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Hébert Marie-Thérèse

Les travaux encadrés par "Hébert Marie-Thérèse"

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  • Initiation des médecins généralistes aux TCC de l'insomnie par une formation vidéo, un protocole en 4 séances est-il pertinent pour la médecine générale ?    - Moummouch Malika  -  28 septembre 2023  - Thèse d'exercice

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    INTRODUCTION : L'insomnie est un problème de santé publique par les comorbidités qu'elle entraine ainsi que par les prescriptions excessives d'hypnotiques et benzodiazépines qu'elle motive. Les TCC sont le premier traitement de l'insomnie chronique selon les recommandation de la HAS. Ce travail de thèse propose d'étudier la pertinence d'un protocole de TCCI en médecine générale après formation des médecins généralistes via une vidéo diffusée sur un réseau social.

    MATERIEL ET METHODE : La vidéo a été effectué à l'aide du logiciel Power Point. Intégration de la vidéo dans un questionnaire Google Form avec une questionnaire pré et post vidéo. La publication de la vidéo et de son questionnaire a été réalisé sur un réseau social (Facebook) dans un groupe réservé aux médecins avec introduction du RPPS à l'admission. La vidéo comportait des rappels sur le sommeil et un protocole de TCCI en 4 séances détaillées. N'étaient inclus dans l'étude que les médecins généralistes installés ou collaborateurs, qui possèdent une patientèle régulière. Les donnés collectées ont été analysé sous forme de graphiques issus de tableaux dynamique bi-variés.

    RESULTATS : 31 médecins ont répondu, 30 répondaient aux critères d'inclusion. Tous ont apprécié la formation vidéo et son mode de diffusion. Tous les médecins ont appris des choses et 90% d'entre eux attestent être plus à l'aise lors d'une consultation d'insomnie après la vidéo. 96% d'entre eux estiment que les TCC ont leur place en médecine générale. 83% trouvent le protocole de TCCI adapté la pratique de médecine générale. 55% veulent appliquer ce protocole en consultation.

    DISCUSSION ET CONCLUSION : L'étude a montré quelques limites méthodologiques devant un échantillon peu représentatif et de faible puissance. L'absence de formation aux TCC, l'isolement professionnel et un nombre de consultations élevé par jour semblaient favoriser la prescription médicamenteuse aux thérapies. Le manque de temps était l'unique frein évoqué par les généralistes pour ne pas appliquer ce protocole de TCCI. Une cotation spécifique ainsi que des consultations dédiées pourraient être une alternative à cette restriction. Par ailleurs, les IDE ASALEE sont intéressées par ce protocole et souhaiteraient l'intégrer à leur cursus en vue d'une délégation de ce soin à ces IDE spécialisées dans l'éducation et la prévention.

  • Proportion des consultations abordant la santé mentale en médecine générale    - Poisson Alexis  -  21 septembre 2023  - Thèse d'exercice

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    La santé mentale est une notion complexe couvrant les plans personnels, familiaux, sociaux et professionnels des individus traversants des états optimaux de bien-être à des états invalidants. Elle ne se résume donc pas à la présence ou non de troubles psychiques ou psychiatriques. Ces derniers ont une prévalence importante dans le monde se retrouvant à l'échelle nationale et locale. Leurs liens et leurs répercussions sur la sphère professionnelle soulignent l'impact qu'ils peuvent avoir sur l'individu et la société. Nous avons réalisé une étude épidémiologique transversale via une grille d'étude anonymisée envoyée par mail ou voie postale pour connaître la proportion de la santé mentale dans les consultations de médecine générale du département de Charente-Maritime. Nous avons également cherché à connaître s'ils avaient suivi une formation spécialisée, leur ressenti en termes d'aisance et s‘ils souhaitaient un avis ou une orientation vers un interlocuteur spécialisé. Au total, 31 % des consultations (582 sur 1880) ont concerné la santé mentale. Les troubles mentaux communs (anxieux et dépressifs) constituaient 57 % de ces consultations, les situations liées à la famille 39 %, les troubles somatoformes 31 %, celles liées au travail 23 % et les troubles en addictologie 18 %. Les médecins généralistes ont décrit une aisance dans plus de la moitié des consultations liées à la santé mentale, ainsi qu'un souhait d'orientation pour 23,5 % d'entre elles. Sur l'échantillon, 40 % avait suivi une formation complémentaire, plus fréquemment pour ceux installés depuis moins de 20 ans. Notre étude a apporté des éléments sur la pratique courante des médecins généralistes concernant la santé mentale en termes de prévalence de situations rencontrées et d'outils utilisés.

