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Toussaint Lucette

Les travaux encadrés par "Toussaint Lucette"

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4 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1 à 4
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  • « Si ce n’était qu’une question d’imagination ? » Étude des capacités d’imagerie mentale chez les enfants faibles compreneurs de l’écrit    - Braud Chloe  -  21 juin 2021

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    Les difficultés de compréhension en lecture sont un enjeu essentiel en orthophonie et elles peuvent avoir plusieurs origines. Il existe un profil d’enfants qui souffrent de troubles de la compréhension malgré des compétences en identification des mots écrits adaptées à leur âge : les faibles compreneurs spécifiques. La compréhension en lecture est un mécanisme complexe, dans lequel l’imagerie mentale joue un rôle primordial. Les difficultés des faibles compreneurs spécifiques ont été largement décrites dans la littérature mais les précédentes études ne se sont pas intéressées aux capacités d’imagerie mentale de ceux-ci. L’objectif de ce mémoire est donc d’étudier cette composante de leur profil. Nous avons émis l’hypothèse d’un déficit d’imagerie mentale chez les faibles compreneurs se manifestant par une absence de l’effet d’incongruence observé chez les enfants bons compreneurs. Pour répondre à notre problématique, un protocole a été mis en place afin de tester les capacités d’imagerie mentale et de détecter un échantillon de faibles compreneurs parmi des enfants scolarisés en classe de CM1 ou CM2. Des profils de bons et mauvais compreneurs ont été identifiés grâce aux résultats des épreuves testant l’identification des mots écrits, le raisonnement non verbal et la compréhension. Une fois les profils de bons et mauvais compreneurs définis, leur taux d’erreurs et leur temps de réponse à l’épreuve d’imagerie mentale ont été analysés. Les résultats ont montré que, quel que soit leur profil, les participants commettaient davantage d’erreurs et étaient plus lents en condition incongruente. Leur profil (bon ou mauvais compreneur) n’avait pas d’impact sur l’effet d’incongruence observé. Ainsi, les capacités d’imagerie mentale des faibles compreneurs semblent préservées, même si ce résultat doit être confirmé par de futures études.

  • Étude des liens entre déficit de compréhension en lecture et capacités d'imagerie mentale des enfants faibles compreneurs spécifiques    - Moisan Amelia  -  24 juin 2019

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    Lire consiste à décoder les mots écrits et à être capable de comprendre le message qu’ils transmettent. Certains enfants n’accèdent pas à cette compréhension alors qu’ils possèdent de bonnes compétences d’identification de mots écrits. Ceci interroge sur les paramètres entrant en jeu dans l’élaboration d’une bonne compréhension. Actuellement, différents processus ont été identifiés comme permettant l’élaboration de représentations mentales qui elles-mêmes sous-tendent la compréhension. D’autre part, des études ont mis en évidence l’intérêt de l’entraînement à l’imagerie mentale dans la remédiation des difficultés de compréhension écrite chez les enfants faibles compreneurs spécifiques. Cependant, la littérature scientifique ne permet pas actuellement de déterminer si ces entraînements prennent appui sur des compétences d’imagerie mentale préservées, ou s’ils viennent pallier des compétences déficitaires qui entraveraient l’élaboration de représentations mentales. Cette étude a pour objectif d’étudier les capacités d’imagerie mentales des enfants faibles compreneurs spécifiques de l’écrit. Dans ce but, un protocole de recherche a été mené entre 2017 et 2019 auprès de 100 enfants scolarisés en CM2. Suite à l’évaluation de leur niveau d’identification de mots écrits et de compréhension, 51 sujets ont été répartis en deux groupes : les bons identifieurs-bons compreneurs (BIBC) et les bons identifieurs-faibles compreneurs (BIFC). Les scores de chaque groupe dans 5 tâches d’imagerie mentale ont été comparés et montrent des difficultés globales en imagerie mentale. Les résultats seront discutés et proposeront une réflexion sur les apports théoriques et pratiques soulevés en conséquence.

  • Et si ce n'était qu'une question d'imagination? : étude des capacités d'imagerie mentale des enfants faibles compreneurs spécifiques    - Julienne Charlotte  -  26 juin 2018

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    Lire n’est pas comprendre ! Certains enfants, qualifiés de « faibles compreneurs spécifiques », présentent des difficultés dans la compréhension de ce qu’ils lisent en dépit d’un bon niveau d’identification de mots écrits. En effet, nombreux sont les déterminants de cette activité cognitive complexe qu’est la compréhension. Avec l’essor de la cognition incarnée, l’activité de compréhension est considérée comme une simulation mentale de la situation décrite par le texte permettant ainsi au lecteur d’accéder à sa signification. Par ailleurs, des entraînements de l’imagerie mentale se sont révélés concluants, y compris chez les enfants faibles compreneurs spécifiques. Toutefois, nous ignorons si de tels entraînements reposent sur l’utilisation de capacités d’imagerie mentale préservées ou déficitaires. Cette étude vise donc à explorer les capacités d’imagerie mentale des enfants faibles compreneurs de l’écrit. Pour cela, une étude a été menée auprès de 75 enfants scolarisés en classe de CM2. Après avoir évalué l’identification de mots écrits et la compréhension en lecture, nous avons constitué un échantillon final de 33 sujets parmi lesquels deux groupes de lecteurs-compreneurs : bons lecteurs-bons compreneurs (BIBC) et bons lecteurs-faibles compreneurs (BIFC). Les BIFC ont été comparés aux BIBC sur les 5 tâches d’imagerie mentale. Nos résultats montrent que ces enfants présentent un déficit spécifique au processus explicite d’imagerie mentale. Ces résultats seront discutés en termes d’implications théoriques et cliniques.

  • L'imagerie mentale chez les faibles compreneurs du langage écrit    - Gigon Camille  -  27 juin 2016

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    La compréhension, qui est la finalité de la lecture, est une activité complexe sous-tendue par de nombreux facteurs linguistiques et cognitifs dont l’imagerie mentale qui apparaît comme la trace restante d’un énoncé au cours de la compréhension. S’entraîner à construire une représentation mentale (« une image mentale ») améliorerait la compréhension écrite. La compréhension en lecture est souvent entravée par des difficultés d’identification de mots écrits, cependant il existe des enfants appelés « faibles compreneurs », présentant un déficit en compréhension écrite en dépit d’une identification de mots efficace. Notre étude avait pour objectif d’évaluer si les faibles compreneurs ont des capacités d’imagerie mentale préservées ou déficitaires. Afin d’identifier un échantillon d’enfants faibles compreneurs de classe de CM2, nous avons tout d’abord évalué l’identification de mots écrits et la compréhension en lecture de 34 enfants tout-venants de classe de CM2. Les capacités d’imagerie mentale de l’ensemble de la population ont été évaluées sur des tâches de rotation mentale de chiffres et de mains. Les faibles compreneurs spécifiques ont été comparés à des bons compreneurs issus de l’échantillon et appariés sur le niveau d’identification de mots écrits et sur les tâches de rotation mentale. Nos résultats montrent que les enfants faibles compreneurs ne présenteraient pas de déficit au niveau de l’imagerie mentale : ils obtiennent des scores similaires aux bons compreneurs et sont plus rapides pour la tâche de rotation de chiffres. En conclusion, les faibles compreneurs semblent avoir des capacités préservées pour créer des images mentales à partir d’un traitement non-linguistique, ce qui ouvre des perspectives de recherche quant aux capacités de représentation mentale à partir d’une base linguistique.

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