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Dernières soutenances

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  • Description des modalités de prise en charge des carences en vitamine C dans un service de médecine interne et maladies infectieuses    - Épinoux Bastien  -  07 juillet 2022  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La vitamine C ou acide ascorbique est indispensable au bon fonctionnement de l'organisme. Elle intervient dans un très grand nombre de réaction chimique avec des rôles dans la synthèse et la stabilisation du collagène, métabolisme du fer, la synthèse hormonale, l'immunité… Une carence profonde et prolongée conduit à une pathologie connue depuis l'antiquité : le scorbut. Bien que la mortalité du scorbut ait été grandement diminuée suite à l'expérience de James LIND, cette pathologie carentielle, notamment du fait de l'apparition de nouveaux facteurs de risque, semble réémergente.

    Matériel et méthode : Etude rétrospective des modalités de prise en charge globale réalisé sur 143 patients présentant une carence en vitamine C, dans le service de médecine interne et maladies infectieuses du CHU de POITIERS sur la période du 01/01/2016 au 31/12/2020.

    Résultats : L'objectif principal de l'étude, ayant pour but de décrire les prises en charges proposées aux patients carencés, permet de constater que, quelque soit le motif du dosage ou la profondeur de la carence, les patients reçoivent une supplémentation dans à peine la moitié des cas et que, parmi ces supplémentations seulement la moitié peuvent être considérées comme complète. De plus, une enquête alimentaire ou une consultation diététique permettant de prévenir la récidive de ces carences a été retrouvée dans moins d'un tiers des cas. L'objectif secondaire est de confronter la réalité pratique de ces prises en charge aux dernières recommandations de la HAS visant à limiter les dosages de la vitamine C. En effet, selon ces recommandations, les prises en charges décrites représentent des dépenses « inutiles » équivalent à près de 10 fois le coût des supplémentations.

    Conclusion : Les résultats de ce travail va dans le sens des recommandations de la HAS au vu de la réalité pratique et du surcoût engendré, mais, met surtout en exergue une difficulté pour le praticien dans ses prises en charge du fait de l'absence de recommandations clairement établies.

  • Prévalence d'un titre anticorps protecteur avant la 3ème injection contre la Covid dans une population gériatrique et caractéristiques associées    - Montfort Romain  -  07 juillet 2022  - Thèse d'exercice

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    INTRODUCTION :

    La pandémie de Covid-19 provoquée par le coronavirus SARS-CoV-2 a profondément bousculé notre système de soins et a été un défi sanitaire immense. La recherche et le développement rapide de vaccins efficaces contre le Covid-19 a été fondamentale. Cependant, de nombreuses questions demeurent, parmi lequel l'existence d'un seuil protecteur d'anticorps, permettant d'affiner la stratégie vaccinale. Les premières études mettent en avant un seuil protecteur qui pourrait se trouver à 264 BAU/mL.

    METHODE :

    Cette étude a été menée dans le pôle de Gériatrie du CHU de Poitiers, auprès de patients en unités sanitaires et de résidents séjournant dans les unités médico-sociales, vaccinés contre la Covid et ayant eu un titrage d'anticorps anti Covid avant la réalisation de la 3ième injection. Les objectifs de l'étude étaient de définir la prévalence des sujets avec titre anticorps protecteur avant la 3ième injection et de voir les caractéristiques associées à un titre d'anticorps protecteur.

    RESULTATS :

    Plus de 70% (n=53) des personnes avaient un titre d'anticorps protecteur (≥ 264 BAU/mL) dont 89% (n=47) qui avaient été infectés par le Covid 19 et plus particulièrement quand l'infection était survenue avant la seconde injection vaccinale (p=0,04). Un antécédent d'infection était ainsi significativement associé à la protection immunitaire (p < 0,001). L'ancienneté de la vaccination était associée à une moindre protection, puisque tous les 10 jours supplémentaires entre la deuxième dose de vaccin et la date de titrage, il était constaté une diminution significative de titre d'environ 137 BAU/mL (p = <0,001).

