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Levesque Jean-Louis

Les travaux encadrés par "Levesque Jean-Louis"

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  • État des pratiques des médecins généralistes de Charente concernant l'éducation à la santé de leurs patients adolescents en matière de prévention sexuelle    - Puchau Anne-claire  -  12 janvier 2016  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Les taux d'IST (infection sexuellement transmissible) et d'IVG (interruption volontaire de grossesse) chez les adolescents sont élevés mais stables depuis plusieurs années ce qui est un vrai enjeu de santé publique. Le médecin généraliste est le premier interlocuteur médical des adolescents et ils en ont une bonne opinion. Une consultation uniquement dédiée à l'éducation à la santé en matière de prévention sexuelle réalisée par les médecins généralistes pourrait essayer de sensibiliser cette population et ainsi diminuer les taux d'IVG et d'IST.

    Matériel et méthode : Un questionnaire visant à étudier l'état des pratiques des médecins concernant la prévention sexuelle de leurs patients adolescents a été envoyé aux 259 médecins généralistes de Charente.

    Résultats : Les médecins ayant une activité gynécologique fréquente sont plus sensibilisés à la prévention sexuelle et ont déjà réalisé pour 72 % d'entre eux des consultations uniquement dédiées à la prévention. La prévention de la grossesse et du cancer du col de l'utérus sont bien expliquées par respectivement 92% et 83% des sondés. Cependant, la prévention concernant les infections sexuellement transmissibles est moins systématique mais il existe un vrai manque d'éducation concernant l'existence de la contraception d'urgence, du planning familial et du centre de dépistage anonyme et gratuit (CDAG).

    Discussion : Une consultation uniquement dédiée à l'éducation à la santé est bien perçue par les sondés. Celle-ci devra être obligatoire, longue, avec ou sans les parents selon les adolescents, et aborder certains points-clés (prévention de la grossesse, des IST, du cancer du col de l'utérus ; existence du CDAG et du planning familial). Cette étude a aussi permis de sensibiliser les médecins.

    Conclusion : Une consultation réalisée par le médecin généraliste uniquement dédiée à l'éducation à la santé sexuelle permettrait d'aborder au moins une fois des points importants en matière de prévention et ainsi espérer une baisse des taux élevés d'IVG et d'IST chez les adolescents.

  • Les patients de plus de soixante-cinq ans et la connaissance de leur traitement en médecine générale, conséquences sur la iatrogénie ?    - Franchaud Marion  -  02 avril 2015  - Thèse d'exercice

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    Contexte : la iatrogénie est un problème majeur de santé publique. Nous constatons fréquemment les lacunes de nos patients en ce qui concerne leur connaissance à propos de leur traitement. Peu d'études se sont intéressées aux connaissances qu'ont les patients de leur traitement dans le domaine de la médecine générale.

    Objectif : l'objectif principal était d'évaluer les connaissances des patients de plus de 75 ans, ou de plus de 65 ans et poly pathologiques, à propos de leur traitement habituel dans le domaine de la médecine générale, et également à propos de la surveillance liée à la prise du traitement et aux situations à risque devant conduire à consulter. Puis nous nous sommes interrogés sur l'existence d'une corrélation entre le manque de connaissance du traitement et la survenue d'un accident iatrogène.

    Méthodologie : un questionnaire à réponses ouvertes et fermées a été remis aux patients. Ils consultaient dans des cabinets de médecine générale ou étaient vus à leur domicile.

    Résultats : les patients ayant un antécédent d'accident iatrogène ont une moins bonne connaissance de leur traitement habituel. Ces patients connaissent 40.8 % des indications de leur traitement, alors que les autres patients en connaissent 53.6 % (p = 0.0206). Concernant le rappel du nom des médicaments, les patients avec un antécédent d'accident iatrogène en connaissent 33.2 %, alors que les autres en retrouvent 49 % (p = 0.0139). 81.6 % ne connaissent pas les situations à risque dans lesquelles leur traitement devrait être révisé. La connaissance du traitement est influencée par six facteurs : l'âge, la présence d'aides au domicile, la nécessité de l'aide de la famille ou d'une infirmière pour la prise du traitement, le nombre de médicaments et la fréquence de renouvellement.

