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Davignon Guillaume

Les travaux encadrés par "Davignon Guillaume"

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7 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1 à 7
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  • Evolution de la perception de l'audition du juge des libertés et de la détention chez les patients hospitalisés en soins sans consentement : à partir d'une étude menée sur 12 patients au Centre Henri Laborit de Poitiers    - Valmy Geoffroy  -  23 septembre 2013  - Thèse d'exercice

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    Le respect des libertés individuelles est l'un des principes fondamentaux de la Constitution française. En psychiatrie, les mesures de soins sans consentement mettent en jeu le respect de ce droit fondamental. Depuis la loi de 1838, le principe d'un contrôle des mesures de soins sans consentement est discuté. Les garanties prévues par la loi du 27 juin 1990, ont été jugées insuffisantes par les instances européennes. C'est dans l'objectif d'améliorer la protection des droits fondamentaux des patients, que la loi du 5 juillet 2011 instaure le contrôle systématique des mesures de soins sans consentement. Ce contrôle est réalisé par un magistrat n'intervenant jusqu'alors, que dans le cadre de procédures pénales : le Juge des Libertés et de la Détention (JLD).

    À partir d'une étude prospective, nous avons évalué la perception de l'audition du JLD, chez 12 patients primo-hospitalisés sous contrainte. Nous avons mis en évidence une certaine difficulté des patients à comprendre le cadre légal de l'intervention du JLD, et un vécu de l'audition partagé entre faire-valoir des droits et indifférence ou inutilité. Ces différences sont d'autant plus marquées en fonction de certaines pathologies.

    Ces résultats amènent à un certain nombre de réflexions destinées à favoriser des moyens permettant d'améliorer la compréhension du cadre légal par les patients. Certains rapports d'information proposent des solutions dans ce sens. Le vote de la réforme des soins sans consentement, prévu le 1er octobre 2013, doit envisager de nouvelles dispositions destinées à garantir au mieux, le respect de l'exercice des libertés individuelles.

  • Evolution de la clinique du déni chez l'alcoolo-dépendant hospitalisé sous contrainte : à propos de l'étude de 4 cas cliniques    - Prévost Aurore  -  06 octobre 2014  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Dans les services de soins d'addictologie ou dans les services d'admission en psychiatrie sont hospitalisés des patients alcoolo-dépendants sous contrainte. Il s'agit parfois de malades qui refusent les soins jusqu'alors. Nous pensons que ce refus n'est pas systématiquement lié à un manque de volonté, mais au déni. Aussi, le terme de déni est très fréquemment employé pour ces patients qui ne se pensent pas malades. Nous avons effectué une revue de la littérature concernant le déni chez l'alcoolo-dépendant, afin de mieux cerner la problématique.

    Objectif : Nous émettons l'hypothèse que l'hospitalisation sous contrainte permette une évolution favorable du déni, c'est-à-dire qu'il puisse diminuer.

    Méthode : Nous avons réalisé quatre cas cliniques, à partir des entretiens psychiatriques de patients alcoolo-dépendants hospitalisés sous contrainte présentant un déni de dépendance.

    Résultats : Deux patients présentaient des éléments d'évolution favorable puisque le déni avait, au moins partiellement, diminué. Pour les deux autres le déni persistait : l'un d'entre eux présente des éléments de personnalité psychopathique.

    Discussion : L'hospitalisation sous contrainte peut s'avérer utile en diminuant le déni de certains patients. L'arrêt du produit peut favoriser le travail d'introspection, ainsi que la mise en place d'un dispositif de soins. Pour autant les troubles graves de la personnalité semblent un obstacle.

  • Homicide sériel et schizophrénie : étude du profil psycho-criminologique et de la prise en charge de 14 cas    - Pastor Marion  -  29 novembre 2016  - Thèse d'exercice

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    La population des meurtriers en série est faible et hétérogène. Elle est de ce fait assez peu étudiée. On ne retrouve actuellement pas d'études concernant les tueurs en série souffrant de schizophrénie, il parait pourtant intéressant d'étudier cette population pour essayer de dégager des particularités au niveau de l'histoire de vie et de la dynamique du passage à l'acte, ainsi que d'étudier la phase post-criminelle et leur prise en charge.

    Notre étude descriptive portait sur 14 cas, sur le territoire des USA, inclus à partir du site murderpedia. Une grille de recueil des données a été élaborée. Elle concernait l'étude des phases pré-criminelle, criminelle et post-criminelle de ses auteurs.