    Les personnes avec titre d'anticorps non protecteur, étaient significativement plus souvent insuffisants rénaux modérés ou sévères (p = 0,019). Parmi les sujets avec antécédent Covid, les quatre qui avaient un titre d'anticorps non protecteur étaient significativement plus âgés (p = 0,021).

    CONCLUSION :

    Les sujets présentant une insuffisance rénale modérée ou sévère et les plus âgés, malgré un antécédent de Covid, avaient une protection moindre. Ces résultats permettent d'identifier les profils de patients les plus susceptibles d'avoir une efficacité vaccinale amoindrie et pour lesquels une adaptation du calendrier vaccinal serait pertinente.

  • Évaluation d'un outil de surveillance épidémiologique de type sentinelle COVID-19 en Charente et de communication locale    - Giraud Corentin  -  07 juillet 2022  - Thèse d'exercice


  • Intention des jeunes médecins généralistes d'exercer la médecine dans une structure de soins regroupant plusieurs médecins et proposant un service de consultations sans rendez-vous    - Magendie Florian  -  06 juillet 2022  - Thèse d'exercice

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    Introduction : L'engorgement des services d'urgence est un problème majeur de santé publique depuis plusieurs années. La majorité des consultations dans ces services relève de la médecine générale de ville selon l'Observatoire Régional des Urgences de Nouvelle-Aquitaine (ORUNA) qui signale également que la plupart de ces consultations ont lieu entre 10h et 18h en journée donc aux heures d'ouverture des cabinets médicaux. De nombreuses études montrent que le motif le plus fréquent de ces consultations est l'impossibilité de rendez-vous rapide avec un médecin généraliste en ville. Depuis quelques années, des centres de soins regroupant plusieurs médecins et proposant un service de soins sans rendez-vous se développent dans notre pays. Il a déjà été démontré que les patients préfèrent consulter dans ces centres de soins en ville plutôt que de se présenter en service d'urgences. Nous ne savons pas ce que pensent les jeunes médecins de ces centres de soins proposant des consultations sans rendez-vous et s'ils envisagent d'y exercer la médecine.

    Objectif principal : Évaluer l'intention des internes de médecine générale et des médecins généralistes âgés de 40 ans au plus d'exercer la médecine dans des structures de soins regroupant plusieurs médecins et proposant des consultations sans rendez-vous.

    Matériels et méthodes : Ce travail de thèse est une enquête déclarative prospective portant sur des données individuelles recueillies auprès de jeunes médecins généralistes en cours d'internat ou ayant fini l'internat qui exercent en Nouvelle-Aquitaine ou en région (anciennement) Midi-Pyrénées. Les données ont été recueillies par le biais d'un questionnaire en ligne Google Forms du 25 Mars au 26 Avril 2022 inclus.

    Résultats : L'étude a porté sur 230 internes de médecine générale ou médecins généralistes et a montré que 61,3 % d'entre eux sont prêts à exercer la médecine dans des structures de soins regroupant plusieurs médecins et proposant des consultations non programmées. Les éléments les plus attractifs pour ces jeunes médecins sont la décharge administrative grâce à un secrétariat commun, le regroupement de médecins et la présence d'autres professionnels de santé permettant des prises en charge multidisciplinaires dans le cadre d'un véritable travail d'équipe. Il est important de signaler que 38,3 % des participants trouvent plus attractif un emploi salarié dans ces structures plutôt que d'y travailler en tant que médecins libéraux et que 34,3 % des participants seraient prêts à s'installer en cas de possibilité d'exercice dans ce type de structures.