    Discussion : les résultats de notre étude sont préoccupants. Ils mettent en lumière le manque d'information délivrée au patient. Le développement de programmes d'éducation thérapeutique, centrés sur le traitement chronique et adaptés aux personnes âgées, permettrait de diminuer le nombre d'accidents iatrogéniques.

  • Quel est l'état des connaissances des patients d'un praticien accueillant un interne en médecine générale en stage ambulatoire de premier niveau sur le rôle de l'interne, son niveau d'étude et son statut ?    - Macault Camille  -  22 janvier 2015  - Thèse d'exercice


  • Coliques du nourrisson : croyances et ressentis des médecins généralistes charentais    - Sautereau Sarha  -  12 décembre 2014  - Thèse d'exercice

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    Objectif : Les coliques du nourrisson affectent 8 à 33% des enfants et ce diagnostic est évoqué en consultation de médecine générale dans 20% des cas. Face à une même plainte, diverses explications sont données. Il paraissait donc intéressant de rechercher quels sont les ressentis et les croyances des médecins généralistes sur ce sujet.

    Méthodes : Étude qualitative par focus groups auprès de 21 médecins généralistes charentais recrutés par mail ou appels téléphoniques. Les entretiens ont été intégralement retranscrits à partir des verbatims. L'analyse des verbatims a été réalisée grâce à une théorisation ancrée.

    Résultats : Le diagnostic de « coliques du nourrisson », évoqué lors d'une consultation par les parents, n'est en général pas donné par les médecins généralistes , ceux-ci préférant les termes « pleurs du nourrisson ». La plupart de leurs représentations font tout de même partie de la sphère digestive (examen physique centré sur l'abdomen, explications d'une immaturité du système digestif…). Une origine plurifactorielle semble faire l'unanimité, niveaux socio-économiques élevés, troubles du sommeil, stress parental, immaturité du système digestif, préparation et prise des biberons. Leur prise en charge repose essentiellement sur une démarche d'écoute, de soutien et d'accompagnement des parents face aux pleurs inexpliqués, les médecins généralistes ne prescrivant plus de traitement en première intention. Les conseils donnés sont d'avoir une attitude rassurante, de s'occuper de l'enfant tout en évitant une stimulation trop importante et de le confier à d'autres personnes si besoin.

    Conclusion : Malgré des croyances et ressentis différents, de par leurs expériences, les médecins généraliste s'inscrivent, face à ce diagnostic bénin et passager, dans une démarche d'écoute et de réassurance des parents afin de les conforter dans leurs rôles et d'éviter l'installation d'un épuisement parental.

  • Facteurs déterminant le projet de suivi des nourrissons par un médecin généraliste ou par un pédiatre : enquête auprès de femmes hospitalisées en maternité en Charente    - Merrant Amandine  -  14 octobre 2014  - Thèse d'exercice

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    But : Evaluer les facteurs déterminant le projet de suivi d'un nourrisson par un pédiatre ou un médecin généraliste, en fonction du suivi pour les vaccinations, les visites obligatoires et la pathologie courante.

    Patientes et méthodes : Etude quantitative transversale sur 366 femmes hospitalisées en maternité , prospective au cours du dernier trimestre de l'année 2012, multicentrique dans les trois maternités de Charente, interrogées au travers d'un auto-questionnaire anonyme.

    Résultats : Il existe des facteurs déterminants objectifs : la proximité du centre de suivi de la grossesse (p<0,05), le mode d'exercice de l'obstétricien ainsi que le praticien ayant effectué le suivi de la grossesse ,si le généraliste suit les autres enfants de la famille (p<0,001), ou bien si la mère était elle-même suivie par un pédiatre (p<0,05). Les facteurs déterminants subjectifs sont le relationnel (70 à 80%), la disponibilité et la proximité du praticien (70 à 75%), sa compétence en pédiatrie (70%) et enfin sa réputation (60%).

