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Ce mémoire s’intéresse à l’impact de l’utilisation de supports écrits, du type trace écrite et/ou album écho, sur le développement langagier (vocabulaire, syntaxe) et la conscientisation des apprentissages moteurs des élèves de moyenne section. Est-ce que l’articulation entre oral et écrit lors des phases d’institutionnalisation et de rappel de séance favorise le développement langagier (vocabulaire, syntaxe) et la conscientisation des apprentissages moteurs des élèves de moyenne section ? Est-ce plutôt la trace écrite élaborée en fin de séance de motricité ou l’utilisation d’un support de type album écho qui permet aux élèves de s’approprier le vocabulaire et les comportements attendus en motricité ? Ces supports sont peu utilisés en EPS. Grâce à une expérimentation sur un groupe d’élèves de moyenne section, des éléments de réponse sont dégagés, plaçant notamment la trace écrite comme nécessaire à la structuration des apprentissages moteurs.

Ce mémoire traite de l'acquisition lexicale pour des élèves de CE1 au travers des rituels. Il s'appuie sur les recherches en didactique du français, précisément dans le domaine du vocabulaire, de ces dernières années. Il propose une piste d'exploitation de ces recherches pour la classe afin amener à une compréhension plus fine de mots inconnus, au travers de l'analyse des processus de formation des mots et de l'élaboration de corpus de mots vérifiant les règles de dérivation lexicale.

Ce travail de recherche traite de la relation entre les jeux de langage, l’acquisition du vocabulaire et les productions d’écrits des élèves. L’objectif est dans un premier temps de voir quel peut-être l’effet de ces jeux dans la relation des élèves au lexique. Les élèves vont-ils développer une attitude particulière lors de la rencontre de mots inconnus ? Vont-ils être en mesure de trouver le sens de nouveaux mots ? Le second objectif de ce mémoire est de comprendre quel est leur impact dans la production de mots nouveaux.