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Dernières soutenances

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4185 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1471 à 1480
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  • Pertinence des outils d'aide à la prise en charge par le médecin généraliste des patients en fin de vie à domicile au travers d'une revue de la littérature.    - Mariyamathuranayagam Julien  -  30 juin 2020  - Thèse d'exercice

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    INTRODUCTION : La prise en charge de patients en fin de vie à domicile par le médecin généraliste est source de nombreuses difficultés. Une des solutions serait l'utilisation d'outils afin d'optimiser la prise en charge. L'objectif de cette étude est d'évaluer, au travers d'une revue de la littérature, l'existence, la pertinence et la faisabilité de l'utilisation d'outils d'aide à la prise en charge des patients en fin de vie à domicile par le médecin généraliste.

    MÉTHODOLOGIE : Une première liste d'outils a été établie à partir de 2 sites internet de référence : les sites de la SFAP et de la HAS. 13 thèmes ont été identifiés. Ensuite une revue de la littérature a été menée de janvier 2019 à mai 2020. Une recherche d'études françaises thème par thème a été effectuée sur Palli@Doc, CISMeF et Pubmed. Ont été exclues les études traitant de populations pédiatriques.

    RÉSULTATS : Peu d'études françaises ont été retrouvées. Les résultats ont été rassemblés pour chaque outil puis analysés. DISCUSSION : Une recherche des études étrangères sur les outils a été effectuée afin d'effectuer une comparaison avec nos résultats français. Les résultats ont été discutés pour chaque outil et un tableau récapitulatif des caractéristiques de ces outils a été établi thème par thème.

    CONCLUSION : Une liste des outils qui semblent être les plus intéressants a été établie, cependant de nombreux outils nécessitent de nouvelles études afin de les valider plus spécifiquement dans le contexte d'une prise en charge de la fin de vie à domicile par le médecin généraliste en France.

  • Les principaux actifs amincissants dans les topiques cosmétiques    - Eng Charlette  -  29 juin 2020  - Thèse d'exercice

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    C’est un fait, le marché de la minceur est florissant et en émergence, impactant de nombreux secteurs : alimentaire, sportif, cosmétique et pharmaceutique. Sa promotion est d’autant plus facilitée qu’elle se fait aussi via les réseaux sociaux, ce que les industriels ont bien compris en proposant chaque année toujours plus de produits innovants pour aider à la perte de poids.

    Mais qu’en est-il de leur efficacité ? Quelles sont les actifs à privilégier ?

    C’est ce que nous avons cherché à savoir au cours de ce travail.

    Nous avons donc dans un premier temps fait des rappels sur la physiologie de la peau, sur sa structure et ses spécificités. Dans un second temps nous avons décrit le tissu adipeux, ses nombreuses fonctions ainsi que son rôle dans l’apparition de la cellulite. Dans un troisième temps nous avons évoqué l’obésité en général et comment les mécanismes physiologiques du corps permettent à ce dérèglement de subsister une fois installé ainsi que ses conséquences sur la santé.

    Puis nous avons présenté les principaux actifs amincissants présents dans les topiques cosmétiques actuellement commercialisés. Nous avons ensuite analysé les questionnaires mis à disposition des professionnels de santé d’une part et du grand public, d’autre part et enfin nous avons détaillé les principaux conseils à l’officine pour une optimisation de l’efficacité du topique cosmétique amincissant.

  • Exploration des besoins biopsychosociaux des parents et leurs ressources au cours de la diversification alimentaire de leur enfant    - Abgrall Morgane  -  29 juin 2020  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La diversification alimentaire de l'enfant est une étape importante du développement de l'enfant. Elle est influencée par les habitudes familiales, culturelles mais aussi par l'environnement socio-économique. L'objectif de l'étude était d'explorer les besoins biopsychosociaux des parents durant cette période et identifier leurs ressources en vue de proposer des principes d'action en éducation pour la santé.

