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Dernières soutenances

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  • Elaboration d'une méthode à médiation figurine soutenant la continuité de la prise en charge d'enfants bègues    - Roeltgen Jeanne  -  20 juin 2014

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    En s’intéressant au bégaiement, nous récoltons plus de questions que de réponses. L’étiologie demeure mystérieuse, les hypothèses foisonnent depuis toujours, l’impact reste déstabilisant. Chez l’enfant, les missions de l’orthophonie sont d’éviter l’installation des dysfluences et de maintenir le plaisir de l’échange. Actuellement, les prises en charge précoces fondées sur la guidance parentale et éventuellement des séances avec les enfants se montrent efficaces. L’idée est alors d’élaborer une méthode unifiant, et mobilisant l’enfant, sa famille et le thérapeute autour d’un objet. Un objet palpable, solide pour lutter contre le trouble insidieux et insaisissable. La médiation imaginée, créée par le petit patient revêt les traits d’un petit personnage. C’est une figurine, un tiers venant modifier la forme de l’échange. Le bégaiement comme trouble de la communication est sensible au contexte. De plus, l’objet permettrait d’assurer la continuité entre les séances et la vie quotidienne. Les expériences de parler doux vécues en séances pourraient être associées à la figurine. L’objet appartient au patient et devait lui être toujours accessible. Trois enfants ont participé à cet essai. Les bénéfices sur la fluence sont perceptibles mais méritent d’être confirmés. En revanche, les effets sur l’ajustement à l’autre sont vraiment encourageants.

  • Prise en charge de la douleur lors des fractures du col du fémur : évaluation des pratiques professionnelles au sein du Service d'Accueil des Urgences du Centre Hospitalier Universitaire de Poitiers    - Martine-Singer Joana  -  20 juin 2014  - Thèse d'exercice

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    Objectif : Étudier comment améliorer la prise en charge de la douleur lors des fractures de l'extrémité supérieure du fémur aux urgences.

    Matériels et méthodes : Nous avons réalisé une étude rétrospective monocentrique observationnelle lors des fractures du col du fémur, afin d'évaluer les pratiques professionnelles sur la prise en charge de la douleur au service des urgences du Centre Hospitalier Universitaire de Poitiers. Cette étude s'est déroulée sur l'année 2013. Nous avons inclus 222 patients âgés de 65 ans et plus, atteints d'une fracture du col du fémur.

    Résultats : Dans le cadre de l'administration des thérapeutiques, nous remarquons que 172 patients sur 222 ont bénéficié d'un traitement antalgique de palier 1 seul ou en association. 30 patients n'ont reçu aucun traitement. 23 patients ont reçu le traitement de référence (paracétamol et morphine). Seulement 5 blocs ilio-fasciaux ont été réalisés. Nous avons évalué la douleur de 91,9% des patients inclus. La moitié des évaluations sont réalisées dans les 13 premières minutes, il y a une disparité très importante dans le délai d'évaluation (34 min ± 62).

    Conclusion : La lutte contre la douleur lors des fractures du col du fémur des plus de 65 ans n'a pas été optimale. Cette étude vise modestement à évaluer les pratiques professionnelles pour apporter une amélioration de la qualité des soins. En effet, une filière de soins spécifique de prise en charge des patients présentant une suspicion de fracture du col du fémur dès les urgences permettrait, à travers la lutte contre la douleur, d'améliorer le pronostic vital.