    Parmi les résultats intéressants ayant pu être dégagé, nous retrouvions généralement des auteurs isolés, schizophrènes paranoïdes, chez qui le délire semblait prendre une place importante dans le passage à l'acte, en association avec une paraphilie ou un trouble sexuel, ainsi qu'un trouble de la personnalité, en général antisocial. De plus, ces auteurs étaient presque tous connus de la psychiatrie et de la justice, et étaient en général en rupture de soins avant le premier homicide.

    La prise en charge post-sentencielle de ces patients était très inégale avec certains patients condamnés à mort, bien que paraissant assez clairement délirants au moment des faits. Les patients semblant avoir eu la prise en charge la plus adaptée étaient ceux qui ont pu bénéficier d'une irresponsabilisation pénale et ont donc été transférés en unités de psychiatrie médicolégale.

  • Motivation au changement chez les auteurs de violences sexuelles suivis dans le cadre de soins pénalement ordonnés    - Osmond Lisa  -  06 octobre 2017  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Les recherches actuelles sur la prise en charge des auteurs de violences sexuelles s'intéressent à identifier les facteurs qui favorisent ou compromettent le déroulement de l'intervention auprès de ces patients, suivis principalement dans un contexte de soins contraints par une autorité. La motivation au changement de comportement figure parmi ces facteurs ayant démontré leur influence positive, permettant une meilleure implication du patient, avec en ligne de mire, une réduction du risque de récidive.

    Méthodes : Nous avons réalisé une étude prospective, observationnelle, mono-centrique, au Centre de Consultation, d'Evaluation et de Soins aux Auteurs de Violences Sexuelles de Charente-Maritime. Quarante-cinq patients auteurs de violences sexuelles ont été inclus. L'objectif principal était d'évaluer la proportion des auteurs d'infractions sexuelles suivis dans la cadre de soins pénalement ordonnés motivés au changement de comportement à l'aide de l'échelle University of Rhode Island Change Assessment. Les objectifs secondaires étaient d'établir le profil clinique des patients de notre échantillon, de comparer les profils cliniques et criminologiques des patients « motivés au changement » et « non motivés au changement », d'établir des facteurs prédictifs de motivation au changement et donc des profils de patients « motivés » au changement à prioriser pour ces soins ou peu « motivés » au changement pour discuter de la nécessité d'une surveillance plus rapprochée.

    Résultats : Les résultats montraient une majorité de patients « motivés au changement ». Nous n'avons pas retrouvé d'association statistiquement significative entre la motivation au changement et les caractéristiques sociodémographiques étudiées. Nous retrouvons une corrélation positive entre la motivation au changement et la capacité d'empathie envers la/les victime(s), un état émotionnel adapté au moment de la divulgation des faits à type de soulagement ou d'affects dépressifs, le diagnostic d'une paraphilie ainsi que de bonnes capacités d'élaboration. Seule l'évaluation de la qualité de l'investissement des soins par les soignants, confirmée par un ratio de rendez-vous honorés significativement plus élevé, apparait comme un facteur prédictif de motivation au changement.

    Conclusion : Ces résultats préliminaires, même s'ils nécessitent d'être approfondis et précisés sur une population plus large, confirment le nécessaire investissement du sujet dans sa prise en charge et l'importance de porter attention aux facteurs de motivation au changement.

  • Impact du degré d'impulsivité sur le passage à l'acte violent dans la psychopathie    - Grégory-Delcampe Camille  -  09 octobre 2017  - Thèse d'exercice

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    À ce jour, la psychopathie est considérée comme un trouble complexe de la personnalité qui toucherait 1% de la population générale et dont les origines se situeraient dans le vécu biographique de l'individu. Elle correspond à une structure de personnalité particulière qui associe déficit affectif profond, trouble dans les relations interpersonnelles et composante antisociale.

    Ainsi, la vision populaire du psychopathe est celle d'un individu manipulateur, dénué d'empathie et de culpabilité, impulsif et dont la tendance antisociale l'amène à commettre un nombre disproportionné de comportements délictueux et criminels, plus violents que leurs homologues non-psychopathes, qui donne lieu à de fréquentes rencontres avec le système judiciaire et à des condamnations multiples. Ces constats amènent à s'interroger sur le rôle de certaines caractéristiques psychopathiques dans le passage à l'acte violent.

