Vous êtes ici : Accueil > Directeurs de travaux > Frouin Eric > Frouin Éric

Frouin Éric

Les travaux encadrés par "Frouin Éric"

Pour être informé de la mise en ligne des nouveaux travaux correspondant à la recherche effectuée, abonnez-vous au flux RSS : rss

accès internet    accès intranet    pas d'accès
7 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1 à 7
Tri :   Date travaux par page
  • Hernies graisseuses sous-conjonctivales, aspects cliniques et anatomopathologiques, série rétrospective de 33 cas    - Pierron Hugo  -  29 avril 2021  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : la hernie graisseuse sous-conjonctivale (HOF) est une entité rare, mal connue, représentant pourtant 2% des lésions de l'orbite. Elle est souvent prise pour un lipome à cellules pléomorphes du fait de similitudes histologiques. Le but de notre travail était de décrire les caractéristiques cliniques et anatomopathologiques des hernies graisseuses sous-conjonctivales et de tenter d'en préciser l'histogénèse.

    Matériel et méthode : nous avons mené une étude rétrospective descriptive, multicentrique, à partir d'un appel à cas de lésion adipeuse orbitaire auprès de pathologistes spécialisés en ophtalmopathologie. Chaque cas a été relu par 2 pathologistes et seuls les cas de hernie graisseuse ont été conservés. La réalisation d'une imagerie préopératoire et sa conclusion étaient relevées. Une étude histologique et immunohistochimique à l'aide des anticorps anti-HMGA2, MDM2, RB, CD34, CD68, KI67 ont été réalisées.

    Résultats : trente-trois lésions ont été incluses, issues de 27 hommes et 6 femmes (sex-ratio de 4,5/1) avec un âge médian de 73 ans. Les patients étaient en surpoids ou obèses (76%), hypertendus (50%), avec une hypercholestérolémie (35%), un diabète (32%) ou moins fréquemment un syndrome d'apnée du sommeil (SOAS ; 15%). Les lésions étaient très majoritairement situées dans le quadrant supéro-externe (85%) et 30% étaient bilatérales. Les patients décrivaient des symptômes dans 48% des cas, principalement un proptosis (17%) Une imagerie était réalisée dans 56% des cas. Histologiquement 23 lésions avaient un aspect typique, 10 avaient un aspect non typique, toutes avaient des cellules de Lochkern et 75% avaient des cellules fleurettes. Il n'y avait pas de trousseau de collagène malformé, de nécrose, de mitose ou de cellule hyperchromatique. HMGA2 et MDM2 étaient négatifs dans 92% et 100% des cas respectivement. On observait une perte de RB dans les cellules fleurettes dans 80% des cas alors que 92% des cellules de Lochkern exprimaient ce marqueur. Le CD34 était positif dans 100% des cellules fleurettes et négatif dans les cellules de Lochkern. En analyse statistique, les hernies graisseuses bilatérales avaient une présentation clinique caractéristique et un aspect histologique typique.

    Conclusion : notre étude a confirmé les données de la littérature sur le tableau clinique et souligné la fréquence des symptômes, l'association possible à un SAOS et le recours fréquent à une imagerie en pré-opératoire. Nous avons utilisé l'immunohistochimie et écarté l'hypothèse d'un lipome conventionnel ou d'un liposarcome, sans pouvoir affirmer qu'il ne s'agissait pas de lipomes à cellules pléomorphes. La biologie moléculaire et notamment la CGH array pourraient permettre de répondre à cette question.

  • Correlation between radiologic and pathologic findings of 11 subconjunctival orbital fat prolapses    - Benois Axelle  -  26 octobre 2020  - Thèse d'exercice


  • Quelle est la place des tumeurs sébacées pour le dépistage du syndrome de Muir-Torre, quels sont les outils pour mieux différencier les tumeurs bénignes des tumeurs malignes et quelles sont les cibles théranostiques pour le futur ? : analyse d'une cohorte de 108 tumeurs par TMA    - Sinson Hélinie  -  19 avril 2019  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Contexte : L'adénome sébacé, le sébacéome et le carcinome sébacé sont fréquemment associés au syndrome de Muir-Torre (SMT), variant phénotypique du syndrome de Lynch. La place de l'immunohistochimie (IHC) des protéines MisMatchRepair (MMR) pour le dépistage reste à préciser. D'autre part, classer ces entités entre lésions bénignes et malignes peut relever d'un challenge diagnostique. Enfin, les marqueurs théranostiques dans ces lésions ont été peu étudiés. L'objectif principal de ce travail était d'évaluer la prévalence de la perte d'expression en immunohistochimie d'une ou plusieurs protéines MMR dans les tumeurs sébacées. Les objectifs secondaires étaient d'évaluer des marqueurs d'agressivité et d'identifier de potentielles cibles théranostiques.