    Discussion : Le développement de centres de soins regroupant plusieurs médecins voire d'autres professionnels de santé et proposant un service de consultations sans rendez-vous semble être une bonne solution à la demande croissante de soins non programmés et au problème de l'engorgement des urgences par des consultations relevant trop souvent de la médecine de ville. Une coordination entre ces centres de soins et des centres d'imagerie médicale et laboratoires d'analyse biologique dans le but d'avoir des rendez-vous rapides pour les examens complémentaires est un élément important du bon fonctionnement de ce système de soins non programmés. Cette coordination pourrait se faire efficacement dans le cadre de Communautés Professionnelles Territoriales de Santé (CPTS). Il semble par ailleurs important de développer l'emploi salarié de médecins, notamment par les collectivités territoriales, de manière à repeupler les déserts médicaux et à attirer ainsi plus de médecins dans les centres de soins proposant des consultations sans rendez-vous.

  • Etude de l'évolution des traitements contre l'insomnie de 1950 à aujourd'hui    - Nedeau Pierre  -  05 juillet 2022  - Thèse d'exercice

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    Parmi les patients se présentant au comptoir de pharmacie d’officine, ceux qui souffrent d’insomnie sont très nombreux ; l’insomnie a, en effet, une forte incidence dans la population française.

    Depuis 1950, les traitements disponibles, pour lutter contre l’insomnie, ont évolué au fur et mesure des découvertes de nouvelles molécules.

    La rétrospective de ces traitements de 1950 à nos jours offre un regard objectif sur les moyens utilisés par les praticiens de l’époque pour traiter les patients souffrant d’insomnie.

    Les traitements essentiellement chimiques et lourds d’effets secondaires au cours du XXème siècle, aboutissent à une réécriture des recommandations de la prise en charge de l’insomnie dans les années 2000. Le recours aux molécules hypnotiques devient mieux encadré.

    Durant cette même période, les fabricants développent et proposent dans les officines de plus en plus de compléments alimentaires à base de mélatonine. Ce traitement n’offre des avancées que limitées et son utilisation doit être restreinte à certaines insomnies. Enfin, l’utilisation des plantes en vrac en tisane répond aujourd’hui à la demande des patients souhaitant se tourner vers des remèdes plus naturels et dont l’efficacité est prouvée.

    Les tisanes de plantes sont une opportunité pour le pharmacien d’officine qui se doit de connaître les caractéristiques de ces plantes pour préparer des tisanes de qualité afin d’offrir un remède aux patients souffrant d’insomnie.

  • Prise en charge de la douleur dentaire à l’officine : enquête et réalisation d’un guide    - Valmalle Morgane  -  05 juillet 2022  - Thèse d'exercice

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    Le pharmacien d’officine se retrouve régulièrement confronté à des patients souffrant de douleurs dentaires et désireux de se faire conseiller au mieux en attendant un rendez-vous chez le chirurgien dentiste. Bien que ce dernier soit le spécialiste à consulter en première intention, c’est pourtant le pharmacien d’officine qui est un acteur de santé largement privilégié, de par sa proximité et sa disponibilité. Ainsi cette thèse a plusieurs objectifs : approfondir les connaissances du pharmacien dans le domaine de la santé bucco-dentaire et d’élaborer un guide, au moyen d’une enquête réalisée auprès des chirurgiens-dentistes. Ce guide est destiné aux pharmaciens d’officine désireux de pouvoir répondre et conseiller au mieux, le patient souffrant de douleur dentaire. Cependant, ce guide ne se substitue pas à une consultation chez le chirurgien dentiste, mais il a été établie afin de pouvoir aider le pharmacien d’officine dans le processus de prise en charge du patient souffrant de douleur dentaire.

  • Description de la prise en charge et de l'évolution des patients diabétiques de type 1 de moins de 30 ans consultant en diabétologie adulte de 2010 à 2019 issus du service de diabétologie pédiatrique au CHU de Bordeaux    - Dupeux Marion  -  01 juillet 2022  - Thèse d'exercice

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    Introduction :

    Différentes méta analyses évaluant des programmes de transition ont montré que la transition diminue le délai de consultation en diabétologie adulte, la perte de vue et améliore l'HbA1c. En France il n'existe pas de programme de transition défini. Le but de cette étude, était de décrire la prise en charge et l'évolution des patients diabétiques consultant en diabétologie adulte issus du service de diabétologie pédiatrique au CHU de Bordeaux.