    Conclusion : Les facteurs déterminant le choix des parents sont essentiellement des facteurs subjectifs et la taille de l'échantillon non représentative de la population générale ne permet pas d'extrapoler ses résultats à plus grande échelle.

  • Pratique de la vaccination anti-méningococcique C par les médecins généralistes en Charente en 2014    - Racapé Anne  -  11 septembre 2014  - Thèse d'exercice

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    Le médecin généraliste est l'un des principaux acteurs de la mise en pratique des vaccinations, véritable enjeu de santé publique.

    La vaccination anti-méningococcique C a intégré le calendrier vaccinal français en 2010. Le schéma à 1 dose à l'âge de 12 mois, avec rattrapage jusqu'à 24 ans, a été retenu après un long travail du CTV et du CSHPF. Quatre raisons principales ont motivé cette intégration au calendrier vaccinal : l'incidence des IIMC en France, l'émergence de souches virulentes depuis quelques années, l'existence de vaccins sûrs et efficaces, et l'exemple positif de la vaccination de masse dans différents pays européens.

    Dans l'enquête menée en Charente, et basée sur un questionnaire anonyme diffusé par voie postale, 75 réponses ont été obtenues (45 non-réponses), sur un total de 269 médecins généralistes correspondant aux critères de l'étude.

    Les buts de cette étude étaient d'évaluer la connaissance et la mise en pratique de cette nouvelle recommandation concernant la vaccination anti-méningococcique C.

    Le taux de réponse au questionnaire était de 62,5%. Le sex ratio H/F était de 1,68, et l'âge moyen des médecins interrogés était de 52,7 ans. 94,7% des praticiens interrogés déclaraient connaître la nouvelle recommandation, les deux modes d'information les plus fréquents étant la presse médicale (41,3%) et la lecture du Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire (33,3%). 62,7% des médecins déclaraient proposer systématiquement la vaccination aux enfants de 1 an, et 65,7% proposaient systématiquement le rattrapage pour les patients de 2 à 24 ans. Parmi les 37,3% de médecins déclarant ne pas proposer systématiquement la vaccination, 50% invoquaient le trop grand nombre de vaccins dans la petite enfance pour les nourrissons, et l'oubli pour le rattrapage à 65,4%. 58,7% des médecins rapportaient des réticences de leurs patients vis-à-vis de la vaccination, 21,3% des médecins considérant eux-même le vaccin comme peu utile.

    Cette enquête montre que les nouvelles recommandations de la vaccination anti-méningococcique C sont largement connues en Charente. La couverture vaccinale reste cependant insuffisante pour atteindre les objectifs de l'HAS, la Charente se plaçant au niveau de couverture national, à savoir 60%, contre les 80% attendus. Les réticences de la patientèle et l'oubli de proposition systématique semblent être les deux freins principaux à l'obtention de la couverture vaccinale attendue. Une meilleure formation médicale auprès des médecins généralistes, principaux acteurs de santé dans la vaccination de masse, semble être nécessaire afin de les sensibiliser aux enjeux de cette vaccination, et d'améliorer l'adhésion de la population à cette nouvelle recommandation.

  • La prise en charge, notamment thérapeutique, des patients insuffisants cardiaques chroniques en médecine générale est-elle en adéquation avec les recommandations actuelles ?    - Bracchetti Julien  -  16 avril 2014  - Thèse d'exercice

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    Introduction: L'insuffisance cardiaque est une pathologie complexe. Elle est l'aboutissement de nombreuses maladies différentes et souvent grevée de lourdes co-morbidités. Sa prise en charge diagnostique et thérapeutique est difficile. Les recommandations sont régulièrement réactualisées et diffusées, mais cela n'est pas suffisamment retrouvé dans la pratique quotidienne.