  • Étude de pratique de l'électrocardiogramme auprès des médecins généralistes de l'ancienne région Poitou-Charentes : Évaluation des facteurs influençant l'équipement    - Bruneaud Bilal  -  13 octobre 2022  - Thèse d'exercice

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    Introduction : L'électrocardiographe représente depuis plusieurs décennies un outil de référence dans la prévention, le diagnostic et le suivi de la pathologie cardiovasculaire. Les recommandations concernant les indications à sa réalisation en médecine générale sont nombreuses et bien définies. Cependant, de nombreuses études semblent indiquer que les médecins généralistes français sont peu équipés. Une revue de la littérature a montré qu'il n'existait aucune étude évaluant la question spécifique de l'équipement en électrocardiographe sur l'ensemble de l'ancienne région Poitou-Charentes.

    Objectif : étudier, les facteurs à l'origine de l'acquisition ou non de ce matériel et comparer nos résultats avec ceux des travaux existants afin de déterminer l'éventuelle présence de spécificités régionales chez les médecins picto-charentais.

    Matériel et Méthode : Par une étude de pratique transversale et par l'intermédiaire d'un questionnaire anonyme en ligne nous avons étudié les modalités d'usage de l'électrocardiogramme chez les médecins libéraux installés dans la région Poitou-Charentes. Un tirage au sort à 40% a été effectué parmi les 1744 médecins, représentant ainsi un effectif total de 698 praticiens.

    Résultats : 162 médecins ont été inclus. Le taux d'équipement était de 64,2 %. La fréquence moyenne d'utilisation de l'électrocardiographe était de de 4,1 ECG (σ=3,6) par mois et par médecin. Nos résultats nous ont permis de dégager 3 principaux facteurs favorisant l'acquisition d'un électrocardiographe : l'exercice en milieu rural (p=0,003), le mode d'installation en groupe (p=0,014) et une durée importante d'accès à un service d'urgence (p=0,017). Nous avons également repéré 3 facteurs constituant des freins à l'acquisition d'un électrocardiographe : un niveau de formation insuffisant (72%), l'aspect chronophage de l'ECG (59%) et la crainte du risque médico-légal (53%). Les principales pistes d'amélioration concernent la mise en place d'un service de relecture gratuit, la participation à des formations spécifiques à la lecture des électrocardiogrammes et une aide technique à la réalisation des électrocardiogrammes.

    Conclusion : Notre étude ne révèle pas de spécificité régionale Picto-charentaise concernant les facteurs à l'origine ou non de l'acquisition d'un électrocardiographe. La création du métier d'assistant médical et la généralisation récente de la téléexpertise à l'ensemble des patients semble représenter des solutions prometteuses à l'avenir pour lever les facteurs constituant un frein à l'équipement et à l'utilisation de l'électrocardiogramme.

  • Etude de l'influence des différentes méthodes de formation continue sur trois indicateurs de la ROSP    - Favard Lorène  -  27 mai 2021  - Thèse d'exercice

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    Contexte : Plusieurs types de formation médicale sont à la disposition des médecins généralistes : les groupes d’analyse de pratique, les conférences, la lecture de revues et la maîtrise de stage. Chaque formation a un impact mais aucune ne semble démontrer une efficacité supérieure sur l’amélioration des pratiques en médecine générale.

    Objectifs : L’objectif de cette étude était d’évaluer l’intérêt de ces différentes méthodes basées sur trois indicateurs de la Rémunération sur objectifs de santé publique : les pourcentages de prescriptions d’au moins 2 HbA1c par an, de benzodiazépines anxiolytiques pendant plus de 12 semaines et d’antibiotiques chez les patients âgés de 16 à 65 ans hors ALD.

    Méthode : Un questionnaire a été réalisé et envoyé aux médecins généralistes libéraux de Nouvelle-Aquitaine inscrits au tableau de l’Ordre des médecins et adhérant à la convention de la ROSP. Les médecins pratiquant un mode d’exercice particulier supérieur à 50% de leur activité ainsi que les médecins remplaçants ont été exclus. Le questionnaire a été disponible en ligne à partir du 18 mars 2019.

    Résultats : La prescription de benzodiazépines anxiolytiques au long cours a été plus faible pour les médecins participant à un groupe d’analyse de pratique mais de façon non significative. Les médecins participant à un groupe d’analyse de pratique ont prescrit également moins d’antibiotiques que les médecins ne participant pas à un groupe d’analyse de pratique mais de façon non significative. Les médecins lisant au moins 10 revues par an ont prescrit moins de benzodiazépines au long cours mais de façon non significative. Les maîtres de stage ont prescrit moins de benzodiazépines anxiolytiques d’une durée supérieure à 12 semaines mais de façon non significative. Ces résultats ne permettent pas de tirer de conclusion définitive sur l’impact des différentes méthodes de formation.

