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Liuu Évelyne

Les travaux encadrés par "Liuu Évelyne"

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  • Identification des facteurs pronostiques chez les patients de 75 ans et plus ayant présenté un AVC ischémique hospitalisés dans l'unité de SSR post neurologie du pôle de gériatrie du Centre hospitalier universitaire de Poitiers    - Guillard Nadège  -  07 mai 2018  - Thèse d'exercice

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    Introduction : L'accident vasculaire cérébral (AVC) est une pathologie fréquente en particulier chez la personne âgée. Il est grave et invalidant, figurant parmi les premières causes de décès dans le monde. La fragilité de nos aînés liée au vieillissement physiologique et leurs comorbidités justifient une prise en charge spécifique. Dans les suites d'un AVC, la prise en charge du patient en unité de soins de suite et réadaptation (SSR) permet d'optimiser la récupération, par l'approche globale gériatrique et la réadaptation neurologique. Dans cette population hétérogène, il apparaît indispensable d'identifier les facteurs associés à la récupération. L'objectif principal était de définir les critères pronostiques de récupération fonctionnelle et neurologique, pour pouvoir définir le plus précocement possible des critères d'orientation de ces patients.

    Méthode : étude rétrospective incluant les patients ≥ 75 ans ayant présenté un AVC ischémique entre le 01/05/2015 et le 01/05/2017 et hospitalisés dans l'unité de SSR post-neurologie du pôle de gériatrie du Centre Hospitalier Universitaire de Poitiers. Étaient exclus les patients ayant présenté un accident ischémique transitoire. Était considéré comme ayant un bon pronostic un patient vivant avec, en sortie d'hospitalisation SSR, des scores GIR (Groupe Iso-Ressource) et NIHSS (National Institute of Health Stroke Score), équivalents ou améliorés par rapport aux scores enregistrés à l'admission. Différentes variables sociodémographiques, neurologiques et gériatriques ont été recueillies.

    Résultat : au cours de ces deux années, 100 patients consécutifs ont été inclus (53 % d'hommes, âge moyen : 85 ± 6 ans, durée moyenne de séjour en SSR : 44 ± 29 jours) dont 72 ont eu un bon pronostic de récupération selon nos critères. Le taux de mortalité à 3 mois était de 20 %. Un bon pronostic était associé à un score NIHSS bas à l'admission en neurologie (p=0,02), à l'entrée en SSR (p=0,01), à un score de Charlson modifié bas (p=0,01), et à un bilan étiologique ne permettant pas de retrouver de cause évidente à l'AVC. Un mauvais pronostic (patient décédé, ou dégradation des scores GIR et/ou NIHSS) était associé à la présence d'une cardiopathie congestive (p=0,04), à une origine cardio embolique dans le bilan étiologique de l'AVC (p=0,0006), à la survenue de complications précoces telles qu'une épilepsie (p=0,0018), des troubles de la déglutition (p=0,02), une transformation hémorragique cérébrale (p=0,03).

    Conclusion : Les patients présentant peu de comorbidités, un score neurologique de gravité bas à l'admission en neurologie et à l'entrée en SSR ainsi que l'absence de cause évidente au bilan étiologique ont un meilleur pronostic de récupération. Des études multicentriques incluant un plus grand nombre de sujets âgés dès leur admission aux urgences et leur hospitalisation en neurologie permettraient l'extrapolation de nos résultats à un stade précoce de la prise en charge des AVC ischémiques, et de proposer des mesures préventives ou correctrices des facteurs associés à un mauvais pronostique.

  • Facteurs prédictifs de mortalité chez les sujets âgés ayant un déclin rapide de la fonction rénale, hospitalisés dans le pôle de gériatrie du CHU de Poitiers    - Farlet Charlotte  -  05 juin 2018  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le vieillissement de la population est une problématique à échelle internationale. Dans la population âgée, de plus en plus nombreuse, l'impact du déclin rapide de la fonction rénale sur la mortalité reste imprécis. L'objectif de cette étude était d'analyser la relation entre la sévérité du déclin de la fonction rénale et la mortalité chez des patients âgés hospitalisés considérés comme « déclineurs rapides », ainsi que les facteurs prédictifs de cette mortalité. Dans un second temps, les facteurs associés au déclin rapide de la fonction rénale ont été étudiés.

