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2019

Les travaux soutenues en 2019

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357 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 321 à 330
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  • Évaluation du mésusage lié à l'automédication par ibuprofène en Deux-Sèvres    - Boulieu Emilie  -  28 mars 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : L'ibuprofène est l'anti-inflammatoire le plus utilisé et le seul autorisé en vente libre. Il est en 2e position des substances les plus vendues en ville en France. Ses effets indésirables sont connus, particulièrement s'il est consommé au-delà des doses recommandées et sur de longues durées. L'objectif de ce travail était de déterminer l'incidence du mésusage de l'ibuprofène en automédication et d'en comprendre les raisons, modalités et les conséquences.

    Matériel et méthode : Il s'agissait d'une étude descriptive, qui s'est déroulée d'avril à juillet 2018, dans 30 cabinets de médecine générale des milieux urbains et ruraux. L'étude a consisté à interroger 150 patients âgés de plus de 18 ans sur leur consommation d'ibuprofène en automédication et de recueillir leurs données médicales auprès de leurs médecins.

    Résultats : Dans la population étudiée, 54 % (n = 79/146) des patients rapportaient utiliser l'ibuprofène de manière inappropriée. Le mésusage de l'ibuprofène était plus fréquent pour des douleurs à type de céphalées chez les plus jeunes (18-39 ans et 40-59 ans ; p = 0,0038) et pour des douleurs articulaires chez les plus de 60 ans (p = 0,046). L'objectif premier était un soulagement rapide. Parmi eux, 23% (n = 18/79) dépassait la durée autorisée en automédication, 10 % (n = 8/79) en consommait en présence de contre-indications. Les principales sources d'automédication par ibuprofène étaient la pharmacie du domicile (62%) et l'achat en pharmacie après conseil du pharmacien (23%). Des effets indésirables ont été signalés par 15 % des patients et 42 % avaient d'autres médicaments susceptibles d'interagir avec l'ibuprofène.

    Conclusion : Un patient sur deux avait recours à un mésusage de l'ibuprofène en automédication, son dépistage peut être réalisé à différents moments du parcours de soin du patient. Le développement d'outils permettant de faciliter le partage d'informations entre les professionnels de santé pourrait devenir une aide pour limiter ce mésusage.

  • Risques psychosociaux et médecins du travail : état des lieux de leurs pratiques, difficultés et ressentis : étude qualitative par entretiens semi-dirigés auprès de médecins du travail des services interentreprises du Poitou-Charentes    - Latif Siham  -  27 mars 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Devant le contexte socio-économique et la transformation profonde du monde du travail, les RPS et la souffrance au travail sont devenus un enjeu de santé publique majeur. Les médecins du travail, par leurs connaissances médicales, du monde de l'entreprise, et leurs missions de préventeurs, ont un rôle majeur à jouer, et sont des acteurs centraux dans ces thématiques.

    Objectifs : L'étude avait ainsi pour but d'étudier les pratiques des médecins du travail dans la prise en charge et la prévention des RPS, de recueillir leurs ressentis et de mettre en évidence les difficultés qu'ils rencontrent. Des pistes d'amélioration des pratiques ont pu être proposées.

    Matériels et méthode : Nous avons réalisé une étude qualitative par entretiens semi-dirigés auprès de médecins du travail exerçant en Poitou-Charentes jusqu'à saturation des données. L'échantillon était raisonné et diversifié. Une analyse thématique de contenu avec triangulation a été réalisée.

    Résultats : 13 médecins du travail (MT) ont été interrogés. La consultation RPS était vécue par tous comme une consultation longue, chronophage et éprouvante. Le cas le plus fréquent de découverte d'une situation de souffrance était lors de la visite médicale à la demande du salarié lui-même. Les facteurs de risques psychosociaux étaient bien connus des MT et recherchés systématiquement. Les connaissances des MT de notre étude concernant la psychodynamique et la clinique médicale du travail restaient encore à développer. Les principales causes professionnelles des RPS étaient bien identifiées. Le médecin traitant était reconnu comme un acteur incontournable par l'ensemble des MT. Le psychiatre était également souvent sollicité. Aucun des médecins de l'étude n'avait évoqué les consultations de pathologies professionnelles (CCPP). L'attente des MT en termes de pluridisciplinarité et de meilleure coordination avec les autres intervenants (médecin traitant, psychiatre) était forte. Aucun d'entre eux ne rédigeaient de certificats médicaux notamment de maladie professionnelle (MP). Les principales difficultés étaient dans la prise en charge collective et la prévention primaire, mais d'autres difficultés ont pu être dégagées : gestion des consultations longues, manque de temps, de formation (notamment en prise en charge collective et prévention), isolement, crainte d'être « manipulé », le désintérêt de certains employeurs. Quelques pistes d'amélioration ont été mises en évidence : améliorer le travail en équipe et la coordination avec les acteurs externes, améliorer la connaissance des MT du rôle de chacun dans la gestion des RPS, améliorer la connaissance des MT concernant les rôles et missions des CCPP, travail en réseau entre les différents services interentreprises de la région ?

