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Dernières soutenances

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  • Quels sont les freins rapportés par les médecins généralistes du Lot-et-Garonne sur l'utilisation du test ERTL4 en consultation courante ?    - Gyasi Béatrice  -  11 juin 2018  - Thèse d'exercice

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    Le test ERTL4 est un test de dépistage recommandé pour dépister les troubles du langage oral chez les enfants de 3 ans 9 mois à 4 ans 6 mois. Le but étant de dépister précocement les troubles du langage oral afin de mettre en place rapidement une prise en charge orthophonique. L'objectif était d'explorer les freins perçus par les médecins généralistes lot-et garonnais à l'utilisation du test ERTL4 en consultation courante. Nous avons utilisé une méthode qualitative en faisant des focus groups à partir d'un échantillon raisonné de médecins généralistes Lot-et-Garonnais. Les participants ont trouvé un test ERL4 trop couteux, trop long, complexe. Ils se sont interrogés sur l'utilité du test, sa faisabilité, sa pertinence. Les participants ne connaissaient pas le test ERTL4. De plus, ils ne sentaient pas compétent dans le dépistage des troubles du langage et donc n'en faisait pas une priorité. Mais lors des entretiens, finalement il a été mis en évidence que les médecins n'étaient pas opposés à se renseigner sur le test et à l'utiliser en consultation courante. Notre étude a pu démontrer que le test ERTL4 était un test utilisable en consultation courante.

  • Association entre l'utilisation d'un plan d'action et la sévérité des crises d'asthme chez les enfants de plus de 2 ans aux urgences pédiatriques du Centre Hospitalier de Niort    - Susong Ombeline  -  08 juin 2018  - Thèse d'exercice

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    Introduction : L'asthme est une question de santé publique de par sa fréquence, sa gravité potentielle et son coût. Le plan d'action fait partie intégrante de l'éducation thérapeutique cependant il est insuffisamment prescrit. L'objectif principal de cette étude était d'évaluer au sein des urgences pédiatriques du centre hospitalier de Niort l'association entre l'utilisation d'un plan d'action et la gravité des crises d'asthme.

    Matériel et Méthodes : L'étude s'est déroulée du 25 décembre 2015 au 25 décembre 2016. Etait inclus chaque enfant de 2 à 18 ans consultant pour une crise d'asthme. Le questionnaire était rempli par un médecin des urgences avec l'accord des parents et composé d'une partie descriptive sur les enfants, une sur le plan d'action en lui-même et une sur la prise en charge de la crise. L'analyse statistique a été réalisée avec le test de Fisher.

    Résultats : 179 crises ont été évaluées. Parmi les enfants qui consultaient pour une crise d'asthme légère, 37 soit 48,7% avaient utilisé un plan d'action contre 31 soit 30,1%, IC95% = [1,14 - 4,27], OR=2,19 et p=0,013, pour une crise d'asthme modérée à sévère.

    Conclusion : Dans notre échantillon l'utilisation d'un plan d'action est un facteur qui diminue la sévérité des crises et donc le nombre d'hospitalisations. Sa prescription doit être réalisée y compris aux urgences dans un contexte d'exacerbation.

  • Place de la réharmonisation périnéale dans le traitement des douleurs pelvipérinéales chroniques : étude prospective menée de novembre 2016 à décembre 2017 dans 4 centres    - Grondain Melissa  -  07 juin 2018

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    Introduction – Les douleurs pelvi-­‐périnéales chroniques représentent une problématique complexe face à laquelle de plus en plus de professionnels de santé proposent à leurs patientes des séances de réharmonisation périnéale. Cette étude s’est intéressée à l’impact de ces séances sur le niveau de douleur des patientes, sur leur qualité de vie quotidienne et sexuelle ainsi qu’aux évènements de vie pouvant être liés à cette douleur.

    Matériel et méthodes – Des questionnaires anonymes ont été distribués à des patientes avant et après les séances. 45 paires de questionnaires ont pu être analysées. Le niveau de douleur et son impact sur la qualité de vie quotidienne ont été évalués avec le Questionnaire Concis sur la Douleur (QCD), tandis que la qualité de vie sexuelle a été évaluée grâce au Female Pelvic Floor Questionnaire (FPFQ).

    Résultats – Cette étude a montré une diminution du niveau de douleur des femmes (p < 0,05), et une amélioration de leur qualité de vie quotidienne et sexuelle (p < 0,05). Les femmes étaient 28,9 % à déclarer que leur douleur avait été déclenchée par un accouchement.

