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Dernières soutenances

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4185 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 2511 à 2520
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  • Repenser les bibliothèques avec les publics : étude de la participation à travers les démarches de design thinking en bibliothèque de lecture publique    - Coupeau Laura  -  27 septembre 2017


  • La médiation de la vidéo en ligne gratuite en médiathèque de lecture publique    - Delpech Emilie  -  27 septembre 2017


  • Personas et bibliothèque numérique    - Sapin Émilie  -  27 septembre 2017


  • BPCO post-tabagique : la réhabilitation respiratoire d'un patient peut-elle en améliorer la prise en charge par son médecin traitant ?    - Poutrain Claire  -  26 septembre 2017  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La broncho-pneumopathie chronique obstructive est un problème majeur de santé publique, 5ème cause de décès en France. Trop peu de cas sont diagnostiqués et traités selon les recommandations. Le médecin généraliste est le mieux placé en premier recours pour le dépistage et le traitement de cette pathologie, dont le but est de soulager les symptômes, de réduire les évènements morbides et d'améliorer la qualité de vie des patients. L'amélioration de la prise en charge doit passer par la disponibilité de centre de réhabilitation respiratoire. Nous avons cherché à savoir si la proximité d'un tel centre et le stage d'un de leur patient permettent aux généralistes d'améliorer leur prise en charge de la BPCO.

    Méthode : Nous avons réalisé une étude descriptive mono-centrique. 102 questionnaires et courriers d'information ont été adressés aux médecins traitant de patients pris en charge au centre de réhabilitation respiratoire du Moulin vert de Nieuil-L'Espoir entre 12 et 36 mois avant le recueil pour une BPCO post-tabagique.

    Résultats : 33 (32.4% de participation) questionnaires ont été recueillis puis analysés. Le critère d'amélioration des pratiques de plus de 25% des médecins est respecté pour quasiment l'ensemble des critères. 9 (27.3%) estiment plus dépister la BPCO, 17 (51.5%) demandent plus d'EFR, 12 (36.4%) utilisent plus la gradation thérapeutique et 33 (100%) voient un intérêt au maintien de l'activité physique. Seule la mesure du souffle au cabinet n'est pas améliorée avec 2 (6.1%) médecins pratiquant des spirométries ou mini-spirométries. Mais 13 (39.4%) médecins envisagent de réaliser des spirométries complètes dans le futur. Le sentiment de limitation liée au tabac est diminué chez 9 (27.3%) médecins.

    Discussion et conclusion : Il semblerait que l'entrée d'un de leur patient en réhabilitation respiratoire permette aux médecins de se ré-intéresser à la BPCO, d'améliorer leur pratique, et d'y adresser eux même des patients comme 17 (51.5%) d'entre eux l'ont fait. Les nouveaux modes de pratiques en maisons pluridisciplinaires sembleraient accentuer ces améliorations. La formation primaire des médecins devrait insister sur la place et les modes de prescription de la réhabilitation respiratoire dans le traitement de la BPCO.

  • Impact du dépistage sur les parcours de santé des patientes atteintes d'un cancer du sein opérable d'emblée : données de l'étude prospective OPTISOINS01    - Cariou Amélie  -  26 septembre 2017  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Détecté et traité à un stade précoce (T0 et/ou N0), le cancer du sein présente un  taux de survie globale à 5 ans supérieur à 90%. Le dépistage organisé a pour objectif le diagnostic de cancers à un stade plus précoce. Cependant il n'existe que peu de données évaluant son impact sur les traitements et les parcours de soins.

    Objectifs : L'objectif principal était l'évaluation de l'impact du dépistage sur la prise en charge thérapeutique des patientes ayant un cancer du sein opérable d'emblée ; et son évaluation sur l'organisation du parcours de soins, sur les besoins des patientes et sur le retentissement professionnel, constituaient les objectifs secondaires.

    Méthodes : L'analyse a porté sur les données de 379 patientes âgées de 50 à 74 ans de l'étude OPTSOINS01, prospective, multicentrique. Les caractéristiques des patientes dépistées (organisé et individuel) ont été comparées à celles des patientes avec point d'appel clinique.

