Vous êtes ici : Accueil > Années de soutenance > 2018

2018

Les travaux soutenues en 2018

Pour être informé de la mise en ligne des nouveaux travaux correspondant à la recherche effectuée, abonnez-vous au flux RSS : rss

accès internet    accès intranet    pas d'accès
420 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 161 à 170
Tri :   Date travaux par page
  • Bénéfices de l'art-thérapie écriture et arts plastiques, en cabinet libéral, pour des adolescents souffrant de céphalées chroniques    - Noël Florence  -  11 septembre 2018

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Ce travail vise à évaluer la façon dont l'art-thérapie peut contribuer à améliorer la qualité de vie d'adolescents souffrant de céphalées chroniques. La détresse psychologique, ajoutée à la douleur physique, est parfois importante et les enjeux sont forts puisque ces adolescents sont en pleine transformation et construction de leur vie future. Ils sont parfois déscolarisés et/ou perdent confiance en leur capacité à faire face à leur douleur et à leurs obligations quotidiennes. Les émotions peuvent devenir difficiles à exprimer et, de fait, à réguler. Le repli sur soi et l'altération de l'estime de soi sont alors un véritable risque. Nous avons pris en soin, en cabinet privé, deux adolescentes souffrant de céphalées chroniques, avec retentissement sur leur scolarité. Nous nous sommes basés sur une méthodologie avec fixation d'objectifs art-thérapeutiques, utilisation d'outils de mesure et d'observation et auto-évaluations de leurs productions par les patients. Les résultats sont encourageants concernant les bénéfices de l'art-thérapie avec notamment : une amélioration de la confiance en soi et de l'estime de soi, une diminution de l'anxiété, une facilitation de l'expression, une affirmation des choix. Compte tenu des effets observés au niveau cognitivo-affectif, il nous semblerait intéressant à l'avenir d'étudier plus précisément la façon dont l'art-thérapie peut contribuer à la régulation des processus émotionnels.

  • Prise en charge des adénopathies cervicales malignes en apparence primitives : étude rétrospective multicentrique de 79 cas    - Tonnerre Denis  -  11 septembre 2018  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : Les métastases cervicales de cancer primitif inconnu (CUP) sont rares et leur prise en charge est mal codifiée. La prise en charge de cette pathologie repose sur une association de chirurgie, radiothérapie et ou de chimiothérapie. Le but de cette étude était de recenser les différents traitements réalisés devant un CUP cervical et d'évaluer leur efficacité.

    Matériels et méthodes : Il s'agissait d'une étude rétrospective multicentrique dans 11 Centres Hospitalo-Universitaires français incluant des patients présentant une volumineuse métastase ganglionnaire cervicale classée N2b (en conglomérat supérieur ou égale à 6 cm) ou N3 de carcinome épidermoïde de CUP de Juin 2007 à Juin 2016.

    Résultats : Au total, 79 patients ont été inclus. Cinquante-deux patients (66%) ont été traités par chirurgie première suivie d'une radiothérapie éventuellement potentialisée par une chimiothérapie, 11 patients (14%) ont été pris en charge par une chimiothérapie d'induction de type TPF (Docétaxel, Cisplatine et 5-Fluorouracile), 8 patients (10%) ont reçu une radio-chimiothérapie concomitante, 5 patients (6%) ont été traités par une radiothérapie exclusive et 3 patients (4%) ont reçu une polychimiothérapie. Le nombre de paralysie du XI était significativement plus important dans le groupe chirurgie première que dans les autres groupes (p=0,007). La survie globale, sans récidive ganglionnaire, sans métastase et sans maladie de l'ensemble de la population à 2 ans étaient respectivement de 54%, 74%, 66%, 54% et à 5 ans respectivement de 39,2%, 63%, 64% et 32%. La comparaison des groupe chirurgie première et chimiothérapie d'induction a retrouvé une supériorité du groupe chirurgie première en termes de survie globale (p=0,0042) et de survie sans récidive ganglionnaire (p=0,0016). Il n'y avait pas de différence significative en termes de survie sans métastase (p=0,44) et de survie sans maladie (p=0,31).

    Conclusion : La prise en charge thérapeutique des adénopathies cervicales métastatiques sans primitif retrouvé reste encore mal définie. Cette étude ne permet pas de conclure à la supériorité d'une thérapeutique par rapport à une autre. Des études prospectives randomisées devront être réalisées afin d'établir la meilleure stratégie thérapeutique devant cette pathologie.

