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Médecine. Radiologie

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22 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1 à 10
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  • Coincident intracranial aneurysm in the target vessel of acute ischemic stroke treated with mechanical thrombectomy: a case control study    - Combeau Mélina  -  31 octobre 2023  - Thèse d'exercice


  • A nationwide survey about Emergency Radiology : organization and impact on quality of life    - Van den boom Marion  -  26 octobre 2023  - Thèse d'exercice

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    Objectif : Établir un état des lieux de l'organisation de la radiologie des urgences en France, puis isoler les modèles favorisant la satisfaction au travail.

    Méthode : Un premier questionnaire a été envoyé par email à 709 centres de radiologie contactés par le G4. Ce questionnaire contenait des items sociodémographiques et des items évaluant l’organisation de l’imagerie des urgences. Un radiologue référent était chargé de remplir cette enquête puis a été recontacté dans un second temps pour remplir une deuxième enquête concernant la qualité de vie, comprenant quatre questionnaires validés. Des cartes françaises illustrant l'organisation pour chaque centre ont été créées. La corrélation entre les caractéristiques des répondeurs et leur santé mentale a été testée en utilisant des tests de Pearson et de Wilcoxon.

    Résultats : 284 centres ont répondu à l'enquête organisationnelle, avec un taux de réponse de 41,6%. Parmi eux, il y avait 32 hôpitaux universitaires, 208 hôpitaux publics, 2 hôpitaux d’instruction des armées et 42 centres radiologiques privés. La couverture de la population représentait 96% des habitants français. Concernant l’organisation de nuit, 14% (n = 40/284) des centres fonctionnent en garde sur place, 12% (n = 35/284) en astreinte à domicile, 69% (n = 198/284) utilisent de la téléradiologie par une société extérieure et 4% (n = 11/284) utilisent de la téléradiologie par les radiologues du service. La proportion de radiologues de garde sur place augmente avec la taille des hôpitaux (31% des hôpitaux de plus de 1000 lits et 84% des hôpitaux universitaires de plus de 1000 lits), tandis que la téléradiologie par des sociétés extérieures prédomine dans les centres plus petits (93% des hôpitaux de moins de 500 lits). En ce qui concerne la qualité de vie au travail, la prévalence de la dépersonnalisation était élevée parmi les répondeurs, à 60% (n = 30/50), sachant qu’il s’agit de l'une des trois composantes du burnout selon l’échelle MBI. Les praticiens éprouvaient en grande majorité une satisfaction liée à leur exercice, de l’ordre de 90.2%.

    Conclusion : Un état des lieux de l’organisation de la permanence de soins radiologique en France a pu être dressé, mettant en évidence le rôle essentiel joué par la téléradiologie notamment dans les structures de petite taille pour maintenir une continuité des soins devenue difficile par les services de radiologie devant l’augmentation importante de la charge de travail.

  • Influence of Teleradiology on Computed Tomography (CT) Utilization in Emergency Department: A Retrospective Statewide, Multi-vendor Survey    - Boualem Nora  -  24 octobre 2023  - Thèse d'exercice

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    Objectif : Évaluer l'impact quantitatif du déploiement de la téléradiologie sur l'activité de scanner en imagerie des urgences.

    Méthode : Une étude rétrospective multicentrique a été menée dans les centres secondaires et tertiaires affiliés au CHU de Poitiers. Nous avons collecté le nombre d'admissions aux urgences, le nombre de scanners et d'échographies réalisés pour chaque centre avant la mise en place de la téléradiologie (janvier 2021 du 1er à 00h00 au 31 à 23h59) et après (janvier 2023 du 1er à 00h00 au 31 à 23h59). Un ratio appelé taux d'utilisation du scanner a été défini comme le nombre de scanners réalisés ; divisé par le nombre d'admissions aux urgences ; par unité de temps.

