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Nadeau Cédric

Les travaux encadrés par "Nadeau Cédric"

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  • Signes cliniques en lien avec une sécrétion hormonale inappropriée devant faire suspecter une tumeur sécrétante de l'ovaire    - Antonio Téma  -  06 octobre 2022  - Thèse d'exercice

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    Les tumeurs sécrétantes de l'ovaire sont des tumeurs rares pouvant être responsables de signes cliniques précoces en lien avec des sécrétions hormonales. Le diagnostic de ces tumeurs est parfois posé des années après l'apparition de ces signes occasionnant une prise en charge non optimale.

    L'objectif de ce travail est d'identifier les signes devant faire suspecter une tumeur sécrétante de l'ovaire afin d'orienter la prise en charge en s'appuyant sur un cas de tumeur de la granulosa et un cas d'hyperplasie des cellules de Leydig ovarienne diffuse bilatérale.

    En cas de tumeur féminisante, des troubles du cycles, des métrorragies, une infertilité, une imprégnation oestrogénique des muqueuses sont des signes cliniques retrouvés. L'estradiol, l'inhibine B et l'AMH doivent alors être dosés.

    En cas de tumeur virilisante, un hirsutisme, une alopécie, une acné, des troubles du cycle, une hypertrophie clitoridienne, une raucité de la voix sont des signes à rechercher. La testostérone sera le premier dosage à réaliser et sera complété par ceux de la SDHEA, de la 17-OHP, du cortisol libre urinaire, de la SHBG et de la delta-4 androsténédione pour identifier l'origine de la sécrétion. L'échographie pelvienne voire l'IRM pelvienne seront réalisées pour localiser la tumeur. Une prise en charge spécifique des symptômes tels que l'hirsutisme ou l'alopécie sera discutée en plus du traitement de la tumeur.

  • Évaluation de la sécurité du Laser Mona Lisa Touch® dans la prise en charge des séquelles vaginales à la suite des traitements contre les cancers pelviens par radiothérapie    - Petit Marie-Mathilde  -  05 octobre 2022  - Thèse d'exercice

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    L'atrophie vulvo vaginale apparait après la ménopause physiologique ou induite. Elle peut provoquer des dysfonctions sexuelles telles que la dyspareunie, la sécheresse vaginale, les douleurs, l'inconfort et les démangeaisons. Le traitement de première ligne est actuellement les hydratants et lubrifiants, associé aux traitements hormonaux locaux parfois contre indiqués chez les patientes ayant eu un cancer hormono-dépendant. Le Laser Mona Lisa Touch ® est actuellement utilisé dans le cadre de dysfonction sexuelle après le cancer du sein. Les patientes ayant reçues de la radiothérapie pelvienne présentent une importante atrophie vulvo vaginale du fait des conséquences de la radiothérapie au niveau local. A notre connaissance, le laser Mona Lisa Touch n'a jamais été évalué chez des patientes traitées par radiothérapie pour un cancer pelvien.

    Ce traitement peut être de première ligne pour des patientes ayant une contre-indication à la thérapie hormonale, et une seconde ligne de traitement pour celles en échec thérapeutique. Cette nouvelle approche permettrait de proposer une nouvelle possibilité, mais elle nécessite de prouver son innocuité dans un premier temps, puis son efficacité dans un second temps.

    C'est une étude prospective, monocentrique de phase 1. Le recrutement des patientes aura lieu en consultation de gynécologie et d'oncologie, selon les troubles sexuels rapportés. Toutes les patientes seront traitées par le laser CO2 après un examen complet gynécologique pour éliminer les contre-indications. Les patientes bénéficieront de 3 séances laser respectivement à J0, J30 et J60, puis une évaluation clinique à 3 mois et 6 mois de la fin du traitement.

    Durant ces visites, nous recueillerons les effets indésirables et les différents tests de qualité de vie. Il y aura, également, un examen clinique gynécologique. L'objectif principal de l'étude est d'évaluer l'innocuité et la sécurité de la technique de laser CO2 chez les patientes traitées pour des cancers pelvien par radiothérapie. L'objectif secondaire est d'évaluer la qualité de vie sexuelle après le traitement, avec une non-détérioration des scores (QLQ 30, FSFI et VHIS). Ces scores seront évalués à l'inclusion, à chaque session de laser et aux visites de contrôle à 3 et 6 mois de la fin du traitement.

    Nous souhaitons également évaluer la douleur selon l'échelle VAS (0 meilleur état, 10 pire état) sur les points suivants : douleurs vaginales, dyspareunies, brulures, irritation, sécheresse et dysurie. Les bénéfices attendus sur la santé sont une amélioration de la qualité de vie dans une population à risque sans autre solution thérapeutique après la première ligne de traitement, et de proposer une alternative au traitement hormonal souvent contre indiqué dans cette population à risque, ou un complément si celui-ci n'est pas efficace.

  • Évaluation de la survie des patientes opérées en chirurgie première d'un cancer épithélial de l'ovaire de stade avancé avec un haut PCI initial versus après chimiothérapie néoadjuvante    - Mérouze Martin  -  14 octobre 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le cancer de l'ovaire est le 8ème cancer chez la femme en termes d'incidence mais le 5ème en matière de mortalité avec plus de 3000 décès par an. Il est malheureusement diagnostiqué dans 70% des cas à un stade avancé correspondant à une carcinose péritonéale. Le traitement comprend une prise en charge chirurgicale et de la chimiothérapie.

    Matériels et méthodes : Toutes les patientes présentant un cancer épithélial infiltrant de l'ovaire de stade avancé opérées dans le service de gynécologie du CHU de Poitiers entre 2010 et 2018 ont été incluses. L'objectif principal est d'étudier la survie globale des patientes opérées d'un cancer de l'ovaire épithélial infiltrant de stade avancé avec un haut PCI initial en chirurgie première versus chimiothérapie néoadjuvante.

    Résultats : 65 patientes présentant un cancer épithélial infiltrant de l'ovaire de stade III ou IV de la classification de la FIGO 2018 avec un PCI moyen à 20 ont été incluses dans l'étude. 29 patientes dans le groupe chirurgie première et 36 patientes dans le groupe chimiothérapie néoadjuvante. La médiane de survie globale du groupe chirurgie première est de 67 mois soit 5,6 ans contre une médiane de survie de 41 mois soit 3,4 ans pour le groupe chimiothérapie néoadjuvante. La médiane de survie sans récidive du groupe chirurgie première est de 33 mois soit 2,7 ans contre 20 mois soit 1,6 ans dans le groupe chimiothérapie néoadjuvante. Les résultats ne sont pas significatifs. Le taux de chirurgie de cytoréduction complète dans la cohorte globale était de 81%, et de 95% dans le groupe chirurgie première. En analyse multivariée pour la survie globale et la survie sans récidive le facteur pronostic majeur significatif est le résidu tumoral post opératoire non nul, avec RR=5.47 (1.63-18.37)IC95% ; p=0.006 et RR=2.59 (1.07–6.30)IC95% ; p=0.04 respectivement.

    Discussion-Conclusion : L'élément le plus important est donc de réaliser une chirurgie complète sans résidu tumoral en fin d'intervention, si possible première car semblant améliorer la survie globale, ou après chimiothérapie néoadjuvante si la chirurgie complète ne peut pas être réalisée d'emblée, pour ces cancers ovariens infiltrants épithéliaux de stade avancé avec de hauts PCI.

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