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Ferru Aurélie

Les travaux encadrés par "Ferru Aurélie"

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  • Mesure de la qualité de vie de l'aidant principal des patients en cours de chimiothérapie pour une pathologie cancéreuse : étude de 132 dyades patient/aidant dans le service d'oncologie du centre hospitalier de La Rochelle    - Roy Martin  -  26 octobre 2016  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Grâce aux progrès de la médecine en matière d'oncologie, nous avons aujourd'hui une survie plus longue et une tendance croissante à un traitement ambulatoire. Cette situation fait des aidants naturels un élément des plus importants dans la gestion des soins et le soutien des patients. Un impact négatif sur l'aidant peut aboutir à une dégradation de sa santé physique et morale. Nous avons donc réalisé une étude pour évaluer la qualité de vie de l'aidant principal des patients adultes en cours de chimiothérapie. Secondairement, nous nous sommes intéressés aux facteurs influençant la qualité de vie de l'aidant.

    Matériel et méthode : Nous avons mené une étude transversale, descriptive et analytique, dans le service d'oncologie médicale du centre hospitalier de La Rochelle. Nous avons distribué 200 questionnaires aux aidants principaux de patients venant recevoir une chimiothérapie. Le critère de jugement principal était le pourcentage de diminution de qualité de vie de l'aidant principal. Le critère de jugement secondaire était la corrélation éventuelle entre la diminution de la qualité de vie de l'aidant, le profil du malade et celui de l'aidant.

    Résultats : Nous avons pu étudier 132 questionnaires. Le score moyen de qualité de vie était de 70,8 soit une perte de 29,2 points. La plupart des aidants avaient une qualité de vie diminuée essentiellement par les trois critères suivants : absence d'aide professionnelle à domicile, angoisse pour l'avenir et retentissement sur la santé. Les facteurs influençant significativement l'altération de la qualité de vie des aidants étaient l'existence d'une prise en charge chirurgicale de la pathologie cancéreuse (p = 0,046) et la présence de difficultés personnelles indépendamment du cancer de leur proche (p < 0,0001). Les aidants qui aidaient le plus fréquemment nos patients avaient significativement une qualité de vie diminuée (p = 0,019).

    Conclusion : Nous observons une altération considérable de la qualité de vie des aidants principaux de nos patients en cours de chimiothérapie. Les facteurs favorisants cette altération de leur qualité de vie n'étaient ni liés au patient ni à sa pathologie que ce soit en termes de stade ou de durée d'évolution du cancer. Nous en déduisons qu'il est nécessaire d'identifier dès le début de la prise en charge, les difficultés préexistantes des aidants indépendamment du patient. Les types de soutien à mettre en place restent à définir.

  • Description de la prise en charge oncologique des patients de 75 ans et plus, traités par chimiothérapie pour un cancer colorectal métastatique dans la région Poitou-Charentes : étude observationnelle en 2013-2014    - Bréchon Marie  -  04 mars 2016  - Thèse d'exercice

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    Objectif : Description de la prise en charge oncologique des patients de 75 ans et plus, traités par chimiothérapie pour un cancer colorectal métastatique (CCRm) dans la région Poitou-Charentes en 2013 et 2014.

    Méthodes : Étude de cohorte observationnelle multicentrique incluant les patients ayant reçu un traitement en première ligne d'un CCRm entre le 01/01/2013 et le 31/12/2014, dans la région Poitou-Charentes, à partir de la prescription de chimiothérapie dans le logiciel « chimio » commun à tous les centres.