  • Adaptation of MRI-DRAGON score for the early prediction of stroke outcome after mechanical thrombectomy    - Raynaud Nicolas  -  11 septembre 2018  - Thèse d'exercice


  • Assessment of chemical shift gradient echo in-phase and opposed-phase sequences in Magnetic Resonance Imaging for brain metastasis diagnosis    - Fauché Cédric  -  11 septembre 2018  - Thèse d'exercice


  • Les bibliothèques numériques patrimoniales entre conservation et valorisation : quelle-s médiation-s ?    - Demaret-Champagne Julie  -  11 septembre 2018


  • Automatisation du prêt et du retour de documents : quels changements à la médiathèque Puzzle ?    - Germain Tanguy  -  11 septembre 2018


  • Les pratiques professionnelles au sein d'un réseau documentaire    - Barillet Adeline  -  11 septembre 2018


  • L’art-thérapie pour des personnes âgées atteintes de troubles cognitifs de type Alzheimer et apparentés. Ateliers de peinture et d’écriture avec stimulations sensorielles au sein de l’unité protégée d’un Établissement pour Personnes Âgées Dépendantes    - Moreau-Géhin Lydie  -  11 septembre 2018

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    L’art-thérapie a été proposée dans une unité de vie protégée dans un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. Lors du stage dans cet établissement 5 personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou apparentée nous ont été confiées par le médecin coordinateur. La peinture, le collage et l’écriture ont été utilisés, associés à des stimulations sensorielles : odeurs et chants d’oiseaux.

    L’objectif (atteint) est de permettre un apaisement afin d’accéder à un mieux vivre dans l’institution. Nous avons constaté l’amélioration de la praxie, l’augmentation de la créativité et de l’estime de soi et surtout beaucoup de plaisir dans la création. Améliorer le relationnel et le bien-être dans les institutions est une aspiration à laquelle l’art-thérapie peut répondre pour le bienfait des résidents.

  • Devenir des enfants nés d’une mère psychotique : à propos d’études de cas au sein du Centre Hospitalier Psychiatrique Henri Laborit de Poitiers    - Plassart Anaïs  -  10 septembre 2018  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Les troubles psychotiques présents entre 0,5 et 2% de la population, sont caractérisés par au moins l’un des symptômes suivants : hallucinations, délires, comportements moteurs anormaux ou désorganisés, symptômes négatifs, pensées désorganisées. La prise en charge de ces troubles repose sur des traitements antipsychotiques, une psychothérapie et des séances d’électro-convulsivo-thérapie. Par ailleurs, il n’est pas rare que ces patients déclarent des comorbidités liées à la psychose, telles que d’autres troubles mentaux, des conduites addictives, des maladies somatiques, augmentant le risque de mortalité de ces sujets. Ces malades ont souvent aussi des conditions de vie précaires et malsaines (monoparentalité, précarité, violence, troubles alimentaires…). Par conséquent, être mère dans ces circonstances pourra engendrer : des comportements maltraitants (physique, psychologique, par négligence ou par carence) ; des toxicités médicamenteuses sur l’enfant pendant la grossesse et à la naissance ; des altérations, dès la grossesse, dans la construction des liens mère-enfant ; des abandons de l’enfant et des placements du fait des hospitalisations fréquentes et une majoration pour l’enfant de développer des troubles mentaux par la génétique maternelle. Dans ces conditions, l’enfant né d’une mère psychotique va présenter des troubles tout au long de ses phases développementales, c’est-à-dire toute sa vie. Il manifestera des troubles du comportement, des troubles du développement, des troubles fonctionnels, des troubles mentaux, des troubles émotionnels, un risque d’infanticide, ainsi que de la souffrance et des ressentis négatifs pouvant entrainer sa mort par suicide. Cependant, il existe des facteurs protecteurs pouvant diminuer la gravité ou la fréquence des troubles développés par l’enfant. Ce travail est notamment illustré par des cas bibliographiques et des cas cliniques, retrouvés au sein du centre hospitalier psychiatrique Henri Laborit de Poitiers.

  • Détection de l'hypophosphatasie chez l'adulte hospitalisé en rhumatologie et médecine interne : une étude multicentrique sur 10 ans    - Vix Justine  -  07 septembre 2018  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction: L'hypophosphatasie (HPP) est une maladie génétique rare causée par la mutation - perte de fonction du gène ALPL codant la phosphatase alcaline non spécifique des tissus (TNSALP). Il existe une forme modérée d'HPP chez l'adulte mais elle semble sous diagnostiquée. En effet, une augmentation de la phosphatase alcaline sérique (PAL) attire davantage l'attention des praticiens qu'une valeur faible, mais la diminution des PAL (hypophosphatasémie) devrait être mieux reconnue et devrait conduire à la recherche de l'HPP chez l'adulte.