    Méthode : Etude qualitative avec analyse de contenu réalisée par entretiens semi-dirigés auprès de 17 parents d'enfants de 4 à 36 mois, habitant la Vienne. L'analyse des données a été réalisée avec triangulation des chercheurs.

    Résultats : Quatre grands thèmes ont émergé des entretiens : les besoins des parents et leurs ressources mobilisées sont liés aux caractéristiques de l'individu, à l'environnement social, aux facteurs environnementaux, socio-économiques et culturels. Discussion : Les doutes, les questionnements des parents sur l'alimentation et la santé de leur enfant traduisent de façon plus générale un besoin de soutien à la parentalité.

    Pour répondre à ce besoin nous proposons de renforcer l'accès, la fiabilité et la cohérence des informations délivrées par l'ensemble des partenaires ainsi que des ateliers d'échanges à destination des parents.

    Conclusion : La diversification alimentaire est une étape essentielle dans le développement de l'enfant vers l'autonomie. Elle constitue ainsi à la fois un défi parental et un enjeu de santé publique.

  • Héritage des femmes et émancipation dans l'oeuvre allégorique de Carole Martinez    - Barantin Julia  -  29 juin 2020

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    Les femmes du passé n'ont pu laisser que peu de traces de leurs existences, du moins, le récit historique dominant ne les a-t-il pas pris en compte. Elles sont, pour la plupart, limitées à la sphère privée et aux tâches domestiques, jugées inintéressantes par ceux qui écrivent l'histoire. Carole Martinez, dans ses trois romans (Le coeur cousu, Du domaine des Murmures et La Terre qui penche), donne la parole à des silencieuses du passé. Son oeuvre de fiction, de nature allégorique, aborde avec justesse la réalité vécue des femmes à travers le temps, les violences subies de génération en génération, mais aussi, les formes de résistance et les tentatives d'émancipation. L'allégorie permet de respecter les zones d'ombres du passé et d'introduire un nouvel art de raconter. Ce sont des récits et des rapports au monde alternatifs, inspirés d'une culture des opprimées.

  • État des lieux des pratiques de l'entretien prénatal précoce auprès des sages-femmes en région Nouvelle-Aquitaine    - Delage Elise  -  26 juin 2020

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    Introduction et objectifs : L’entretien prénatal précoce (EPP), outil de prévention et promotion de la santé périnatale, a été mis en place à la suite du plan de périnatalité de 2005-2007 pour répondre aux besoins des futurs parents au cours de la grossesse. Malgré les recommandations de la HAS, l’EPP n’était pas proposé en systématique lors des grossesses et le contenu de ces derniers était hétérogène. Notre objectif principal était de faire un état des lieux des pratiques de l’EPP en Nouvelle-Aquitaine (NA) auprès des sages-femmes. Nos objectifs secondaires étaient de mettre en lumière les difficultés rencontrées et de proposer des axes d’amélioration pour la promotion de cet entretien afin d’harmoniser les pratiques.

    Méthodes : L’étude était observationnelle, s’adressait à toutes les sages-femmes de la NA quel que soit leur secteur d’activité et s’est déroulé sur une période de 2 mois et demi. Un questionnaire était envoyé par mail et disponible sur le site du RPNA. Le critère de jugement principal était la pratique ou non de l’EPP. Les critères de jugement secondaires ont été élaborés à partir des recommandations de la HAS pour évaluer leur pratique.

    Résultats : L’échantillon était de 243 sages-femmes. Les pratiques des sages-femmes en NA sont diverses et leurs connaissances de l’EPP sont plutôt rassurantes. Dans notre population, une sage-femme sur deux réalisait des EPP et plus de 80% proposaient l’EPP en systématique. Une sage-femme sur cinq réalisait des EPP sans formation et plus de 10% vivaient le manque de formation comme un frein à la pratique de l’EPP. Presque 20% se sentaient démunies face à des situations délicates. Un quart des sages-femmes déclarait que les patientes étaient adressées trop tard dans la grossesse pour avoir le temps de réaliser un EPP.

