exigeante à la fois pour le corps et l’esprit.

Plusieurs études ont rapporté des traumatismes vécus par des coureurs expérimentés lors de compétitions de longue distance. En effet, des pathologies ostéoarticulaire (ex : entorse de cheville), musculaires (ex : crampes), tendineuses (ex : syndrome de l’essuie-glace) et cutanées (ex : ampoules) ont souvent été retrouvées. Cependant, peu d’études ont rendu compte des connaissances en épidémiologie et en prévention des blessures de cette population amateur.

Dans le cadre de leur pratique, les pharmaciens d'officine peuvent être amenés à prodiguer des conseils adaptés en cas de pathologie des membres inférieurs découverte lors d'un trail et même à administrer les premiers soins nécessaires au traitement de telles blessures.

L’objectif de cette thèse est de détailler les pathologies les plus fréquemment rencontrées au cours de la pratique du trail, y compris les plus bénignes, et de s’interroger sur le rôle de conseil du pharmacien d’officine auprès de ces pratiquants. Pour cela, nous avons élaboré et diffusé un questionnaire auprès des traileurs dont le but principal était d’établir l’épidémiologie et la typologie des blessures des membres inférieurs auxquelles ils ont été confrontés. L’objectif secondaire de cette enquête était de savoir vers quel professionnel de santé ces derniers s’orientent.