    Conclusion : Aucune différence statistiquement significative pour chacune des quatre méthodes de formation continue étudiées n’a été retrouvée en se basant sur les trois indicateurs de la ROSP.

  • La place de l'assistant de consultation en zone sous médicalisée pour la médecine générale ambulatoire: enquête d'opinion auprès de médecins généralistes    - Kichenama Elrick  -  13 décembre 2016  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Les difficultés des zones sous-médicalisées ont été essentiellement réfléchies en termes de nombre de praticien et non en temps médical disponible. En effet, les aspirations concernant le rythme de travail et le profil de la nouvelle génération ont évolués. L'objectif de cette étude est de déterminer le gain de temps de consultation grâce à la collaboration d'un assistant de consultation.

    Matériel et méthodes : Il s'agit d'une étude prospective multicentrique par questionnaire, menée auprès de 30 médecins généralistes de Charente-Charente Maritime, sur 20 journées. L'objectif principal est d'estimer le gain de temps par consultation après une journée de travail effectuée en partenariat avec un assistant de consultation.

    Résultats : L'étude portait sur l'opinion de 30 médecins. Celle-ci a montré qu'un assistant de consultation permettait un gain de temps d'environ 4 minutes par consultation. 80% des médecins interrogés étaient « d'accord » sur une possible amélioration des délais d'accès aux soins, et les trois quarts estimaient la présence d'un assistant important pour diminuer la fatigue et l'épuisement ressentis.

    Conclusion : Ainsi, l'intervention d'un assistant de consultation permettrait un gain de temps aux praticiens, leur offrant ainsi la possibilité de répondre à une demande de soins toujours plus croissante.

  • Évolution des patients diabétiques de type 2 provenant de la Communauté de Commune de la Région de Châteauneuf et du territoire Grand Poitiers et ayant été inclus dans le dispositif Prescrimouv' de mars 2016 à juillet 2018    - Rieffel Nadège  -  17 juillet 1986  - Thèse d'exercice

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    Les bienfaits de l'activité physique sur la santé ne sont plus à démontrer. Par la loi de modernisation de notre système de santé de 2016, la France renforce sa poli-tique de promotion de l'activité physique en permettant aux médecins traitants de prescrire de l'activité physique aux patients atteints d'une affection longue durée. En Poitou-Charentes, le dispositif Prescrimouv' a été expérimenté dans ce cadre. Il proposait 6 mois d'activité physique adaptée aux personnes inactives, sédentaires et ayant une pathologie chronique.

    L'objectif de cette étude était de décrire l'évolution des patients diabétiques de type 2 de la Communauté de Communes de la région de Châteauneuf (CCR de Châteauneuf) et du territoire Grand Poitiers in-clus dans ce dispositif de mars 2016 à juillet 2018. Les données provenaient de Prescrimouv' et des dossiers médicaux des médecins prescripteurs (en particulier pour les données de suivi à 6 mois).

    La population étudiée comprenait 52 patients diabétiques. L'âge moyen était de 63 ans et il y avait une majorité de femmes (67 %). La plupart étaient en surpoids ou obèse (IMC moyen : 35 pour la CCR de Châteauneuf et 37 pour le Grand Poitiers). En moyenne, le score de Ricci & Ga-gnon était de 16 pour la CCR de Châteauneuf et de 13 pour le territoire Grand Poitiers. L'hémoglobine glyquée initiale moyenne était de 7.45% pour la CCR de Châteauneuf et de 7.8% pour le territoire Grand Poitiers. Avant de débuter le pro-gramme, environ la moitié avait déjà atteint leur objectif en termes d'hémoglobine glyquée (50% dans le Grand Poitiers et 41% dans la région de Châteauneuf). En moyenne, les bénéficiaires de de la CCR de Châteauneuf ont effectué 34 séances et ceux du Grand Poitiers 24.

    Au total, sur l'ensemble des territoires, 84% des pa-tients ont bénéficié d'une prise en charge diététique pendant la durée du pro-gramme. Concernant l'hémoglobine glyquée, aucune évolution significative n'a pu être mise en évidence à 6 mois. En revanche, une majorité de patients avait pour-suivi une activité physique de loisir après la fin du programme (78% à 1 mois, 72% à 3 mois et encore 70% à 6 mois). Enfin, les 3 cas cliniques sont issus d'entretiens avec des patients volontaires. Ils apportent des éléments supplémen-taires qui ne ressortaient pas à la simple lecture des dossiers médicaux et qui nous aident à apprécier l'utilité du programme (amélioration de la qualité de vie, lien social…).

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