    Conclusion : L’EPP est le seul outil de promotion de la santé périnatale avec la PNP mais les freins à la réalisation de ce dernier sont multiples. L’EPP maintenant obligatoire devrait être revalorisé et connaître une nouvelle place dans le suivi de grossesse.

  • Allergies aux médicaments et aux produits de santé : analyse rétrospective de la qualité de l’anamnèse au cours de la grossesse sur 132 dossiers obstétricaux du CHU de Poitiers    - Devautour Amelie  -  26 juin 2020

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    Introduction : L’objectif de l’étude était de faire un état des lieux de la qualité de l’anamnèse concernant les allergies aux médicaments et aux produits de santé, telle que renseignée dans les dossiers obstétricaux du CHU de Poitiers, dans le but d’optimiser la sécurité et la qualité des soins.

    Matériel et méthode : L’étude était monocentrique, rétrospective et observationnelle. 232 dossiers d’anesthésie de 2018 ont été préalablement inclus, dans le but de déterminer la classe médicamenteuse, la manifestation allergique et le type d’allergie le plus souvent rapporté par les parturientes. Puis, 162 allergies médicamenteuses inscrites dans les dossiers préanesthésiques ont été confrontées à celles des dossiers obstétricaux, pour évaluer la concordance de leurs anamnèses, et la qualité des renseignements sur ces allergies dans les dossiers obstétricaux.

    Résultats : La classe thérapeutique des anti-infectieux était la plus incriminée (55,0 %), dont notamment les antibiotiques (90,3 %), avec une majorité provenant de la famille des Bêtalactamines (64,6 %). La réaction cutanéo-muqueuse était la plus décrite (104,7 %). L’allergie au médicament ou au produit de santé seule était le type d’allergie le plus rapporté (44,8 %). 21,6 % des allergies médicamenteuses renseignées dans les dossiers préanesthésiques ne figuraient pas dans les dossiers obstétricaux. La description de la manifestation clinique, renseignée dans les dossiers obstétricaux était d’abord non évaluable (43,3 %), puis de qualité insuffisante (35,4 %) ; tandis que celle relative à la notion d’une investigation et d’une réintroduction était majoritairement non évaluable (respectivement 96,1 % et 98,4 %).

    Conclusion : Afin d’optimiser l’anamnèse de ces allergies médicamenteuses et d’harmoniser les pratiques professionnelles, un questionnaire standardisé a été proposé.

  • Le dispositif EPI-NO® : état des lieux des connaissances et pratiques des sages-femmes libérales sur le territoire Picto-Charentais    - Lardy Margot  -  26 juin 2020

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    Introduction : Le dispositif Epi-No® est une méthode de prévention périnéale utilisée par les femmes enceintes pendant leur grossesse. Les objectifs de l’étude étaient d’évaluer les connaissances, expériences et pratiques des sages-femmes libérales du territoire Picto-Charentais sur le dispositif Epi-No®.

    Matériel et méthodes : Il s’agissait d’une étude observationnelle, descriptive et transversale réalisée à l’aide d’un questionnaire en ligne via la plateforme Lime Survey. Ce questionnaire a été envoyé par mail aux sages-femmes libérales du territoire Picto-Charentais.

    Résultats : 101 questionnaires ont été analysés soit un taux de participation de 73,2 %. 84,2 % des sages-femmes libérales interrogées connaissaient l’existence d’Epi-No® et, parmi elles, 55,3 % ont répondu savoir l’utiliser. Parmi ces dernières, peu connaissaient le fonctionnement du dispositif. 45,9 % ont connu l’existence d’Epi-No® par les patientes. 27,7 % des sujets avaient lu les dernières recommandations élaborées par le Collège National des Gynécologues et Obstétricien Français (CNGOF) en décembre 2018 sur la « Prévention et protection périnéale en obstétrique ». 12,9 % recommandaient Epi-No® à leurs patientes et en priorité à celles anxieuses de traumatismes périnéaux ou d’épisiotomies. Concernant les sages-femmes libérales connaissant Epi-No® sans le conseiller, 61,1 % manquaient d’informations pour pouvoir l’intégrer ou non à leur pratique. Le dispositif présentait un ou des bénéfices à son utilisation pour 63,5 % des sages-femmes libérales connaissant son existence. Concernant la satisfaction des patientes sur ce dispositif, les sages-femmes libérales ont rapporté un bénéfice dans la prévention périnéale pour 50 % d’entre-elles.

