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2019

Les travaux soutenues en 2019

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357 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 291 à 300
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  • Comment remédier aux difficultés liées à la vitesse d’écriture chez les élèves en élémentaire ? Quelle perception les enseignants ont-ils des difficultés liées à la vitesse d’écriture de leurs élèves ?    - Ferre Laetitia, Andre Johanna  -  09 mai 2019

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    Les difficultés liées à la vitesse d’écriture ont peu été étudiées dans les recherches antérieures. De ce fait, nous nous sommes fixées pour objectif de montrer que les enseignants avaient une bonne perception des difficultés de leurs élèves lorsqu’elles sont liées à la vitesse d’écriture et qu’ils proposaient des aménagements afin de pallier celles-ci. Ainsi, nous avons choisi un échantillon d’enseignants pour un intervalle d’âge allant de 20 à 50 ans et plus ainsi qu’un échantillon d’élèves âgés de 7 à 10 ans. Afin d’évaluer la perception des enseignants concernant les difficultés liées à la vitesse d’écriture de leurs élèves et ce qu’ils mettent en place pour pallier celles-ci, nous avons demandé aux enseignants de remplir un questionnaire. Pour étudier la vitesse d’écriture des élèves en question, nous leur avons proposé d’écrire l’alphabet le plus rapidement possible en une minute. Les résultats nous montrent que les enseignants ont une bonne perception des capacités graphiques de leurs élèves et qu’ils proposent des aménagements possibles pour pallier les potentielles difficultés.

  • Maladies à prévention vaccinale et vaccination : enquête sur les connaissances des parents en Charente-Maritime.    - De Decker Julie  -  02 mai 2019  - Thèse d'exercice

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    INTRODUCTION : La défiance vaccinale est très marquée en France avec des couvertures vaccinales insuffisantes, entraînant depuis quelques années des épidémies de rougeole. Cette défiance est complexe et multifactorielle. Elle touche autant les professionnels de santé que le grand public. La méconnaissance des maladies à prévention vaccinale semble être une des causes de cette défiance. L'objectif de cette étude est d'évaluer les connaissances des parents sur les maladies à prévention vaccinale et la vaccination en générale.

    MATÉRIEL ET MÉTHODE : Il s'agissait d'une enquête quantitative, réalisée en Charente-Maritime, en 2018, auprès de parents d'enfants âgés de moins de 13 ans, consultant dans des cabinets de médecine générale, de pédiatrie ou encore en PMI. L'étude a été réalisée par le biais d'un questionnaire transmis par voie postale ou déposé directement dans le cabinet. Le questionnaire était anonyme et explorait : leurs connaissances au sujet des vaccins et des maladies à prévention vaccinale, ainsi que leur ressenti vis-à-vis de l'information reçue.

    RÉSULTATS : Au total, 225 questionnaires ont été remplis. Aucun parent n'a su répondre juste à toutes les questions. Les parents interrogés avaient plus de connaissances sur les vaccins (77,3%) qu'au sujet des maladies (49,3%). Les facteurs semblant influencer les connaissances sur les vaccins, sont le niveau d'étude, le lieu de consultation, et enfin, le ressenti vis-à-vis de l'information reçue. Les facteurs semblant influencer les connaissances au sujet des maladies sont le niveau d'étude, le genre, l'âge des enfants. Le fait d'être favorable aux vaccins semble également avoir une influence sur le taux de connaissance. Enfin, près de 70% des parents se disaient « mal informés ».

    CONCLUSION : Les parents semblent avoir des connaissances insuffisantes au sujet des maladies à prévention vaccinale, pouvant expliquer une certaine défiance vis-à-vis des vaccins. Améliorer la formation des professionnels de santé, l'accès à l'information au grand public, parents et enfants, pourraient être des pistes à exploiter pour revaloriser le rôle du vaccin en terme de progrès social et médical.


