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Dernières soutenances

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4185 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1521 à 1530
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  • Le transmédia en bibliothèque de lecture publique : perceptions et usages des professionnels    - Jacques Manon  -  18 juin 2020

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    Les bibliothèques de lecture publique offrent une diversité de collections, valorisée par des actions de médiation, qui évoluent en tenant compte des nouvelles productions culturelles et médiatiques mais aussi de l’évolution des pratiques des usagers. Aujourd’hui, le transmédia tend à s’étendre dans les collectons des bibliothèques, mais révèle aussi de nouvelles pratiques de consommation et de production culturelles. Ces productions, évoluant dans une culture et économie participative, se caractérisent par une volonté d’immersion – plus ou moins importante – et ont pour ambassadeur les communautés de fans et/ou d’amateurs. Les productions transmédia semblent être, majoritairement, créés à destination des publics jeunes – adolescents – qui apparaissent comme plus compétents pour utiliser les différents médias et supports que propose le transmédia ainsi que de comprendre l’étendu de l’univers développé à travers les extensions. Les professionnels des bibliothèques, en écho aux politiques éditoriales, semblent intégrer le transmédia à leurs collections et actions de médiation afin d’amener les publics jeunes à fréquenter leurs espaces et utiliser leurs services. Ces observations se reflètent dans les offres de formations proposées aux professionnels des bibliothèques. Notre objectif aurait été d’analyser les perceptions des professionnels à l’égard de l’intégration du transmédia en bibliothèque.

  • Écologie bactérienne et prise en charge des infections génitales hautes aux urgences gynécologiques du CHU de Poitiers en 2018 et 2019    - El Bouajaji Karima  -  16 juin 2020  - Thèse d'exercice

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    Introduction : L'infection génitale haute (IGH) est un diagnostic fréquemment suspecté aux urgences gynécologiques. Cette infection peut avoir des complications à court et à long terme. La description des germes incriminés dans les IGH proviennent majoritairement de travaux anciens et/ou étrangers et nous ne disposons que de peu de données françaises sur les germes incriminés et sur la prise en charge des patientes suspectes d'IGH dans notre service.

    Matériels et méthodes : Il s'agissait d'une étude mono-centrique, rétrospective, descriptive, réalisée aux urgences gynécologiques du Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Poitiers entre janvier 2018 et décembre 2019. Les patientes éligibles avaient consulté aux urgences gynécologiques du CHU de Poitiers, avaient bénéficié d'un prélèvement génital dans le cadre d'une suspicion d'IGH et ne s'étaient pas opposées à la consultation de leur dossier médical à des visées de recherche. Les patientes suspectées d'endométrite du post-partum ou ayant bénéficié d'un prélèvement en dehors du cadre d'une suspicion d'IGH étaient exclues. L'objectif principal était de décrire l'écologie bactérienne détectée dans les prélèvements bactériologiques des femmes suspectées d'IGH. Les objectifs secondaires étaient de décrire les modalités de prise en charge et de suivi de ces patientes.

    Résultats : Nous avons inclus 364 patientes et analysé 656 prélèvements : 310 adressés en bactériologie standard et 346 adressés en biologie moléculaire. Treize pour cent des patientes ont eu un prélèvement positif à Chlamydia trachomatis, Neisseria gonorrhoeae ou Mycoplasme genitalium. Dans 25% des prélèvements aucun germe n'était mis en évidence. Les prélèvements étaient polymicrobiens dans 58% des cas. G. vaginalis, S. agalactiae, U. parvum et les germes anaérobies étaient les bactéries pathogènes les plus fréquemment détectés. Aucune émergence d'antibio-résistance particulière n'avait été détectée dans nos prélèvements. Chacun des facteurs de risque d'IGH et d'IST étaient recherché dans de 33% à 3 % des dossiers. La douleur pelvienne spontanée ou à la mobilisation utérine étaient spécifié chez 94% à 98% des patientes et la douleur à la palpation annexielle dans 55% des cas. Des examens complémentaires, échographie pelvienne et bilan biologique, avaient été réalisés pour 72% à 98% des patientes. Quarante-quatre pour cent des patientes avaient été vues en consultation de réévaluation précoce.