    Résultat : 25 928 admissions aux urgences (n = 12 362 en 2021 et n = 13 566 en 2023), pour 8213 scanners (n = 4222 en 2021 et n = 3991 en 2023) et 96 échographies (n = 61 en 2021 et n = 35 en 2023) ont été enregistrés. Après la mise en place de la téléradiologie, le taux d'utilisation du scanner était significativement plus élevé pendant la nuit profonde (18,7 % [16,8-20,7] vs 15,7 % [13,9-17,7], p < 0,05) et significativement plus bas pendant la journée (29,2 % [28,4-30,1] vs 34,4 % [33,5-35,4], p < 0,05). L'utilisation de l'échographie était significativement plus basse après la téléradiologie (0,0 % [0,0-0,09] vs 1,4 [0,8-2,5], p < 0,05).

    Conclusion : Contrairement à ce qui était généralement affirmé, la téléradiologie n'a pas entraîné de changements significatifs dans l'activité d'imagerie des urgences. En ce qui concerne l'activité de scanner en imagerie des urgences, la téléradiologie était associée à une augmentation significative pendant la nuit profonde et à une diminution significative pendant la journée.

  • Segmentation automatisée des lésions de sclérose en plaques par intelligence artificielle en imagerie magnétique à 7 Tesla    - Leclerc Charles  -  23 octobre 2023  - Thèse d'exercice

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    L’imagerie par résonance magnétique contribue au diagnostic et au suivi de la sclérose en plaques avec plus de précision à 7 Tesla. Le radiologue peut évaluer les lésions visuellement ou manuellement, ce qui s’avère subjectif et fastidieux. Des méthodes de segmentation automatique sont disponibles mais peu applicables à 7 Tesla. Nous proposons l’utilisation de deux réseaux de neurones convolutifs de type U-Net et MPU-Net++ afin de comparer les segmentations automatiques et manuelles. Notre échantillon comporte 46 patients, 34 attribués à la population d’entrainement et 12 à la population de validation. Le Dice score a été utilisé pour évaluer la similarité des segmentations avec une moyenne de 0,4533 pour le U-Net et de 0,4525 pour MPU-Net++. Le U-Net montre un apprentissage plus rapide et stable avec moins d’erreurs mais après évaluation, le MPU-Net++ semble rester meilleur pour une IA de pré-segmentation. Ces résultats sont une première étape vers l'aide aux praticiens qui gardent le monopole du diagnostic.

  • Évaluation volumétrique de lésions gliales en imagerie par résonance magnétique 3 tesla : segmentation manuelle et segmentation automatique par algorithme d'intelligence artificielle    - Millet Léo  -  09 octobre 2023  - Thèse d'exercice

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    Introduction :

    L'IRM occupe une place centrale dans le diagnostic, et le suivi des lésions gliales, la volumétrie des lésions cérébrales est chronophage, fastidieuse pour le radiologue dans la pratique quotidienne. Dans cette étude le but a été de développer une intelligence artificielle de type TR-UNet capable d'effectuer des volumétries automatiques à la fois dans le bilan initial, dans le suivi des lésions gliales quel que soit le grade et le statut opéré ou non du malade.

    Matériels et méthodes :

    50 patients atteints de lésions gliales ont été segmenté manuellement par un radiologue pour servir de base d'entrainement à l'intelligence artificielle, et 7 patients atteints de glioblastome préalablement segmentés par un ingénieur ont servi de base de test. Le Dice score a été la métrique principale d'évaluation des volumétries automatiques.

    Résultats :

    La moyenne des Dice score sur la population test étaient de 0,83 en moyenne, donnant des segmentations automatiques satisfaisantes, les discordances était variables, dépendant principalement de l'aspect et de l'hétérogénéité des lésions.

    Il a été montré que le modèle d'intelligence artificielle TR-UNet était supérieure à un modèle d'intelligence artificielle UNet classique dans la segmentation des lésions gliales en condition réelle.

    Conclusion :

    L'intelligence artificielle de type TR-UNet est capable après un entrainement ciblé de segmenter automatiquement des lésions gliales avec une précision relativement bonne dépendant principalement de l'aspect et de l'homogénéité ou non des lésions cibles.

