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Dernières soutenances

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  • Elaboration d'une plaquette à l'attention des orthophonistes pour une information concernant les paralysies faciales périphériques    - Vautrin Julie  -  21 juin 2013

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    La Paralysie Faciale Périphérique (PFP) entraîne un trouble des mimiques, de l'articulation, de la déglutition et un défaut de fermeture de l'oeil. Cette pathologie peut avoir des répercussions psychologiques car elle affecte le visage, donc une partie de l'identité et de la personnalité. La prise en charge orthophonique doit être précoce afin d'optimiser les résultats. Ce type de rééducation, étant relativement récent, ne fait généralement pas l'objet d'un enseignement particulièrement important. Nous nous attendons donc à une insuffisance de formation et de connaissances de la part des orthophonistes. Aussi, par l'intermédiaire d'un questionnaire, nous nous sommes alors intéressées aux connaissances des professionnels sur ce domaine. Suite à l'analyse des réponses, nous avons pu voir qu'un enseignement a été transmis, mais que celui-ci ne satisfait pas pleinement les professionnels, qui restent en attente d'éléments pratiques pour leur rééducation. Nous avons donc élaboré une plaquette qui tente de répondre à leurs besoins. Pour créer cette plaquette, nous avons étudié la rééducation de nombreux patients pour ainsi comprendre les différents axes de rééducation selon la paralysie faciale (flasque, post-séquellaire, après chirurgie reconstructrice). Nous avons alors élaboré une plaquette d'information présentant des éléments sommaires mais utiles à la rééducation des PFP. Cette plaquette ne se veut pas exhaustive sur le sujet mais elle a pour but d'aider et de guider les professionnels dans leur pratique.

  • Approche systémique du bégaiement chez l'enfant de moins de 5 ans : production d'un outil de médiation familiale    - Dauga Emilie  -  21 juin 2013

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    Bien qu'il n'existe pas de consensus sur la cause du bégaiement, nous savons aujourd'hui la place que prend l'environnement face à ce trouble chez le jeune enfant (entre 2 ans et 5 ans). La guidance parentale représente aujourd'hui en France une réponse incontournable de la prise en charge du bégaiement du jeune enfant. Cette prise en charge impliquant la famille et les modifications qu'elle sera à même d'effectuer au sein de son fonctionnement rejoint les objectifs de la thérapie familiale systémique. En parallèle, nous sommes souvent confrontés en clinique à la difficulté de certains parents à mettre en place, voire à comprendre, les nouvelles orientations que nous leur proposons pour fluidifier la communication intrafamiliale et avec leur enfant bègue. Il m'a semblé donc intéressant de m'inspirer de la théorie systémique pour élaborer un jeu de médiation familiale. Celui-ci s'articule autour des facteurs pérennisant le maintien du bégaiement définis par Shapiro. J'ai de fait créé un jeu de cartes nommé "Joyeux bla-blas". Celui-ci se répartit en cinq thèmes : le temps, l'éducation, la voix, les émotions et la communication. Selon les éléments d'anamnèse, l'orthophoniste remet un ou plusieurs thèmes à la famille. Les règles du jeu se veulent simples. Tel un outil systémique, le jeu est introduit dans la famille. Chaque jour, à un moment réfléchi avec l'orthophoniste, un membre de la famille tire une carte au sort. Sur celle-ci une action est proposée qui s'adresse à un ou tous les membres de la famille. Ce jeu a été testé par trois enfants et leur famille. Au fil des rencontres, j'ai pu élaborer une observation clinique riche qui a été complétée par un questionnaire mettant en évidence le ressenti des familles des patients quant à la fonctionnalité du jeu et l'intérêt thérapeutique qu'ils y ont trouvé. Il a été observé que l'intérêt du jeu réside d'une part, dans la facilitation d'application qu'il donne aux conseils de l'orthophoniste, d'autre part dans la place positive qu'il donne à l'enfant bègue qui devient l'initiateur d'un moment agréable en famille. La réflexion autour de ce jeu mériterait d'être poursuivie par une connaissance plus approfondie des thérapies familiales systémiques et des outils qui y sont utilisés.