    Conclusion : Notre étude a montré que la prise en charge individuelle des salariés en situation de RPS est bien maitrisée par les médecins du travail. La prise en charge et la prévention collectives sont quant à elles sources de difficultés. Les MT ne peuvent pas y arriver seuls. Il serait intéressant de compléter ce travail par une étude auprès d'autres intervenants (médecin traitant, psychiatre, psychologue du travail) afin de recueillir leur positionnement et leurs attentes vis-à-vis des MT.

  • Étude de l'impact physiologique de la réadaptation cardio-vasculaire par mesure de bio-impédance    - Fouet Kevin  -  26 mars 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le bénéfice de la réadaptation cardiaque a été très largement démontré dans la littérature. Cependant, peu d'études se sont intéressées à la modification des paramètres physiologiques après quatre semaines de réadaptation.

    Objectif : L’objectif principal de cette étude est de décrire les impacts physiologiques de la réadaptation cardio-vasculaire par mesure de bio-impédance en comparant l’évolution des paramètres entre la première semaine et la quatrième semaine du séjour chez les patients dans les suites d'un syndrome coronarien ou une chirurgie cardiaque récente.

    Matériel et méthode : Etude prospective, monocentrique, observationnelle du 12/11/2018 au 30/12/2018 dans le centre de réadaptation cardio-vasculaire du Moulin Vert à Nieuil L'Espoir dans le département de la Vienne en Nouvelle Aquitaine, en France.

    Le critère de jugement principal était la comparaison des paramètres de bio-impédance avant et après 4 semaines de réadaptation cardiovasculaire chez des patients admis dans les suites d’une hospitalisation pour un syndrome coronarien aigu, un angor stable, une angioplastie transluminale programmée, un pontage aorto-coronarien ou une chirurgie valvulaire.

    Résultats : Cinquante-six patients (âge médian : 65 ans, extrême : 44-84 ans) ont été inclus. La masse musculaire moyenne a augmentée de 1,18% (±3,25%), p<0,01, et le volume d'eau intra-cellulaire moyen a augmenté de +2,42 % (± 6,89%), p<0,01. Les résultats des autres paramètres étudiés ne sont pas significatifs. L'analyse de variance montre un lien avec le diabète (p<0,01). La tendance montre un impact plus important chez les patients hypertendus, diabétiques et dyslipidémiques.

    Discussion : Cette étude est une étude pilote qui montre une tendance à la modification des paramètres physiologiques par mesure de bio-impédance après 4 semaines de réadaptation. Le nombre de patients nécessaires est 265. Seuls deux résultats apparaissent significatifs mais avec un faible effectif, puisqu’il aurait fallu inclure 265 patients. Cette étude mériterait donc d’être poursuivie afin d’obtenir des résultats significatifs et donc de pouvoir adapter au mieux la réadaptation cardiaque en fonction des particularités des patients et de leur pathologie d’entrée.

    Conclusion : Bien que les résultats n'apportent pas de différence significative pour l'ensemble des paramètres physiologiques, une tendance à la modification de ces paramètres physiologiques peut s'observer, ce qui sera à confirmer dans une étude plus importante.

  • Conseils en aromathérapie, phytothérapie et homéopathie pour les pathologies courantes du cheval à l’officine    - Ouvrard Christelle  -  25 mars 2019  - Thèse d'exercice

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    Cette thèse a été réalisée afin de répondre, à l’officine, aux demandes de conseils en aromathérapie, phytothérapie et homéopathie équins. Il a été choisi de traiter certaines pathologies du quotidien les plus communément retrouvées, la liste n’étant pas exhaustive.

