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Tranchée-Vergé Valérie

Les travaux encadrés par "Tranchée-Vergé Valérie"

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7 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1 à 7
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  • Quel est le vécu des femmes ayant bénéficié d'une interruption volontaire de grossesse médicamenteuse à domicile en Poitou-Charentes ? Analyse Phénoménologique à partir de 17 femmes de 21 à 42 ans entre 2019 et 2022    - Paitre Justine  -  28 mars 2024

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    Contexte : L'expérience des femmes bénéficiant d'une d'IVG médicamenteuse reste peu étudiée en phénoménologie, alors que cette IVG est en progression. Objectif : Analyser le vécu des femmes ayant eu recours à l'IVG médicamenteuse en ambulatoire en Poitou-Charentes et définir les facteurs influençant leur vécu afin de proposer des améliorations de prise en charge. Méthode : Étude qualitative par entretiens individuels semi-dirigés auprès de femmes ayant réalisé une IVG médicamenteuse à domicile. Résultats : 17 femmes ont participé à l'étude. Le vécu a été influencé par le contexte de vie, leurs connaissances sur l'IVG, l'examen échographique, les professionnels de santé et l'entourage. Les symptômes physiques ont été acceptables pour la plupart des femmes, tout en restant très subjectifs. Certaines femmes ont regretté l'absence de suivit psychologique et l'absence de prescription d'un temps de repos. Conclusion : La liberté du choix des modalités de cet acte, en fonction du mode de vie de chacune, constitue la première étape de l'acceptation et de l'appropriation de ce droit. La communisation et l'information sont à privilégier entre les femmes et les différents professionnels de santé. Les médecins devraient bénéficier d'une meilleure formation. Les femmes ont besoin d'être écoutées et soutenues psychologiquement.

  • Les internes de médecine générale du Poitou-Charentes face aux violences conjugales : État des lieux de l'apport de la formation pratique et théorique    - Monnot Marine  -  12 octobre 2023  - Thèse d'exercice

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    Introduction : En 2014, la loi rend obligatoire la formation initiale et continue des professionnels de santé sur les violences faites aux femmes. Au cours du DES de médecine générale de la faculté de médecine de Poitiers, un enseignement obligatoire sur les violences est donné aux internes sous la forme d'un groupe d'échange de pratique. Par ailleurs, les internes ont l'obligation de faire, dans leur cursus, au moins un stage en santé de la femme. L'objectif de notre travail est d'étudier l'apport de la formation pratique et théorique, dispensée aux internes, sur le sujet des violences conjugales. Notre second objectif est de proposer des voies d'amélioration à cette formation.

    Méthodologie : Une étude quantitative par l'intermédiaire d'un questionnaire est réalisée auprès des internes et anciens internes de médecine générale de Poitou-Charentes.

    Résultats : 81% des participants de notre étude ne s'estiment pas ou peu formés aux violences conjugales pendant leur internat. En effet, les ressources d'aide à la prise en charge des violences conjugales sont très peu connues par les internes. Par ailleurs, les internes semblent peu sensibilisés au sujet. Plus de la moitié des participants déclarent que l'enseignement obligatoire dispensé sur les violences, ne leur a pas ou peu permis d'avoir de meilleures connaissances sur les violences conjugales et ne leur a pas ou peu permis de changer leur pratique. 94% des participants se disent favorables à une formation dédiée aux violences conjugales, avec l'intervention de professionnels formés. Enfin 64% des participants plébiscitent une formation dès la première année.

    Conclusion : Afin d'améliorer la formation en adéquation avec les demandes des internes, nous suggérons un séminaire dédié aux violences faites aux femmes, animé par des professionnels formés et des associations, avec la remise d'un document récapitulant différentes ressources mise à disposition. Enfin, un groupe d'échange de pratique pourrait être maintenu en dernière année afin que les internes puissent exprimer les difficultés rencontrées pendant leur cursus.