  • Que confient les adolescents à risque à leur médecin généraliste et à quelles conditions ?    - Tsiouazololo Djonkou Chimène  -  20 juin 2013  - Thèse d'exercice

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    Contexte : 90 % des adolescents consultent leurs médecins généralistes, 6 % pour des raisons psychologiques. Ceux ayant des conduites à risque sont-ils prêts à parler de leurs préoccupations avec le médecin généraliste et dans quelles conditions ?

    Méthode : Une étude randomisée réalisée dans 98 écoles publiques de Poitou-Charentes (France) a été réalisée en juin 2012. Tous les adolescents de 15 ans +/- 6 mois ont rempli le questionnaire de l'étude internationale HBSC incluant des questions sur la « confiance » validées dans une précédente étude.

    Résultats : 75% des questionnaires remplis étaient exploitables (923). Pour confier leurs problèmes, les adolescents de 15 ans se tournent essentiellement vers leurs amis ou leurs parents. 25% des adolescents déclarent avoir eu au moins une des conduites à risque caractérisées (Relations sexuelles avant l'âge 14 ans, 2 tentatives de suicide dans la vie, avoir participé à 3 bagarres physiques dans l'année, 4 intoxications alcooliques dans la vie, consommation de cannabis 3 fois dans le mois, fumé 5 cigarettes par jour). Ils consultent significativement plus souvent les MG. Les conditions de la confidence envers leur MG sont les mêmes sauf les garçons qui se sentent moins compris que les autres.

    Discussion : Les médecins généralistes sont rarement les confidents des adolescents de 15 ans. Ils viennent directement après les parents ou les amis. Pour se confier à leur Médecin Généraliste, ces adolescents, quel que soit leur comportement, attendent d'avoir déjà été aidés par lui et qu'il sache leur poser les bonnes questions dans un contexte confidentiel et non jugeant.

  • Intérêt d'une méthode visuo-sémantique pour la mémorisation de l'orthographe lexicale dans la dysorthographie développementale    - Rinaldi Hélène  -  20 juin 2013

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    Ce travail a pour objet l'étude d'une remédiation de l'orthographe lexicale chez l'enfant dyslexique-dysorthographique : la méthode visuo-sémantique (L'orthographe illustrée, par S. Valdois, M.-P. De Partz, X. Seron et M. Hulin). Notre expérimentation a consisté à entraîner une liste de mots chez huit enfants présentant un profil en faveur d'une dysorthographie de surface. Les niveaux scolaires représentés sont le CE2 (un enfant), le CM2 (quatre enfants) et la classe de 5ème (trois enfants). Les mots ont été choisis en fonction de leur irrégularité ainsi qu'en fonction de trois effets de variables psycholinguistiques, à savoir l'effet de longueur, l'effet de fréquence et l'effet de concrétude. Les résultats ont été mesurés dans une épreuve de dictée une première fois après la fin de l'entraînement, puis une seconde fois après un intervalle d'un mois. Les corpus recueillis nous ont permis de mesurer la prégnance de certains effets psycholinguistiques et de mener une analyse qualitative approfondie sur les conditions d'utilisation de la méthode.

  • Étude des facteurs facilitateurs et freinateurs influençant la relation médecin-malade lors de l'évocation par le patient d'informations de santé prises sur Internet : étude qualitative réalisée en Charente auprès de 13 médecins généralistes    - Faric Anne  -  19 juin 2013  - Thèse d'exercice

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    La deuxième moitié du XXème siècle a marqué l'avènement d'un nouvel outil de télécommunication : Internet. Les sites de santé ont connu un développement important et constituent pour le patient une importante source d'informations médicales. L'un des premiers témoins de ce phénomène est le médecin soumis à l'information que peut lui présenter son patient. Du point de vue du généraliste, quels sont les facteurs facilitateurs et freinateurs influençant la relation médecin-malade lors de l'évocation par le patient d'informations de santé collectées sur internet?