    Conclusion : Notre série constitue la plus grande série française et récente décrivant l'écologie bactérienne des IGH. Nos résultats sont en accord avec les données de la littérature. Il est nécessaire de poursuivre la sensibilisation des cliniciens et des biologistes à la prise en charge diagnostique et au suivi des patientes présentant une IGH.

  • Evaluation des compétences des étudiants de médecine générale dans le diagnostic précoce des lésions cutanées malignes    - Loubere Lea  -  16 juin 2020  - Thèse d'exercice

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    Introduction - L'incidence des cancers cutanés est en constante augmentation. La prise en charge précoce de ces lésions permet de limiter une chirurgie lourde, de diminuer la mortalité liée au mélanome ainsi que le coût financier du traitement du mélanome métastatique. Une baisse démographique des médecins dermatologues est prévue dans les années à venir. Dans ce contexte, il semble important d'impliquer les médecins généralistes en France dans le repérage et la prise en charge des cancers cutanés.

    Objectif - Evaluer le niveau de compétence des étudiants de médecine générale (EMG) pour le diagnostic et la prise en charge de lésions cutanées suspectes afin d'identifier les principales sources d'erreur pour nous permettre de créer des séances de formation en dermatologie.

    Matériel et méthodes - Il s'agit d'une étude observationnelle transversale multicentrique réalisée à partir d'un questionnaire anonyme envoyé aux EMG présentant 11 photographies de lésions cutanées. Il leur était demandé de choisir entre le caractère bénin ou malin de la lésion, de donner leur diagnostic précis et de déterminer une prise en charge.

    Résultats – Cent quarante-deux EMG ont été inclus dans l'étude. Quatre-vingt-seize virgule cinq pourcent des EMG ressentaient un besoin en formation. Les EMG arrivaient à différencier une lésion maligne d'une lésion dans 81,4% des cas. La sensibilité des EMG et des internes en dermatologie était comparable (0,78 et 0,79) mais la spécificité des internes en dermatologie était nettement supérieure (0,84 et 0,97). Concernant la prise en charge, 68,4% des EMG proposaient une prise en charge adaptée. L'erreur fréquemment retrouvée était d'adresser le patient chez le dermatologue alors que la lésion était considérée comme bénigne.

    Discussion et conclusion Dans la plupart des cas, il a été observé une très bonne maitrise concernant la différenciation des lésions bénignes et malignes. Cependant, malgré cette bonne sensibilité diagnostique, les étudiants ont préféré adresser plus de la moitié des lésions bénignes aux dermatologues. Il a également été constaté que les étudiants ont un niveau de confiance modéré dans leur diagnostic et sont en demande de formation. Notre étude va dans le sens du développement d'une formation pour les étudiants en médecine générale.

  • La lutte contre les stéréotypes de genre dans les bibliothèques de lecture publique    - Schmitt Ludivine  -  15 juin 2020


  • Création d’un livret d’informations à destination des parents turcophones    - Under Aygul  -  15 juin 2020


  • Évaluation de la satisfaction de patients et intervenants d'un programme d'activité physique adaptée au sein de maisons pluri-professionnelles    - Fournier Lucie  -  11 juin 2020  - Thèse d'exercice

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    L’activité physique adaptée est intégrée dans la prise en charge des patients. Depuis 2017 et l’inscription dans la loi, de nombreux programmes ont été mis en place. Des barrières persistent chez les patients et médecins. Un programme a été mis en place dans plusieurs maisons de santé permettant un accès simplifié et gratuit. Cette étude évalue la satisfaction des patients, soignants et éducateurs à six mois du programme. Le flux et les caractéristiques de la population seront également étudiés. Matériel et méthodes : évaluation de la satisfaction par soumission de questionnaire. Étude des données des caractéristiques de la population et de flux.