    En pratique courante une solution d'intelligence artificielle semble être une solution adaptée pour pallier à la segmentation manuelle, bien trop chronophage pour être viable en condition de pratique clinique réelle.

  • Performance du scanner thoracique pour le diagnostic de la COVID-19 dans une région de faible incidence et faible prévalence (Poitou-Charentes, 2020)    - Thomas Clement  -  06 octobre 2023  - Thèse d'exercice

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    Contexte et objectif : L'intérêt du scanner thoracique a été principalement étudié dans des zones de forte incidence de COVID-19. Le but de cette étude était d'évaluer les performances du scanner thoracique pour le diagnostic de pneumopathie à COVID-19 dans une zone de faible prévalence et incidence et avec pour gold standard la RT-PCR (test nasopharyngés).

    Matériel et méthodes : L'étude a été réalisé dans 4 services de radiologie de la région Poitou-Charentes, zone de faible prévalence de COVID-19 (3,4 %), du 18 mars au 24 avril 2020 (pendant la première vague épidémique). Le design de l'étude a été approuvé par le comité d'évaluation de l'éthique local et enregistré sur le site internet clinicaltrial.gov (NCT04339686). Les patients ayant bénéficié d'une RT-PCR et d'un scanner thoracique pour suspicion de COVID-19 ont été consécutivement inclus. Les performances diagnostiques incluant le sensibilité, spécificité, valeur prédictive positive et valeur prédictive négative ont été calculées.

    Résultats : Cent vingt-neuf patients ont eu des résultats de scanner thoracique évocateurs de pneumopathie à COVID-19 (26%, 129/487). Parmi les trois cent cinquante-huit scanners thoraciques non évocateurs, 3% (10/358) avaient une RT-PCR positive. Les sensibilité, spécificité, valeur prédictive positive et négative du scanner étaient respectivement de 87% (IC95 : 85,89; 69/79), 85% (IC95 : 83,87; 348/408), 53% (IC95 : 50,56; 69/129) et 97% (IC95 : 95,99; 348/358).

    Conclusion : Dans une zone de faible prévalence et faible incidence (Poitou-Charentes), le scanner thoracique fut un outil diagnostic utile pour éliminer une pneumopathie à COVID-19 parmi des patients symptomatiques avec suspicion d'infection.

  • Intérêt de l'imagerie 7T en pratique clinique : cas illustrés en neuroradiologie    - Depaire Lucas  -  20 octobre 2022  - Thèse d'exercice

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    L'imagerie à ultra haut champ magnétique (ou IRM 7T) possède un meilleur rapport signal/bruit, une meilleure résolution en contraste et une meilleure résolution spatiale que les IRM conventionnelles à 1,5T et 3T. En recherche, de nombreuses applications ont déjà été découvertes en neuro-imagerie. L'imagerie 7T permet notamment une étude des lésions corticales, des dépôts de fer et du signe de la veine centrale dans la sclérose en plaques. Elle rend possible l'analyse architecturale des hippocampes et la recherche de substrat lésionnel subtil dans le cadre de l'épilepsie. De plus, l'IRM 7T favorise une meilleure délimitation des lésions gliales et l'étude de leur microvascularisation. Ce travail de thèse illustre l'imagerie 7T en pratique clinique courante de ces trois cadres nosologiques différents (SEP, épilepsie et gliome) au travers du cas de 10 patients ayant réalisé leurs examens au CHU de Poitiers, premier centre en France à disposer d'une IRM 7T à visée clinique.

  • Impact on emergency patient workflow of an artificial intelligence for fracture recognition    - Nelken Héléna  -  06 octobre 2022  - Thèse d'exercice


  • Prise en charge radiologique des morts inattendues du nourrisson en 2022 : une enquête française exhaustive    - Margerin Mathilde  -  03 octobre 2022  - Thèse d'exercice

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    Contexte : Depuis les recommandations de 2007 de la Haute Autorité de Santé (HAS) concernant la prise en charge de la mort inattendue du nourrisson (MIN), plusieurs articles ont mis en évidence l'intérêt de l'imagerie pour comprendre la cause du décès. Cependant, la prise en charge en imagerie est hétérogène. Ainsi, à travers une enquête multicentrique, cette étude vise à évaluer la prise en charge actuelle de l'imagerie des MIN en France.