    Conclusion – Ces résultats très encourageants corroborent ceux retrouvés dans la seule étude disponible à ce jour sur ce sujet, et demandent à être validés à distance des séances. L’intérêt de ces techniques pour d’autres motifs de consultation pourraient également être exploré.

  • La proximité affective dans la relation médecin-patient : de la médecine de famille à la spécialité médecine générale    - Pauly Margaux  -  07 juin 2018  - Thèse d'exercice

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    La médecine générale a subi de profonds bouleversements ces cinquante dernières années, renouvelant les bases de la relation médecin-patient. Réfléchissant sur l'impact de la proximité affective dans cette relation sur l'exercice de la médecine générale, dans une société en évolution permanente, nous avons fini par nous interroger sur l'existence du "médecin de famille", dont le rôle est décrit par la WONCA de 2002, en France aujourd'hui.

    Matériels et méthode : Nous avons mené une étude quantitative, par l'envoi d'un questionnaire, et qualitative, par le biais d'entretiens semi-dirigés, auprès des médecins généralistes installés en Charente-Maritime en 2017. Notre but était de recueillir les impressions, les expériences et avis des médecins généralistes sur la question posée par ce travail.

    Résultats : 142 médecins ont répondu au questionnaire et sept entretiens ont été menés. Tous les médecins participants ont été un jour exposés aux demandes de soins de membres de leurs familles. L'accès à ces sollicitations s'intègre dans le cadre d'un sentiment d'obligation, de responsabilité et d'une crainte du conflit de la part du médecin généraliste vis-à-vis de ses proches. Les jeunes installés semblent plus méfiants des répercussions de ces demandes, que leurs ainés. Selon les médecins généralistes, la notion de médecin de famille existe toujours aujourd'hui. Elle n'est cependant qu'une branche de la pratique de la spécialité médecine générale. Ces différents rôles sont, par ailleurs, imposés au médecin par le patient.

    Conclusion : L'exposition aux demandes de soins de ses proches est une chose inévitable pour un médecin généraliste. Il se doit d'avoir une pleine conscience de la spécificité de cette prise en charge, du fait de la proximité affective, pour se prémunir du retentissement qu'elles peuvent avoir. Il en va de même pour le proche patient pour lequel le médecin généraliste peut avoir figure de médecin de famille ou de médecin spécialiste en médecine générale.

  • Prescription de baclofène dans la prise en charge de l'alcoolodépendance en médecine générale en Charente-Maritime    - Cordel Florie  -  07 juin 2018  - Thèse d'exercice

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    Introduction : L'alcoolodépendance est un problème de santé publique majeur. La médiatisation d'une auto-étude de cas sur l'utilisation du baclofène dans cette indication s'est suivie de la rédaction d'une RTU. L'objectif de l'étude est l'évaluation de la proportion de prescripteurs de baclofène, complété par l'identification des motivations, craintes et circonstances de prescription ou de non prescription.

    Matériel et méthode : Une étude observationnelle descriptive de la pratique des médecins généralistes a été réalisée en Charente-Maritime dans le cadre du mésusage d'alcool par diffusion d'un questionnaire en ligne du 8 janvier au 8 mars 2018.

    Résultats : Sur les 695 médecins généralistes inscrits au Conseil de l'Ordre des Médecins en Charente-Maritime, 88 (12,7%) ont répondu au questionnaire. Presque la moitié des médecins généralistes (48,9%) était prescripteur de baclofène dans le cadre de la prise en charge de l'alcoolodépendance (8,0% régulièrement, 40,9% occasionnellement). On en dénombrait proportionnellement plus en fin qu'en début de carrière (p=0,024). Ce qui motivait la prescription chez les prescripteurs de baclofène, était en premier lieu l'efficacité d'après leur propre expérience ou celle de leurs confrères (53,5%) puis le peu d'efficacité des autres traitements addictolytiques (42,2%) et la demande du patient (41,9%). Les craintes majeures étaient : l'importance des effets indésirables (76,1%), suivie par l'absence d'AMM (56,8%). Dans une moindre mesure (33,0%), l'insuffisance de preuves scientifiques de l'efficacité de ce traitement était citée.

    Conclusion : Malgré l'absence d'AMM dans le cadre de l'alcoolodépendance, le baclofène était prescrit par près de la moitié des médecins généralistes. Les publications de deux études majeures (Bacloville et Alpadir), qui sont toujours en attente, apporteront peut-être des réponses quant à l'efficacité et la tolérance du baclofène. Une AMM est attendue dans le courant de l'année.