  • Elaboration d'un livret d'information sur les troubles de la déglutition chez la personne âgée et sur les aménagements possibles, à destination des soignants des services de gériatrie    - Pineau Lea  -  19 juin 2014

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    Les troubles de la déglutition sont assez fréquents chez la personne âgée fragile, et leurs conséquences ont des répercussions importantes sur la santé physique et morale des patients. Les centres hospitaliers accueillent de nombreuses personnes âgées fragilisées ; pourtant, les troubles de la déglutition sont souvent mal connus des soignants. Au centre hospitalier Emile Roux (43), nous avons constaté que les soignants étaient en difficulté face à ces troubles, malgré la présence d’orthophonistes qui réalisent des bilans et prodiguent des conseils régulièrement. Nous avons cherché à comprendre les raisons de ces difficultés, à l’aide d’un questionnaire transmis aux soignants. Les résultats ont montré, conformément à nos hypothèses de départ, que les soignants avaient besoin d’informations (hypothèse n°1), de plus d’explications sur la manière de réaliser les aménagements conseillés par les orthophonistes (hypothèse n°2) et de comprendre le fonctionnement et l’intérêt de ces aménagements (hypothèse n°3). Nous avons donc créé un livret d’information et de conseils spécifique au centre hospitalier Emile Roux, à destination de ces soignants. Nous espérons que ce livret contribuera à améliorer la prévention, le dépistage et l’accompagnement des patients âgés souffrants de troubles de la déglutition.

  • Etude de la corrélation entre langage écrit et perception des mouvements biologiques dans le développement typique de l'enfant et le développement atypique de l'enfant dyslexique    - Paez Pauline  -  19 juin 2014

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    La perception des mouvements est une capacité innée permettant de détecter un mouvement humain à partir de très peu d’informations visuelles. Récemment, la communauté scientifique a démontré des liens patents entre le langage oral et la perception des mouvements. Notamment en démontrant l’efficacité de rééducations utilisant l’observation d’actions dans le cas d’atteinte spécifique du langage pour les verbes.

    Cependant, très peu d’auteurs se sont intéressés au langage écrit. A notre connaissance, seule une expérience menée chez l’adulte a permis de démontrer l’existence d’une corrélation entre la lecture de verbes et la perception des mouvements biologiques (Vinel, 2013). Dans ce contexte, l’objectif de notre étude était de démontrer une difficulté des enfants dyslexiques dans la perception des mouvements biologiques et de vérifier l’existence d’une corrélation entre le jugement de verbes d’actions et le jugement de mouvements humains chez les enfants dyslexiques et normo-lecteurs. Pour cela, nous avons proposé à 19 enfants normo-lecteurs et 19 enfants dyslexiques, tous âgés entre 9 et 11 ans, une épreuve de décision lexicale contenant des noms et des verbes et une tâche de décision de mouvements contenant des mouvements biologiques et des non-biologiques. Les résultats de cette expérience n’ont pas révélé la corrélation attendue que ce soit chez les enfants dyslexiques que chez les normo-lecteurs. Cependant, nous avons pu mettre en évidence une difficulté spécifique dans la reconnaissance des mouvements humains chez les enfants dyslexiques. A partir de ces résultats, une seconde expérience a été menée afin d’évaluer dans quelle mesure un entraînement spécifique associant la lecture de verbes et l’observation des mouvements correspondants pouvait améliorer les performances en reconnaissance de mouvements des enfants dyslexiques et si cet entraînement avait également des conséquences sur le niveau de lecture de ces enfants. Six enfants dyslexiques âgés entre 9 et 11 ans, ont participé, durant 4 semaines à hauteur d’une séance par semaine, à cet entraînement. Les résultats n’ont pas révélé d’amélioration en lecture de verbes, mais ont permis d’améliorer significativement les performances en reconnaissance d’actions des enfants dyslexiques.

  • Création d'un matériel de rééducation pour des adolescents entre 11 et 15 ans présentant des troubles du raisonnement logique ainsi que des difficultés d'élaboration du langage complexe    - Italiano Flaviana  -  19 juin 2014