    Résultats: Le dépistage permettait le diagnostic de plus de cancers in situ avec moins d'atteintes ganglionnaires, et il était réalisé dans le groupe « dépistage » moins de chimiothérapie, moins de curages axillaires et de radiothérapie ganglionnaires. En analyse multivariée, 3 facteurs étaient indépendamment associés à la prescription de chimiothérapie dont le mode de diagnostic sur point d'appel clinique (OR : 6,4 ; IC95% : 1,8- 31,2 ; p=0,01). Dans le groupe « dépistage », le recours à la chirurgie ambulatoire était plus fréquent (p<0,005). Chez les patientes actives, il existait une tendance du dépistage à diminuer la durée et le nombre des arrêts de travail. Les besoins physiques, psychologiques et d'information étaient plus élevés en cas de point d'appel clinique, notamment en périodes post-opératoire (p=0,028) et post-traitement adjuvant (p<0,005 et p=0,028).

    Discussion - conclusion : Le dépistage permet une prise en charge précoce des cancers du sein par des thérapies moins agressives, et présente un impact positif en termes organisationnel et socio-professionnel.

  • Étude observationnelle des infections à métapneumovirus humain chez les patients suivis pour une maladie respiratoire chronique    - Petrov Laura  -  26 septembre 2017  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Les infections respiratoires virales sont une cause importante de morbi-mortalité dans le monde. Le rôle du métapneumovirus humain (HMPV) est bien connu chez les adultes immunodéprimés, mais peu connu chez les patients atteints de maladie respiratoire chronique (MRC). L'objectif de cette étude est d'évaluer le tableau clinique et la morbi-mortalité des infections respiratoires basses à HMPV chez les patients atteints de MRC.

    Matériels et méthodes : Nous avons réalisé une étude rétrospective, observationnelle, descriptive et monocentrique au CHU de Poitiers, en incluant tous les patients majeurs infectés par le HMPV entre le 1er janvier 2015 et le 31 mai 2017.

    Résultats : Trois cent vingt prélèvements sont revenus positifs à HMPV, dont 145 adultes, avec une prévalence de 1,4%. Le pic d'infection était de décembre à mars. Près d'un tiers des patients avaient une MRC. La moyenne d'âge était de 75 ± 16 ans. Les principaux signes cliniques étaient une toux (85,4%), de la fièvre (68 ,7%) et des sibilants auscultatoires (59,7%), avec une oxygénodépendance significativement plus importante chez les patients atteints de MRC (75,5% versus 50,5% ; OR 3 [1,3-7,3] ; p = 0,006). Les principales anomalies scannographiques étaient du verre dépoli (100%), des épaississements bronchiques (96%) et des micronodules centro-lobulaires (95,8%). Les infections se caractérisaient par 28,3% de pneumonies et 15,2% d'infections nosocomiales malgré les règles d'hygiène appliquées. Les patients suivis pour une MRC avaient des atteintes plus sévères, avec plus de co-infections bactériennes (68,8% versus 46,4%), et significativement plus d'hospitalisations en soins intensifs (OR 2,9 [1,06 - 8,1] ; p = 0,025), sans significativité en terme de mortalité (11,1% versus 7% ; p = 0,515).

    Conclusion : Les données épidémiologiques, cliniques, biologiques et radiologiques de notre étude sont similaires à celles de la littérature. En revanche, les patients atteints de MRC ont des infections plus sévères, mais la mortalité n'est significativement pas plus importante dans ce groupe de population.

  • Étude de la relation entre détresse et confusion chez les patients en situation palliative    - Tarot Andréa  -  26 septembre 2017  - Thèse d'exercice

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    Objectif : Étudier la relation entre la détresse et la confusion chez les patients en situation palliative afin d'apporter une prise en charge adaptée à cette situation complexe et fréquente en fin de vie.