  • Sur quels critères les jeunes filles choisissent le médecin généraliste pour leur première prescription de contraception ?    - Peccolo Mélina  -  01 juin 2023  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La première contraception est une étape majeure dans la vie d’une jeune fille. Il s’agit bien souvent du premier contact avec un praticien en relation avec sa sexualité. Cette première consultation est réalisée le plus souvent chez des jeunes filles de 15 ans à 19 ans, c’est également dans cette tranche d’âge que survient le premier rapport sexuel. La pilule est la contraception la plus utilisée dans cette tranche d’âge. C’est pourquoi nous avons choisi d’étudier des jeunes filles de 15 à 17 ans révolus en cabinet libéral de médecine générale.

    Méthode : Une étude qualitative par entretiens semi-dirigés a été réalisée pour recueillir les critères de choix des jeunes filles. Une analyse de contenu a été réalisée avec triangulation des données par une autre chercheuse. Une approche s’apparentant à la théorisation ancrée a été choisie. Un recrutement des patientes à partir d’une liste de patientes donnée par 16 médecins généralistes de quatre cabinets différents dans le département de la Charente-Maritime a été réalisé. Ce recrutement des patientes a été fait jusqu’à saturation des données.

    Résultats : 19 jeunes filles ont répondu aux entretiens. Des critères de choix ont été identifiés : le remboursement de la consultation, le choix du médecin « traitant », l’obtention d’un rendez-vous rapidement, la durée de consultation relativement courte et le choix d’un médecin « femme ». Certains freins ont été retenu : l’absence de formation spécifique en gynécologie, la méconnaissance des jeunes filles de la possibilité de réaliser ce type de consultation chez le médecin généraliste et le médecin « homme ».

    Conclusion : Les critères de choix du médecin généraliste se portaient sur : le sexe féminin du praticien, la rapidité d’accès et le moindre cout de la consultation, la disponibilité et la confiance attribuée au médecin généraliste. Une meilleure diffusion auprès des jeunes filles des compétences du médecin généraliste à prendre en charge les problèmes gynécologiques les plus fréquents s’avère nécessaire. Des sources d’informations fiables doivent être présentées par les médecins aux jeunes filles afin d’éviter les fausses croyances.

  • La place du dosage sanguin de la ferritine en médecine générale : enquête par questionnaire auto-administré auprès des médecins généralistes de la région Poitou-Charentes en 2018    - Dutruc Camille  -  31 octobre 2018  - Thèse d'exercice

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    Introduction : L'hyperferritinémie est une entité fréquente, avec une prévalence allant jusqu'à 13% dans une population donnée. Les médecins généralistes en sont généralement les principaux investigateurs et sa découverte peut les laisser en difficulté quant à un diagnostic précis. Pour déterminer la place de la ferritinémie en médecine générale et proposer des solutions adaptées, nous avons voulu identifier les pratiques et connaissances des médecins la concernant.

    Matériels et méthodes : Cette étude descriptive transversale, réalisée par questionnaire autoadministré, était adressée aux médecins généralistes de la région Poitou-Charentes en 2018. L'enquête permettait le recueil de données sociodémographiques, théoriques et pratiques concernant le dosage de la ferritine.

    Résultats : Le taux de participation était de 14,1% (226 questionnaires). La majorité des médecins s'estimaient insuffisamment formés durant leur cursus universitaire (61,9%) et post-universitaire (68,7%). Les jeunes médecins s'estimaient mieux formés, sans que leurs résultats soient meilleurs. Les principaux motifs de prescription étaient : bilan d'asthénie (95,5%), contrôle d'une hyperferritinémie antérieure (95,5%) et dépistage d'une hémochromatose (93,2%). 25,3% des médecins la prescrivaient systématiquement à chaque biologie. L'hémochromatose était la première étiologie attendue (91,6%). L'expérience d'un diagnostic hépatique rendait favorable 33,4% des médecins à son intégration dans le dépistage systématique, contre 9,8% lorsqu'ils n'y avaient jamais été confrontés (p<0,001).

    Conclusion : Notre étude a identifié des pratiques disparates concernant la prise en charge d'une hyperferritinémie en médecine générale. La méconnaissance des principales étiologies et l'expérience d'un diagnostic favorisaient la prescription du dosage. Le développement de formations pourrait améliorer sa prescription et uniformiser les pratiques. L'intégration d'un algorithme décisionnel aux résultats biologiques pourrait également guider le médecin en consultation.