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    De nombreuses études ont montré le lien qui unissait langage complexe et raisonnement logico-mathématique. Nous nous fabriquons, par le biais de processus cognitifs des réalités de notre monde environnant et par le langage nous mettons en mots ce que nous percevons.De ce fait, les notions de conservation ,classification, compétences spatio-temporelles, causalité sont intriquées avec les compétences langagières. Ainsi, lorsque l'on a des troubles du langage complexe, le raisonnement logique est également déficitaire. Partant de cette hypothèse, nous avons créé un jeu pour l'adolescent entre 11 et 15 ans, qui vise à renforcer des notions de langage complexe afin de mieux appréhender les énoncés mathématiques et le raisonnement logique, au collège. Les domaines que l'on veut renforcer par l'intermédiaire de ce matériel de rééducation sont : les pronoms complexes, la relation cause/conséquence, les notions temporelles, le vocabulaire et la logique d'un énoncé. Une fois que le joueur a donné assez de bonnes réponses durant la partie, il réunit l'énigme finale dans laquelle il doit identifier qui a commis le crime, dans quel lieu et avec quelle arme. Mais pour cela, il doit lire un texte où toutes ces informations sont fournies par inférence. Nous avons testé ce jeu sur trois adolescentes et pendant quatre séances. Nous avons pu remarquer des progrès de leur part dans certaines domaines leur posant initialement problème. Seulement, le panel trop restreint sur lequel nous l'avons testé, ne peut pas donner de résultats réellement significatifs. De plus, il faudrait l'utiliser sur une période plus longue, pour que les notions bien appréhendées en contexte d'exercice soient utilisées de façon adéquate en contexte spontané.

  • Un outil d'interrogatoire standardisé est-il performant pour améliorer le diagnostic de l'infection à Chlamydia trachomatis ?    - Lapouge Aurélie  -  17 juin 2014  - Thèse d'exercice

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    Contexte : L'infection sexuellement transmissible à Chlamydia trachomatis est la plus fréquente en Europe. Actuellement, les recommandations de dépistage en France existent uniquement dans les centres de santé publique à visée d'une population à risque. La prévalence est faible dans la population générale mais très probablement sousdépistée, c'est pourquoi nous avons développé un outil d'interrogatoire afin de cibler les personnes à dépister.

    Objectif : Estimer la performance de cet outil facilitant le repérage des patientes nécessitant un dépistage d'infection à Ct. Etudier l'apport de l'outil par rapport aux outils existants.

    Méthode : Nous avons réalisé une étude multicentrique descriptive observationnelle et prospective dans des centres de santé publique de la région Poitou-Charentes entre le 21 octobre 2010 et le 28 juin 2013.L'interrogatoire recherchait 4 signes (leucorrhée, douleur abdominale, dyspareunie, signes fonctionnels urinaires), il était recueilli l'âge et la durée de la dernière relation et il a été réalisé un prélèvement génital ou urinaire pour chaque patiente incluse.

    Résultat : Les patientes incluses étaient de 981. La prévalence de l'infection était de 11.21%.La présence des signes cliniques était significativement liée à l'infection. L'analyse multivariée a montré 3 facteurs indépendants : leucorrhée, douleur abdominale et l'âge, les autres facteurs n'étaient pas prédictifs de l'infection. La durée de relation n'était pas corrélée à l'infection. La performance de l'outil a été estimée par le c-index à 0.612.

    Conclusion : Notre outil d'interrogatoire trouve une utilité dans l'amélioration au diagnostic de l'infection. Il pourrait être utile de proposer un dépistage selon la présence des 2 signes prédictifs chez les femmes de plus de 25 ans pour lesquelles il n'existe pas de dépistage dans les centres de santé publique. Notre étude doit se poursuivre en soins primaires, c'est là que l'outil pourrait aider au repérage des patientes infectées.