  • Etude des techniques de suture périnéale et les raisons influençant les choix : menée du 17/07/2017 au 03/12/2017 au CHU de POITIERS    - Sanson Caroline  -  06 juin 2018

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    OBJECTIFS : Mesurer une prévalence des techniques de suture, et secondairement, connaitre les facteurs influençant les choix en prenant en compte les formations.

    METHODE : Cette étude prospective, monocentrique et observationnelle, s’est déroulée du 17/07/17 au 03/12/17 au CHU de Poitiers. L’échantillon était de 401 patientes. Un questionnaire était remplit par chaque professionnel ayant réalisé une suture en renseignant la raison de son choix. La classification du RCOG était utilisée pour classifier les types de déchirures. Chaque professionnel remplissait un questionnaire individuel concernant leurs formations, et indiquaient ce qu’ils pratiquaient en général pour les déchirures de stade 1 et 2.

    RESULTATS : 55% des sutures étaient discontinues. Elles étaient réalisées dans 83% des cas par les sages-femmes. Quelque soit le type de suture, la majorité des professionnels pensaient faire ce qui était le plus adapté. 50% des sages-femmes étaient formées à la technique « un fil un noeud » contre 80% des médecins et internes. Pour une déchirure de stade 1, 80% des professionnels disaient réaliser une suture discontinue. Pour une déchirure de stade 2 ou une épisiotomie, 86% des internes et médecins disaient réaliser une suture continue par la « technique un fil un noeud » contre 25% des sages-femmes. Parmi les formations souhaitées, 70% des sages-femmes et 64% des internes voulaient une formation à la technique « un fil un noeud ».

    CONCLUSION : Les sutures continues recommandées étaient insuffisantes. Une formation pratique destinée aux sages-femmes et internes pourrait permettre une meilleure prise en charge des femmes.

  • Ateliers d'éducation pour la santé environnementale périnatale dans le cadre de l'étude PREVED : Pregnancy, Prevention, Endocrine Disruptors    - Ribreau Lea  -  06 juin 2018

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    Introduction : Pour prévenir l’exposition aux perturbateurs endocriniens, des ateliers d'éducation pour la santé environnementale périnatale ont été mis en place dans le cadre de l’étude PREVED. L'objectif principal était de décrire le déroulement de ces ateliers.

    Méthode : Etude mixte, qualitative (grille d’observation, blasons d’évaluations complétés par les participants et entretiens avec animatrices et femmes ayant participé aux ateliers) et quantitative (questionnaires de 16 femmes inclues dans l’étude PREVED attribuées aux groupes ateliers). Les personnes qui était présentes aux ateliers constituées la population d’étude. La collecte des données s’est effectuée entre Juillet 2017 et Février 2018. Les données étaient analysées par recoupement entre les différentes méthodes.

    Résultats : Le climat était convivial et dynamique favorisant les échanges et les interactions. L’adaptation était appréciée. Les objectifs des ateliers avaient été définis au préalable et étaient tenus malgré un grand nombre d’informations à diffuser en peu de temps. Le contenu était jugé pratique et concret. La mise en place de changements était manifestée à la fin des ateliers et retrouvée lors des entretiens et questionnaires après ateliers. Le public présent aux ateliers avec les femmes enceintes était varié (proches et professionnels). Les femmes participantes étaient issues d’un niveau socio-économique élevé.

    Conclusion : Les ateliers semblent donner aux femmes enceintes et à leurs proches des leviers pour modifier leurs habitudes de consommation, et la perception du risque lié à l’exposition aux perturbateurs endocriniens d’autant plus s’ils sont contextualisés. Un axe d’amélioration concerne les populations en situation socio-économique moins que les programmes d’universalisme proportionné permettraient de cibler.

  • Les pratiques autour du génotypage dans une maternité de type IIB : étude rétrospective du 01/01 2015 au 31/05/2017 et étude prospective du 14 novembre 2016 au 04/03/2018 au CH de La Rochelle    - Vaucelle-garnavault Ange  -  06 juin 2018

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    Introduction : Le génotypage foetal est un test sanguin non-invasif permettant de connaître le rhésus du foetus et d'adapter le suivi de la grossesse.

    Matériel et méthode : L'objectif de cette étude était d'évaluer les pratiques autour du génotypage et des prises en charge qui en découlent, au centre hospitalier de La Rochelle. Une double étude a donc été réalisée : une étude rétrospective a été menée dans le but d'évaluer le nombre de génotypages réalisés, les injections et tests divers évités et une étude prospective a été menée pour évaluer l'information reçue par les femmes sur ce test.