    Nous avons mené une étude qualitative par entretiens semi-dirigés auprès de treize médecins généralistes charentais.

    Les médecins interrogés reconnaissent un usage régulier d'internet dans leur pratique professionnelle avec la consultation de sites médicaux spécialisés principalement. Ils perçoivent sans difficulté qu'internet est devenu pour le patient une source d'informations de santé au quotidien facile et rapide d'accès, pouvant peut-être répondre parfois à la difficulté d'obtenir un rendez-vous avec leur praticien. Notre étude a permis d'identifier, que l'évocation d'informations de santé par le malade en consultation, pouvait faciliter la communication verbale et non verbale au sein de la relation médecin-patient et favoriser la responsabilisation du malade dans son projet de soin par partage du savoir. Les médecins ont également identifié plusieurs freins dans ce contexte : sentiment de justification, remise en question de l'autorité médicale et perte de temps générée par la multiplication des explications et des échanges autour de ces informations de santé en ligne. Afin de mieux gérer l'intrusion d'internet dans la consultation et in fine dans la relation médecin-malade, les médecins de notre étude ont émis la nécessité de développer des sites de santé dédiés au patient, aux sources fiables et validées, et d'accompagner le patient sur internet dans une démarche pédagogique pour l'aider dans le choix de ses informations. La participation à des formations sur l'internet santé et la gestion du patient internaute, est également un élément identifié dans notre étude comme pouvant contribuer à améliorer la gestion du patient internaute dans le cadre d'une relation médecin-malade optimale.

    Notre étude a permis de percevoir le sentiment partagé des médecins vis à vis de l'internet santé sur la relation avec son patient en identifiant les facteurs facilitateurs et freinateurs influençant le lien soignant-soigné lors de l'évocation par le patient d'informations de santé en ligne. Se former à l'internet santé et à la gestion du patient internaute, pour mieux orienter le patient sur des sites de santé en ligne, fiables et validés, sont les moyens, identifiés par les médecins de notre étude, pour mieux gérer la consultation à l'avenir et la relation médecin-patient internaute.

  • Mesure non invasive et continue de l'hémoglobine, Hb : évaluation de la précision de la Co-Oxymétrie pulsée, SpHb, avant et après ajustement in vivo    - Mounios Hélène  -  19 juin 2013  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Lors des chirurgies à risque hémorragique, l'anesthésiste a besoin d'un monitorage étroit de l'hémoglobine (Hb) afin d'éviter toute erreur transfusionnelle par défaut ou par excès, source de morbidité. Contrairement aux méthodes invasives, la SpHb permet une surveillance continue de l'Hb. Sa précision est influencée par plusieurs paramètres tels que le taux d'Hb, les conditions hémodynamiques, l'utilisation de vasopresseurs ou de colloïdes. Une amélioration de cette précision a été observée lorsque la SpHb est ajustée de manière rétrospective sur la première valeur d'HbLabo. L'HemoCue sur sang artériel (HcueArt) permet une mesure d'Hb rapide et précise comparée à HbLabo. Les objectifs de cette étude sont (1) d'évaluer l'influence de l'ajustement prospectif « in vivo » de la SpHb sur le biais et la précision de la mesure et (2) comparer les performances de la SpHb après ajustement in vivo et a posteriori aux méthodes invasives disponibles.

    Matériel et méthode : Cette étude observationnelle et monocentrique a inclus des patients bénéficiant d'une chirurgie à risque hémorragique sous anesthésie générale. Chaque patient a été équipé d'un cathéter artériel en position radiale et d'un capteur Masimo (R2-25, Révision G) relié à son moniteur (Masimo Radical 7, version logicielle : 7.8.0.1). Avant l'incision, la valeur de SpHb a été ajustée à partir de la moyenne de 3 mesures d'HcueArt. Puis, chaque fois que le praticien jugeait utile de mesurer l'Hb, on réalisait simultanément un prélèvement de sang capillaire analysé par HemoCue (HcueCap), et un prélèvement de sang artériel analysé de manière extemporanée par HemoCue (HcueArt) et un Co-Oxymètre déporté (Siemens RapidPoint 405, HbGDS) et secondairement par le laboratoire central d'hématologie (Sysmex XT-2000i, HbLabo). Au même moment, la valeur affichée par le moniteur Masimo était notée. La précision des méthodes déportées par rapport à la méthode de référence (HbLabo) a été évaluée selon la méthode de Bland et Altman ajustée. Les biais entre HbLabo et les méthodes testées ont également comparés par un test t de Student. Une analyse des résultats a également été réalisée par une grille d'erreur transfusionnelle. La zone A correspond aux écarts considérés comme cliniquement acceptables, 95 % des points devraient s'y trouver.