  • Proposition d'un outil d'évaluation de la maladie d'Alzheimer basé sur l'agnosie digitale    - Gambert Florence  -  16 juin 2014

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    Un déficit spécifique de la désignation des parties du corps (somatotopoagnosie) est décrit dans les lésions de la jonction temporo-pariétale, région d'association atteinte de façon précoce et bilatérale dans la maladie d'Alzheimer. Afin de préciser l’origine du déficit nous nous sommes intéressés spécifiquement à l’agnosie digitale qui constitue une altération sélective des éléments les plus latéralisés et les plus différenciés de l’image du corps. L’évaluation de l’agnosie digitale se présente comme un test à la fois simple, acceptable pour le patient et susceptible de révéler un déficit des fonctions instrumentales avant la perte d'autonomie ; nous avons pour objectif de proposer ce test comme outil diagnostique de la MA. Notre étude compte 40 patients à un stade précoce de la pathologie, soumis à une batterie neuropsychologique standard et à une tâche plus spécifique d’exploration de l’agnosie digitale. D’une part, nous avons cherché à démontrer l’autonomie de ce syndrome par rapport aux déficits cognitifs observés. D’autre part, nous avons identifié le profil d’erreur le plus sensible et le plus spécifique de la MA défini par le type et le nombre d’erreurs d’identification digitale, en tenant compte de plusieurs facteurs : doigt, latéralité manuelle, attribution, agentivité, et rapport homologue ou hétérologue entre la main désignante et la main désignée. Bien que le trouble d’identification fut indépendant des fonctions mnésiques et exécutives, nous n’avons pu prouver son autonomie par rapport à certains troubles instrumentaux. Par ailleurs, l’analyse de l’interaction des facteurs agent, attribution et rapport d’homologie nous a permis d’observer que les difficultés des patients se manifestaient remarquablement lorsque la personne désignée et celle qui désigne étaient différentes mais que leurs mains entretenaient un rapport homologue. Nous pensons que ce comportement témoigne d’une indistinction entre le corps propre et le corps d’autrui à l’instar de ce qui existe aux premiers stades du développement.

  • Les vitamines : intérêt d’une supplémentation à visée préventive ou curative chez l’Homme    - Dribault Hermine  -  13 juin 2014  - Thèse d'exercice

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    Les vitamines sont des micronutriments indispensables chez l'Homme et possèdent de nombreuses fonctions au sein de notre organisme. Ne pas respecter leurs apports recommandés peut être source de maladies de carence.

    Certaines situations physiologiques sont plus particulièrement concernées par les déficits en vitamines : la grossesse, l’allaitement et la période néonatale. Pour prévenir les effets délétères de ces déficits, des supplémentations vitaminiques peuvent être recommandées. Ainsi, chez la femme enceinte, la supplémentation en vitamine B9 (acide folique) est proposée systématiquement, quel que soit son statut nutritionnel, afin de limiter le risque de survenue d’anomalies de la fermeture du tube neural. Chez le nourrisson, né à terme ou prématurément, une dose de vitamine K est administrée de façon systématique à la naissance, et une supplémentation en vitamine D doit être systématiquement réalisée au moins jusqu’à l’âge de 18 mois. En revanche, chez la femme qui allaite, bien que des apports vitaminiques supérieurs à ceux de la population générale soient nécessaires, aucune supplémentation systématique n’est actuellement préconisée.

    En dehors de leurs rôles préventifs, les vitamines font également partie intégrante du traitement de certaines pathologies. Ainsi, le traitement de l’alcoolisme nécessite une supplémentation en vitamine B1 (thiamine), voire en vitamines B6 (pyridoxine) et B9. Celui de l’ostéoporose fait appel à la vitamine D, tout comme celui des personnes souffrant de psoriasis. La maladie de Biermer demande elle un apport en vitamine B12 (cobalamine) tout au long de la vie du patient. Les vitamines ont donc toute leur place au sein de l’arsenal thérapeutique que nous possédons actuellement.