  • La maladie de Charcot : rôle du pharmacien officinal    - Roulleau Valentin  -  29 avril 2019  - Thèse d'exercice

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    La maladie Charcot est une maladie neuro-dégénérative rare, d’évolution fatale et incurable. De nombreuses hypothèses sont proposées et encore étudiées afin d’expliquer les causes de développement de la Sclérose latérale amyotrophique. De ce fait, il n’existe qu’un traitement pourvu d’une AMM : il s’agit du riluzole qui prolonge la survie du patient de quelques mois. D’autres traitements sont encore au stade d’étude clinique.

    La SLA est à l’origine d’une atteinte des fibres nerveuses du système nerveux moteur engendrant en fonction de la forme de la pathologie (forme spinale ou forme bulbaire) des symptômes très handicapants pour le patient. Spasticité, faiblesse musculaire, troubles de la déglutition, troubles respiratoires, troubles de la circulation sanguine, troubles de la parole, troubles de l’alimentation, asthénie et douleurs sont autant de symptômes que le patient aura à affronter au cours de la maladie. Ses activités quotidiennes seront totalement chamboulées. Son autonomie sera remise en cause.

    Le pharmacien joue un rôle primordial dans la prise en charge du patient afin d’améliorer sa qualité de vie. Elle consiste à prolonger la vie du malade mais aussi à associer d’autres thérapeutiques, aides techniques, dispositifs médicaux et soutiens psychologies afin de pallier les symptômes de la maladie. Le pharmacien est en étroite collaboration avec les autres professionnels de santé afin de mettre en place tous les services pouvant aider le patient à surmonter cette terrible maladie.

  • Thromboses veineuses profondes chez les patients hospitalisés en gériatrie au CHU de Poitiers : résultat des échographie-dopplers et descriptif de la prise en charge    - Martin Juliette  -  29 avril 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La thrombose veineuse profonde (TVP) est fréquente et grave en gériatrie, il s'agit d'un enjeu majeur de santé publique. C'est un problème diagnostique récurrent, pour lequel l'écho-doppler veineux (ED) est un examen clé. Du fait de la difficulté clinique à établir le diagnostic de phlébite chez les sujets âgés et de la facilité d'accès à l'écho-doppler veineux, nous posons l'hypothèse qu'il existe une demande excessive de cet examen dans le service de gériatrie.

    Objectifs : L'objectif principal était d'analyser le pourcentage des demandes d'échodoppler veineux amenant au diagnostic de TVP dans le Pôle de gériatrie du CHU de Poitiers. Les objectifs secondaires étaient de préciser les caractéristiques de la population, de décrire les TVP, le nombre d'EP associée, et de préciser la prise en charge thérapeutique.

    Patients : Il s'agit d'une étude épidémiologique descriptive observationnelle monocentrique et rétrospective réalisée sur la période du 1er juillet 2016 au 31 juillet 2017 au CHU de Poitiers dans le Pôle de gériatrie. Tous les patients ayant eu un ED sur cette période ont été inclus. Les patients ont été exclus quand le diagnostic de TVP avait été fait en dehors de la période ou dans un autre service.

    Résultats : Sur les 3500 patients hospitalisés sur cette période, il y a eu 9 % de demandes d'ED. 288 patients ont été inclus et 42% d'entre eux avaient un diagnostic de TVP, soit une incidence de 3,5%. Le sex ratio H/F était de 0 ,53 et le score GIR moyen était de 2,95 ± 1,31, plus de 87% des patients étaient en perte d'autonomie. L'âge moyen des patients avec un diagnostic de TVP était de 86,6 ± 6,8 ans [65-98]. Vingt-huit pour cent des phlébites étaient proximales et 72% étaient distales ; 47% des TVP étaient bilatérales. Dix-sept TVP, dont 13 distales, étaient associées à une EP. Cent-douze patients avec une TVP ont reçu une anticoagulation curative, principalement par anti-vitamine K. Un ED de contrôle a été réalisé dans 55% des cas avec 68% d'amélioration, 29% de stabilité et 3% d'aggravation. Huit pour cent des patients avec diagnostic de TVP sont décédés durant le séjour hospitalier.

