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2019

Les travaux soutenues en 2019

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357 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 341 à 350
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  • Devenir des patients âgés dépendants ayant recours au Centre 15 : analyse systématique des appels au SAMU de Poitiers (86)    - Naud Quentin  -  11 février 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Les personnes âgées dépendantes représentent de plus en plus d'appels aux SAMU-Centre 15 et de passages aux urgences. L'objectif de notre étude était de décrire les motifs d'appel au SAMU par les EHPAD et d'analyser la décision de régulation ainsi que le devenir des patients adressés aux urgences.

    Matériel et méthode : Nous avons réalisé une étude rétrospective descriptive et analytique entre le 01 janvier et le 31 décembre 2016 des appels au SAMU 86 par les EHPAD du département, ainsi que des passages aux urgences du CHU de Poitiers ayant fait suite à ces appels.

    Résultats : 2522 appels ont été passés à la régulation. Les principaux motifs étaient la traumatologie (21,6%) puis la pneumologie (13,6%) et la cardiologie (13,5%). 51,3% des patients étaient adressés dans un service d'urgence. Ils avaient plus fréquemment un problème neurologique (11,6% vs 6,5%, p<0,001), traumatologique (32,2% vs 10,4%, p<0,001), urologique (3,9% vs 2,0%, p=0,004), cardiologique (15,3% vs 11,6%, p= 0,007) ou digestif (7,8% vs 5,3%, p=0,001) que les patients maintenus à l'EHPAD. L'adressage aux urgences était significativement plus fréquent le jour (60,4% vs 56,3%, p=0,04) et moins fréquent entre 04h et 08h (9,9% vs 12,6%, p=0,04). 757 patients étaient adressés aux urgences du CHU de Poitiers. 54,1% ont été hospitalisés. Ces derniers avaient plus fréquemment un problème neurologique (16,25% vs 8,0%, p<0,001), pneumologique (14,75% vs 5,9%, p<0,001) ou infectieux (7,75% vs 3,2%, p=0,008), et moins souvent un problème traumatologique (22,25% vs 45,1%) que les patients renvoyés à l'EHPAD.

    Conclusion : Les hospitalisations des personnes âgées dépendantes doivent être limitées. Le SAMU-Centre 15 joue un rôle majeur dans leur prise en charge.

  • Synergie de l’aromathérapie et de la réflexologie dans le cadre du conseil au comptoir    - Monier Natacha  -  08 février 2019  - Thèse d'exercice

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    L’intérêt d’associer l’Aromathérapie à la Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC) est d’avoir recours aux huiles essentielles non pas comme des « médicaments » pour traiter des symptômes, mais plutôt comme des « aiguilles d’acupuncture liquide » qui vont aider à rééquilibrer le terrain du patient d’un point de vue énergétique.
    Le pouvoir thérapeutique des huiles essentielles, lorsqu’elles sont bien choisies et bien employées, n’est plus à démontrer. La MTC est une tradition ancestrale qui déborde de notre cadre scientifique, mais que l’on ne peut pour autant ignorer. Que représentent en effet quelques centaines d’années de médecine occidentale « scientifique », au regard de cinq millénaires d’observations et de pratique médicale orientale ? D’autant plus que, de nos jours, les études se comptent par milliers et se multiplient à un rythme effréné pour tenter d’expliquer de manière rationnelle les effets observés lorsqu’un point d’acupuncture est stimulé.

    Nous devons aller au-delà du manifesté, au-delà du strict symptôme physique, et apprendre à considérer les notions de terrain, de psychisme et d’émotions.

    La phyto-énergétique représente à l’heure actuelle un recours à un besoin d’écoute et de soins personnalisés des patients. Allopathie comme médecine symptomatique et, Aromathérapie et Réflexologie comme médecine de terrain, ne sont-elles pas tout simplement complémentaires ?