    Méthode : Nous avons réalisé une étude rétrospective mono-centrique, incluant tous les patients hospitalisés à deux reprises en gériatrie au CHU de Poitiers, entre 2014 et 2015, ayant un déclin rapide de la fonction rénale (≥ 5mL/min/1,73 m² par an, selon l'équation CKD-EPI). Différentes variables ont été analysées chez ces patients, dont les variations de la fonction rénale exprimées en mL/min par an et en pourcentage par an. Les données de survie ont été établies, avec pour date de point le 31/12/2016.

    Résultats : 125 patients ont été inclus (âge moyen 85,5 ± 6 ans, 63 % de femmes, insuffisance rénale préexistante dans 43%). Nous n'avons pas retrouvé de lien statistique significatif entre la mortalité et le déclin rapide de la fonction rénale, qu'il soit exprimé en valeur absolue ou en pourcentage par an. Par contre, une relation indépendante avec la fonction rénale initiale, de la première hospitalisation a été observée (p<0,05). De plus, les facteurs prédictifs de déclin de la fonction rénale (exprimé en valeur absolue) retrouvés dans cette étude étaient l'insuffisance rénale (p=0,01) et la valeur de l'hémoglobine lors de la première hospitalisation (p=0,03). Le seul facteur qui restait significativement associé au déclin de la fonction rénale en pourcentage par an était la fonction rénale de la première hospitalisation (p<0,05).

    Conclusion : Il existait une relation entre la mortalité et la fonction rénale initiale, au cours de la première hospitalisation, chez ces patients âgés hospitalisés. On note donc l'importance de surveiller la fonction rénale initiale chez ces patients hospitalisés. Notre étude ne permettait pas d'établir une relation entre le décès et la sévérité du déclin de la fonction rénale, dans une population de « déclineurs rapides ».

  • Variation de la fonction rénale chez les sujets âgés hospitalisés dans le pôle de gériatrie du CHU de Poitiers    - Nicolle Jéremy  -  10 juillet 2020  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le vieillissement de la population est un phénomène mondial. Il se traduit notamment par une augmentation de la prévalence des pathologies rénales, dont la maladie rénale chronique, qui touchait près de 3 millions de français en 2012. L'objectif de l'étude était d'analyser l'évolution de la fonction rénale entre deux hospitalisations dans une population gériatrique, et les facteurs associés à la variation du débit de filtration glomérulaire (DFG), puis d'identifier les facteurs pronostiques dans cette population.

    Méthode : Nous avons mené une étude analytique observationnelle, rétrospective, monocentrique, dans le pôle de gériatrie du CHU de Poitiers sur une période de 2 ans. Tous les patients de 75 ans et plus, hospitalisés à au moins deux reprises, ont été inclus. Des variables socio-démographiques, cliniques, biologiques ont été analysées, dont les variations (différences des valeurs) et deltas (variations rapportées sur le temps) du DFG.

    Résultats : 312 patients ont été inclus dont 63% de femmes, d'âge moyen 88 ± 5,2 ans. Le DFG moyen selon CKD-EPI était de 59,3 ± 20,4 ml/min/1,73m² et le déclin moyen de 3,2 ml/min/1,73m²/an. Une association indépendante (p<0,05) entre le delta du DFG selon CKD-EPI, la survenue d'événements cardio-vasculaires entre les deux hospitalisations, l'existence d'une insuffisance rénale aiguë lors de la première hospitalisation et le total du score de Charlson lors de la première hospitalisation, a été retrouvée. Nous n'avons pas montré d'association entre la mortalité et le delta du DFG. Cependant une association indépendante (p<0,05) entre la mortalité, et la survenue d'événements cardio-vasculaires, la présence de maladie rhumatologique, le total du score de Charlson, la variation d'albuminémie entre les deux hospitalisations (exprimée en valeur absolue en g/l ou rapportée au temps en %/an), a été observée.

    Conclusion : Notre étude montre un déclin de la fonction rénale, chez les patients âgés hospitalisés à répétition, qui semble supérieur à celui observé en ambulatoire. Il existe une relation entre le delta du DFG (CKD-EPI), la survenue d'événements cardio-vasculaires entre deux hospitalisations, l'existence d'une insuffisance rénale aiguë et le total du score de Charlson lors de la première hospitalisation.

  • Comparaison du profil des patients âgés de plus de 75 ans, présentant un AVC orienté en Gériatrie ou en Neurologie au CHU de Poitiers    - Arriudarre Victor  -  30 juin 2021  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La prise en charge de l'AVC chez la personne âgée est un enjeu de santé publique. Pourtant aucune mesure spécifique ne cible cette population à risque, qui justifie un parcours de soins personnalisé et optimisé.

