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Durivault Serge

Les travaux encadrés par "Durivault Serge"

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5 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1 à 5
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  • Évolution des ressentis et des freins à la prescription d'activité physique adaptée aux patients en affection de longue durée, chez des médecins généralistes des Deux Sèvres ayant suivi une vidéo de formation    - Burlett Noémie  -  17 mars 2022  - Thèse d'exercice

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    Introduction :

    Les bénéfices de l'AP sont désormais bien démontrés, mais malgré ces bénéfices et le rôle central du médecin traitant, la prescription d'AP aux patients porteurs d'une ALD reste faible. L'un des principaux freins à la généralisation du dispositif « sport santé sur ordonnance » était le manque de formation des médecins.

    L'objectif principal était d'améliorer cette prescription d'activité physique adaptée en réalisant une vidéo informative dont l'impact pédagogique était évalué. L'objectif secondaire était d'analyser les ressentis et freins persistants. Matériel et Méthode : Nous avons réalisé une étude de type avant/ après, s'étendant de janvier à février 2022, interrogeant les médecins généralistes des Deux-Sèvres via un questionnaire en ligne avant et après visionnage d'une vidéo didactique.

    Résultats : Sur les 30 participants, la majorité des médecins trouvait que la vidéo était nécessaire avant de prescrire. La plupart des médecins ne se sentaient pas aptes à prescrire que ce soit avant ou après la vidéo de formation, différence non significative (p=0,30). Ils étaient presque tous convaincus des bénéfices de l'APA, mais les principaux freins relevés étaient la difficulté à rédiger une prescription et la méconnaissance des structures d'accueils.

    Conclusion : Notre étude n'a pas permis de conclure sur l'impact de la vidéo de formation à la prescription d'APA, mais nous a permis de découvrir Apa-clic, site de support d'aide à la prescription, possible levier d'amélioration de la prescription d'APA.

  • Impact du confinement, lors de la pandémie de COVID-19, sur le suivi de l'hémoglobine glyquée des diabétiques de type 2, dans le département des Deux-Sèvres    - Fouassin Esther  -  18 mars 2021  - Thèse d'exercice

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    Introduction: Le confinement du 17 mars au 11 mai 2020, lors de la pandémie de COVID-19, a eu un impact sur le suivi des patients diabétiques de type 2. Dans ce contexte, les professionnels de santé et les patients se sont adaptés. La réorganisation des cabinets en médecine générale et le développement de la téléconsultation ont contribué à limiter la propagation du SARS-CoV-2, et à protéger les patients à risque. La sédentarité s'est renforcée et les habitudes de vie ont pu être modifiées, notamment l'alimentation et l'activité physique. Le confinement a pu également avoir des répercussions sur la santé mentale des patients, l'observance et l'accès aux soins. L'objectif principal de notre étude est d'évaluer l'impact du confinement sur le suivi de l'hémoglobine glyquée des diabétiques de type 2, dans le département des Deux-Sèvres.

    Méthode : Nous avons mené une étude observationnelle descriptive chez les patients diabétiques de type 2 du département des Deux-Sèvres. Ont été inclus, sans limites d'âge, les patients présentant un diabète de type 2 compliqué ou non, équilibré ou non, quel que soit le traitement suivi, et bénéficiant ou non d'un suivi par une infirmière ASALEE. Le recueil de données a concerné les hémoglobines glyquées pré et post-confinement, l'âge et le sexe des patients. La dernière valeur de l'hémoglobine glyquée pré-confinement (soit du 1er janvier au 17 mars 2020 inclus) et la première valeur de l'hémoglobine glyquée post-confinement (soit après le 11 mai jusqu'au 31 octobre 2020 inclus) ont été recueillies. Les données de 787 patients ont été recueillies (734 patients suivis par une infirmière ASALEE et 53 patients non suivis par une infirmière ASALEE). L'analyse statistique principale a porté sur l'évolution de l'hémoglobine glyquée pré et post-confinement. Des sous analyses de la variation de l'hémoglobine glyquée pré et post-confinement en fonction de l'âge et du sexe ont également été réalisées.

