Vous êtes ici : Accueil > Directeurs de travaux > Poupard Vanessa

Poupard Vanessa

Les travaux encadrés par "Poupard Vanessa"

Pour être informé de la mise en ligne des nouveaux travaux correspondant à la recherche effectuée, abonnez-vous au flux RSS : rss

accès internet    accès intranet    pas d'accès
4 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1 à 4
Tri :   Date travaux par page
  • Quels sont les déterminants dans le choix de l’allaitement mixte ? Etude observationnelle transversale auprès de 611 femmes, réalisée sur les réseaux sociaux    - Guerin Chloe  -  30 mars 2023

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : L’allaitement mixte est le mode d’alimentation du nouveau-né le moins documenté de la littérature. Lorsqu’il est cité, il représente autour de 10% des modes d’allaitement. L’objectif de l’étude était d’observer les allaitements mixtes, et d’identifier les déterminants qui amènent à ce choix.

    Matériel et Méthodes : Il s’agit d’une étude observationnelle, descriptive et transversale. Le questionnaire était anonyme et diffusé via les réseaux sociaux. L’étude s’est déroulée d’Avril à Juillet 2022. Elle interrogeait les femmes ayant pratiqué l’allaitement mixte pour au moins un de leurs enfants. L’objectif était d’étudier les facteurs les ayant amenées à pratiquer un allaitement mixte, à travers leurs connaissances, sources d’information, expérience et accompagnement sur le sujet. L’échantillon était composé de 611 femmes.

    Résultats : Dans notre étude, 11.29% des femmes (groupe 1, n=69) avaient choisi l’allaitement mixte dès la naissance de leur enfant et 88.71% secondairement (groupe 2, n=542). Les déterminants d’un choix initial les plus fréquents étaient : pouvoir laisser donner des biberons aux proches ; faire garder son enfant ; une question pratique, faisable partout où l’on va et donner un biberon quand la maman est fatiguée. Les déterminants d’un allaitement mixte secondaire étaient : la fatigue ; l’impression que le nouveau-né n’est pas rassasié ; la peur d’une mauvaise prise de poids et sur les conseils d’un professionnel. Lors d’un allaitement mixte secondaire, le lait artificiel était introduit pour 58.12% (n=315) dans le premier mois (dont 28,6% (n=155) à la maternité), pour 24.54% (n=133) lors de la reprise du travail et pour 17.34% (n=94) après quatre mois. En ce qui concerne la durée, 24.64% (n=17) des femmes du groupe 1 l’ont pratiqué jusqu’à 6 mois et plus, contre 32.66% (n=177) des femmes du groupe 2. Le taux de satisfaction des femmes était meilleur dans le groupe 1 (84.05% vs 59.96%). La source principale d’information (63%, n=385) était la Sage-Femme, qu’elle soit libérale ou hospitalière.

    Conclusion : Cette étude a montré que l’information auprès des couples en anténatal associée à l’accompagnement par les professionnels dès la naissance, est l’outil clé pour permettre aux parents de prendre leurs marques sereinement quel que soit le mode d’alimentation. Une étude portant sur l’information réellement apportée par les professionnels sur l’allaitement mixte, mise en relation avec le contenu des recherches internet, et le vécu des parents permettrait d’adapter notre discours à la population.

  • État des lieux des connaissances du cycle menstruel par les femmes. Étude descriptive réalisée sur les réseaux sociaux auprès de 733 femmes    - Morisseau Marion  -  26 septembre 2022

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Le cycle menstruel est généralement défini comme l'ensemble des phénomènes physiologiques de la femme préparant son organisme à une éventuelle fécondation. Pour les femmes, le cycle menstruel est un rendez-vous parfois accompagné d’un inconfort, de manifestations physiologiques ou de problèmes de santé. Le connaître représente un atout pour la femme.

    Objectifs de l’étude : L’objectif principal de cette étude était d’évaluer le niveau de connaissances des femmes sur le cycle menstruel. Les objectifs secondaires étaient de mettre en relation le niveau de connaissance avec le profil de la personne interrogée et de recenser les sources d’informations utilisées par ces femmes.

    Matériel et Méthodes : Il s’agissait d’une étude descriptive, transversale réalisée par questionnaire anonyme posté via les réseaux sociaux, réalisée du 20 octobre 2021 au 3 décembre 2021 inclus.

    Résultats : 733 questionnaires ont été analysés. Les résultats ont montré que la population de l’étude était bien informée sur la définition du cycle menstruel, les facteurs responsables des dérèglements et les signes cliniques reliés au cycle car 87,7% de bonnes réponses ont été obtenues sur la totalité du questionnaire. Le niveau d’étude (p=0,04) ainsi que le fait d’avoir fait des études supérieures dans le domaine de la santé (p<0,01) sont des variables associées de manière significative au niveau de connaissances alors que l’âge, la situation personnelle ainsi que les antécédents gynécologiques et obstétricaux ne représentent pas des critères significatifs. S’agissant des sources d’informations utilisées par ces femmes, les cours dispensés en milieux scolaire et enseignements supérieurs représentent la principale source de connaissance pour 30,7% des femmes interrogées.

