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Devauchelle Hugues

Les travaux encadrés par "Devauchelle Hugues"

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  • Traitement antihypertenseur et syndrome d'apnées-hypopnées obstructives du sommeil : étude descriptive chez 133 patients : évolution du traitement antihypertenseur après un an de traitement par pression positive continue    - Roy Emmanuel  -  16 mai 2017  - Thèse d'exercice

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    Contexte : Les données épidémiologiques montrent que la Pression Positive Continue (PPC) diminue la pression artérielle moyenne au bout de six mois de 2 mmHg. L'évolution du traitement antihypertenseur chez des patients présentant un Syndrome d'Apnées-Hypopnées Obstructives du Sommeil (SAHOS) appareillés par PPC a été peu étudié sauf chez les hypertendus réfractaires chez qui un bénéfice serait possible.

    But de l'étude : Évaluer l'évolution du traitement antihypertenseur chez des patients présentant un SAHOS sévère et avec un traitement antihypertenseur, à un an de traitement par PPC. Évaluer le recours au traitement antihypertenseur chez des patients présentant un SAHOS sévère et sans traitement antihypertenseur, à un an de traitement par PPC.

    Matériel et méthode : Étude quantitative, rétrospective, descriptive portant sur 133 patients présentant un SAHOS sévère (IAH moyen 49,6 ± 15,6 /h), âgés de 63,7 ± 12,5 ans, en majorité masculins (sex-ratio 3,43), avec un IMC moyen de 33,4 kg/m². Patients séparés en deux sous-groupes : patients avec traitement antihypertenseur (n=94 patients) ; patients sans traitement antihypertenseur (n=39 patients). Analyse de l'évolution du traitement antihypertenseur de ces deux sous-groupes, à un an de traitement par PPC.

    Résultats : Dans le sous-groupe des patients avec traitement antihypertenseur : 71 % avaient conservé un traitement antihypertenseur strictement identique ; 10 % avaient diminué leur traitement antihypertenseur ; 14 % l'avaient augmenté. Les taux d'IAH, d'IMC et d'observance à la PPC avaient une influence sur ces résultats. Dans le sous-groupe des patients sans traitement antihypertenseur à T0, aucun patient ne recevait un traitement antihypertenseur à T1. Ce sous-groupe paraît avoir un IAH initial moins sévère et un IMC plus faible.

    Conclusion : Le Médecin Généraliste doit réévaluer régulièrement tout traitement antihypertenseur, particulièrement chez les patients présentant des comorbidités associées dont fait partie le SAHOS. Chez les patients ayant un traitement antihypertenseur, la PPC ne paraît pas influencer le traitement antihypertenseur, mais le taux initial d'IAH faible, l'IMC faible et une observance à la PPC élevée sont des facteurs pouvant amener à la diminution du traitement antihypertenseur. Chez les patients sans traitement antihypertenseur, la PPC pourrait retarder la prescription d'un traitement antihypertenseur.

  • État des lieux en 2016 des connaissances et des pratiques des médecins généralistes du département des Deux Sèvres concernant la prise en charge du syndrome d'apnées hypopnées obstructives du sommeil chez l'adulte    - Benoudifa Ali  -  07 juillet 2017  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le syndrome d'apnées hypopnées obstructives du sommeil est sous diagnostiquée en France. Son taux élevé de morbi-mortalité cardiovasculaires et métaboliques en font un véritable enjeu de santé publique. Le médecin généraliste, pièce maitresse de notre système de santé, a-t-il les ressources nécessaires pour dépister et suivre efficacement ces patients.

    Matériel et Méthode : Étude qualitative et prospective auprès de 111 médecins généralistes. Évaluation de leurs connaissances et de leur implication dans le suivi des malades via un questionnaire de 27 questions envoyé par courriel.

    Résultats : Amélioration des connaissances des médecins tant sur les éléments du dépistage que du traitement avec un effet positif de l'enseignement universitaire. 84 % des médecins ont cités au moins 2 des 4 principaux signes du SAHOS (apnées durant le sommeil, ronflements, obésité, somnolence diurne) et 72% au moins 2 de ses 4 complications majeures (HTA, cardiopathies, AVC, AVP). La typologie du patient apnéique est mieux connue : l'obésité est citée à 76% et l'HTA à 58%. Il persiste néanmoins une mauvaise connaissance de l'épidémiologie de la maladie avec 3 patients sur 4 non diagnostiqués et un dépistage qui se limite au patient typique (obèse, ronfleur et apnéique) ; la nycturie, les céphalées matinales ou les troubles de la libido sont oubliés. Enfin, seulement 37% des médecins se sentent concernés par le suivi des patients une fois appareillés.

    Conclusion: Cette étude montre une amélioration globale des connaissances qui restent cependant insuffisantes au vu de la prévalence de la maladie. Un renforcement de l'enseignement universitaire et post universitaire, l'intégration des patients à un réseau de soins et une délégation du suivi des patients traités au médecin traitant sont à l'évidence des solutions à apporter.

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