    Résultats: Dans notre étude, les patients sont en moyenne âgés de 70 ans, et majoritairement des hommes. L'hémoglobine glyquée des patients diabétiques de type 2 a diminué de manière significative après le confinement avec une différence pré et post-confinement en moyenne de 0,16%. Nous retrouvons notamment une diminution significative chez les diabétiques de type 2 suivis par une infirmière ASALEE. Sur l'ensemble de la population étudiée, l'amélioration de l'hémoglobine glyquée est significative chez les femmes et les hommes diabétiques de type 2. Nous ne constatons, par ailleurs, pas de corrélation significative entre l'âge et la variation d'HbA1c pré et post-confinement.

    Conclusion: Notre étude met en évidence une amélioration de l'hémoglobine glyquée post-confinement chez les diabétiques de type 2, dans le département des Deux-Sèvres. Toutefois, les résultats sont à appréhender avec prudence. De nombreux facteurs peuvent influencer les valeurs de l'hémoglobine glyquée. Il apparaît intéressant d'approfondir le sujet avec des études sur de plus grands échantillons. Nous pourrions enrichir notre approche du confinement en étudiant ses effets sur d'autres aspects du suivi du diabète de type 2, sur d'éventuels retards de prise en charge de complications micro/macroangiopathiques, ou sur d'autres pathologies chroniques notamment cardiovasculaires.

  • Adaptation et perspectives d'avenir d'un pôle de santé territorial face à l'épidémie de COVID-19    - Guilloteau Léa  -  26 novembre 2020  - Thèse d'exercice

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    INTRODUCTION : La crise sanitaire de COVID-19 en France a bouleversé la prise en charge des patients en médecine générale. Pour la première fois les politiques de santé publique ont mis en première ligne cette médecine de ville pour faire face à l'épidémie. Les professionnels du pôle de santé de Thouars ont élaboré le protocole COVID-19 de la Communauté pluriprofessionnelle territoriale de santé (CPTS) du Thouarsais et Val de Thouet afin de les guider dans leur nouvelle organisation.

    MÉTHODE : Ce travail est une étude déscriptive du protocole COVID-19 de la CPTS du Thouarsais et Val de Thouet s'étendant de mars à juin 2020. Les consultations se sont déroulées sous différentes modalités. Les Soins non programmés (SNP) se sont répartis en un secteur dédié COVID-19 et un secteur non COVID-19 avec séparation des locaux. Les consultations de suivi programmées se sont orientées préférentiellement vers la téléconsultation. Les patients suspects de COVID-19 confirmés ou non par un test RT-PCR spécifique ont été répertoriés et classés dans un tableau de suivi en fonction du degré de gravité du tableau clinique afin d'adapter la surveillance.

    RÉSULTATS : 231 patients suspects ou testés positifs à la COVID-19 ont été suivis dans la maison de santé pluriprofessionnelle de Thouars (MSP) entre le 16 mars et le 30 juin 2020. Parmis eux 59 ont eu une RT-PCR positive au SARS-CoV-2, 23 patients ont été évalués à risque de décompensation respiratoire rapide, et 4 ont été hospitalisés et testés négatifs. Il n'a été contabilisé aucun décès. Le nombre de patients suivis a diminué progressivement malgré un rebond du nombre de patients testés en sortie de confinement. Les téléconsultations ont été pour la première fois expérimentées dans la MSP et ont été fortement exploitées jusqu'à la sortie du confinement.

    CONCLUSION : Si les bénéfices sur l'évolution du nombre de cas COVID-19 au sein du territoire n'ont pas été évalués, ce travail permet de mettre en évidence les points positifs et négatifs de l'organisation du pôle de santé de Thouars au début de crise sanitaire et renforce l'importance de la création d'une CPTS sur le territoire.

  • Dépistage de l'artériopathie oblitérante des membres inférieurs en médecine générale chez des patients fumeurs par la mesure de l'index de pression systolique    - Cambier Adèle  -  18 décembre 2017  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Les maladies cardio-vasculaires sont devenues un fléau dans le monde. L'artériopathie oblitérante des membres Inférieures, contrairement aux autres maladies cardio-vasculaires est largement sous-évaluée car elle est majoritairement asymptomatique. Le médecin référent en tant que pivot de la prévention primaire a donc un rôle essentiel dans son dépistage. Le tabac étant le facteur de risque principal de l'AOMI, cibler les patients fumeurs parait important. Les patients âgés de 40 à 50 ans étant encore peu atteints par des maladies chroniques, et non ciblés par les dépistages organisés, sont à privilégier dans cette indication. L'index de pression systolique est un examen recommandé pour ce dépistage mais sa pertinence en soins premiers n'a pas encore été démontrée.