    Résultats : 55 patients sont inclus. Les réponses montrent une satisfaction globale des patients, 29 pensent poursuivre une activité physique dont 22 dans leur MSP. Les soignants souhaitent le développement d’une prise en charge globale. Les éducateurs ont une divergence d’opinion sur la capacité des patients à intégrer d’autres structures et souhaitent un suivi plus régulier et coordonné. Les populations diffèrent en précarité et en moyenne d’âge. L’hygiène de vie, l’estime de soi et le score d’anxiété-dépression sont considérés comme normaux.

    Discussion : les patients sont satisfaits et souhaitent poursuivre au sein du groupe. La coordination ainsi qu’un suivi régulier semblent nécessaires. Il existe de nombreux biais avec une inclusion restreinte et une participation différente dans les groupes. L’absence de participation des médecins est une limite majeure et leur intégration dans le projet est importante. Cibler une population plus sédentaire pour laquelle un plus grand bénéfice sur la santé est démontré serait pertinent. De nombreuses perspectives existent avec mise en place d’un suivi plus régulier, réalisation de bilan de forme, soumissions de questionnaire à réaliser à long terme. Poursuivre un suivi des patients après l’arrêt du programme pourrait encourager la poursuite de l’activité physique.

  • Profil de personnalité, trouble de stress post-traumatique et épuisement professionnel chez les étudiants : loi Jardé : CER ou CPP ?    - Marin Amélie  -  11 juin 2020  - Thèse d'exercice

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    INTRODUCTION : La loi Jardé, votée en 2012, dans le but d'augmenter la protection des personnes, a imposé que chaque Recherche Impliquant la Personne Humaine (RIPH) requiert, avant de débuter, l'avis d'un comité de protection des personnes (CPP). Après l'entrée en vigueur de cette loi, de nombreux décrets et arrêtés d'application se sont succédés pour apporter des précisions. Cette complexité législative a engendré une augmentation des difficultés de compréhension des obligations réglementaires, n'épargnant pas les étudiants de médecine lors de la formulation de leur protocole. L'objectif principal était à la rédaction du dossier pour une demande d'avis auprès du CPP.

    MÉTHODE : Les modèles respectifs des documents ont été sélectionnés ainsi que la rédaction en s'inspirant de la méthode d'élaboration de la Haute Autorité de Santé, sur la recommandations de bonnes pratiques.

    RÉSULTATS : Rédaction d'un premier document pour le Comité de Protection des Personnes (CPP) et d'un second pour le Comité d'Ethique pour les recherches (CER) impliquant la personne humaine.

    CONCLUSION : Les documents réalisés pourraient servir aux internes mais aussi aux autres étudiants soumis aux mêmes exigences réglementaires. Il parait nécessaire d'exécuter les deux dossiers pour une rédaction optimale. Ces dossiers nécessiteront des révisions ultérieures en fonction du retour d'expérience des utilisateurs ainsi que des évolutions futures du cadre réglementaire.

  • Contraception hormonale masculine : développements cliniques en cours et acceptabilité dans un échantillon de la population    - Houdé Oriane  -  11 juin 2020  - Thèse d'exercice

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    Contexte : Alors que la population française comme mondiale ne cesse de s’accroître, les méthodes contraceptives restent limitées et le taux de grossesses non désirées ne régresse pas. De plus, la maîtrise de la reproduction au sein du couple repose toujours majoritairement sur la femme. En parallèle de ces constatations, différents moyens de contraception masculine font l’objet de recherches depuis plusieurs années. Malgré cela, aucun n’a encore obtenu d’autorisation de mise sur le marché.

    Objectifs :

    - Déterminer si de nouveaux moyens de contraception hormonaux masculins peuvent trouver leur place dans la population française et définir la forme d’administration susceptible d'être la mieux acceptée par la population interrogée. Les raisons qui conduisent à l’acceptabilité ou non d’une telle méthode de contrôle de la fertilité seront également analysées.

    - Evaluer si les données sociodémographiques, ou les méthodes de contraception utilisées, influencent l’acceptabilité de la contraception hormonale masculine.