  • Intérêt d'un rétablissement systématique précoce de la flore intestinale chez les nouveau-nés nés par césarienne : un enjeu thérapeutique.    - Bigache Marie  -  08 février 2019  - Thèse d'exercice

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    L'équilibre du microbiote intestinal est un gage de bonne santé et l'intérêt de son rétablissement en cas de dysbiose est largement démontré. La naissance est un moment clé de sa mise en place correcte et de nombreux facteurs l'influencent, notamment le mode d'accouchement. Par cette revue de littérature, il a été étudié l'intérêt d'un rétablissement systématique précoce de la flore intestinale chez le nouveau-né né par césarienne, et les différents moyens d'y parvenir dont la supplémentation en probiotiques. Après avoir éclairci le fonctionnement complexe de la mise en place du microbiote et son impact sur la santé, sont étudiées les causes de dysbiose et les moyens d'y suppléer. Par la prévention en privilégiant l'accouchement par voie basse, en favorisant l'allaitement le plus longtemps possible, en évitant les antibiotiques mais aussi en utilisant les techniques de rétablissement de la flore comme le vaginal seeding et la supplémentation en pré et probiotiques. Or ces dernières sont loin d'être utilisées systématiquement. Si le vaginal seeding est une technique séduisante elle mérite d'être encadrée avant d'être proposée systématiquement. La complémentation en probiotiques semble être dénuée de danger si le choix des souches est judicieux et son usage systématique est validé pour les prématurés de plus de 1000g. Elle permet entre autres de réduire la fréquence de nombreuses pathologies (diarrhée, allergies, troubles métaboliques). Cependant son usage systématique chez le nouveau-né né par césarienne n'a quasiment pas été exploré. Le non remboursement des probiotiques considérés comme compléments alimentaires et la difficulté du choix des souches peuvent l'expliquer. Ainsi il est proposé un protocole de supplémentation pour y remédier, adapté aux différents modes d'accouchements avec ou sans allaitement, avec ou sans prématurité, en espérant sensibiliser le maximum de soignants et interpeller la santé publique sur l'intérêt majeur de cette voie thérapeutique.

  • Évaluation des connaissances et de la pratique du dépistage de la luxation congénitale de hanche chez les médecins généralistes de Poitou-Charentes    - Burguière Yohan  -  07 février 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : L'objectif de cette étude était d'évaluer les connaissances et l'application, par les médecins généralistes de Poitou-Charentes, des recommandations de la HAS, émises en 2013, sur le dépistage de la luxation congénitale de hanche. Méthode : Il s'agissait d'une étude observationnelle, descriptive, anonyme et déclarative. Un questionnaire a été envoyé entre octobre et décembre 2017, à 532 médecins généralistes exerçant une activité libérale en Poitou-Charentes. Le critère de jugement principal était la réalisation ou non de l'examen des hanches du nourrisson de manière systématique jusqu'à l'acquisition de la marche. Résultats : 157 médecins ont répondu au questionnaire, soit 29.5% de participation. L'examen des hanches était fait de manière systématique par 90% des répondants mais seulement 33.1% des sondés déclaraient l'effectuer jusqu'à l'acquisition de la marche. Et 47.8% ne pratiquaient plus cet examen après l'âge de 9 mois. 43% des médecins prescrivaient un examen complémentaire radiologique de manière systématique et 25% des participants ne prescrivaient pas d'examen complémentaire en présence d'un facteur de risque. Le signe du ressaut de hanche est bien connu des participants (99.4%) mais la limitation d'abduction des hanches n'est recherché que par 51% des sondés chez le nourrisson de plus de 3 mois. Conclusion : Le dépistage de la luxation congénitale de hanche par les médecins généralistes de Poitou-Charentes est insuffisant. L'examen des hanches doit être répété jusqu'à l'acquisition de la marche et les conditions de prescription radiologiques doivent être approfondies.

  • Étude de la relation entre les médecins généralistes et l'hôpital de Rochefort, quels moyens de communication pour optimiser la prise en charge ?    - Gerbaud Lore-Hélene  -  07 février 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La communication médecine de ville-médecine hospitalière a fortement évolué au fil du temps ayant un impact sur la coopération ville hôpital, enjeu majeur en politique de santé. L'objectif principal de l'étude est via le recueil du point de vue des médecins généralistes (MG), de définir les axes d'améliorations possible dans le domaine de la communication, afin de trouver des éléments permettant d'optimiser les échanges entre les professionnels.