    Conclusion : Cette étude confirme l'incidence élevée des demandes d'ED et des TVP chez les sujets âgés. La demande d'examen a une bonne performance diagnostique dans presque la moitié des cas mais cela pourrait être amélioré en évaluant mieux les patients. La prise en charge des TVP distales nécessite une réelle expertise.

  • Carpal tunnel: Is the “Safe Zone” really avascular?    - Sergeant Anne-Charlotte  -  29 avril 2019  - Thèse d'exercice


  • Caractéristiques phénotypiques et génotypiques d’une cohorte de patients brestois atteints de thrombocytémie essentielle triple négative    - Georgeais Aurelie  -  26 avril 2019  - Thèse d'exercice

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    Les thrombocytémies essentielles (TE) sont des syndromes myéloprolifératifs (SMP) touchant particulièrement la lignée plaquettaire. 3 mutations initiatrices ont été identifiées ces 15 dernières années : JAK2 V617F, CALR et MPL. Une certaine proportion de patients (15%) ne présente aucune des 3 mutations (patients triple négatifs) et semblent être un regroupement de plusieurs pathologies (SMP, thrombocytose constitutionnelle, thrombocytose chronique idiopathique…) plutôt qu’une seule entité. Les complications et évolutions de ces différents groupes étant méconnues, nous avons cherché un paramètre permettant de distinguer ces pathologies.

    Le premier critère que nous avons proposé est le résultat de la BOM. Or, celui-ci semble ne permettre de séparer que les patients sur des critères clinico-biologiques au diagnostic (plaquettes, LDH et signes cliniques) et non pas sur un risque plus élevé à présenter des complications ou une évolution durant le suivi.

    Notre second critère était l’étude du profil mutationnel de 26 gènes à la recherche de variants somatiques ou constitutionnels pouvant être impliqués dans la thrombocytose présentée par les patients. Nous avons mis en évidence une pathologie très probablement acquise pour un patient et des mutations déjà décrites comme étant associées à des phénotypes de thrombocytose familiale pour quatre autres patients.

    Le NGS permet donc de distinguer une partie des sous-groupes constituant les TE triple négatives, ce qui permettra une étude plus poussée de chaque sous-groupe dans le futur.

  • Évaluation de la prise en charge de la douleur des personnes âgées de plus de 75 ans présentant des troubles cognitifs aux urgences.    - Portron Clement  -  25 avril 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Ces dernières années, nous observons une population vieillissante avec une proportion croissante de patients présentant des troubles cognitifs. L'objectif était d'analyser la prise en charge de la douleur dans un service d'urgence, chez les patients âgés de plus de 75 ans ayant des troubles cognitifs, en comparaison à un groupe témoin.

    Matériel et méthodes : Il s'agissait d'une étude monocentrique, prospective et observationnelle réalisée dans le service d'urgence du centre hospitalier de Niort du 01/12/2018 au 31/01/2019. Les patients âgés de plus de 75 ans consultant aux urgences et ayant bénéficié du test du Six Item Screener (SIS) ont été inclus.

    Résultats : Deux cents patients ont été inclus. Une différence significative a été mise en évidence dans la prise en charge de la douleur pour les patients présentant des troubles cognitifs, avec notamment une douleur non évaluée dans 37% des cas (p=0,03) et un taux d'administration d'antalgiques faible à 17,7% (p=0,003). On a également remarqué que les patients atteints de troubles cognitifs recevaient moins d'antalgiques de palier 3 (p=0,013) et que les échelles d'hétéroévaluation de la douleur n'étaient que très peu utilisées (1,7%).