    Méthode :

    Il s'agissait d'une étude descriptive rétrospective sur 10 ans des jeunes adultes diabétiques de type 1 âgés de moins de 30 ans ayant un diabète de découverte pédiatrique consultant en endocrinologie adulte à Bordeaux entre 2010 et 2019.

    Résultats :

    95 jeunes adultes diabétiques étaient inclus. La transition était effectuée chez 1/3 des patients avec un délai de consultation médian de 22 mois. Les médianes d'HbA1c étaient stables à la fin du suivi pédiatrique, à l'arrivée et à la fin du suivi en endocrinologie adulte. Il est constaté une amélioration du contact transition (0% en 2010 à 55% en 2019) et du suivi endocrinologique pédiatrique sur 10 ans (71% en 2010 à 100% en 2019). Pourtant, le délai de consultation ne diminue pas en 10 ans.

    Conclusion :

    Cette étude dressait un état des lieux de la transition des patients diabétiques de type 1 sur 10 ans à Bordeaux. La généralisation du contact transition parait indispensable afin de réduire la morbidité. Cette étude devrait servir de base pour un programme de transition structuré au CHU de Bordeaux.

  • L’agent général d’assurance exclusif : une fonction polyvalente pour une réglementation drastique liée au droit communautaire    - Genty Joris  -  01 juillet 2022

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    Ce mémoire de stage montre la polyvalence de la fonction d'agent général d’assurance (fonction administrative, commerciale, de proximité, juridique), couplée à une réglementation drastique émanant des dernières directives européennes (DDA en 2016).

  • « Animations Courtes Accessibles en Catalogue sur Internet à propos des Addictions » : Repérage des vidéos utiles ou manquantes pour l'enseignement d'addictologie    - Giraud Emilie  -  30 juin 2022  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Les médecins généralistes ont un rôle primordial dans la prise en charge des addictions, mais leur implication en pratique est limitée, notamment, par la formation universitaire insuffisante en addictologie. Afin de promouvoir cet enseignement spécifique, l'utilisation d'un support pédagogique par vidéo semble adapté puisqu'elle a déjà démontré son efficacité dans les activités d'apprentissage. Les films d'animation de moins de 10 minutes ont montré un intérêt pédagogique supérieur au texte.

    Objectifs : Mettre à jour le catalogue Acacia depuis la date arrêtée de recherche, sélectionner les vidéos contributives pour l'enseignement de l'addiction (en 2e et 3e cycle des études médicales), et repérer les champs thématiques non couverts pour proposer des pistes créatives pour l'élaboration de nouvelles vidéos pédagogiques. Matériel et méthode : Les nouvelles vidéos du catalogue ont été recherchées sur 3 plateformes de vidéos (YouTube, Dailymotion, Viméo) et les sites internet (via Google) entre le 27 novembre 2019 et le 28 mai 2021. Les 11 rubriques de l'étude « ACACIA-1 » ont été définies à l'identique pour les nouvelles vidéos : format du média, mode d'expression, objectif principal, objectif secondaire, « produits » principal, « produits » secondaire, niveau d'intérêt pour un généraliste et un patient, durée et date de mise en ligne. Cinq personnes ont participé, de manière indépendante, à la cotation de ces niveaux d'intérêt, puis à la sélection des vidéos contributives à l'enseignement d'addictologie, et à leur affectation thématique (pour les anciennes vidéos, le site addictovideo.fr a été directement utilisé). L'identification de carences thématiques en a naturellement découlé, en observant leur proportionnalité au sein du catalogue.