    Méthodes : Il s'agit d'une étude descriptive transversale, mené d'avril à août 2018, par auto-questionnaire anonyme envoyé par voie postale auprès de l'ensemble des MG exerçant sur le périmètre du SMUR de Rochefort.

    Résultats : Parmi les 114 questionnaires envoyés, 50 réponses ont été retenues soit 43.85%. Les MG rapportent la nécessité d'améliorer les délais, pour joindre un confrère (pour avis spécialisé (21.1%) ou pour effectuer une demande d'hospitalisation (16.2%)), et également pour recevoir les comptes rendus d'hospitalisation (60%). Pour cela les outils à développer sont surtout les lignes directes téléphoniques (LTD) et la messagerie sécurisée (MS). D'une part la LTD permettant de joindre un spécialiste rapidement (en cas de nécessité d'avis (57%) ou de demande d'hospitalisation (68.8%)) et, d'autre part, le développement de la MS notamment pour la réception de compte rendu d'un passage aux urgences (33.3%), ou d'une hospitalisation (17.1%). Le développement de la communication avec le service des urgences semble un point majeur évoqué par les MG.

    Conclusion : Les MG sont globalement satisfaits de la communication qu'ils entretiennent avec le CH de Rochefort. Selon eux, il faudrait développer les LTD et les MS. Ces dernières sont en cours d'installation sur le territoire.

  • Enquête d'opinion menée auprès de patients sur l'amélioration de l'accès aux soins avec l'intervention d'un assistant médical    - Mourgues Elsa  -  31 janvier 2019  - Thèse d'exercice

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    INTRODUCTION Dans un contexte actuel de diminution de la population médicale active, surmenée et épuisée, et d'une demande croissante des besoins de santé d'une population nombreuse, vieillissante, sujette aux maladies chroniques, l'accès aux soins est devenu une problématique de santé publique.

    La réorganisation de notre système de santé s'avère nécessaire afin d'améliorer cet accès en terme de délai de rendez-vous et d'application du dispositif du médecin traitant. La proposition gouvernementale de création du poste d'assistant médical mérite d'être étudiée. L'objectif principal de notre étude était donc de recueillir l'opinion des patients sur l'amélioration possible de l'accès aux soins avec l'intervention d'un assistant médical.

    MATERIEL ET METHODES Il s'agissait d'une enquête d'opinion quantitative par questionnaire menée auprès de 872 patients ou accompagnants interrogés dans sept cabinets de médecins généralistes et deux structures d'urgences situés dans les départements Charente, Charente-Maritime et Gironde sur une période de 3 semaines.

    RESULTATS Cinquante-sept pour cent des patients interrogés ont considéré un meilleur accès aux soins avec un assistant médical et ce de façon plus importante dans les zones de tensions démographiques à savoir la zone rurale et les services d'urgences hypersollicités à l'heure actuelle. Cinquante-cinq pour cent des répondants estimaient une diminution des délais de rendez-vous actuels (un taux atteignant même 63% en zone rurale) avec l'intervention d'un assistant médical.

    CONCLUSION La délégation de tâches à un assistant médical pourrait être une réponse aux difficultés d'accès aux soins pour la moitié des patients interrogés. Il serait intéressant de compléter ce travail par des études de plus grande échelle afin d'en dégager une tendance. L'impact de la mesure devra également bénéficié d'une évaluation après la mise en place sur le terrain des postes d'assistants médicaux.

  • Le recours aux médecines alternatives par les patients atteints de cancer au sein de l'U.S.P de Poitiers    - Ayrem David  -  28 janvier 2019  - Thèse d'exercice