    Matériel et méthode : Nous avons donc organisé une étude analytique, transversale, monocentrique chez les patients de 40 à 50 ans fumeurs, asymptomatiques, indemnes de maladie artérielle, non diabétique, non traité par anti-aggrégants plaquettaire, suivi au pôle santé du Thouarsais, site de Thouars. Les patients ont répondu à un questionnaire sur leurs connaissances de la nocivité du tabac, et ont eu une mesure d'IPS. À chacun était donnée une ordonnance pour la réalisation d'un écho-Doppler artériel.

    Résultats : 164 patients ont été inclus et seuls 51 ont été étudiés suite à des refus ou une absence de réponse par téléphone. 6 patients contactés mais non étudiés se sont sevré du tabac après un conseil minimal délivré lors de la période d'inclusion. Chez 7 patients un IPS pathologique (<0.90) a été retrouvé, soit 13.7% ; aucun n'est hypertendu, 3 ont un antécédent familial cardio-vasculaire (42.8%), 2 ont un LDL-cholestérol supérieur à l'objectif (28.6%) (et 1 patient n'a pas de données concernant son bilan lipidique) et 1 patient a un HDL-cholestérol supérieur à 0.60g/L. Seuls 3 de ces patients ont réalisé un écho-Doppler comparatif, dont 2 retrouvant une AOMI débutante (3.9%). Parmi ces 2 AOMI débutantes, le tabagisme et le sexe masculin étaient les 2 seuls facteurs de risques communs. Aucun patient avec un IPS normal n'a eu un écho-Doppler artériel de contrôle retrouvant une AOMI. Les réponses au questionnaire ont été : 15 patients pensent que le filtre est nocif (29.4%) ; 31 patients (60.8%) ont affirmé que la dépendance au tabac vient de la nicotine ; 96.1% soit 49 patients sont d'accord avec le fait que le tabagisme passif est aussi nocif que l'actif ; 100% des patients savent que le tabagisme augmente le risque de cancer du poumon, mais seuls 5 patients ont sélectionné l'ensemble des cancers proposés comme étant secondaire au tabac ; les patients qui ont coché l'AVC comme étant une conséquence potentielle du tabagisme n'ont pas sélectionné toutes les autres maladies cardio-vasculaires proposées et inversement.

    Conclusion : L'IPS en soins premiers est donc un examen pertinent ; pas seulement au niveau diagnostic, mais aussi car il amène à la délivrance d'un conseil minimal renforcé, aboutissant dans quelques cas à une réflexion du patient sur sa consommation tabagique et donc au sevrage.

  • Dépistage précoce d'une décompensation cardiaque chez des insuffisants cardiaques connus en ambulatoire : quels moyens à disposition ?    - Chataignault Adrien  -  26 octobre 2015  - Thèse d'exercice

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    L'insuffisance cardiaque touche 1 à 2% de la population mondiale (1.8% des français), dont plus de 10% chez les plus de 70 ans. Cette proportion devrait encore augmenter avec le profil démographique de l'hexagone sur la prochaine décennie.

    Outre les coûts liés à sa thérapeutique, cette pathologie est source d'hospitalisations itératives, souvent précoces (jusqu'à 24% dans les 12 semaines suivant une précédente hospitalisation), avec une létalité intra-hospitalière non négligeable (8.8% en 2009).

    Afin d'assurer la meilleure prise en charge possible de l'insuffisant cardiaque et de réduire le nombre des hospitalisations, il est nécessaire de savoir utiliser tous les outils disponibles en ambulatoire permettant un diagnostic toujours plus précoce d'une décompensation cardiaque.

    Cette thèse reprend les différents moyens utilisables en ambulatoire afin d'effectuer de manière précoce le diagnostic d'une décompensation cardiaque chez les insuffisants cardiaques connus.

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