    Matériel et Méthode : L'ensemble des 35 centres référents français de MIN ont été invités à répondre à une enquête comprenant 29 questions portant sur les pratiques en imagerie : spécialité du répondant, type d'imagerie pratiquée, type et durée de la formation médicale.

    Résultats : Le taux de participation était de 100% (35/35). Les répondants étaient pour 77% (27/35) des radiologues, 20% (7/35) des pédiatres et 3% (1/35) des médecins légistes. L'imagerie est réalisée dans 94,3% (33/35) des centres : 74,3% (26/35) pour la radiographie standard, 5,7% (2/35) pour l'échographie (US), 94,3% (33/35) pour la tomodensitométrie (TDM), avec 89% (31/35) de réalisation de scanner corps entier, et 20% (7/35) pour l'IRM. Deux centres (5,7%, 2/36) ne pratiquent pas systématiquement d'imagerie cérébrale. Des biopsies guidées par échographie sont réalisées dans un centre (2,9%, 1/36). Quatorze (40%, 14/35) déclarent avoir un étudiant intéressé par cette spécialité.

    Conclusion : D'après cette enquête sur les pratiques radiologiques dans le cadre de MIN en France, les recommandations de la HAS ne sont pas appliquées dans l'ensemble des centres référents. Il demeure une importante hétérogénéité dans les pratiques malgré une amélioration depuis 2013.

  • Valeurs normales tomodensitométriques des dimensions cavitaires cardiaques et de la fonction systolique ventriculaire dans une population de 250 patients adultes indemnes de cardiopathie    - Oresve Gwenaëlle  -  03 mars 2022  - Thèse d'exercice

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    INTRODUCTION : Le scanner permet d'étudier les volumes et la fonction systolique des cavités cardiaques, mais il n'existe que peu de données dans la littérature et portant sur de faibles effectifs concernant les normes de ces valeurs.

    OBJECTIF : Déterminer des valeurs de références par âge et par sexe pour le volume de l'atrium gauche et les autres cavités cardiaques, ainsi que les fonctions systoliques ventriculaires droite et gauche.

    POPULATION ET METHODES : 250 patients adultes indemnes de cardiopathie ont été inclus de façon rétrospective, à parts égales entre hommes et femmes, et répartis en 5 sous-groupes d'âges différents et de même effectif. Une détermination du volume de l'AG par 2 méthodes différentes (3D et 2D) a été réalisée (avec analyse de corrélation et de reproductibilité), ainsi qu'une analyse du score calcique coronaire, de la FEVG, la FEVD, la masse VG.

    RESULTATS : le volume d'AG obtenu par méthode 3D était plus élevé que celui retrouvé par méthode 2D, avec une meilleure reproductibilité inter-observateur. Le volume de l'OG moyen était de 51 ml/m² en population générale, sans différence significative entre hommes et femmes. Le volume de l'AG, comme la surface de l'AD, augmentait avec l'âge. Les volumes ventriculaires diminuaient de façon significative avec l'âge, mais sans différence significative sur la FEVG ni la FEVD. Ces résultats et les valeurs normales obtenues dans cette population sont plus exhaustifs que celles déjà publiées en scanner, avec des normes définies par âge et par sexe. Les valeurs obtenues sont proches de celles publiées en IRM cardiaque qui font référence.

    CONCLUSION : Cette étude a permis d'établir, dans une population de 250 adultes indemnes de cardiopathie, des valeurs de référence par âge et par sexe pour les volumes des 4 cavités cardiaques, et notamment pour l'atrium gauche, avec une très bonne reproductibilité de la méthode 3D. Ces données pourront être utilisées à l'avenir comme références pour des études scanographiques futures.

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