    Conclusion : Le dispositif Epi-No® était une méthode majoritairement connue par les sages-femmes libérales mais peu prescrit. Les résultats de l’étude ont permis de souligner une demande de la part des femmes enceintes dans l’utilisation du dispositif ou d’une recherche d’informations. Une prise en charge de la prévention périnéale en anténatal pour l’accouchement permettrait de répondre à leur inquiétude face aux traumatismes périnéaux.

  • Santé parodontale et grossesse : évaluation des connaissances des sages-femmes    - Mabillon Charlotte  -  26 juin 2020

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    Introduction : La HAS recommande aux professionnels de la périnatalité de faire de la prévention bucco-dentaire auprès de la femme enceinte et de la rediriger vers un chirurgien-dentiste pour faire une consultation gratuite. Les sages-femmes ont-elles les connaissances nécessaires pour pouvoir appliquer cette recommandation ?

    Matériel et méthode : Il s’agissait d’une étude observationnelle, transversale, descriptive et multicentrique. Un questionnaire en ligne sur la Lime Survey a été diffusé à l’ensemble des sages-femmes de la Nouvelle-Aquitaine par le biais de l’Ordre. L’objectif principal était de faire un état des lieux des connaissances des sages-femmes de la Nouvelle-Aquitaine sur les liens entre les maladies parodontales et la grossesse.

    Résultats : Cent quatre-vingt-neuf réponses ont été analysées. 94,2 % des sages-femmes n’ont pas eu de formation sur la santé parodontale de la femme enceinte. Si une formation a eu lieu, c’était principalement lors d’un congrès à 44,4 %. 94,7 % savaient que la grossesse a un impact sur la santé bucco-dentaire et 90,5 % pensaient que l’inverse était aussi possible. 6,7 % surveillaient toutes les pathologies bucco-dentaires pendant la grossesse. 2,9 % percevaient le risque potentiel de pré-éclampsie. 78,8 % connaissaient l’examen bucco-dentaire à faire pendant la grossesse et 43 % la période où il est remboursé. 67,7 % donnaient des conseils, comme avoir une alimentation équilibrée à 89,8 % mais aussi de se brosser les dents au minimum deux fois par jour avec un dentifrice fluoré à 86,7 %. Elles le faisaient à 79,7 % lors des consultations de suivi de grossesse avec 14,8 % qui en délivraient de façon systématique. 89,1 % y consacraient moins de cinq minutes. 60,8 % dirigeaient les femmes enceintes vers un chirurgien-dentiste sur plainte contre 19 % qui le faisaient de façon systématique. Elles orientaient à 85,4 % vers le dentiste de la patiente.

    Conclusion : Les sages-femmes avaient des connaissances sur le lien entre les maladies dentaires et la grossesse mais de manière partielle à cause d’un manque de formation. Il faut également prendre conscience des attentes de la femme enceinte pour savoir si elle accorde de l’importance à sa santé bucco-dentaire.

  • Etude des stratégies pour l’observance de la pilule chez les femmes de 15 à 25 ans    - Gizard Anne-laure  -  26 juin 2020

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    Introduction et objectifs : La pilule est le moyen de contraception le plus utilisé chez les 15-25 ans. Les oublis sont encore nombreux et peu d’études s’intéressent aux méthodes utilisées par les femmes pour ne pas l’oublier. L’objectif principal de cette étude était de décrire les stratégies mises en place par les femmes pour penser à prendre leur pilule. Les objectifs secondaires étaient d’étudier la prévalence et la satisfaction des « aide-mémoires » utilisés.