    Résultats : Pour l'étude rétrospective, 320 dossiers ont été analysés. Pour l'étude prospective, 29 femmes ont été appelées dont 13 ont également rempli une partie des données recueillies par questionnaire. Le test du génotypage a été réalisé dans 40,94 % des dossiers, 15,08 % des femmes informées ont refusé le test. Les injections d'immunoglobulines ont pu être évitées dans 34,35 % des cas. La sensibilité et la spécificité retrouvées sont supérieures à 97 %.

    Conclusion : On observe donc que le génotypage n'est pas encore proposé et effectué de manière systématique. Les femmes sont satisfaites de l'information qu'elles reçoivent et font plus facilement le test lorsque leur conjoint est de rhésus positif. Le génotypage est un test permettant d'adapter un suivi particulier aux femmes RHD négatif à risque mais il est encore trop peu abordé. Une réélle économie sera possible lorsque le test sera systématique.

  • Mutilations sexuelles féminines : état des lieux des connaissances des internes en médecine générale en Poitou-Charentes    - Bonningues Marine  -  05 juin 2018

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    Introduction : Les mutilations sexuelles féminines sont un problème de santé publique à l’échelle mondiale et la France n’est pas épargnée par ces pratiques. Il était donc intéressant de s’interroger sur les connaissances des futurs médecins sur un sujet aussi sensible.

    Méthode : Nous avons réalisé une enquête descriptive transversale afin de faire un état des lieux des connaissances des internes en médecine générale de la région Poitou-Charentes. Notre questionnaire a été élaboré en nous basant sur des sites officiels accessibles à tous et sur des thèses. Il était disponible en ligne et en version papier.

    Résultats : 87.5% des étudiants ayant participé à notre enquête sont dans l’impossibilité d’identifier le stade de mutilation d’une patiente. Les étudiants de sexe féminin semblent plus à même de définir le type de mutilation observé tout comme les étudiants venant de région abritant un grand nombre de femmes mutilées. Avoir été confronté aux mutilations ne permettrait pas une meilleure reconnaissance de la mutilation à l’examen clinique mais une meilleure confiance en soi quant à sa prise en charge. 82% des participants à l’enquête n’ont jamais été confrontés aux mutilations et 8% se disent capables de prendre en charge une patiente mutilée.

    Conclusion : Un manque de connaissance des internes a été mis en évidence. Il serait intéressant de tester le programme de formation proposé suite à cette enquête et mener une étude analytique à plus grande échelle afin de savoir si les paramètres étudiés (sexe, stage en gynécologie lors de l’externat, région d’origine, confrontation antérieure aux mutilations et ressenti sur sa prise en charge) ont une influence significative ou non.

  • Craintes des primipares face au retour à domicile et évolution au cours du premier mois : étude transversale prospective monocentrique menée au CHU de Poitiers du 1er juillet 2017 au 31 janvier 2018    - Rhouy Cassandra  -  05 juin 2018

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    Introduction : La naissance d’un premier enfant crée de profonds bouleversements dans la vie familiale et apporte d’importantes responsabilités. La préparation à la sortie de la maternité doit donc être optimale. Nous avons voulu connaitre la proportion et l’évolution des craintes des primipares face au retour à domicile.

    Matériel et méthodes : Une étude transversale prospective monocentrique a été réalisée au CHU de Poitiers. Un premier questionnaire a été distribué aux primipares à la maternité afin de quantifier et hiérarchiser leurs craintes. Un deuxième questionnaire leur a été envoyé un mois après leur accouchement pour évaluer le retour à domicile et la satisfaction du séjour à la maternité.

    Résultats : Les résultats ont montré que les trois premières craintes des femmes à la maternité étaient la séparation avec le nouveau-né au moment de la reprise du travail, le manque de temps pour soi et la reprise des rapports sexuels après l’accouchement. Un mois après le retour à domicile, le plus difficile pour les femmes était d’organiser leur temps (p = 0,005), gérer la reprise du travail (p = 0,029) et être bien entourée (p = 0,05). La durée moyenne du séjour à la maternité était de 3,9 jours et 86,5% (n = 83) des mères en étaient satisfaites.

    Conclusion : L’étude a confirmé que la principale crainte des femmes concernait l’enfant, elles craignaient également la nouvelle organisation à adopter au retour à domicile. Avec la diminution de la durée du séjour à la maternité, un accompagnement à domicile était nécessaire afin d’aider les mères à prendre confiance en leur capacités.

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