  • Mise en place d'un protocole de dépistage des troubles de la déglutition au sein d'une unité de soins intensifs neuro-vasculaires et impact sur le fonctionnement du service    - Enal Sophie  -  12 juin 2014

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    Service d’urgences neuro-vasculaires, les USINV constituent actuellement la première structure d’accueil des patients en phase aiguë d’AVC. La fréquence des troubles de la déglutition rencontrés dans ce service ont conduit la HAS à préconiser une évaluation de la déglutition au cours des 24 premières heures, grâce à un outil de dépistage validé. Constatant l’absence d’outils français disponibles, nos objectifs ont été (1) de faire un état des lieux des pratiques des USINV de France au niveau du dépistage des troubles de la déglutition grâce à une enquête, (2) d’étudier la faisabilité de l’implantation d’un outil initialement anglophone, l’ASDS, au sein de l’USINV du CH de Montauban et (3) d’évaluer l’impact de son implantation sur la qualité des soins et sur la collaboration pluridisciplinaire dans le service. Pour ce faire, une enquête a été menée auprès de 100 USINV de France, 24 soignants de l’USINV ont été formés à l’utilisation de l’ASDS, des questionnaires ont été distribués aux 38 professionnels de santé intervenant dans le service, et 73 patients, dont 36 dépistés grâce à l’ASDS, ont été inclus en vue d’une étude comparative. Les résultats mettent en relief l’hétérogénéité des pratiques des différentes USINV et le manque d’outils de dépistage spécifiques aux patients en phase aiguë d’AVC, les infirmiers étant les principaux professionnels dépistant les troubles de la déglutition. L'implantation de l’ASDS, bien acceptée par le personnel, a engendré une évolution notable des connaissances des soignants, une intervention orthophonique plus efficace auprès des patients et une amélioration de la communication interprofessionnelle. Elle a non seulement permis de répondre aux recommandations de la HAS, mais aussi de formaliser les pratiques au sein du service.

  • Évaluation du monitorage de la fréquence respiratoire après extubation en réanimation par méthode acoustique non invasive    - Cancel Amélie  -  12 juin 2014  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La mesure en continu de la fréquence respiratoire fait partie du monitorage des patients en réanimation. La période suivant l'extubation est une période à risque où la surveillance étroite des paramètres respiratoires est primordiale. Cette étude a pour objectif de comparer trois méthodes de monitorage de la fréquence respiratoire : l'impédancemétrie, méthode la plus couramment utilisée dans les services de réanimation, la capnométrie qui sera considérée comme la méthode de référence, et la méthode acoustique non invasive, nouvel outil technologique n'ayant pas encore été évalué dans ce contexte.

    Matériel et méthode : Cette étude prospective monocentrique a été menée de janvier à juin 2012 dans le service de réanimation chirurgicale du CHU de Poitiers. Les patients étaient inclus dans l'heure suivant leur extubation après recueil de leur non opposition et leur fréquence respiratoire était enregistrée durant une heure par trois méthodes différentes, à raison de une mesure par seconde pour chaque dispositif. Pour cela, étaient disposés en plus des électrodes thoraciques standard, un masque facial de type Capnomask et un capteur acoustique adhésif de type RRa. Le biais et les limites d'agrément ont été calculés pour la méthode acoustique et l'impédancemétrie comparées à la capnométrie.

    Résultats : 28 patients ont été inclus. 57520 triplets de valeur de fréquence respiratoire ont été recueillis. Comparés à la capnométrie, les biais pour la méthode acoustique et l'impédancemétrie sont similaires (0,3 versus 0 cycle par minute, respectivement) mais les limites d'agrément sont plus étroites concernant la méthode acoustique (+/- 4,2 versus +/- 6,4 cycles par minute, respectivement, p<0,001). La proportion de valeurs différant de plus de 10 ou 20 % durant plus de 15 secondes par rapport à la valeur obtenue par capnométrie est de respectivement 4,4 % et 1,7 % pour la méthode acoustique et 9,2 % et 5 % pour l'impédancemétrie (p<0,001). La tolérance du capteur acoustique adhésif est excellente, aucun patient n'ayant eu de plaintes vis à vis de ce dispositif. A contrario, le Capnomask a été retiré plusieurs fois chez 3 patients.

    Conclusion : La surveillance continue de la fréquence respiratoire par méthode acoustique non invasive paraît une alternative intéressante chez le patient de réanimation en post extubation car sa mesure est précise et fiable, et sa tolérance est excellente.

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