    Méthodes: Nous avons réalisé une étude observationnelle, descriptive, rétrospective, multicentrique des patients hospitalisés dans les départements de rhumatologie et de médecine interne, entre 2007 et 2017 qui présentaient une baisse des PAL. Les patients ont été sélectionnés à partir des archives du département de biochimie des Hôpitaux Universitaires de Poitiers, Nantes, Brest, Angers et de Tours, en France. Les critères d'inclusion étaient l'âge de plus de 18 ans et la valeur basse des PAL dans le sérum (avec un minimum de 2 dosages de PAL ≤ 35 UI/l). L'objectif de cette étude rétrospective était de déterminer la prévalence de l'hypophosphatasémie et sa reconnaissance, condition préalable essentielle à la détection de l'HPP. Les objectifs secondaires étaient la caractérisation des deux populations de patients définies par la persistance ou non de l'hypophosphatasémie, la notification des signes cliniques ou radiographiques potentiellement liés à la HPP, l'évaluation des explorations complémentaires menées et la détermination du nombre de patients présentant une hypophosphatasie génétiquement prouvée.

    Résultats: 118 098 dosages de PAL ont été réalisés chez des patients hospitalisés sur cette période et 515 de ces patients présentaient au moins 2 PAL sériques diminuées ≤ 35 UI/l. 355 patients présentaient des valeurs faibles et fluctuantes (âge moyen de 64,5 ans; 203 femmes / 152 hommes) (liées à un traitement par bisphosphonates, un sepsis sévère, une insuffisance hépatique, etc.). Parmi ces 515 patients, 160 patients présentaient une hypophosphatasémie persistante (122 patients des services de rhumatologie et 38 des services de médecine interne ; âge moyen de 54,1 ans ; 107 femmes / 53 hommes). La valeur moyenne des PAL sériques était de 27,83 (4-35 UI / l) et de 28,23 UI / l (3-35 UI / l) pour chacun des 2 dosages requis. La diminution des PAL a été notifiée dans le rapport d'hospitalisation chez 20 patients seulement. Des antécédents de fracture étaient présents chez 41 patients (25,63%). Les plus fréquentes étaient celles des membres inférieurs chez 8 patients (métatarse, col du fémur…), les fractures multiples (9 patients) et les fractures vertébrales (16 patients). Une arthrite microcristalline ou une périarthrite calcifiante ont été notées chez 55 patients (34,38%). Parmi ces 160 patients, l'origine de cette hypophosphatasémie persistante n'était pas retrouvée chez 74 patients. Dans ce groupe, les patients étaient plus jeunes (âge moyen de 47,8 ans) et la valeur moyenne des PAL était plus basse (de 0,5 UI/l en moyenne). Les douleurs étaient plus fréquentes (94,6%). Une chondrocalcinose radiographique existait chez 9 patients (12,2 %), un dépôt d'apatite chez 13 patients (17,6%) et 4 patients (5,4%) avaient les deux atteintes. Les anomalies dentaires étaient plus fréquentes, rapportées chez 9 patients (9,46%). La prescription d'un traitement par bisphosphonates a été retrouvée chez 6 patients malgré l'existence de PAL basses avant traitement et en l'absence de dosage initial des PAL chez 17 patients. Les analyses génétiques ont été menées chez 15 patients et une mutation de l'ALPL a été observée chez 9 d'entre eux (5,63% des hypophosphatasémies persistantes).

    Conclusion: Dans cette étude rétrospective sur 10 ans, nous avons constaté que 0,135% des patients adultes hospitalisés en rhumatologie et en médecine interne présentaient une baisse persistante des PAL et parmi eux 5,63% avaient une hypophosphatasie génétiquement prouvée. Les médecins doivent être sensibilisés à l'importance de rechercher une HPP en cas de fractures récurrentes, de douleurs musculo-squelettiques, de chondrocalcinose, d'anomalies dentaires et ne surtout pas prescrire de traitements anti-résorbeurs dans ce contexte.

|< << 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 >> >| travaux par page

Haut de page


affiche de communication sur le dépôt des travaux d'étudiants : 215, c'est le nombre de fois où le réveil a sonné trop tôt cette année pour travailler sur mon mémoire. Franchement j'aimerai ne pas être le seul à l'avoir lu ! / Lionel Bernardin / idsworks.com
  • Avec le service Ubib.fr, posez votre question par chat à un bibliothécaire dans la fenêtre ci-dessous ou par messagerie électronique 7j/7 - 24h/24h, une réponse vous sera adressée sous 48h.
    Accédez au formulaire...

 

Université de Poitiers - 15, rue de l'Hôtel Dieu - 86034 POITIERS Cedex - France - Tél : (33) (0)5 49 45 30 00 - Fax : (33) (0)5 49 45 30 50
petille@support.univ-poitiers.fr - Crédits et mentions légales