    Conclusion : Notre étude a montré une très bonne connaissance des femmes sur le cycle menstruel qui reste conditionnée à leur niveau d’études. Les connaissances sur ce sujet peuvent être acquises grâce à de multiples sources d’information : école, Internet, entourage, professionnels. L’éducation au travers des programmes scolaires parait une porte d’entrée pertinente. Les professionnels de santé spécialisés en gynécologie représentent pour les femmes des relais d’information tout au long de leur vie. Eduquer, informer, expliquer représente « le trio gagnant » pour permettre aux femmes de « bien » vivre leur cycle menstruel.

  • Craintes des primipares face au retour à domicile et évolution au cours du premier mois : étude transversale prospective monocentrique menée au CHU de Poitiers du 1er juillet 2017 au 31 janvier 2018    - Rhouy Cassandra  -  05 juin 2018

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : La naissance d’un premier enfant crée de profonds bouleversements dans la vie familiale et apporte d’importantes responsabilités. La préparation à la sortie de la maternité doit donc être optimale. Nous avons voulu connaitre la proportion et l’évolution des craintes des primipares face au retour à domicile.

    Matériel et méthodes : Une étude transversale prospective monocentrique a été réalisée au CHU de Poitiers. Un premier questionnaire a été distribué aux primipares à la maternité afin de quantifier et hiérarchiser leurs craintes. Un deuxième questionnaire leur a été envoyé un mois après leur accouchement pour évaluer le retour à domicile et la satisfaction du séjour à la maternité.

    Résultats : Les résultats ont montré que les trois premières craintes des femmes à la maternité étaient la séparation avec le nouveau-né au moment de la reprise du travail, le manque de temps pour soi et la reprise des rapports sexuels après l’accouchement. Un mois après le retour à domicile, le plus difficile pour les femmes était d’organiser leur temps (p = 0,005), gérer la reprise du travail (p = 0,029) et être bien entourée (p = 0,05). La durée moyenne du séjour à la maternité était de 3,9 jours et 86,5% (n = 83) des mères en étaient satisfaites.

    Conclusion : L’étude a confirmé que la principale crainte des femmes concernait l’enfant, elles craignaient également la nouvelle organisation à adopter au retour à domicile. Avec la diminution de la durée du séjour à la maternité, un accompagnement à domicile était nécessaire afin d’aider les mères à prendre confiance en leur capacités.

  • Craintes des primipares face au retour à domicile : leurs attentes vis-à-vis d’une Sage-Femme de la maternité : Etude qualitative menée au CHU de Poitiers du 26 Octobre 2014 au 10 Janvier 2015    - Thoubey Clemence  -  12 juin 2015

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : La naissance d’un premier enfant n’est pas simple pour les jeunes mères. Or la durée de séjour à l’hôpital après un accouchement tend à diminuer ces dernières années. Nous nous sommes donc intéressés à la préparation des primipares face au retour à domicile.

    Matériel & Méthode : Pour répondre à cette problématique, une étude qualitative a été menée. Les patientes inclues ont été interrogées, à J2 du post-partum, selon une trame de questions ouvertes sur leurs craintes concernant le retour à domicile, ainsi que sur leurs attentes vis-à-vis d’une sage-femme de la maternité.

    Résultats : Les primipares sont extrêmement angoissées par le retour à domicile avec leur enfant. Se positionnant comme novices, elles sont envahies dès les premiers jours par la peur de mal faire, d’être jugée comme des « mauvaises mères ». Un fort sentiment de culpabilité les habite. Elles attendent de la sage-femme des conseils, du soutien, mais aussi et surtout une relation personnalisée et humaine.

    Discussion : L’enfant est au coeur des préoccupations de cette période du post-partum. Elles se mettent elle et leur couple entre parenthèse afin de répondre au mieux aux besoins de leur enfant. Une remise en question globale se fait d’où la grande vulnérabilité des femmes dans cette étape de leur vie. Au vu de ces constats, un soutien approprié et prolongé dans le post-partum semble s’imposer.

    Conclusion : La problématique de la connaissance du réseau périnatal se pose puisque les femmes craignent de se sentir seules et démunies une fois rentrées. Les mères ont du mal à avoir confiance en leurs compétences et sont, pour la plupart, en quête d’un soutien physique et moral, aussi bien de la part de leur entourage que des professionnels de la maternité. Le rôle d’aide et de soutien de la sage-femme est indispensable dans cette étape charnière qu’est la sortie de la maternité. De plus, la mise en place de relais à domicile semble aujourd’hui indispensable à l’accompagnement des femmes dans la parentalité. Le PRADO ne serait-il pas alors une bonne alternative ?

|< << 1 >> >| travaux par page

Haut de page


affiche de communication sur le dépôt des travaux d'étudiants : 215, c'est le nombre de fois où le réveil a sonné trop tôt cette année pour travailler sur mon mémoire. Franchement j'aimerai ne pas être le seul à l'avoir lu ! / Lionel Bernardin / idsworks.com
  • Avec le service Ubib.fr, posez votre question par chat à un bibliothécaire dans la fenêtre ci-dessous ou par messagerie électronique 7j/7 - 24h/24h, une réponse vous sera adressée sous 48h.
    Accédez au formulaire...

 
 

Université de Poitiers - 15, rue de l'Hôtel Dieu - 86034 POITIERS Cedex - France - Tél : (33) (0)5 49 45 30 00 - Fax : (33) (0)5 49 45 30 50
petille@support.univ-poitiers.fr - Crédits et mentions légales