    Nous avons d’abord fait quelques rappels sur l’anatomie et la physiologie du cheval, avant de voir comment lui administrer les huiles essentielles, les plantes et l’homéopathie. Enfin nous avons établi des fiches conseils pour des pathologies équines fréquentes. Il est important de rappeler que ces fiches conseils ne sauraient se substituer à la consultation du vétérinaire en particulier en cas d’urgence.

  • Évaluation de la mise en place du protocole d'épargne transfusionnelle type “patient blood management” : FER IV + EPO + Exacyl H0 et H3 dans la chirurgie orthopédique majeure (PTH, PTG) au CHU de Poitiers    - Dubois Marie-Cécile  -  22 mars 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction: L'anémie postopératoire, très fréquente, augmente le taux de transfusion, la morbi-mortalité, et reste un enjeu médicoéconomique. La transfusion sanguine permet sa diminution, mais engendre des effets secondaires majeurs tel un coût, et une disponibilité insuffisante. Le « patient blood management » (PBM) s'axant sur le péri-opératoire consiste en la gestion et correction de l'anémie préopératoire, la réduction des pertes sanguines peropératoires, et l'optimisation de la tolérance à l'anémie. Celui-ci a montré son bénéfice en terme de transfusion sanguine et de réduction de la morbi-mortalité. Mais à ce jour, aucune évaluation des pratiques professionnelles n'a été réalisée concernant le PBM. Notre étude a évalué la mise en place du protocole d'épargne transfusionnelle en chirurgie orthopédique majeure (EPO, Carboxymaltose ferrique IV, acide tranexamique).

    Matériels et Méthodes: Cette étude monocentrique, observationnelle, rétrospective, réalisée au CHU de Poitiers a inclus tous les patients > 18 ans, bénéficiant d'une chirurgie orthopédique programmée sur l'année 2018. Dans notre protocole, les patients avec Hb [10-13]g/dL bénéficiaient d'une injection de carboxymaltose ferrique intraveineux (IV), d'un protocole EPO en sous cutané à J-21, J-14, +/- J-7 si Hb < 15g/dL au bilan de J-8, et d'Exacyl IV per-opératoire (H0 et H3). Nous avons défini le groupe « PBM optimal » comme la bonne réalisation des 3 traitements et le groupe « échec de PBM » comme la mauvaise administration d'au moins un des 3 traitements. Le critère principal était le taux de « PBM optimal ». Les critères secondaires étaient l'anémie post-opératoire, le taux de transfusion, les complications post-opératoires, et la mortalité.

    Résultats: Sur les 484 patients éligibles, 105 exclus et 288 avec une Hb > 13g/dL. Les caractéristiques des patients étaient comparables entre les 2 groupes. Sur les 91 patients analysés, 50.5% (n=46) avaient eu un « PBM optimal »; et 49.5% (n=49) avaient eu un « échec de PBM ». Les écarts au protocole portaient dans 73.3% (n=33) sur le Ferinject, 33.3% (n=15) sur l'exacyl, et 24.4% (n=11) sur l'EPO. Par ailleurs, 44,4% des patients éligibles au fer IV dans le groupe « échec de PBM » (n=20/45) ontbénéficié de fer per os (PO). La durée d'hospitalisation était plus courte de 2 jours dans le groupe PBM optimal (p=0.014). Pas de différence sur l'anémie postopératoire (73.9% vs 82.2%), le taux de transfusion (8.7% vs 6.7%), les complications (26.1% vs 20.0%), et la mortalité entre les 2 groupes.

    Discussion: Le programme PBM était correctement réalisé dans 1 cas sur 2. Les échecs étaient liés à des facteurs organisationnels, facteurs patients, et liés à des oublis de prescription. Aucune différence n'est retrouvée en terme de complications et de morbi-mortalité, hormis une durée de séjour plus courte de 2 jours lorsque celui-ci est optimal. Une étude prospective de plus forte puissance et évaluant notre PBM pourrait être réalisée.

  • Difficultés et stratégies de prise en charge des plaies chroniques par les médecins généralistes enseignants volontaires du Limousin et du Poitou-Charentes    - Mackenbach Lima  -  21 mars 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Les plaies chroniques nécessitent une prise en charge complexe et pointue. Celle-ci comporte de nombreux éléments, et notamment la prescription d'un pansement approprié dont le choix peut être compliqué du fait de la multitude de pansements présents sur le marché. Le but de cette enquête était d'étudier les habitudes de prescription des médecins généralistes enseignants, ainsi que les difficultés qu'ils peuvent rencontrer lors de la prise en charge des plaies chroniques.