    Notre étude préalable prospective réalisée au Centre Pénitentiaire de Poitiers-Vivonne à partir d'une population d'auteurs de violence psychopathes nous a permis de réfléchir à la répercussion que pouvait avoir l'impulsivité dans le passage à l'acte du psychopathe. Bien que préalable et sur un échantillon restreint, elle nous a permis de montrer que le degré d'impulsivité influait sur la capacité du psychopathe à s'investir sur le long terme sur le plan socio-professionnel, favorisait l'usage de substances et augmentait le risque de récidive générale et violente. Concernant le passage à l'acte violent en lui-même, notre étude a permis de montrer que le degré de violence mise en œuvre est inversement proportionnel aux degrés d'impulsivité et de psychopathie, ce qui va à l'encontre de ce qui est retrouvé dans la littérature à l'heure actuelle.

    Ces constatations nous ont permis de discuter de l'impact de l'impulsivité dans le passage à l'acte violent du psychopathe et la récidive et de réfléchir à des améliorations possibles à mettre en place dans la prise en charge de ces sujets dans le but de diminuer la récidive.

  • Existe-t-il un biais cognitif associant « enfant » et « sexualité » chez les auteurs d’infraction à caractère sexuel sur des mineurs de moins de 12 ans ?    - Cachau Chloé  -  12 octobre 2020  - Thèse d'exercice

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    Introduction La question des violences sexuelles sur mineurs est une question d'actualité à la fois par sa fréquence, par son retentissement sur la vie des victimes et par les réactions suscitées par les affaires médiatisées, notamment lors des cas de récidive. Plusieurs études (14,52) montrent qu'un des facteurs les plus important de récidive serait d'être sexuellement attiré par les enfants (plutôt que par les adultes). Cet intérêt sexuel pédophile a pu été exploré dans les pays anglo-saxons par le biais de mesures physiques par pléthysmographie pénienne non utilisées en France pour des questions éthiques et pratiques. Afin de s'affranchir de ces difficultés les chercheurs ont développé des mesures indirectes de cet intérêt sexuel, notamment par recherche d'associations implicites (IAT). Différentes études ont été faites, certaines recherchant l'association « fille/garçon »-« sexy »(31) d'autres l'association « enfant »-« sexualité » (32), ces études ont montré des résultats positifs pour discriminer non seulement des populations d'auteurs d'infractions à caractère sexuel (AICS) sur mineurs d'un population d'auteurs d'infractions non sexuelles, mais aussi pour différencier des AICS sur mineurs exclusivement d'AICS sur mineurs et majeurs (33). Une méta-analyse confirme ces résultats et retrouve que rechercher l'association « enfant » et « sexualité » discriminerait plus efficacement les groupes que rechercher l'association « enfant »-« érotique » ou « fille/garçon »-« sexy »(34). Matériel et méthode Une étude multicentrique observationnelle auprès de patients, incarcérés dans l'établissement pénitencier de Vivonne ou suivi au CMP Espace Vienne pour des infractions à caractère sexuel sur mineurs de moins de 12 ans, a été réalisée. Ceux-ci ont été invités à participer à deux entretiens, un premier dans le but de recueillir des données sociodémographiques et des données criminologiques et un second pour leur faire effectuer une tache d'IAT, une tache de reconnaissance des émotions faciale et effectuer la passation d'échelles actuarielles.

    Le test d'IAT que nous avons utilisé ici recherche la présence d'une association implicite entre « enfant » et « sexualité » et est une traduction de celui utilisé par Brown et al. (36).

    Une population d'AICS sur personne de plus de 15 ans invités à participer aux mêmes entretiens a constitué la population contrôle. Le critère de jugement principal est la recherche de la présence d'une association implicite entre « enfant » et « sexualité » permettant de discriminer le groupe cible du groupe contrôle. Des variables actuarielles, un test de reconnaissance des émotions faciales et des données recueillies sur le déni ou non du passage à l'acte sexuellement transgressif ont également été explorées afin de répondre aux objectifs secondaires.

    Résultats Au total 18 personnes ont été incluse, 10 dans le groupe cible, 8 dans le groupe contrôle. La moyenne d'âge était de 38,5 dans le groupe cible et de 46,7 dans le groupe contrôle.

    Malgré une faible puissance statistique la présence d'une association implicite entre « enfant » et « sexualité » était retrouvée dans le groupe des AICS sur mineurs de moins de 12 ans, discriminant efficacement le groupe cible du groupe contrôle. Les résultats aux échelles actuarielles ont été utilisés comme co-variables. Parmi celle-ci la SORAG et la RRASOR présenteraient une association respectivement positive et négative aux résultats de l'IAT. Les autres paramètres n'ont pas été explorés par manque de puissance statistique.