    Résultats : 456 patients ont été inclus, 170 étaient âgés de 75 ans et plus (37%), et 286 avaient moins de 75 ans (63%). Parmi les patients de 75 ans et plus, on comptait 76 patients de 75-79 ans (45%), 69 patients de 80-84 ans (41%) et 25 patients de 85 ans et plus (14%). On observe la même proportion de patients opérés de leur tumeur primitive dans chaque groupe (70%) et pas de différence significative en termes de complications de la tumeur primitive (occlusion, hémorragie, perforation). Le statut RAS était plus souvent recherché dans la population de patients jeunes (96% versus 82%, p≤0,0001) et connu à l'initiation du traitement dans 58% des cas, et 42% dans un second temps. La répartition RAS muté/sauvage est similaire dans les deux groupes avec 54% de RAS sauvage dans chaque groupe (p=0,87). La prise en charge oncologique est nettement différente entre les populations jeune et âgée. La monochimiothérapie plus ou moins associée à une thérapie ciblée est rarement utilisée en 1ère ligne chez les moins de 75 ans (n=14, 5%) alors qu'elle est prescrite très fréquemment chez les patients âgés (n=69, 41%). Les facteurs influençant le choix de la chimiothérapie sont l'âge et les habitudes de prescription (p=0,0002) alors que les comorbidités et l'état général ne semblent pas modifier le type de traitement choisi. L'utilisation de chimiothérapie sans thérapie ciblée est élevée pour toute la population (48,5%). Les causes d'arrêt de traitement pour toxicité notamment ne sont pas différentes. L'évaluation oncogériatrique apparaît insuffisante : le FOG n'était réalisé que pour 19 patients (11%). L'évaluation oncogériatrique était demandée pour 22 patients (13%) et réalisée pour 50% d'entre eux. On retrouvait des évaluations partielles non standardisées faites par les oncologues pour 111 patients (65%) : 54% pour la nutrition, 54% sur leur état général, 15% sur leur autonomie, 4% sur l'humeur et 2% sur la cognition et la marche.

    Conclusion : Notre étude confirme une prise en charge moins agressive des patients âgés par rapport aux plus jeunes, et une insuffisance en termes d'évaluation oncogériatrique. Le statut RAS est obtenu de façon fréquente mais trop tardivement par rapport à la mise en place de la chimiothérapie.

  • Évaluation de l'application des recommandations pour la prise en charge de la thrombose veineuse chez le patient cancéreux après la mise en place de mesures éducatives du personnel soignant et des patients    - Pillet Armelle  -  02 octobre 2015  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La maladie thromboembolique veineuse définie par l'embolie pulmonaire (EP), la thrombose veineuse profonde (TVP) et la thrombose sur cathéter est une complication fréquente de la pathologie néoplasique. Son incidence est estimée entre 15 et 20%. Il s'agit de la 2ème cause de décès après la progression tumorale. Des recommandations nationales pour sa prise en charge ont été éditées en 2008. Le traitement repose, en l'absence de contre-indications, sur une héparine de bas poids moléculaire (HBPM) pour une durée de 6 mois et à défaut 3 mois. Le taux d'adhésion à ces recommandations a été évalué à environ 50% par des études antérieures. Devant ce constat, un groupe de travail a été constitué dans la région Poitou-Charentes afin d'élaborer des mesures éducatives pour les patients (plaquette d'information) et le personnel soignant (plaquette et réunions d'information).

    Objectifs : Réévaluer l'application de ces recommandations après la mise en place de mesures éducatives des soignants et du personnel soignant, et d'évaluer la tolérance et la gestion du traitement anticoagulant à domicile.

    Matériel et méthodes : Etude prospective, observationnelle, monocentrique, réalisée du 25 mars 2014 au 22 janvier 2015, qui a inclus 110 patients suivis en oncologie et présentant une complication thromboembolique veineuse. Le traitement anticoagulant initial puis celui poursuivi à moyen et long terme a été recherché. Une réévaluation téléphonique à 6 mois a été effectuée auprès des patients afin de faire le point sur le traitement anticoagulant et sa gestion à domicile.

    Résultats : Sur les 110 patients, 47,3% avaient une TVP, 26,4% une EP et 28,2% une thrombose sur cathéter. Le choix de la molécule était conforme aux recommandations dans 87,3% des cas, et la durée de traitement adaptée dans 77,3% des cas. L'adhésion globale aux recommandations était donc de 71,8%. Sur les 23 arrêts précoces de l'anticoagulation seulement 3 (13,2%) étaient non justifiés. A noter, que lors de la réévaluation à 6 mois, la posologie des HBPM était incorrecte pour 20,4% des patients versus 7,7% pour le traitement poursuivi au-delà de 10 jours : la posologie des HBPM n'a pas été réadaptée en fonction des variations pondérales du patient. La majorité des patients déclaraient ne pas avoir de douleur (64%), la survenue d'hématomes étant quant à elle variable (52%). Pour 59% des patients, ce traitement est peu ou pas contraignant. 84% des patients étaient prêts à le poursuivre au-delà de 6 mois. Cette amélioration des pratiques est à mettre en parallèle avec l'amélioration de la connaissance des recommandations par les professionnels de santé libéraux passant de 20% à 42% après la mise en place des différentes mesures (<10-3).

    Conclusion : Le taux d'application des recommandations a été augmenté au CHU de Poitiers après la mise en place de mesures éducatives destinées aux patients et aux professionnels de santé hospitaliers et libéraux. Le maintien dans le temps de ces mesures est nécessaire, ainsi que la sensibilisation du patient.