    Objectifs : Déterminer les caractéristiques des patients > 75 ans, hospitalisés via les urgences ou en admission directe pour un AVC associés à leur orientation vers le service de neurologie ou de gériatrie pour la suite de la prise en charge ; identifier le pronostic vital et fonctionnel des patients en fonction du lieu d'hospitalisation, au cours du parcours de soins hospitaliers.

    Méthode : Étude épidémiologique descriptive, observationnelle, transversale, rétrospective au CHU de Poitiers du 01/01 au 31/12/2019. Tous les patients > 75ans hospitalisés pour un diagnostic d'AVC en gériatrie ou neurologie étaient éligibles. Données recueillies : socio-démographiques, comorbidités, données neurologiques cliniques, biologiques et imagerie cérébrales, soins réalisés en cours d'hospitalisation, suivi jusqu'au 31/12/2020.

    Résultats : 397 patients ont été inclus dans cette étude (96 patients du service de gériatrie, et 301 patients du service de neurologie). Les patients hospitalisés en gériatrie étaient plus âgés, plus comorbides, plus dépendants, vivant plus fréquemment en institution par rapport aux individus hospitalisés en neurologie (p<0,001).

    Malgré une prise en charge multidisciplinaire impliquant plus fréquemment les kinésithérapeutes (p = 0,02), les ergothérapeutes (p <0,001), l'équipe de psychiatrie (p< 0,001) et l'assistante sociale (p= 0,002), le pronostic vital et fonctionnel des patients étaient plus sou-vent péjoratifs à la sortie du service de gériatrie (p= 0,03), en lien logique avec leur âge avancé et leurs niveaux de comorbidités. L'analyse de survie (ajusté au sexe, âge et score de comorbidité de Charslon) ne montrait pas de différence significative en lien avec l'unité d'hospitalisation. Le taux de réhospitalisations non programmées était élevé à 27% concernant le bras gériatrique (p = 0,0015) dans un délai moyen d'un an, avec une orientation privilégiée vers la gériatrie à la 2e hospitalisation (p< 0,001).

    Conclusion : Nos résultats confirment que les patients > 75 ans hospitalisés pour AVC dans le service de gériatrie sont plus âgés et plus comorbides, par rapport à ceux hospitalisés en neurologie. Malgré un tableau clinique neurologique initial comparable, les patients gériatriques avaient un pronostic plus sombre ou une sortie d'hospitalisation plus fréquente vers une institution, malgré une prise en charge multidisciplinaire impliquant un plus grand nombre de professionnels.

    Une prise en charge conjointe entre les neurologues et les gériatres, serait essentielle à chaque moment de la prise en charge de l'AVC, depuis l'identification d'un profil type dès les urgences, à leur phénotypage en cours d'hospitalisation pour une personnalisation du parcours de soins et un suivi optimal au décours du séjour hospitalier.

  • Le rapport PNN/Lymphocytes : un indicateur pronostique chez les patients de 75 ans et plus atteints de cancers solides ?    - Ceci Barcaglioni Giorgia  -  25 mai 2023  - Thèse d'exercice

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    Introduction

    L'évaluation du pronostic chez le sujet âgé atteint de cancer est nécessaire pour déterminer la stratégie de prise en charge oncologique, au regard des profils de santé très hétérogènes. Elle ne saurait se résu-mer à un âge chronologique, et prend en compte la fragilité, les comorbidités et des paramètres cliniques et biologiques oncologiques gériatriques. Parmi les indicateurs pronostiques existants, le rapport PNN (Polynucléaires neutrophiles) /Lymphocytes est validé en population oncologique. Or ce biomarqueur est peu étudié en population onco-gériatrique.

    Objectif principal :

    étudier le rapport PNN/Lymphocytes comme indicateur pronostique chez les patients de 75 ans et plus atteints de cancers solides.

    Matériels et méthodes

    Étude rétrospective de la cohorte monocentrique prospective oncogériatrique ANCRAGE (ANalyses Can-ceR et sujet AGE) incluant tous les patients ≥ 75 ans évalués lors d'une 1e consultation oncogériatrique au CHU Poitiers entre le 10/05/2016 et le 22/12/2021.

    Variables étudiées : données sociodémographiques, site tumoral, statut métastatique, statut vital au 22/01/2023, fragilité gériatrique définie par l'altération d'un domaine gériatrique (autonomie, motricité, nutrition, thymie, cognition), données biologiques permettant le calcul du rapport PNN/Lymphocytes, et si ce rapport est > 4. Les analyses statistiques ont porté sur des analyses descriptives, puis des analyses de survie selon le test de Logrank avec une représentation graphique selon la méthode de Kaplan-Meier, et selon le test du modèle de risques proportionnels de Cox.