    Méthodes : C'est une étude quantitative observationnelle, prospective et multicentrique au sein de l'Unité de Soins Palliatifs de Clermont-Ferrand, de l'Hôpital de Jour d'oncologie au Centre Hospitalier de Riom et du réseau de Soins Palliatifs, Palliadôm. Les équipes de chaque structure incluaient les patients et réalisaient des entretiens à l'aide d'un formulaire visant à remplir l'intensité de la détresse ressenti par le patient, à l'aide de la Distress Thermometer auto-évaluée puis hétéro-évaluée, et la présence ou non d'une confusion à l'aide du Nu-DESC. De plus, il était rapporté la prise ou non des prescriptions anticipées ainsi que tous les caractéristiques épidémiologiques du patient.

    Résultats : Nous avons pu inclure 51 patients et réaliser 467 entretiens. Aucune relation n'a été mise en évidence entre la détresse et la confusion sur tous les entretiens confondus. Par contre, une relation faible à modérée a été mise en évidence au premier entretien. La confusion a tendance à augmenter à l'approche du décès alors qu'aucune relation n'a pu être mise en évidence entre la détresse et la date du décès.

    Concernant les objectifs secondaires, il a été mis en évidence que les professionnels au plus près de l'auto-évaluation de la détresse du patient sont les infirmiers au premier entretien. Tous les professionnels ont une meilleure évaluation au premier entretien.

    Conclusion : Ces résultats questionnent sur le ressenti des patients confus puisqu'il n'a pas été mis en évidence que la confusion engendre une détresse plus importante chez ces patients sur tous les entretiens.

  • De l'évaluation des pratiques de la prise en charge du paludisme chez l'adulte au CHU de Poitiers au projet « Paluclic »    - Leroy Romain  -  25 septembre 2017  - Thèse d'exercice

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    Le paludisme, première pathologie tropicale et parasitaire dans le monde, est grevé d'une forte morbi-mortalité dans les pays endémiques. En 2014, le Centre National de Référence du paludisme dénombrait 4 370 cas d'importation en France métropolitaine parmi lesquels 311 étaient considérés comme « graves » et compliqués de 11 décès.

    Dans ce contexte, nous avons voulu réaliser un travail organisé en trois axes : le premier, constituant notre objectif principal, était de mettre en évidence les déterminants de la qualité de prise en charge des infections palustres de l'adulte dans le service des urgences du CHU de Poitiers. Les deux autres consistaient en la détermination du niveau de connaissances des recommandations en vigueur au moment du dépôt du questionnaire des professionnels de santé confrontés à la prise en charge de cette infection et enfin, en permettant la proposition d'une « aide » à la prise en charge du paludisme à travers la création d'un outil informatisé : « Paluclic ».

    Une étude des cas de paludisme pris en charge aux urgences du CHU de Poitiers entre 2012 et 2015 a été réalisée de façon concomitante à l'envoi d'un questionnaire destiné à évaluer les connaissances concernant la prise en charge du paludisme chez les professionnels de santé y étant confrontés, a été envoyé aux médecins des services des urgences, de maladies infectieuses, de médecine interne et de réanimation du CHU de Poitiers, ainsi qu'aux urgentistes des autres CHU de France. « Paluclic » a été élaboré en collaboration avec l'école « 3iL » de Limoges, après dépôt d'un appel d'offre.

    1. Concernant l'étude de cas, 90 patients d'âge moyen = 35 ans et de sex-ratio = 2 ont été inclus. L'espèce parasitaire principale était P. falciparum (n = 74 ; 82 %). En moyenne 12 signes de gravité sur 17 étaient recherchés chez les patients. Vingt-cinq patients présentaient au moins un signe de gravité, seulement 15 ont été orientés en service de réanimation. Les traitements initiés aux urgences étaient conformes aux recommandations dans 76 % des cas (n = 68).