  • Evaluation des pratiques de prescription des traitements anti-tumoraux palliatifs dans le dernier mois de vie des patients : une étude rétrospective monocentrique poitevine sur 168 cas    - Vignot Lucie  -  07 octobre 2013  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le cancer est la première cause de mortalité en France. Malgré l'amélioration de sa prise en charge globale, un grand nombre de patient évolue vers la phase métastatique et reçoit, alors, un traitement anti-tumoral palliatif. Avec l'augmentation de l'arsenal thérapeutique à la disposition des oncologues, les lignes de chimiothérapie peuvent se succéder de plus en plus longtemps repoussant, ainsi, le moment d'arrêt des traitements. Beaucoup de patient vont poursuivre leur dernière ligne jusque dans le dernier mois de leur vie, ce qui est une situation d'agressivité en fin de vie très importante.

    Objectifs : Identifier des facteurs pouvant influencer la décision d'arrêt ou de poursuite d'un traitement palliatif ; décrire la population de patients suivis dans notre service, étudier les éléments de décision de prescriptions de traitement des oncologues dans leur prise en charge des patients en phase palliative et identifier et étudier plus spécifiquement une sous-populations de patients confrontés à une situation importante d'agressivité thérapeutique.

    Méthode : Nous avons réalisé une étude rétrospective incluant tous les patients suivis dans le service d'oncologie médicale de Poitiers et décédés durant l'année 2012. Puis, nous avons comparé deux groupes de patients : ceux recevant des traitements dans le dernier mois de leur vie et les autres patients ayant reçu un jour un traitement mais pas dans le dernier mois de vie. Enfin, nous avons recherché l'avis des oncologues sur leur prise en charge en leur envoyant un questionnaire.

    Résultats : Sur les 168 patients inclus, 60 (35.7%) ont reçu un traitement durant leur dernier mois de vie. Ces patients ont une survie significativement plus courte et une médiane de temps entre la dernière cure et le décès de 2.04 semaines. De plus il s'agit de patient plus jeune, non pris en charge par une structure de soins palliatifs et avec un état général dégradé (OMS>2). Ces patients sont plus souvent hospitalisés lors de leur dernier traitement. La dernière ligne n'est réellement arrêtée que chez 26 patients recevant des traitements dans le dernier mois de vie.

    Conclusion : Ces résultats sont bien plus élevés que dans la littérature. Pour aider, les oncologues dans leur choix thérapeutiques, il est important de généraliser l'utilisation de score pronostic et du recours au RCP lors de la décision de débuter une ligne thérapeutique. L'intervention de l'EMSP, de façon précoce, chez les patients avec une maladie au pronostic sombre est une piste à envisager pour limiter l'obstination déraisonnable chez ces patients.

  • Description de l'anémie et de la carence martiale à l'instauration et au cours d'un traitement anticancéreux chez les patients pris en charge en oncologie médicale au CHU de Poitiers : évaluation de la prise en charge thérapeutique    - Minne Floriane  -  02 octobre 2013  - Thèse d'exercice

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    Introduction : L'anémie est l'une des complications les plus fréquentes en oncologie, souvent révélatrice du cancer et à l'origine d'une altération de la qualité de vie et d'une réduction de la survie des patients. Cependant, elle n'est pas toujours bien prise en charge par les médecins. La carence martiale est la principale cause d'anémie chez les patients cancéreux. Elle peut être due à un déficit en fer vrai ou bien fonctionnel.

    Objectifs : L'objectif de ce travail est de faire un état des lieux de la prévalence de l'anémie et de la carence martiale à l'instauration et au cours d'un traitement anticancéreux, ainsi que d'étudier leurs prises en charge thérapeutiques.

    Méthodes : Une étude prospective unicentrique a été réalisée au sein du service d'oncologie médicale du CHU de Poitiers incluant 201 patients venus en consultation d'annonce dans le cadre de la prise en charge d'une tumeur solide.