    Résultats : Parmi les 157 vidéos visionnées, 142 vidéos ont été compilées et caractérisées selon les 11 rubriques. Sur le total des 450 vidéos de l'ensemble du catalogue, seulement 95 vidéos (dont 33 des nouvelles vidéos) ont été jugées comme pouvant contribuer à l'enseignement d'addictologie par les collaborateurs. Les thèmes les plus souvent abordés par les vidéos sont « Représentations » et « Neurobiologie ». Les champs thématiques non couverts sont « Retarder l'exposition aux produits », « Distinction entre usage à risque et addiction » et « Intervention brève ». Les champs thématiques restants ont quant à eux été très peu abordés. Une durée de vidéo entre 3 et 5 minutes paraît être la plus appropriée pour capter l'attention, avec pour média utilisé, le diaporama, et ce, de manière interactive.

    Discussion : Le site d'accès a permis, après mise à jour du catalogue, de sélectionner efficacement les vidéos contributives à l'enseignement, par thématiques. Mais la cotation est restée soumise à la subjectivité des auteurs qui a cependant été réduite par les lectures de 5 personnes différentes, de manière indépendante. Ce panel a permis de mettre en évidence des carences thématiques ouvrant de nouvelles pistes pour la création de vidéos spécifiques.

    Conclusion : Ce travail contribue à faciliter l'enseignement universitaire en addictologie, à sensibiliser médecins et patients à l'utilisation de ce nouvel outil (qu'il faudra certainement évaluer en routine), et à repérer les carences thématiques non encore abordées dans les vidéos publiées aujourd'hui sur Internet.

  • Dépistage du cancer du sein chez les femmes âgées de 75 ans et plus : étude descriptive par questionnaires auprès d'un échantillon de 163 femmes en Charente-Maritime    - Giraud Émilie  -  30 juin 2022  - Thèse d'exercice

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    Introduction : 21% des femmes touchées par le cancer du sein en France sont âgées de 75 ans et plus. Avec le vieillissement de la population, le dépistage du cancer du sein des femmes âgées devient donc un enjeu majeur. Au-delà de 74 ans le dépistage est individualisé et la poursuite des mammographies doit faire l'objet d'une discussion entre la femme et son médecin. Le dépistage par examen clinique des seins est recommandé annuellement à partir de 25 ans et sans limite d'âge. L'objectif de cette étude est de décrire les pratiques concernant le dépistage du cancer du sein chez les femmes âgées de 75 ans et plus en Charente-Maritime.

    Méthode : Il s'agit d'une étude descriptive, transversale, quantitative, par questionnaires distribués auprès de femmes âgées de 75 ans et plus dans des pharmacies de la Communauté d'Agglomération Royan Atlantique.

    Résultats : 163 questionnaires ont été analysés. 43,8% des répondantes ont eu une mammographie après l'âge de 75 ans, les facteurs associés significativement sont : le niveau d'études, l'antécédent de cancer du sein chez un proche, le suivi par un gynécologue, la participation passée au dépistage par mammographies entre 50 et 74 ans, l'existence d'une information par le médecin. Le souhait de poursuivre le dépistage par mammographie est associé significativement à l'âge, l'état de santé perçu, le niveau d'autonomie, le suivi par un gynécologue, la participation passée au dépistage par mammographies, l'existence d'une information par le médecin. 40,5% des répondantes ont eu une palpation mammaire par un médecin après 75 ans, les facteurs associés significativement sont l'âge, le niveau d'autonomie et le suivi par un gynécologue. 24,5% des répondantes ont eu une palpation mammaire par un médecin il y a un an ou moins. 52,1% des répondantes pratiquaient l'autosurveillance mammaire. 46,0% des répondantes souhaitaient recevoir une information supplémentaire.

    Conclusion : Notre étude a permis de réaliser un état des lieux du dépistage du cancer du sein dans un échantillon de femmes âgées de 75 ans et plus en Charente-Maritime. L'étude a montré un défaut d'information des femmes âgées. Les médecins traitants devraient initier une discussion concernant la poursuite du dépistage du cancer du sein avec chaque femme et la poursuite des mammographies doit faire l'objet d'une décision éclairée et partagée. Les recommandations concernant le dépistage annuel par l'examen clinique des seins sont peu mises en pratique chez les femmes âgées et les médecins généralistes pourraient donc être davantage sensibilisés au cancer du sein de la femme âgée.

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