    Résultats

    Au cours des cinq ans et sept mois de recrutement, 1072 patients ont été inclus, d'âge moyen de 86,8 ans (± 5 ans), majoritairement des hommes (60 %), autonomes, à risque de dénutrition. Le cancer le plus fré-quent était celui de la prostate (20%, n = 218), les cancers étaient métastatiques dans 35% des cas. La du-rée moyenne de suivi était 633 jours. L'analyse multivariée de la survie selon Cox montrait que l'âge (HR 1,026 ; p < 0,001), le statut métasta-tique (HR 1,597 ; p < 0,0001), la perte d'autonomie évaluée selon le score ADL ≤ 5/6 (HR 1,813 ; p < 0,0001), le risque de dénutrition selon le score MNA ≤ 23,5/30 (HR 1,604 ; p < 0,0001),) et le rapport PNN/Lymphocytes (HR 1,080 ; p < 0,0001) étaient associés de façon indépendante à la mortalité.

    On observait un surrisque de mortalité chez les sujets ayant le rapport PNN/Lymphocytes > 4 selon le test de Logrank.

    Conclusion

    Dans notre étude, le rapport PNN/Lymphocytes était associé de manière indépendante la mortalité, au même titre que des variables connues dans la littérature pour être des paramètres pronostiques oncologiques et gériatriques, tels que l'âge, l'existence de métastases, la perte d'autonomie et le risque de dénutrition.

  • Analyse de la survie des patients âgés atteints d'hémorragie digestive du sujet âgé, en Gériatrie et en Hépato-Gastroentérologie au CHU de Poitiers    - Le Houarno Anna  -  21 juin 2023  - Thèse d'exercice


  • État des lieux des pratiques de soins palliatifs en services d'hospitalisation de gériatrie au CHU de Poitiers en 2022    - Veracruz-Magné Alice  -  19 juin 2024  - Thèse d'exercice

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    INTRODUCTION

    Le vieillissement de la population génère des enjeux de prise en charge des sujets âgés atteints de pathologies chroniques, graves et/ou évolutives. La médecine gériatrique et les soins palliatifs visent à optimiser les soins et à améliorer la qualité de vie de ces patients grâce à une approche globale et intégrée médico-psycho-sociale. Cependant, la filière palliative gériatrique est encore peu développée malgré l'essor au cours des dernières années de ces deux disciplines qui collaborent étroitement, et les études traitant des soins palliatifs gériatriques en milieu hospitalier sont rares.

    L'objectif de notre étude était de comparer les caractéristiques des patients hospitalisés en service de gériatrie et ayant reçu des soins palliatifs sans intervention d'une équipe spécialisée en médecine palliative, avec ceux pour lesquels l'équipe mobile de soins palliatifs intra-hospitalière avait été sollicitée.

    MATERIELS ET METHODES

    Cette étude était rétrospective, observationnelle, descriptive et monocentrique, faisant état des lieux des pratiques de soins palliatifs en services d'hospitalisation de gériatrie au CHU de Poitiers (France) en 2022. Les caractéristiques des patients, les motifs d'hospitalisation, leur symptomatologie et leur prise en charge ont été comparés, et le cas échéant, les interventions de l'équipe mobile de soins palliatifs intra-hospitalière ont été décrites.

    RESULTATS

    Dans notre étude, 120 patients ont été inclus, 61 dans le groupe de patients hospitalisés en gériatrie avec intervention de l'équipe mobile de soins palliatifs et 59 dans le groupe sans intervention. Dans 60% des cas, le statut palliatif n'était pas identifié avant l'hospitalisation. Les médecins gériatres sollicitaient l'équipe mobile de soins palliatifs pour des situations plus complexes avec des questionnements éthiques nécessitant de la collégialité, des hospitalisations significativement plus longues et plus de symptômes réfractaires, notamment psychologiques, psychiatriques et/ou psycho-comportementaux. Les décès étaient plus fréquents et plus rapides dans l'autre groupe. Les patients ayant rédigé des directives anticipées étaient rares dans les deux groupes.

    CONCLUSION

    L'identification des profils de patients hospitalisés en gériatrie et relevant de soins doit permettre d'optimiser leurs parcours de soins et la qualité de la fin de vie grâce à la détection précoce des besoins, l'intervention d'équipes pluridisciplinaires et la diffusion de la culture palliative notamment concernant la gestion des symptômes.

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