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    INTRODUCTION : Depuis des décennies, nous avons pu voir une avancée considérable des traitements des cancers. Mais, à contre partie, l'utilisation des médecines conventionnelles connaît un essor dans la population générale malgré de nombreuses controverses dans le milieu médical. OBJECTIF : L'objectif principal était d'évaluer le recours en médecines non conventionnelles des patients traités dans l'unité de soins palliatifs de POITIERS. METHODE : En association avec l'U.S.P du CHU de POITIERS, nous avons réalisé une étude descriptive, prospective, unicentrique, non randomisée et déclarative sur la base d'un auto-questionnaire de 14 items anonyme dont 37 patients ont répondu de juin à octobre 2017. RESULTATS : On a pu constater que le taux de personnes ayant pratiquées les médecines non conventionnelles avant leur maladie (48,60%) restait similaire pendant (45,9%). Les malades n'utilisant pas ces pratiques (45,9%) l'expliquant par le fait qu'ils ne s'étaient jamais posés la question (82,35%). Mais pour les autres, cette expérience n'était pas ressentie de manière négative (90%). Le but désiré initialement était mal défini. Les patients cherchaient à mieux supporter la maladie et ce qui l'entourait sans réellement vouloir la traiter par ces pratiques. Au départ, leur démarche restait personnelle (85%) en dehors de leur centre référent (85%) influencé par l'entourage (famille ou ami pour 65%). Au sein de l'effectif total, on remarquait qu'un grand nombre de malades (65%) n'avaient jamais évoqué leurs utilisations auprès d'un médecin devant l'absence de démarche réalisée par les professionnels de santé (37,50%) ou bien n'avaient pas pensé à leur en parler (70,80%). On constatait que l'accès à ces traitements n'étaient pas suffisamment développés pour 54% dans leurs centres de soin et que les patients étaient plutôt favorables à un échange d'information entre l'hôpital et leurs thérapeutes alternatifs (46,9%). CONCLUSION : Malgré l'absence d'indication type, l'étude confirme le grand nombre de malade intéressé à ces types de médecines. Il est important d'interroger les patients sur leur volonté d'y pratiquer au cours des consultations notamment avec leurs médecins traitants pour les informer afin d'éviter toute errance médicale.

  • Remplacement valvulaire aortique percutané (TAVI) chez la personne âgée : impact pronostique de la vitesse de marche : suivi rétrospectif de 155 patients    - Kuentz Nicolas  -  26 janvier 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction et objectif- Les recommandations européennes 2017 élargissent le nombre de patients candidats au Remplacement valvulaire aortique percutané ou Transcatheter aortic valvular implantation (TAVI) pour rétrécissement aortique serré mais les scores pronostiques actuels sont insuffisants chez le sujet âgé car n'intègrent pas la fragilité. L'objectif de notre étude était d'évaluer chez les sujets âgés la valeur pronostique de la vitesse de marche avant intervention sur la mortalité et la survenue de différents événements après TAVI.

    Population et méthode- Nous avons réalisé une étude de cohorte rétrospective unicentrique incluant les patients de ≥ 75 ans vus en évaluation gériatrique pour bilan pré-TAVI entre mars 2013 et octobre 2016 au CHU de Poitiers, ayant été traités par TAVI et ayant bénéficié d'un test de marche dans les 3 mois avant intervention. Le critère de jugement principal était la survenue du décès dans l'année après TAVI.

    Résultats- 141 patients (âge moyen 86,0 ans ± 4,0 ; femmes 46%) ont été inclus et suivis sur 12 mois. Ils étaient répartis en trois groupes de vitesse de marche : normale (VMN : ≥ 0,83m/s ; n=63 ; 45%), lente (VML : 0,5-0,83m/s ; n=54 ; 38%) et très lente (VMTL : < 0,50m/s ; n=24 ; 17%). La mortalité totale à 1 an était de 11% avec une différence statistiquement significative de survie entre les trois groupes (log-rank : p=0,018). Les patients du groupe VMTL avaient un risque de mortalité à 12 mois supérieur aux patients du groupe VMN (hazard ratio = 2,94 ; intervalle de confiance à 95% = [1,15-7,48] ; p=0,024) et étaient réhospitalisés plus précocément après TAVI (respectivement 271,6 ± 141,0 jours, 274,3 ± 139,3 jours et 177,6 ± 159,6 jours pour les groupes VMN, VML et VMTL ; p=0,014).

    Conclusion- La vitesse de marche est indépendamment associée au pronostic après TAVI et semble être un indicateur de fragilité chez les patients âgés candidats à cette intervention.