    Résultats : La population de 201 patients compte 100 hommes (49,8%) et 101 femmes (50,2%) avec une moyenne d'âge de 61,4 ans. L'anémie à l'inclusion est retrouvée chez 59 patients de notre étude (29,4%) et est statistiquement associée à un état général altéré (p=0,000006), la présence d'une maladie métastatique (p=0,0069) et d'un syndrome inflammatoire (p=0,00006). La carence martiale à l'inclusion est présente chez 139 patients (69,2%) et est associée à une anémie chez 50 patients (24,9%). Elle est fonctionnelle dans 77,0% des cas. 70,4% des patients présentent une anémie au troisième ou au sixième mois de suivi. Les facteurs de risque d'être anémié en cours de traitement sont la chimiothérapie par platine (OR : 3,59, IC 95% : [1,67-7,72], p=0,0008), l'anémie à l'inclusion (OR : 2,36, IC 95% : [1,06-5,26], p=0,0464) et la topographie du cancer (OR et IC 95% non calculables, p=0,0003). La fréquence de la carence martiale baisse en cours de traitement (44,2% à trois mois et 40,5% à six mois) avec un mécanisme fonctionnel toujours prépondérant. Parmi les 59 patients anémiés à l'inclusion, 39 (66,1%) reçoivent un traitement de l'anémie : fer seul (52,5%), fer associé à un ASE (6,8%), ASE seul (5,1%) et transfusion seule (1,7%). Parmi les 44 patients anémiés, carencés en fer et répondant aux critères de supplémentation martiale, 32 (72,7%) sont traités par fer. L'effet du traitement par fer injectable sur le taux d'hémoglobine semble être plus important en cas de carence martiale absolue.

    Conclusion : L'anémie et la carence martiale ont une grande prévalence chez les patients cancéreux. Les patients développent fréquemment une anémie en cours de traitement. Malgré les recommandations régulièrement actualisées sur la prise en charge de l'anémie chimioinduite, les patients restent insuffisamment traités. Il n'existe pas de données dans la littérature sur la prise en charge de la carence martiale sans anémie en oncologie. Ceci pourrait être le sujet d'une étude clinique prospective.

  • Description, prise en charge et impact de la dénutrition dans les cancers digestifs hauts traités par chirurgie : étude rétrospective sur 163 cas opérés au Centre Hospitalier Universitaire de Poitiers entre 2005 et 2011    - Bouchaert Patrick  -  10 octobre 2012  - Thèse d'exercice

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    Objectifs : Décrire la dénutrition pré et post-opératoire des patients opérés pour un cancer digestif haut localisé, décrire sa prise en charge en fonction des recommandations, définir l'impact de la dénutrition sur les complications post-opératoires, la prise en charge oncologique et la survie, et enfin rechercher des facteurs associés à la dénutrition.

    Méthodes : Nous avons étudié de façon rétrospective les dossiers de 163 patients pris en charge entre 2005 et 2011 au CHU de Poitiers par chirurgie oesophagienne, gastrique ou pancréatique pour un carcinome primitif localisé. Les données recueillies ont concerné les caractéristiques tumorales, le statut nutritionnel pré et post-opératoire selon les critères HAS, la prise en charge nutritionnelle péri-opératoire, les complications post-opératoires, les traitements oncologiques et les données de survie sans rechute et globale.

    Résultats : Respectivement 32,9% et 76,6% des patients évaluables présentaient une dénutrition en pré et post-opératoire, la dénutrition sévère passant de 11,4% à 52,4%. Seuls 11,3% des patients dénutris ont bénéficié d'une nutrition artificielle en pré-opératoire. L'indication d'une nutrition entérale post-opératoire était plus liée au type de chirurgie (93,1% des oesophagectomies pour 14,6% des duodéno-pancréatectomies notamment) qu'au degré de dénutrition. La dénutrition sévère pré-opératoire était associée à une augmentation des risques de rechute et de décès (p<0,0001 et p=0,014), indépendante des facteurs pronostiques classiques. La dénutrition sévère post-opératoire était associée à un risque majoré de rechute (p=0,017), confirmé en analyse multivariée. Les patients dénutris n'ont statistiquement pas présenté plus de complications post-opératoires sévères (p=0,54) ou de toxicités limitantes pendant le traitement oncologique adjuvant (p=0,13). Enfin un score ASA supérieur à 2 était associé à la présence d'une dénutrition pré-opératoire (p=0 ,011) et les facteurs associés à la survenue d'une dénutrition sévère post-opératoire étaient la réalisation d'une oesophagectomie et la présence d'une dénutrition pré-opératoire (p=0,036 et p<0,0001 en analyse multivariée).

    Conclusion : La dénutrition pré et post-opératoire est fréquente en chirurgie oncologique digestive haute et a un impact sur la survie sans récidive et la survie globale. Une meilleure évaluation des patients est nécessaire pour optimiser la prise en charge nutritionnelle périopératoire.

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