    Objectifs : L'objectif principal de cette étude était de connaître la proportion des patients insuffisants cardiaques chroniques dont le traitement comprend les molécules qui ont fait leur preuve en termes de morbi-mortalité.

    Matériels et méthodes : Nous avons réalisé une étude observationnelle transversale descriptive par questionnaire électronique auprès de médecins généralistes de Charente.

    Résultats : 10 % des médecins généralistes installés en ville ont répondu à notre étude. 137 patients ont été inclus, l'âge moyen de ces patients était de 79 ans. La proportion de femmes était de 36 %. 51 % des patients de notre étude avaient dans leur traitement un IEC, 25 % un ARAII, 53 % un bêta-bloquant, 19 % un anti-aldostérone et 80 % un diurétique de l'anse. Parmi ces patients, 40 % bénéficiaient d'une double association IEC ou ARAII + bêta-bloquant et 6,7 % une triple association IEC ou ARAII + bêta-bloquant + anti-aldostérone. Les patients de 50 à 59 ans étaient 71,5 % à prendre une double association IEC ou ARAII + bêta-bloquant et 28,5 % un anti-aldostérone. Les patients de 90 ans ou plus étaient 29 % à prendre une double association IEC ou ARAII + bêtabloquant et 12,5 % un anti-aldostérone. Les patients de 90 ans ou plus étaient 25 % à n'avoir dans leur traitement aucune des molécules recommandées.

    Conclusion : Les molécules recommandées en termes de morbi-mortalité dans l'insuffisance cardiaque chronique sont insuffisamment prescrites en médecine générale. L'insuffisance cardiaque est un problème majeur de santé publique, il faut encourager la formation des médecins généralistes sur ce sujet. Il serait intéressant de savoir quelles sont les réticences des médecins généralistes à prescrire les traitements recommandés, particulièrement chez les personnes âgées.

  • État des lieux des IVG en Charente en 2013 : quelles sont les causes des grossesses non prévues ? Place du médecin généraliste    - Marboeuf Quentin  -  16 décembre 2013  - Thèse d'exercice

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    Les IVG constituent un problème majeur de santé publique en France. Leur chiffre est stable à 220 000 IVG par an en France métropolitaine depuis une dizaine d'années. Il existe aujourd'hui en France, un paradoxe contraceptif, la couverture contraceptive étant l'une des plus élevées au monde alors que le nombre d'IVG, dernier recours en cas d'échec de contraception, reste stable à un chiffre relativement élevé. Ce phénomène s'explique notamment par une augmentation du recours à l'IVG en cas de grossesse non prévue.

    Les causes des grossesses non prévues conduisant à l'IVG dans notre étude sont similaires à celles des grandes études nationales conduites sur le sujet. 33 % des femmes rapportent aucune contraception, 23 % des femmes rapportent un échec de la contraception orale, 20 % rapportent un échec du préservatif et 15 % une méthode naturelle.

    Le manque d'information est mentionné par 33% des femmes en ce qui concerne les avantages et les inconvénients des contraceptifs et par 25 % des femmes en ce qui concerne les consignes à appliquer en cas d'oubli et les différents contraceptifs existants.

    Les moyens à mettre en oeuvre pour tenter de réduire la part des IVG « évitables » et pour améliorer la contraception des femmes sont donc une amélioration de la qualité de l'information apportée en matière de sexualité et de contraception. De proposer une double contraception chez les jeunes et d'améliorer l'utilisation de la contraception d'urgence.

    Le médecin généraliste occupe une place principale dans ce dispositif de prévention des grossesses non prévues et de contraception car il est le premier interlocuteur des patientes dans le parcours de soins coordonnées.

    Deux axes de recherches pourraient être mis en place. Un premier, étudiant la satisfaction et le vécu des patientes lors de la prise en charge de l'IVG. Un second, recherchant la place de l'ambivalence vis-à-vis du désir de grossesse parmi les causes de grossesses non prévues donnant lieu à une IVG.

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