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Tournoux-Facon Caroline

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3 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1 à 3
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  • Dépistage organisé du cancer colorectal par le nouveau test immunologique dans le Poitou-Charentes : état des lieux à un an de sa mise en place    - Stevens Mikaël  -  19 octobre 2016  - Thèse d'exercice


  • Étude de la pratique de l'examen clinique des seins chez les femmes par les médecins généralistes en Poitou-Charentes    - Fernandez Caroline  -  16 juin 2016  - Thèse d'exercice

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    Objectifs : Étudier la pratique et les modalités de l'examen clinique des seins (ECS) par les médecins généralistes du Poitou-Charentes (âge, circonstance, fréquence, technique). Mettre en évidence les freins et les besoins de formation de ces médecins.

    Méthodes : Étude quantitative, transversale, descriptive de la pratique des médecins généralistes à partir d'un questionnaire envoyé entre le 03/11/2015 et le 15/01/2016. Population étudiée : l'ensemble des maîtres de stage universitaires (MSU) du Poitou-Charentes ainsi qu'un groupe de médecins généralistes de la Vienne non MSU.

    Résultats : Ont été inclus 141 médecins. 95% déclaraient pratiquer l'ECS. Trois motifs de réalisation ressortaient : à la demande de la patiente, lors d'un frottis cervico-vaginal et lors d'un renouvellement de contraception. Pour 27% de ces médecins, l'âge de leurs patientes à leur premier examen était de 20 ans et 59% disaient ne pas fixer d'âge limite pour l'arrêter. 62% ont répondu examiner les seins une fois par an et la durée par sein était d'une minute chez 42%. La technique de palpation par quadrants était la plus utilisée (71%), la majorité utilisait la pulpe des 3 doigts du milieu de la main, réalisait de petits cercles et plaçait les 2 mains sur un sein. Les 3 niveaux de profondeur étaient palpés par 66% des répondants et 99% palpaient les aires ganglionnaires. Des freins étaient évoqués par 28% des médecins pratiquant l'ECS et 49% exprimaient un désir de formation à cette pratique. Il n'apparaissait pas de différence significative de pratique que le médecin soit enseignant ou non.

    Conclusion : L'ECS était largement pratiqué mais devant un désir important de formation, ses modalités pourraient être améliorées, notamment par une consultation de prévention annuelle et par des ateliers de formation sur modèles de seins siliconés.

  • Dépistage du cancer du sein : évaluation de la pratique de l'examen clinique auprès des femmes et des radiologues    - Aziz Salwa  -  12 juin 2015

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    Introduction :

    En France, une femme sur 8 sera confrontée au cancer du sein au cours de sa vie.

    Cependant, l’efficacité de l’autopalpation des seins est controversée.

    La HAS rappelle l’intérêt de l’examen clinique annuel par un professionnel de santé à partir de 25 ans pour toutes les femmes et l’obligation de sa réalisation dans le cadre du DO.

    L’objectif principal de cette étude est d’évaluer la fréquence de réalisation de l’ECS par les radiologues et de l’autopalpation mammaire par les femmes.

    Matériel et méthode :

    L’étude s’est déroulée dans les établissements de radiologie de la Vienne (publics et privés) par des entretiens individuels et dirigés auprès des radiologues.

    Un questionnaire à été proposé à des femmes dans le cadre d’Octobre Rose.

    Résultats:

    L’auto-examen clinique des seins apparaît difficile pour les femmes et selon les radiologues, peu d’entre elles le maîtrise. Il apparait que seule une femme sur 2 réalise de temps en temps une autopalpation mammaire. Les modalités de réalisation n’apparaissent pas satisfaisantes puisque les femmes se concentraient essentiellement sur la région péri-aréolaire, posaient toute la main sur le sein ou se contentaient d’une inspection.

    Pour aider les radiologues à communiquer sur l’intérêt du suivi sénologique entre deux mammographies et aider les femmes à pratiquer une auto-surveillance, des outils pédagogiques sont en cours de réalisation.

    Conclusion:

    Notre étude aboutit à la nécessité de renforcer la place du suivi gynécologique et le rôle du médecin généraliste, gynécologue ou sage-femme dans le dépistage précoce du cancer du sein afin d’améliorer l’information, la formation des patientes à l’AES ainsi que leur formation à l’ECS.(19)

    Le choix de participer au dépistage du cancer du sein c'est-à-dire de réaliser une mammographie et un examen clinique des seins, appartient aux femmes.

    Il est nécessaire, pour ce faire, de leur donner une information qui soit complète, compréhensible et pertinente. Un enseignement des techniques de dépistage aux médecins non formés, des outils d’information et de prévention des patientes pourraient s’avérer être utiles.

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