    2. Suite à l'envoi du questionnaire, 24 urgentistes, 5 infectiologues, 5 réanimateurs, 4 médecins internistes ont répondus au CHU de Poitiers et 140 urgentistes exerçant en CHU ailleurs en France. Les médecins interrogés citaient comme références : les « recommandations de la SPILF » (n = 149 ; 84 %), « de l'OMS » (n = 24 ; 13 %), « les protocoles internes » (n = 18 ; 10 %) et « les recommandations HAS » (n = 55 ; 31 %). Le bilan biologique correct était choisi dans 70 % des cas (n = 155). Les notes clinico-biologiques étaient respectivement de 2 (IQR [0 ; 6]) et 9 (IQR [5 ; 12]). Concernant les traitements à utiliser les bonnes réponses étaient sélectionnées dans 62 % des cas (n = 138) en cas de paludisme grave à P. falciparum, dans 40 % des cas (n = 88) pour le relais per os d'une forme grave, dans 25 % des cas (n = 55) en cas paludisme non grave à P. falciparum, et 41 % des cas (n = 91) pour un accès palustre non grave à P. non-falciparum.

    3. « Paluclic » est un logiciel de type SADAM : basé sur les recommandations OMS 2015 concernant la prise en charge du paludisme. Il assure à son usager de bénéficier des recommandations en vigueur après avoir renseigné les données clinico-biologiques de façon exhaustive, afin de minimiser le risque d'oubli d'un signe de gravité. Conclusion : Ce travail nous a permis de mettre en évidence les difficultés théoriques et en pratiques lors de la prise en charge de cas de paludisme. Le logiciel « Paluclic » a été réalisé dans l'optique de permettre de résoudre ces obstacles et d'améliorer la prise en charge des patients impaludés.

  • Facteurs associés à une réponse tumorale objective après première séance de chimio-embolisation intra artérielle sélective dans le carcinome hépatocellulaire : Impact des facteurs techniques    - Hestin Pierre  -  25 septembre 2017  - Thèse d'exercice

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    Introduction : L'objectif de cette étude est d'identifier les différents facteurs, notamment techniques, associés à une réponse objective (OR) selon les critères mRECIST, lors de la première cure de chimiothérapie transarterielle (TACE) sélective, dans le cadre du traitement du carcinome hépatocellulaire (HCC).

    Méthodes : Nous avons réalisé entre janvier 2009 à janvier 2016 une étude bi-centrique, rétrospective, incluant 385 patients dont 325 hommes (84.4%), pour un total de 702 tumeurs examinées. La taille moyenne des tumeurs était de 40 ± 27mm. Les patients ont reçu une première cure de TACE sélective dans le cadre du traitement de leur HCC. Les critères démographiques, biologiques et les facteurs techniques associés à une OR, selon les critères mRECIST, ont été évalués lors de l'imagerie de contrôle réalisée à 1 mois. Les facteurs techniques analysés étaient : l'utilisation du cone beam computed tomography (CBCT) comme aide technique au traitement et le type de TACE (soit conventionnelle avec du Lipiodol ou des billes chargées). La réponse objective était définie comme une réponse complète ou partielle selon les critères mRECIST.

    Résultats : Après une première cure de TACE, nous avons observé une réponse objective chez 66.9% des patients. En analyse univariée, les facteurs associés à une OR étaient : l'utilisation d'un agent embolisant durant la TACE (69.4% vs 46.3% p = 0.010), l'absence de thrombose veineuse portale (68.2% vs 45.8% p = 0.041), un nombre de tumeurs < 3 (69% vs 55% p = 0.041), et l'absence de localisation des tumeurs dans les segment I et IV (45% vs 74% dans les autres localisations, p < 0.001). Les facteurs techniques non associées à une OR étaient le type de TACE (p = 0.824) et l'utilisation du CBCT (p = 0.451).

    Conclusion : Cette étude réaffirme le haut taux de réponse objective après une première cure de TACE sélective. La réponse individuelle semble être liée aux nombres de tumeurs par patient ainsi qu'à leurs localisations. Au contraire, les facteurs techniques tel que l'utilisation du CBCT ou le type de TACE ne semblent pas avoir d'effet sur la réponse thérapeutique par patient.