    Conclusion : La réalisation d'études spécifiques à la création d'un test de dépistage adapté aux services d'urgence, de même que la mise en place de protocoles institutionnels, en lien avec les médecins gériatres, permettrait d'améliorer notre prise en charge des patients âgés atteints de troubles cognitifs.

  • Présentation d'une hémopathie lymphoïde B maligne avec coexistence d'une translocation t(14;18) et d'une translocation t(1;19) : un problème diagnostique    - Rozalska Laura  -  23 avril 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Il existe deux types d'hémopathies lymphoïdes B malignes : les leucémies aigües lymphoblastiques (LAL) caractérisées par la prolifération de cellules B immatures et les lymphomes, caractérisés par la prolifération clonale d'un lymphocyte B mature. Le diagnostic est le plus souvent aisé grâce aux données morphologiques, immunophénotypiques, cytogénétiques et moléculaires mais il existe de rares cas où le diagnostic entre ces deux entités s'avère délicat.

    Matériels et méthodes : Nous rapportons le cas d'une patiente de 69 ans présentant une hémopathie lymphoïde B maligne de phénotype mature avec coexistence de deux anomalies cytogénétiques récurrentes dans les hémopathies : une translocation t(1;19)(q23;p13) et une translocation t(14;18)(q32;q21). Les hypothèses diagnostiques évoquées sont : une LAL B de novo avec t(14;18) et t(1;19), une transformation lymphoblastique d'un lymphome folliculaire avec acquisition secondaire de la t(1;19) ou une transformation d'un lymphome folliculaire en lymphome B à grandes cellules.

    Résultats : Notre patiente présente une hémopathie lymphoïde dont la morphologie sanguine fait évoquer un lymphome, alors que la morphologie médullaire est davantage en faveur d'une LAL. Le caryotype montre la coexistence d'une anomalie cytogénétique associée aux LAL, la t(1;19)(q23;p13) et d'une anomalie associée aux lymphomes folliculaires ou aux lymphomes diffus à grandes cellules B, la t(14;18)(q32;q21). Un réarrangement IGH-BCL2 est retrouvé en hybridation in situ en fluorescence et en biologie moléculaire. En revanche, nous n'avons pas mis en évidence de réarrangement de TCF3-PBX1 (que ce soit en FISH ou en biologie moléculaire), classiquement retrouvé dans les LAL avec t(1;19). L'immunophénotypage met en évidence une lymphoprolifération B mature avec une expression d'une immunoglobuline cytoplasmique et de surface. Nous avons classé cette hémopathie en LAL B de phénotype mature (B-IV selon la classification EGIL). L'hypothèse principale retenue est donc celle d'une transformation lymphoblastique d'un lymphome folliculaire occulte.

    Conclusion : Ce cas d'hémopathie lymphoïde B maligne de morphologie blastoïde et de phénotype mature nous a posé un problème diagnostique. Les données cytologiques, immunophénotypiques, cytogénétiques et moléculaires ne nous ont pas permis de statuer de façon certaine entre une LAL B de phénotype mature ou un lymphome B de haut grade. A notre connaissance, seuls quatre cas d'hémopathie lymphoïde B maligne présentant ces deux translocations t(1;19) et t(14;18) de façon concomitante ont été décrits dans la littérature. Ce cas illustre la complexité du diagnostic des hémopathies lymphoïdes B malignes et la nécessité d'une collaboration pluridisciplinaire afin d'établir le diagnostic le plus fiable possible.

  • Évaluation d'une consultation de diagnostic rapide des cancers cutanés, une étude rétrospective monocentrique    - Lesbazeilles Romain  -  19 avril 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : En oncodermatologie, un diagnostic précoce conditionne le pronostic et assure une prise en charge simple. Alors que l'incidence des cancers cutanés ne cesse d'augmenter, l'effectif des dermatologues Français est en baisse constante. L'objectif de l'étude était d'évaluer l'intérêt d'une consultation de diagnostic rapide des cancers cutanés au CHU de Poitiers, en réponse aux demandes des médecins généralistes.