    Méthode : Etude transversale descriptive auprès des médecins généralistes enseignants (MSU) du Limousin et du Poitou-Charentes en 2017 et 2018. Questionnaire en ligne pendant 5 mois, accessible via un courrier électronique envoyé aux médecins, avec une relance, évaluant leurs pratiques de prise en charge et les difficultés rencontrées.

    Résultats : 17 MSU en Limousin et 12 MSU en Poitou-Charentes ont répondu au questionnaire. L'ensemble des médecins se sent compétent à prendre en charge cette pathologie, mais lorsque celle-ci ne s'améliore pas, 83% des MSU demandent des avis spécialisés. 53% des MSU traitent entre 1 et 5 plaies chroniques par an. Les principales difficultés rencontrées par les médecins résident dans les délais d'obtention des rendez-vous pour un avis spécialisé (55%), ainsi que dans le choix du pansement approprié (45%). Par ailleurs, au moins 1 MSU sur 4 (28%) prescrit un pansement non-adapté, et beaucoup de médecins n'utilisent qu'une gamme restreinte de pansements.

    Conclusion : Cette étude a permis de faire un état des lieux du contexte de prise en charge des plaies chroniques en Limousin et en Poitou-Charentes, ainsi que des difficultés rencontrées par les MSU pendant celle-ci. Elle permet également de définir des axes d'amélioration dans le domaine de la formation des médecins généralistes et du parcours de soin du patient pour améliorer la qualité de la prise en charge de cette pathologie.

  • Place de l'électrocardiogramme de repos comme test de dépistage de l'ischémie silencieuse chez le diabétique de type 2    - Arnould Guillaume  -  21 mars 2019  - Thèse d'exercice

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    CONTEXTE : La Haute Autorité de Santé recommande le dépistage de l'ischémie silencieuse (IMS) par l'utilisation de l'électrocardiogramme (ECG) de dépistage annuel alors qu'il existe une controverse sur son utilité dans la littérature (1). L'objectif de cette étude est de déterminer les valeurs intrinsèques, à savoir la sensibilité et la spécificité de l'ECG, pour le dépistage de l'IMS chez les diabétiques de type 2 asymptomatiques.

    MÉTHODES : Il s'agit d'une étude rétrospective, d'évaluation d'une technique de détection d'anomalies électriques cardiaques. 191 patients diabétiques ont été inclus dans le cabinet médical de médecine générale à Châtillon sur Thouet dans les Deux Sèvres. Les ECG ont été analysés avec l'aide d'une règle millimétrique à la recherche de troubles de la repolarisation. Le test d'effort et la présence ou non d'événements cardio-vasculaires à 2 ans ont été utilisés comme « méthode de référence ».

    RÉSULTATS : La sensibilité pour détecter une IMS par la lecture de l'ECG de repos était de 50% et la spécificité de 75%. La valeur prédictive positive était de 2% et la valeur prédictive négative de 0,7%. Nous n'avons pas trouvé de différence significative entre ces valeurs et des caractéristiques de l'analyse automatique des ECG. La prévalence de l'IMS était de 1,05%.

    CONCLUSION : Contrairement aux recommandations françaises actuelles, notre étude ne confirme pas l'utilité de dépister l'IMS chez tous les patients diabétiques de type 2 asymptomatiques par la lecture d'un électrocardiogramme de repos en prévention secondaire en raison d'une sensibilité trop faible. Il faudrait se rapprocher des recommandations américaines.

  • La vaccination à l’officine : enquête auprès des patients    - Chretien Marion  -  20 mars 2019  - Thèse d'exercice

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    Depuis le succès de la première vaccination pratiqué par Jenner, les vaccins ont permis de faire reculer bon nombre de maladies infectieuses. Malgré la promotion de l’efficacité des vaccins et la promotion exercée par les professionnels de santé, la couverture vaccinale n’est toujours pas satisfaisante dans notre pays. Concernant la grippe saisonnière, les objectifs en terme de santé publique sont d’obtenir une couverture vaccinale d’au moins 75 % alors que celle-ci n’était que de 48 % en 2015-2016. Ainsi, en 2016 la décision fut prise d’autoriser une expérimentation de la vaccination anti-grippale par le pharmacien d’officine pour une durée de 3 ans. Cette mesure permet au pharmacien d’accéder à une nouvelle mission et de renforcer son rôle de professionnel de santé au service de la Santé Publique..