  • Relation entre bilan entrées/sorties et pression intra-crânienne à la phase initiale du traumatisme crânien grave : une étude multicentrique    - Bruey Soline  -  25 janvier 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le bilan entrées/sorties (BES) correspond à la somme des apports et déperditions de l'organisme. En réanimation, il a été montré qu'un BES inadapté peut avoir des conséquences sur la morbi-mortalié, dans de nombreuses situations cliniques. Concernant la réanimation du traumatisé crânien (TC) grave, il existe peu de documentation. L'objectif de notre étude était de déterminer s'il existe une corrélation entre BES et pression intra-crânienne (PIC) à la phase initiale de la prise en charge.

    Matériels et Méthodes : Cette étude observationnelle, rétrospective, multicentrique s'est déroulée dans 3 réanimations chirurgicales et neurochirurgicales. Les patients traumatisés crâniens graves avec un score de Glagow (GCS) < à 8 à la prise en charge ou présentant une dégradation neurologique avec CGS < 8 dans les 24 premières heures étaient inclus. L'objectif principal était d'étudier le rapport entre le BES et les valeurs de la PIC à la phase précoce d'un TC grave (J5). Les objectifs secondaires étaient d'étudier le rapport entre la BES sodée et la variation de PIC entre J0 et J5 et le rapport entre BES et durée d'hospitalisation en réanimation chez le traumatisé crânien grave à la phase précoce.

    Résultats : Entre 2015 et 2017, 106 patients ont été inclus. Le BES cumulé à J5 était en moyenne de 6676mL (SD 5294mL). Il n'existait aucune corrélation entre BES et valeur de PIC de J5. Il n'y avait pas non plus de corrélation entre BES sodé et variation de PIC entre J0 et J5 ni entre BES et durée de séjour en réanimation (durée moyenne de 24jours (SD+/-20j). La mortalité en réanimation était de 22%, la cause principale était l'hypertension intra-crânienne réfractaire (48%).

    Conclusion : Il n'existe pas de corrélation entre BES et PIC à la phase initiale de la prise en charge du TC grave. Cependant, il semble pertinent d'adapter nos apports liquidiens aux besoins strict des patients.

  • Sevrage tabagique maintenu à 1 an obtenu après l'intervention d'une infirmière ASALEE dans un cabinet de médecine générale : une étude épidémiologique prospective    - Condy Isabelle  -  24 janvier 2019  - Thèse d'exercice

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    Contexte : Le tabagisme est la première cause de mortalité évitable en France. En novembre 2016, le gouvernement français a mis en place une campagne nationale d'aide au sevrage tabagique : le mois sans tabac. L'association ASALEE (Action de Santé Libérale en Equipe), permet la délégation de tâches à des infirmières spécialisées en santé publique. Elle s'est développée dans l'objectif de répondre à la demande de soins en ambulatoire. Dans ce contexte, les infirmières ASALEE étaient spécialement formées afin d'accompagner les patients désirant arrêter de fumer.

    Objectifs : L'objectif principal de cette étude était d'évaluer le taux de sevrage tabagique chez les fumeurs chronique maintenu 1 an après l'intervention d'une infirmière ASALEE dans un cabinet de médecine générale. Les objectifs secondaires étaient d'évaluer le maintien de l'arrêt du tabac à 3 et 6 mois ainsi que d'identifier les facteurs favorisants l'arrêt du tabac.

    Méthode : Etude épidémiologique descriptive prospective monocentrique. Les patients inclus étaient des fumeurs adressés par leur médecin traitant vers une infirmière afin d'arrêter de fumer. Les patients étaient rappelés à 3 mois, 6 mois et 1 an suivant l'intervention de l'infirmière. Le critère de jugement principal était le taux de sevrage tabagique maintenu à 1 an.

    Résultats : 14 patients étaient inclus. Il y avait 2 perdus de vue. Le taux de sevrage tabagique à 1 an était de 7,1% des patients. 42,9% avait arrêté pendant les 3 premiers mois et 21,4% à 6 mois.

    Conclusion : Cette étude a montré un taux important de sevrage tabagique maintenu à 1 an à la suite de l'intervention d'une infirmière ASALEE dans ce cabinet médical. Elle pourrait servir d'étude pilote pour d'autres études de plus grande envergure.

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