    Matériels : Cent-huit tumeurs sébacées correspondant à 55 adénomes sébacés, 34 sébacéomes, 7 carcinomes sébacés et 12 tumeurs sébacées inclassables ont été regroupées sur TMA afin d'évaluer l'expression de marqueurs orientant vers un SMT (MSH2, MSH6, MLH1, PMS2, BRAF et Ber-EP4), de marqueurs d'agressivité (p53, p16, PHH3 et Ki67) et de marqueurs théranostiques (EGFR, HER2, cMET, ALK et ROS1). Les résultats ont été comparés aux données cliniques.

    Résultats : La prévalence de la perte d'expression d'au moins une protéine MMR était de 66,7%, dont 70% en MSH2/MSH6, 18,6% en MLH1/PMS2 et 8,6% pour MSH6 seule. Notre étude a souligné une concordance parfaite entre l'IHC et le gène muté pour tous les patients avec un SL/SMT connu. A l'inverse, 19,4% avec des antécédents de cancer profond et un phénotype MMR déficient n'avaient pas eu de dépistage du SL/SMT. Les tumeurs sébacées étaient fréquentes chez les patients greffés d'organe et ces tumeurs avaient un phénotype MMR déficient. La p53 et le Ki67 étaient plus élevés dans les carcinomes sébacés, et semblaient être des outils intéressants pour différencier les lésions bénignes des lésions malignes, la p16 et PHH3 semblaient moins utiles. Concernant les cibles théranostiques, aucune tumeur n'exprimait ALK, tandis que plus de 95% des tumeurs exprimaient EGFR. Un marquage équivoque a été observé pour HER2 dans 14,3% des tumeurs, tandis que cMET n'était positif que dans 3,9% des tumeurs. ROS1 était positif dans presque toutes les tumeurs, soulignant les sébocytes matures.

    Conclusion : Les protéines MMR sont un outil utile pour le dépistage d'un SMT/SL à partir d'une tumeur sébacée. La p53 et le Ki67 sont intéressants pour différencier les tumeurs bénignes et malignes. Parmi les marqueurs théranostiques testés, EGFR apparaît comme une piste intéressante, tandis que la positivité constante de ROS1 pourrait être utile pour le diagnostic positif d'une tumeur sébacée. Des analyses moléculaires complémentaires (instabilité des microsatellites, analyse mutationnelle et hybridation in situ) pourront permettre de mieux conclure.

  • Mesure des marges histologiques d'exérèse des carcinomes basocellulaires : enquête des pratiques auprès des pathologistes français    - Rimbert Johan  -  14 septembre 2018  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : Le carcinome basocellulaire (CBC) est le cancer le plus fréquent dans les pays occidentaux, en particulier en France, avec un risque élevé de récidive locale. Une mesure quantifiée des marges histologiques d’exérèse des CBC est une demande récurrente de la part des cliniciens. Cependant, il n’existe aucune recommandation ni consensus international mentionnant clairement l’intérêt d’une telle mesure. Afin de mieux connaître l’importance de cette pratique, nous avons réalisé une enquête sur la mesure histologique des marges dans les CBC auprès de pathologistes français.

    Matériels et méthode : Une enquête de pratique a été élaborée sous forme d’un questionnaire. Il a été validé par 4 experts en dermatopathologie et a été réalisé sous une interface de type "Google Forms". Le lien vers l'enquête a été envoyé par courriel aux médecins spécialistes en anatomie pathologique ou en dermatopathologie, exerçant en France entre le 20 mars et le 20 mai 2018. Les résultats ont été comparés entre sous-groupes d'âge, selon le type de pratique (publique, privée ou mixte) et la spécialisation en dermatopathologie.

    Résultats : Le questionnaire a été rempli par 225 praticiens. Les marges microscopiques étaient systématiquement mesurées dans 77,3% des cas, dans certains cas seulement dans 19,6% et jamais dans 3,1% des cas. La principale raison de cette mesure était de signaler des marges insuffisantes (66,5%), du fait d’habitudes de laboratoire (45%) ou à la demande des cliniciens (43,1%). Pour 72% des répondants, les critères cliniques ou histopathologiques n'influaient pas sur leur pratique. Plus en détail, 58,7% des pathologistes ont utilisé une mesure quantitative exacte dans leur compte-rendu, 3,7% ont utilisé une information qualitative telle que «marge proche» et 37,6% ont utilisé les deux approches. L'outil le plus utilisé était la règle graduée placée sous le microscope (44,3%). Les dermatopathologistes mesuraient de manière moins systématique tous les CBC ou ne les mesuraient pas, utilisaient davantage l’oculaire micrométrique et des informations qualitatives dans leur compte-rendu.