    Nous avons choisi dans ce travail de nous intéresser à la perception que peuvent avoir les patients sur la vaccination en général et sur cette nouvelle mission confiée à leur pharmacien. Les résultats de notre enquête révèlent que les patients interrogés ont une image plutôt très positive de la vaccination à laquelle ils adhèrent puisque 79% d’entre eux se déclarent à jour. Concernant la grippe en revanche, 67 % des personnes interrogées déclarent ne jamais se faire vacciner mais perçoivent d’un bon oeil l’administration par le pharmacien d’officine. Certains patients souhaiteraient même voir cette mission étendue à d’autres vaccins comme le DTPolio.

    Le pharmacien est le professionnel de santé le plus en contact avec la population et a un rôle important dans la promotion de la vaccination. Il doit s’impliquer chaque jour dans la communication sur l’intérêt de la vaccination et être en mesure de rassurer les patients actuellement confrontés à de nombreuses interrogations sur les bienfaits de la vaccination.

  • Les pharmaciens et l’accueil du patient anglophone    - Baxter Rebecca  -  18 mars 2019  - Thèse d'exercice

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    La France est un des pays les plustouristiques au monde. Le nombre d'étrangers venant pour les vacances et vivant en France n'est pas négligeable.

    Le système de santé français doit donc prendre en compte ces patients, dont un certain nombre parle peu ou pas le français.

    L'anglais étant la langue la plus parlée dans le monde, il y a une nécessité de parler un peu cette langue afin de communiquer avec ces patients non francophones.

    Il est encore plus nécessaire pour les pharmaciens qui ont un devoir de conseil envers tous les patients, qu'importent leurs origines.

    Malheureusement, il n'existe que peu de références sur les conseils en pharmacie dans d'autres langues.

    Cette thèse est donc une référence pratique pour les pharmaciens exerçant en officine, ayant besoin d'une traduction claire des conseils primordiaux des maladies et des traitements les plus fréquemment rencontrés sur les ordonnances.

  • Développement et validation d'une échelle d'évaluation de la réalisation d'un frottis cervico-utérin en simulation.    - Vallade Charlotte  -  14 mars 2019  - Thèse d'exercice

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    INTRODUCTION : La simulation en santé à fait l'objet de nombreux travaux démontrant son intérêt pédagogique. Cependant, il n'a pas été retrouvé de travaux s'intéressant au bénéfice de la simulation en termes d'augmentation de la performance dans la réalisation, sur mannequin gynécologique, d'un frottis cervico-utérin (FCU), seule technique recommandée par la Haute Autorité de Santé permettant le dépistage d'un cancer du col de l'utérus. Il n'a pas non plus été retrouvé dans la littérature d'échelle d'évaluation validée permettant d'évaluer la performance lors de la réalisation d'un FCU.

    OBJECTIF : L'objectif était la création puis la validation d'une échelle d'évaluation de la performance lors de la réalisation d'un FCU en simulation sur mannequin gynécologique. La variation des performances techniques des internes de médecine générale et l'apport pédagogique ont été évalués.

    MÉTHODE : Une échelle d'évaluation comprenant 17 items, cotés 0 ou 1, dont 5 critères de réussite, a été créée en collaboration avec 2 groupes d'expert. L'analyse psychométrique a été réalisée lors de 29 séances de simulation incluant des internes de médecine générale du Poitou Charente. Un observateur a réalisé une évaluation directe puis vidéo, lors de 2 séances de simulation succesives nommées S1 et S2. L'analyse statistique incluait une analyse descriptive et une évaluation de la validité et de la reproductibilité de l'échelle d'évaluation.

    RÉSULTATS : Le coefficient alpha de Cronbach était de 0,818 et le coefficient de corrélation intra-classe était de 0,832. Il existait une amélioration significative (p<0,001) des moyennes des scores de performance et du taux de réussite entre S1 et S2 pour l'ensemble des participants. Les participants ont jugé que l'enseignement par simulation avait permis une mise à jour de leurs connaissances et leur avait apporté une satisfaction globale.

    CONCLUSION : Les paramètres psychométriques ont montrés que cette échelle était valide et fiable mais peu discriminante entre la réussite et l'échec de la réalisation d'un FCU. Une augmentation des performances des internes de médecine générale à été observée entre S1 et S2.

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