    Matériels et méthodes : Entre avril et septembre 2018, les patients adressés par un médecin généraliste pour une lésion suspecte et reçus à la consultation de diagnostic rapide ont été inclus. Les lettres des médecins généralistes étaient étudiées, ainsi que l'appréciation subjective du dermatologue lors de la lecture. La corrélation entre l'évaluation initiale et le diagnostic final a été analysée.

    Résultats : Au total, 209 patients ont été étudiés. Le délai moyen de programmation était de 47,8 jours. La durée d'évolution de la lésion n'était pas renseignée dans 199 (95,2%) cas. 67 lésions malignes ont été diagnostiquées, dont 6 mélanomes, 15 carcinomes épidermoïdes cutanés, 26 carcinomes basocellulaires. L'inquiétude ressentie par le dermatologue à la lecture de la lettre était significativement liée au diagnostic de malignité (p<0,001). La sensibilité de l'inquiétude ressentie à la lecture du courrier était de 91%. Les propositions diagnostiques des médecins généralistes étaient établies pour 66 (31,6%) patients et significativement liées au diagnostic de malignité (p<0,001).

    Discussion : La mise en place de cette consultation de diagnostic rapide a permis la prise en charge de nombreuses lésions malignes à un stade précoce. Les informations données par le médecin généraliste, même approximatives, permettent d'orienter correctement le dermatologue. Cette consultation semble être un bon outil complémentaire à ceux déjà mis en place pour répondre à la baisse de la démographie des dermatologues et à l'augmentation des délais de consultation en oncodermatologie. Notre étude confirme le rôle central du médecin généraliste, mais souligne également la nécessité d'une formation plus complète pour permettre une meilleure orientation des patients.

  • Identification de nouvelles variables de l'exploration fonctionnelle d'exercice pour le pronostic de survie des patients atteints de bronchopneumopathie chronique obstructive    - Courat Salomé  -  19 avril 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : L'Epreuve Fonctionnelle d'eXercice (EFX) chez les patients présentant une bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) génère de nombreuses données, dont la valeur pronostique reste à ce jour méconnue. L'objectif de cette étude est d'identifier de nouveaux indicateurs de survie recueillis lors de cet examen.

    Méthodes : L'étude a été réalisée chez les patients BPCO inclus dans la cohorte prospective REHAEFFORT et ayant réalisé une EFX incrémentale au CHU de Nantes. Un recueil exhaustif des paramètres de l'EFX a été effectué afin de tester leur impact sur la survie.

    Résultats : Parmi les 76 patient inclus dans l'étude entre 2011 et 2018, 14 sont décédés. Plusieurs paramètres de l'EFX ont été associés de façon significative à la mortalité, notamment la consommation d'oxygène (V'O2) spécifique (12mL/min/kg chez les patients décédés vs 15,6 chez les non décédés, p<0,0001), le pourcentage de V'O2 au premier seuil ventilatoire par rapport au V'O2 maximal théorique (V'O2(SV1)%V'O2th) (34% chez les patients décédés vs 41% chez les non décédés, p=0,0035), et la fréquence cardiaque au pic (109bpm chez les patients décédés vs 135bpm chez les non décédés, p<0,0001). Parmi ces variables, le V'O2(SV1)%V'O2th est la seule qui ait montré avoir un impact significatif sur la survie après ajustement sur l'âge, le sexe, l'insuffisance cardiaque et la prise d'un traitement bétabloquant ou autre chronotrope négatif associé (HR = 0,877, IC [0,778-0,989]).

    Conclusion : Le déconditionnement à l'effort, évalué par le V'O2(SV1)%V'O2th, semble avoir un impact pronostique majeur sur la survie chez les patients BPCO et pourrait même avoir une meilleure puissance pronostique que le V'O2 au pic.

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