  • Le vécu des parents en cas de suspicion d'anomalie fœtale pendant la grossesse : place du médecin généraliste dans ce parcours : enquête qualitative par entretiens semi-dirigés auprès de 11 parents    - Lugou Solenne  -  18 janvier 2018  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le développement des examens complémentaires lors du suivi de grossesse a rendu possible le dépistage de nombreuses pathologies fœtales en anténatal. Les parents connaissent mal les enjeux de ces examens et un résultat pathologique les entraine dans un parcours douloureux auquel ils n'étaient souvent pas préparés. Cette étude qualitative a pour but de connaître les attentes et les besoins des parents en cas de suspicion d'une anomalie chez leur futur enfant afin de préciser le rôle que peut jouer le médecin généraliste dans ce parcours.

    Méthode : 9 entretiens ont été réalisés auprès de 11 parents entre Mars et Juin 2017. Les questions portaient sur le déroulement de la grossesse, le ressenti des parents pendant cette période et l'accompagnement par les professionnels.

    Résultats : Lors de l'annonce de l'anomalie, les parents ont besoin d'être tous les 2 présents. Ils insistent sur l'importance des termes employés par le médecin afin d'atténuer la violence du choc. Ils souhaitent également que le professionnel leur décrive leur enfant dans sa globalité et ne se focalise pas sur l'anomalie. L'attente des rendez-vous médicaux ou des résultats des examens est une période particulièrement douloureuse pour les parents lors de laquelle ils doivent être accompagnés. Les parents s'accordent sur l'importance d'une information de qualité leur permettant d'être acteurs de la prise en charge de leur futur enfant. Pour cela les professionnels de santé doivent leur proposer de rencontrer un spécialiste de la pathologie (pédiatre, chirurgien…) et d'échanger avec d'autres parents ayant vécu des situations similaires. Il est également important de proposer à tous les couples un soutien par un psychologue. Les choix des parents en terme d'accompagnement ou d'IMG doivent être respectés. À la suite de cette grossesse, les parents sont favorables à la poursuite d'un suivi pour eux et leur enfant le cas échéant.

    Conclusion : Le suivi de grossesse après la découverte d'une anomalie fœtale est une situation complexe, souvent vécue douloureusement par les parents. Ce travail a permis de définir des actions que peut proposer le médecin généraliste pour améliorer leur accompagnement.

  • « Les attentes des femmes victimes de violences concernant le dépistage et la prise en charge par leur médecin généraliste » : Enquête qualitative par entretiens semi-dirigés auprès de 10 femmes victimes de violences dans les Deux-Sèvres    - Paris Laurane  -  02 octobre 2015  - Thèse d'exercice

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    Les violences faites aux femmes sont fréquentes, sous dépistées et extrêmement destructrices pour les victimes, tant sur le plan humain que sur le plan sanitaire, social ou financier.

    Elles sont devenues un véritable enjeu de santé publique notamment suite aux résultats alarmants de l'Enquête Nationale sur les Violences Envers les Femmes en France (ENVEFF) réalisée en 2000.

    Ce travail de recherche a pour but de connaître les attentes des femmes victimes de violences, sous toute forme, dans tout contexte et par tout auteur, concernant le dépistage et la prise en charge par leur médecin généraliste.

    La méthode utilisée est une étude qualitative par entretiens semi-dirigés auprès de 10 femmes victimes de violences dans le département des Deux-Sèvres.

    La trame d'entretien s'articule autour de 5 axes : l'histoire de la femme, l'installation de la violence, le dépistage des violences par le médecin généraliste, la prise en charge et le suivi, la sortie de la violence.