    Résultats : 103 prélèvements ont été effectués chez 33 patients. Les valeurs d'HbLabo étaient comprises entre 7,3 et 14,2 g/dL dont 20% <10 g/dL. Par rapport à HbLabo, le biais moyen (± précision) était de – 0,6 (± 1,3) g/dL pour la SpHb avant ajustement, – 0,4 (± 1,1) g/dL pour la SpHb après ajustement in vivo, - 0,5 (± 1,1) a posteriori; 0 (± 0,4) g/dL pour HcueArt, -0,6 (±1,2 g/dL) pour HcueCap et -0,6 (± 0,7) g/dL pour HbGDS. La précision de la SpHb n'est pas améliorée significativement par l'ajustement et reste comparable à HcueCap. La zone A de la grille d'erreur comprenait 84 % des points avant calibration, 85 % in vivo, 82 % a posteriori, 98 % pour HcueArt, 89 % pour HcueCap et 88 % pour HbGDS.

    Conclusion : Parmi les méthodes invasives déportées au bloc opératoire, HcueArt est la plus précise. L'ajustement in vivo de la SpHb, à partir d'HcueArt ou d'HbLabo, ne permet pas d'amélioration significative, ni de sa précision ni du risque d'erreurs transfusionnelles.

  • Étude du transfert de l'oxygène dans des catalyseurs hybrides cérine/zéolithe type NaX    - Repecaud Pierre-Alexis  -  18 juin 2013


  • Caractéristiques et prise en charge des résidents d'Ehpad décédant précocement après admission dans le service de gériatrie    - Chale Frédéric  -  18 juin 2013  - Thèse d'exercice

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    Rationnel : Devant le vieillissement de la population et l'augmentation de la dépendance, devant l'impression que la population décède à l'hôpital, on peut se poser la question de savoir si les structures Ehpad jouent leur mission de dernier lieu de vie.

    But de l'étude : Juger à posteriori de la pertinence du transfert aux urgences de résidents d'Ehpad décédant précocement après leur hospitalisation.

    Méthode : Etude descriptive, rétrospective menée sur l'année 2011 qui concernait les résidents d'Ehpad hospitalisés dans le service de gériatrie de Poitiers via les urgences et décédant dans les quinze jours après admission. Recueil des caractéristiques socio-démographiques (dont statut fonctionnel GIR et indice de masse corporelle IMC) et clinico-biologiques (dont score de Charlson de co-morbidités) à partir du dossier médical.

    Résultats : 50 patients (2,4% des résidents d'Ehpad transférés aux urgences durant l'année 2011) ont été répertoriés : moyenne d'âge 88,5 ans, 54% étaient des femmes. Les sujets ont été hospitalisés majoritairement le lundi et le vendredi; 26% de nuit; dans 46% des cas on notait un courrier de liaison du médecin traitant et dans 100% des cas une fiche médico-sociale synthétique de l'Ehpad. Les motifs d'hospitalisation les plus fréquents étaient une altération de l'état général et un problème cardio-vasculaire. Le GIR moyen était de 2,2. Le score de Charlson moyen était de 7,1. Plus de la moitié des patients avaient une anémie, 88% avaient une insuffisance rénale. L'IMC n'était trouvé que pour 40% des sujets. Vingt-pour-cent ont eu des examens complémentaires radiologiques, 56% ont reçu un traitement antalgique, 32% un traitement anxiolytique. La durée moyenne du séjour était de 6,5 jours. Le décès attendu à court terme était mentionné pour 74% des patients.