    Conclusion : La mesure des marges histologiques des CBC est une pratique courante en France, bien qu’il n’y ait pas de recommandations à cela. Notre enquête a souligné que cela représente pour les pathologistes un moyen de préciser une marge insuffisante et la nécessité d’une reprise chirurgicale. Pour standardiser les pratiques et donc les conséquences pour la prise en charge des patients, une meilleure option pourrait être la détermination de seuils de marge basés sur des critères cliniques et histologiques, en dessous desquels les pathologistes utiliseraient le terme «R1» ou «exérèse complète avec marges insuffisantes», même si l'exérèse est complète, afin qu’un traitement complémentaire puisse être proposé au patients.

  • Déficit de consultation en oncogénétique pour le dépistage du syndrome de Lynch dans la région Poitou-Charentes : une analyse des pratiques à l'aide d'un formulaire de type Connaissances - Attitude – Pratique    - Chanet Marie  -  26 juin 2017  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : Le syndrome de Lynch (SL), maladie autosomique dominante prédisposant à de nombreux cancers est reconnue depuis plus d'un siècle. De multiples études font état d'un diagnostic encore sous optimal. Nous avons d'abord voulu démontrer la réalité du déficit en consultation d'oncogénétique dans ce cadre dans la région Poitou-Charentes. Puis nous avons tenté d'appréhender la responsabilité médicale dans le sous diagnostic du SL.

    Méthode : Nous avons appliqué les critères d'éligibilités à la consultation d'oncogénétique proposés par l'INCa, à l'ensemble des patients ayant eu un test d'instabilité des microsatellites sur la plateforme de cancérologie biologique du CHU de Poitiers de 2012 à 2014, et avons vérifié si les patients suspects en avaient bénéficié. Ensuite, à l'aide d'un questionnaire de type CAP (Connaissance, Adaptation et Pratique), nous avons évalué les connaissances et pratiques des médecins spécialistes de la région dans le cadre du SL.

    Résultat : 69 patients étaient éligibles à une consultation génétique. 30 l'ont eu dont 11 porteurs du SL. Sur 324 médecins sollicités, 48 ont rempli le questionnaire. 4 (9%) avaient une parfaite connaissance des critères devant amener à la réalisation des tests de dépistages. 30 (63%) savaient interpréter leurs résultats. Au total, 3 praticiens seulement (6%) n'ont fait aucune erreur.

    Discussion : Il existe un important sous diagnostic du SL dans la région Poitou-Charentes. Une responsabilité médicale est indéniable avec un manque de connaissances portant sur le pré-analytique (sélection des patients) comme le post-analytique (interprétation des tests de dépistages). Une dissolution des responsabilités était également objectivée. Plusieurs solutions, issues de la littérature internationale, peuvent être proposées : dépistage universel, signalisation des cas suspects par les laboratoires et implication des conseillers en génétique.

  • Implication de TRAP1 dans le mélanome cutané primitif    - Boutin Damien  -  05 octobre 2016  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : Récemment, de nouveaux traitements ont révolutionné le paysage thérapeutique du mélanome métastatique. Cependant, les rechutes et les non-répondeurs restent encore trop fréquents. Tumor necrosis factor receptor-associated protein 1 (TRAP1) est une molécule chaperonne de la famille des HSP90 qui joue un rôle anti-apoptotique, pro-prolifératif et de maintien de l'homéostasie cellulaire au sein de nombreux cancers. Depuis peu, un traitement anti-TRAP1, le Gamitrinib, a montré son efficacité sur des cellules tumorales in vitro et in vivo. Nous avons voulu caractériser l'implication de TRAP1 dans le mélanome cutané primitif.

    Matériels et méthodes : Nous avons réalisé une étude rétrospective sur des cas de mélanomes cutanés primitifs diagnostiqués au CHU de Poitiers. L'expression de TRAP1 a été évaluée en immunohistochimie sur plusieurs fragments de chaque tumeur en utilisant la technique de TMA (Tissue MicroArray). L'intensité du marquage de TRAP1 a été classée en absent ou faible (score 0) et modéré à fort (score 1). Les données cliniques et histologiques de chaque patient ont été répertoriées. La corrélation entre l'expression de TRAP1 et différents critères pronostiques ainsi que la survie globale et sans récidive, a été analysée en uni- et multivarié.