    Les principales attentes retrouvées dans cette enquête sont :
    1/ Liées à l'attitude du médecin
    Établir une relation de confiance et respecter le secret médical
    Discuter et informer sur les violences
    Avoir des qualités humaines d'écoute, d'empathie, d'attention et de soutien
    Disposer de plus de temps de consultation et de plus de disponibilité
    Ne pas banaliser les violences subies
    Ne pas juger
    2/ Liées à l'action du médecin
    Proposer une prise en charge psychologique
    Proposer une orientation
    Diminuer la médication par psychotropes
    Mener des actions de prévention
    Dépister au cas par cas les violences
    Rédiger d'un certificat médical complet
    Connaître les réseaux locaux pour proposer un relais vers les professionnels
    Se former sur les violences
    3/ Liées à l'environnement
    Plus de lieux d'accueil pour les femmes victimes
    Associations de victimes

    Les attentes de ces femmes sont donc nombreuses et riches d'enseignement quant à l'attitude à adopter en consultation et aux actions à leur proposer.

    Le médecin généraliste tient donc un rôle clé pour aider les femmes victimes de violences dans leur démarche personnelle.

    Ses missions peuvent être résumées selon 5 axes :
    Repérer : Motifs de consultation, attitude de la femme
    Identifier : Dépistage et attitude d'écoute du médecin
    Évaluer : Type de violences, examen clinique, conséquences sanitaires et sociales
    Agir : Certificat médical, discussion, informations, prise en charge psychologique, orientation et suivi
    Se former

  • Evaluation des préférences des préadolescents sur l'organisation, le contenu et les modalités de l'information sur la sexualité : analyse d'entretiens semi-dirigés auprès de 15 jeunes adolescents âgés de 11 à 13 ans    - Hummel Cécile  -  17 septembre 2013  - Thèse d'exercice

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    Accepter et informer les jeunes sur leur sexualité est un enjeu de Société et de Santé Publique. L'information sur la sexualité devrait être apportée dès la petite enfance par l'entourage familial, L'Education Nationale et les professionnels de la Santé.

    Notre étude cherche à déterminer quelles sont les préférences d'organisation, de contenu et de modes d'information sur la sexualité auprès des préadolescents. Pour cela nous réalisons une étude qualitative : nous menons 15 entretiens semi-directifs auprès de jeunes adolescents âgés de 11 à 13 ans issus de milieu rural et urbain. Notre trame d'entretien s'organise autour de six thèmes : interlocuteurs privilégiés, mode d'information actuel, intervenants privilégiés, modalités d'information, organisation de l'information et les thèmes à aborder. Nous réalisons ensuite une analyse thématique du verbatim recueilli.

    Notre principale difficulté est de s'adresser à des jeunes adolescents qui ne se sentent pas encore concernés par le sujet et qui s'expriment avec réserve devant les adultes. Nous devons parfois préciser nos questions, ce qui peut entrainer une saturation artificielle des données.

    Les préadolescents que nous interrogeons réclament une information de qualité, respectueuse de leur intimité, progressive et adaptée à leur âge. Ils insistent également sur le respect de l'anonymat.

    Ils souhaitent que les personnes qui leur apportent ces informations soient disponibles, dignes de confiance et pédagogues (habituées aux adolescents). Ils sont favorables à l'intervention de plusieurs personnes afin de multiplier les avis et les explications. Ils accordent une crédibilité particulière aux professionnels de la Santé. Dans l'idéal, ces séances doivent être animées par des personnes d'âges et de sexes différents, en présence de l'infirmière de l'établissement.

    Ils sont favorables à ce que la séance soit préparée (évaluation de leurs connaissances, de leurs attentes, préparation des questions à poser) puis organisée en plusieurs parties : en classe entière et en petits groupes mixtes ou non. Ils souhaiteraient constituer eux-mêmes les groupes en fonction de leurs affinités pour favoriser la prise de parole des élèves.

    Ils souhaitent des séances d'information interactives avec des animations ludiques qui serviraient de support de réflexion et leur permettraient de mémoriser les messages plus efficacement.

    Ils s'accordent sur le fait que le contenu des informations doit être concret, adapté aux connaissances qu'ils ont déjà acquises et porter sur des sujets qui les concernent. Ils soulignent que la façon d'aborder la sexualité conditionnera l'image qu'ils en garderont et sont donc favorables à un discours positif sur la sexualité. Enfin, en fin de séance, il est important de les aider à identifier les différents interlocuteurs ultérieurs (infirmière scolaire, médecins traitants et associations locales) afin de pouvoir aborder le sujet de façon plus personnelle en entretiens individuels.


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