    Conclusion : Cette analyse révèle un faible taux de décès hospitalier précoce de résidents d'Ehpad hospitalisés aux Urgences durant l'année 2011. Elle souligne les progrès réalisés mais la nécessité de poursuivre les efforts en termes de coordination et de dialogue entre les médecins libéraux, les soignants des Ehpad et l'hôpital afin de garantir la meilleure prise en charge des personnes âgées dépendantes.

  • Recherche interactionnelle entre enseignants et orthophonistes : apport du PIAPEDE dans la mise en place d'aménagements pédagogiques chez 9 enfants, du CE2 au CM2, ayant des troubles du langage écrit    - Coeurderoy Clémence  -  18 juin 2013

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    L'étude de ce mémoire porte sur la mise en place d'aménagements pédagogiques pour les enfants en difficulté de langage écrit. Des lois récentes ont permis des aménagements d'examens aux élèves ayant une notification MDPH. Or, plus largement que dans le cadre de la dyslexie, des élèves se trouvent embêtés dans leurs apprentissages par leurs difficultés de langage écrit. Les enseignants se trouvent démunis face à ces élèves par leur manque de connaissances de leurs difficultés et le manque de moyens pour adapter leur pédagogie. Le PIAPEDE a été élaboré pour cibler les adaptations pédagogiques les plus adéquates et en lien avec les aménagements d'examens. Mon travail a pour objectif d'encourager la collaboration orthophonistes-enseignants et la mise en place d'aménagements pédagogiques. Pour cela, 9 enfants ont participé à mon étude par la passation du PIAPEDE. Celui-ci m'a permis d'entrer facilement en lien avec les enseignants et d'établir un partenariat avec certains d'entre eux durant l'année. Or, le partenariat orthophoniste-enseignant représente une attente de chacun. L'investissement des différents acteurs (enseignants, orthophoniste, parents, enfant) est un apport considérable pour l'évolution favorable de l'enfant à l'école.

  • Construction et validation d'un outil d'évaluation des connaissances des médecins généralistes en matière de contraception d'urgence : étude préliminaire avant une étude de l'information délivrée sur la contraception d'urgence en médecine générale    - Gaiani Giulia  -  13 juin 2013  - Thèse d'exercice

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    Objectif : Construire et valider un questionnaire de connaissance sur la contraception d'urgence à l'intention des médecins généralistes.

    Matériel et méthode : Les items du questionnaires ont été sélectionnés par le biais de procédures de validation successives (revue de la littérature, sélection par un groupe d'expert, pré-test sur un échantillon d'une dizaine de médecins, test sur un échantillon d'une centaine de médecins, analyse statistique des données).

    Résultats : La revue de la littérature a permis d'individualiser 47 items, réduits ensuite à 31 par le travail du groupe d'experts. Le pré-test a eu lieu sur un échantillon de 12 médecins et a permis de réduire ultérieurement le nombre de questions à 30. Le test final a eu lieu sur un échantillon de 98 médecins généralistes des départements de la Vienne et des Deux Sèvres et a permis, par le biais de l'analyse statistique, d'obtenir un questionnaire final de 25 items. Ce dernier échantillon a permis en outre de dégager deux tendances, qui nécessitent d'être confirmé par d'autres études. Les médecins titulaires d'un diplôme inter-universitaire de gynécologie semblent avoir une meilleure moyenne au questionnaire (p = 0,05). Il semble exister une relation entre une meilleure moyenne et une fréquence plus importante de délivrance d'une information sur la contraception d'urgence, mais cette tendance est faible (p = 0,17).

    Conclusion : Ce travail a permis de mettre à disposition un instrument validé d'évaluation des connaissances des médecins généralistes en matière de contraception d'urgence. Cet outil pourra être utilisé pour étudier la relation entre la connaissance des médecins généralistes et la fréquence de l'information donnée aux femmes et plus largement pour étudier le phénomène du counseling sur la contraception d'urgence en médecine générale.

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