    Conclusion Ces résultats, bien que encourageants et concordant avec la littérature existante, doivent être pris avec précaution et constituent une étude préliminaire qu'il conviendrait d'étoffer avec plus d'inclusions. De plus la question de savoir ce que mesure exactement l'IAT est encore à explorer.

  • Existe-t-il un biais cognitif associant « enfant » et « sexualité » chez les auteurs d'infraction à caractère sexuel sur des mineurs de moins de 12 ans ?    - Deliencourt Guillaume  -  19 octobre 2022  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Des recherches précédentes suggèrent que les pédophiles, comparativement aux violeurs de victimes pubères ou aux personnes sans antécédent de violence sexuelle, présentent un biais implicite consistant à associer automatiquement les enfants, plutôt que les adultes, à la sexualité (e.g., Gray et al., 2005). La plupart des études menées dans ce domaine ont utilisé un test d'association implicite amenant les chercheurs à le proposer pour permettre de discriminer les personnes ayant une attirance sexuelle pour les enfants. L'objectif de cette étude était de répliquer ces effets en utilisant le test IAT adapté en français.

    Matériel et méthode : Il s'agit d'une étude monocentrique pour laquelle des participants ont été classés en 3 groupes. Le premier groupe est constitué d'auteurs de violences sexuelles sur mineur de moins de 12 ans condamnés (groupe cible). Le deuxième groupe est constitué d'auteurs de violences sexuelles sur personne de plus de 15 ans condamnés (groupe contrôle actif). Ces participants ont été recrutés sur 2 sites : au CP de Vivonne et au CMP Espace Vienne de Poitiers. Le troisième groupe est issu de la population générale et ne présente aucun antécédent judiciaire (groupe contrôle passif). Il a été recruté via la base de données en ligne Prolific.

    L'objectif principal est de déceler la présence d'une association implicite entre « enfant » et « sexualité » permettant de discriminer le groupe cible des deux autres groupes et d'en mesurer l'intensité. Les sujets des groupes cible et contrôle actif ont participé à deux entretiens : le premier pour recueillir les données sociodémographiques et criminologiques et le second pour passation du test IAT, d'une tâche de reconnaissance faciale des émotions et de plusieurs échelles actuarielles. Le test utilisé est celui employé par Brown et al., 2009 et a été traduit afin de rechercher la présence d'une association implicite entre « enfant » et « sexualité ».

    Résultats : Au total, 81 participants ont été inclus dans l'étude. 20 font partie du groupe cible, 18 font partie du groupe contrôle actif et 43 font partie du groupe contrôle passif. La moyenne d'âge était de 47.9 ans pour le groupe cible, de 38.3 ans pour le groupe contrôle actif et de 40.4 ans pour le groupe contrôle passif. Contrairement à nos hypothèses, les résultats ne montrent aucune différence entre les trois groupes de participants. En accord avec la littérature, le groupe contrôle actif a significativement tendance à associer de manière préférentielle la sexualité aux images des adultes plutôt qu'aux images des enfants. Toutefois, le groupe cible n'a pas tendance à associer préférentiellement la sexualité aux images d'enfants plutôt qu'aux images d'adultes. Plus surprenant encore, le groupe contrôle passif n'a pas tendance à associer de manière préférentielle la sexualité aux images des adultes plutôt qu'aux images des enfants.

    Discussion : Nos hypothèses ne sont pas vérifiées. Ces résultats doivent être interprétés en gardant à l'esprit que la taille modeste de l'échantillon, surtout en ce qui concerne les groupes cible et contrôle actif, ne permet pas de conclure de manière définitive à une absence de différence. En dépit de nos résultats, les données récoltées permettent de dresser un profil de l'AVS sur mineurs. Il serait intéressant de reprendre les analyses de biais cognitif en comparant des groupes selon des critères plus précis. On pourrait suggérer le fait d'avoir été victime d'abus dans l'enfance, ce qui nous semble primordial, ou encore l'analyse du contenu des images mentales pendant l'acte visant à déshumaniser la victime pour s'affranchir de l'interdit, qu'il soit incestuel ou non. La présence de biais cognitifs objectivés par les études antérieures amène à envisager l'élaboration ou l'adaptation d'outils de psychothérapie pour la population d'AVS sur mineurs. Bien que cette question relève d'un problème de santé publique, les soins proposés restent limités et méritent un investissement plus important en termes de recherche et de moyens.

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