    Matériel et méthodes : Nous avons mené une étude prospective observationnelle descriptive sur un échantillon d’hommes et de femmes âgés de 18 à 55 ans par l'intermédiaire d'un questionnaire diffusé du 2 novembre 2019 au 30 janvier 2020.

    Résultats : 312 participants ont été inclus dans l’étude, 107 hommes et 205 femmes. La pilule contraceptive et le préservatif sont les méthodes de contraception les plus utilisées au sein de cette population.

    60,7 % des hommes seraient intéressés par une nouvelle méthode de contraception utilisable chez l'homme alors que paradoxalement 61,7 % des hommes interrogés ne regrettent pas le manque de choix de contraceptifs chez l'homme. Il s’agit plutôt des hommes jeunes (< 30 ans) sans enfants, célibataires ou ayant des partenaires occasionnelles, participant déjà à la contraception. Les femmes, quant à elles, se montrent intéressées à 76,6 % et regrettent ce manque de choix à 76,5 %. Ces femmes sont globalement favorables à l'idée, peu importent leur âge et leur situation familiale. La pilule contraceptive est la forme galénique la plus plébiscitée par la population ; arrive ensuite l'implant contraceptif.

    93,4 % des hommes et 97 % des femmes partagent l'idée que la contraception ne doit pas être de la responsabilité exclusive de la femme.

    Conclusion : La population française semble aujourd'hui ouverte à l'idée d'une contraception masculine et aspire à un partage des responsabilités contraceptives au sein du couple. Néanmoins, l'idée d'une gestion exclusivement masculine de la contraception reste encore trop extrême puisque la femme restera toujours la personne qui subira les conséquences directes d'un échec contraceptif. Par ailleurs, les méthodes contraceptives hormonales, délaissées à la suite des nombreux scandales sanitaires, instaurent une certaine défiance au sein de la population française qui aimerait désormais se tourner vers une maîtrise de la fertilité sans hormone.

  • Facteurs prédictifs de la survenue d'un accident vasculaire cérébral dans le premier mois suivant une procédure TAVI (Transcatheter Aortic Valve Implantation) : étude monocentrique, rétrospective réalisée au CHU de Poitiers    - Castagnet Helene  -  10 juin 2020  - Thèse d'exercice


  • Impact de la mélatonine sur le rythme veille/sommeil et sa place dans l'arsenal thérapeutique contre l'insomnie    - Malhouroux Jonathan  -  09 juin 2020  - Thèse d'exercice

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    La mélatonine est une hormone produite par la glande pinéale, découverte pour la première fois 1958 par Aaron Lerner. Elle est synthétisée quasiment exclusivement la nuit et permet de réguler notre rythme circadien veille/sommeil. Son taux de sécrétion varie énormément, notamment selon l’âge et les saisons. De plus, son impact sur les individus est très inégal puisque les effets de la mélatonine exogène sont plus ou moins marqués selon l’utilisateur. La mélatonine est donc une hormone majeure puisque le sommeil est indispensable pour être en bonne santé. Toutefois, les troubles du sommeil dans la population sont nombreux et même s’ils sont mieux pris en charge qu’il y a quelques années, il y a encore du chemin à faire. En effet, trop peu de patients consultent exclusivement pour un trouble du sommeil, qui parfois dure depuis plusieurs années.

    La mélatonine exogène est un puissant resynchroniseur de notre horloge biologique et donc serait un traitement potentiel pour certains troubles du rythme circadien du sommeil. Elle pourrait également être une alternative ou un complément thérapeutique dans le traitement de l’insomnie, dont la prise en charge habituelle utilise la thérapie cognitive et comportementale. Son utilisation permettrait d’obtenir des résultats sur la latence d’endormissement, la durée et l’efficacité du sommeil. Mais les véritables atouts de la mélatonine sont peut-être ses effets indésirables moindres que ceux des autres hypnotiques, tout du moins à court terme, et son potentiel dans le sevrage de ces hypnotiques.

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