    Résultats : Une série de 183 cas de mélanomes cutanés primitifs a été étudiée. TRAP1 était surexprimé dans 83 cas (45,4%) et corrélé à un indice de Breslow élevé (p<0.001), à la présence d'une ulcération (p<0.001), à un index mitotique élevé (p<0.001) et à un stade AJCC avancé (p<0.001). L'intensité du marquage de TRAP1 était également associée à la survie sans récidive (p<0.001) et à la survie globale (p=0.002). Lorsque le compte mitotique était supérieur à 1/mm², l'analyse multivariée montrait une tendance de survie sans récidive plus courte lorsque TRAP1 était surexprimé (p=0.06). Enfin, dans un sous-groupe de patients pour lesquelles la recherche de mutations BRAF avait été réalisée, il n'était pas retrouvé de lien entre TRAP1 et mélanome muté BRAF.

    Discussion : TRAP1 est un biomarqueur intéressant, significativement surexprimé dans les mélanomes cutanés primitifs invasifs et corrélé à de nombreux critères pronostiques comme l'indice de Breslow, l'ulcération et le compte mitotique. Au regard de sa biologie, de sa corrélation avec un stade AJCC avancé et une survie globale et sans récidive plus courte, TRAP1 pourrait être une cible thérapeutique intéressante dans le mélanome métastatique. L'évaluation de TRAP1 par immunohistochimie semble être une technique simple et fiable et pourrait être proposée avant la prescription d'un anti-TRAP1 comme le Gamitrinib.

  • Incidence et sévérité de l'atteinte rénale au cours des vascularites leucocytoclasiques à dépôts d'IgA : une étude rétrospective de 2000 à 2014 sur 269 patients    - Duboys Stéphanie  -  27 octobre 2015  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : Le rôle pronostique des dépôts vasculaires d'immunoglobulines observés en immunofluorescence directe (IFD) au cours des vascularites leucocytoclasiques (LCV) reste mal compris. Les dépôts d'immunoglobuline A (IgA) pourraient être prédictifs d'une atteinte rénale. Afin de déterminer le lien entre ces dépôts et une atteinte systémique dans les LCV, nous avons réalisé une étude rétrospective sur tous les cas de LCV confirmés histologiquement entre 2000 et 2014.

    Matériel et Méthodes : Dans un premier temps, nous avons comparé les patients avec une IFD positive avec les patients avec une IFD négative, puis les patients avec des dépôts d'IgA avec dans un premier temps ceux ayant une IFD positive mais sans dépôts d'IgA puis avec tous les autres patients. Les patients avec un diagnostic de purpura rhumatoïde retenu selon les critères EULAR et CHCC ont été comparés avec ceux atteints de LCV avec dépôts d'IgA mais ne suivant pas ces critères. Enfin, les cas avec une IFD négative ont été analysés et comparés avec ceux ayant une IFD positive mais sans IgA.

    Résultats : Parmi les 753 cas répertoriés de LCV, 269 avaient eu une IFD et nous disposions de leurs données cliniques: 209 (77,7%) avaient une IFD positive et 135 (64,6%) avaient des dépôts d'IgA. Parmi ces derniers, 50 avaient un purpura rhumatoïde. La présence de dépôts d'IgA était significativement associée à un âge plus jeune (p=0.03), à un épisode récent d'infection (p=0,03). Ces patients avaient plus d'atteinte rénale (p=0.021), avec plus d'hématurie (p=0,039), alors que la survenue d'une insuffisance rénale était similaire dans les groupes. La présence d'IgM n'avait pas impact sur l'atteinte rénale. Les sous-groupes de patients avec un purpura rhumatoïde et ceux avec uniquement une LCV avec dépôts d'IgA étaient similaires, y compris concernant l'atteinte rénale. Enfin, les cas avec une IFD négative étaient comparables aux patients avec des dépôts d'IgA, mais avaient moins d'atteinte rénale.

    Conclusion : Notre étude montre que les patients ayant une LCV et des dépôts vasculaires d'IgA ont une vascularite plus sévère, avec une atteinte rénale plus fréquente. L'IFD devrait donc être systématiquement réalisée devant toute suspicion clinique de LCV. Nos résultats suggèrent aussi que le purpura rhumatoïde et la LCV à IgA correspondent à la même entité.

|< << 1 >> >| travaux par page

Haut de page


affiche de communication sur le dépôt des travaux d'étudiants : 215, c'est le nombre de fois où le réveil a sonné trop tôt cette année pour travailler sur mon mémoire. Franchement j'aimerai ne pas être le seul à l'avoir lu ! / Lionel Bernardin / idsworks.com
  • Avec le service Ubib.fr, posez votre question par chat à un bibliothécaire dans la fenêtre ci-dessous ou par messagerie électronique 7j/7 - 24h/24h, une réponse vous sera adressée sous 48h.
    Accédez au formulaire...

 
 

Université de Poitiers - 15, rue de l'Hôtel Dieu - 86034 POITIERS Cedex - France - Tél : (33) (0)5 49 45 30 00 - Fax : (33) (0)5 49 45 30 50
petille@support.univ-poitiers.fr - Crédits et mentions légales