  • De l'évaluation des pratiques de la prise en charge du paludisme chez l'adulte au CHU de Poitiers au projet « Paluclic »    - Leroy Romain  -  25 septembre 2017  - Thèse d'exercice

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    Le paludisme, première pathologie tropicale et parasitaire dans le monde, est grevé d'une forte morbi-mortalité dans les pays endémiques. En 2014, le Centre National de Référence du paludisme dénombrait 4 370 cas d'importation en France métropolitaine parmi lesquels 311 étaient considérés comme « graves » et compliqués de 11 décès.

    Dans ce contexte, nous avons voulu réaliser un travail organisé en trois axes : le premier, constituant notre objectif principal, était de mettre en évidence les déterminants de la qualité de prise en charge des infections palustres de l'adulte dans le service des urgences du CHU de Poitiers. Les deux autres consistaient en la détermination du niveau de connaissances des recommandations en vigueur au moment du dépôt du questionnaire des professionnels de santé confrontés à la prise en charge de cette infection et enfin, en permettant la proposition d'une « aide » à la prise en charge du paludisme à travers la création d'un outil informatisé : « Paluclic ».

    Une étude des cas de paludisme pris en charge aux urgences du CHU de Poitiers entre 2012 et 2015 a été réalisée de façon concomitante à l'envoi d'un questionnaire destiné à évaluer les connaissances concernant la prise en charge du paludisme chez les professionnels de santé y étant confrontés, a été envoyé aux médecins des services des urgences, de maladies infectieuses, de médecine interne et de réanimation du CHU de Poitiers, ainsi qu'aux urgentistes des autres CHU de France. « Paluclic » a été élaboré en collaboration avec l'école « 3iL » de Limoges, après dépôt d'un appel d'offre.

    1. Concernant l'étude de cas, 90 patients d'âge moyen = 35 ans et de sex-ratio = 2 ont été inclus. L'espèce parasitaire principale était P. falciparum (n = 74 ; 82 %). En moyenne 12 signes de gravité sur 17 étaient recherchés chez les patients. Vingt-cinq patients présentaient au moins un signe de gravité, seulement 15 ont été orientés en service de réanimation. Les traitements initiés aux urgences étaient conformes aux recommandations dans 76 % des cas (n = 68).

    2. Suite à l'envoi du questionnaire, 24 urgentistes, 5 infectiologues, 5 réanimateurs, 4 médecins internistes ont répondus au CHU de Poitiers et 140 urgentistes exerçant en CHU ailleurs en France. Les médecins interrogés citaient comme références : les « recommandations de la SPILF » (n = 149 ; 84 %), « de l'OMS » (n = 24 ; 13 %), « les protocoles internes » (n = 18 ; 10 %) et « les recommandations HAS » (n = 55 ; 31 %). Le bilan biologique correct était choisi dans 70 % des cas (n = 155). Les notes clinico-biologiques étaient respectivement de 2 (IQR [0 ; 6]) et 9 (IQR [5 ; 12]). Concernant les traitements à utiliser les bonnes réponses étaient sélectionnées dans 62 % des cas (n = 138) en cas de paludisme grave à P. falciparum, dans 40 % des cas (n = 88) pour le relais per os d'une forme grave, dans 25 % des cas (n = 55) en cas paludisme non grave à P. falciparum, et 41 % des cas (n = 91) pour un accès palustre non grave à P. non-falciparum.

    3. « Paluclic » est un logiciel de type SADAM : basé sur les recommandations OMS 2015 concernant la prise en charge du paludisme. Il assure à son usager de bénéficier des recommandations en vigueur après avoir renseigné les données clinico-biologiques de façon exhaustive, afin de minimiser le risque d'oubli d'un signe de gravité. Conclusion : Ce travail nous a permis de mettre en évidence les difficultés théoriques et en pratiques lors de la prise en charge de cas de paludisme. Le logiciel « Paluclic » a été réalisé dans l'optique de permettre de résoudre ces obstacles et d'améliorer la prise en charge des patients impaludés.

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