    Matériel et méthode : Il s’agit d’une étude observationnelle, descriptive et transversale. La majorité des questions était fermée à choix multiples, certaines étaient ouvertes. Le questionnaire était anonyme et sa diffusion s’est faite au moyen des principaux réseaux sociaux. L’étude s’est déroulée du mois de Novembre 2019 à Avril 2020. Elle interrogeait des femmes âgées de 15 à 25 ans utilisant actuellement la pilule comme moyen de contraception. 200 personnes ont pu être inclues dans l’étude.

    Résultats : La population était principalement composée d’étudiantes en couple. Cette étude a montré que 55,5% des femmes rangeaient habituellement leur pilule dans un endroit fixe et 84% des femmes prenaient leur pilule le soir (de 19h au coucher). 89% des femmes utilisaient un « aide-mémoire ». L’« aide-mémoire » le plus utilisé était l’alarme suivi des gestes de la vie quotidienne (préparation du repas, au coucher…). Une plus grande proportion associait plusieurs méthodes afin de ne pas oublier leur pilule (47,8% versus 28,1% qui n’utilisait qu’une seule méthode). La combinaison la plus retrouvée était celle d’une alarme avec un geste de la vie quotidienne (35,5%). Parmi les femmes qui n’utilisaient pas d’aide-mémoire, 59,1% n’en ressentait pas le besoin.

    79% des femmes interrogées prenaient leur pilule avec un décalage de plus ou moins 1 heure. Il n’y avait pas d’association entre les oublis et le lieu de rangement habituel de la pilule. L’utilisation d’un « aide-mémoire » ne permettait pas non plus de moins oublier sa pilule.

    La principale attente des femmes concernant une application était un rappel ou une alarme, plus ou moins discret selon certaines, qui sonnerait jusqu’à la prise du comprimé.

    Conclusion : La majorité des femmes utilisent des aides mémoires, la plupart en associent plusieurs. Les recherches cliniques dans ce domaine doivent être encouragées pour étudier l’association des « aide-mémoire » avec l’oubli de pilule ou le recours à une IVG.

  • Les parents d'enfants de moins de 6 ans sont-ils informés des risques d'une surexposition aux écrans chez leurs enfants ?    - Egal Quentin  -  26 juin 2020  - Thèse d'exercice

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    INTRODUCTION : Les technologies modernes nous entourent au quotidien. Elles captivent les jeunes et ce de façon très précoce. Les publications sur les effets potentiellement dangereux des écrans se multiplient et sont controversées, les recommandations sur lesquelles s'appuyer peu diffusées. Les parents font part de leur inquiétude quant à l'utilisation du numérique chez leurs enfants. L'objectif de ce travail est de savoir si les parents d'enfants de moins de 6 ans sont informés des risques d'une surexposition aux écrans chez leurs enfants.

    METHODE : Il s'agit d'une étude épidémiologique descriptive de fin 2019 à début 2020. Une revue de la littérature, non exhaustive, a permis la création d'un questionnaire à l'attention des parents d'enfants de moins de 6 ans. Celui-ci est distribué dans les salles d'attente de trente médecins généralistes répartis en Charente-Maritime et dans les Landes.

    RESULTATS : Cette étude révèle que la majorité des parents s'estime déjà informée des risques d'une surexposition aux écrans chez leurs enfants (71,3%). La comparaison des groupes « informés » et « non informés » met en évidence des différences significatives : le groupe « informés » a une meilleure connaissance des recommandations et de fait, leurs enfants consomment moins d'écrans et y sont moins exposés avant de se coucher. De plus, ce groupe accompagne plus souvent ses enfants face à un écran. Enfin, qu'ils soient « informés » ou non, 66,2% des parents souhaitent bénéficier de plus d'informations provenant de leur médecin traitant, des médias ou encore des écoles maternelles et primaires.

    CONCLUSION : Le devoir du médecin est de prévenir la survenue d'un risque lié à un comportement, même si ce risque n'a pas encore été clairement établi du point de vue scientifique. Des actions de prévention sont à envisager pour répondre à une forte demande des parents.


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