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Ghazali Daniel Aiham

Les travaux encadrés par "Ghazali Daniel Aiham"

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  • Prise en charge du nourrisson inconscient par l'urgentiste : impact mémoriel de l'apprentissage de gestes d'urgence pédiatriques par simulation    - Ansquer Raihei Maiwenn  -  19 octobre 2015  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La simulation est devenue une méthode d'enseignement incontournable dans les secteurs à risques du domaine médical. Objectifs : Evaluer l'impact mémoriel de l'apprentissage de gestes techniques rares relevant de l'urgence pédiatrique, sur la performance, lors d'une formation par simulation (DU-GUP) chez les Urgentistes et les Internes en DESC-MU. Matériels et Méthodes : Étude observationnelle analytique. À l'aide d'un questionnaire, 5 groupes qui avaient réalisé le DU-GUP(entre 2000-2015) ou pas ont été constitués. Ils ont été comparés à l'aide d'une échelle validée (TAPAS) lors d'une séance de simulation basse fidélité sur la performance, les délais de réalisation de la séquence, la connaissance, les attitudes et le niveau d'expérience. Résultats : Une perte de performance de 15% à partir de 6 mois après la formation a été retrouvée avec une stabilité entre 2et 3.5 ans et, à partir de 4 ans un nouveau déclin de 35% qui correspondait au même niveau de performance du groupe qui n'avait jamais fait le DU-GUP(p<0.001). Juste après la formation les délais de réalisation étaient plus long, correspondant à une séquence plus complète (90% des actes) dans un contexte de stress plus élevé (p=0.02). A partir de 4 ans et chez les participants sans DU-GUP ont été réalisés moins de la moitié des actes de la séquence (p>0.05). Il n'y avait pas de corrélation entre niveau d'expérience et performance (p=0.39). Conclusion : La performance diminuait à partir de 6 mois avec une perte totale des acquis à quatre ans. Un recyclage avant la quatrième année serait nécessaire. Des entrainements répétés entre les recyclages permettraient aussi une amélioration de la rétention à long terme.

  • Prise en charge de la douleur lors des fractures du col du fémur : évaluation des pratiques professionnelles au sein du Service d'Accueil des Urgences du Centre Hospitalier Universitaire de Poitiers    - Martine-Singer Joana  -  20 juin 2014  - Thèse d'exercice

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    Objectif : Étudier comment améliorer la prise en charge de la douleur lors des fractures de l'extrémité supérieure du fémur aux urgences.

    Matériels et méthodes : Nous avons réalisé une étude rétrospective monocentrique observationnelle lors des fractures du col du fémur, afin d'évaluer les pratiques professionnelles sur la prise en charge de la douleur au service des urgences du Centre Hospitalier Universitaire de Poitiers. Cette étude s'est déroulée sur l'année 2013. Nous avons inclus 222 patients âgés de 65 ans et plus, atteints d'une fracture du col du fémur.

    Résultats : Dans le cadre de l'administration des thérapeutiques, nous remarquons que 172 patients sur 222 ont bénéficié d'un traitement antalgique de palier 1 seul ou en association. 30 patients n'ont reçu aucun traitement. 23 patients ont reçu le traitement de référence (paracétamol et morphine). Seulement 5 blocs ilio-fasciaux ont été réalisés. Nous avons évalué la douleur de 91,9% des patients inclus. La moitié des évaluations sont réalisées dans les 13 premières minutes, il y a une disparité très importante dans le délai d'évaluation (34 min ± 62).

    Conclusion : La lutte contre la douleur lors des fractures du col du fémur des plus de 65 ans n'a pas été optimale. Cette étude vise modestement à évaluer les pratiques professionnelles pour apporter une amélioration de la qualité des soins. En effet, une filière de soins spécifique de prise en charge des patients présentant une suspicion de fracture du col du fémur dès les urgences permettrait, à travers la lutte contre la douleur, d'améliorer le pronostic vital.

  • Le chariot d'urgence au sein des structures hospitalières : analyse de son contenu et évaluation de sa connaissance par les utilisateurs au sein du CHU de Poitiers    - Touron Maxime  -  27 septembre 2013  - Thèse d'exercice

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    Le délai d’intervention d’une équipe médicale d’urgences et de réanimation lors d’une urgence intra-hospitalière est l’un des facteurs essentiels influençant la survie des patients. La réduction de ce délai passe par une formation des équipes et une organisation rigoureuse du matériel utilisé lors de ces interventions. Les chariots d’urgences du CHU (à l’exception de ceux des unités de réanimation et de soins de longue durée [USLD]) ont été uniformisés en Janvier 2006 pour répondre au mieux à ces contraintes organisationnelles, dans une démarche de qualité des soins et de sécurité des patients.

    Au travers d’une étude prospective d’investigation à la fois auprès du matériel (chariots d’urgence) et des utilisateurs potentiels (personnel médical et paramédical des services), nous proposons un état des lieux des chariots d’urgence du CHU de Poitiers. En s’appuyant sur les différentes recommandations, nous mettons en avant une hétérogénéité de la composition des chariots ainsi qu’un manque de connaissances de celui-ci par les utilisateurs. Nous proposons plusieurs axes de progression afin d’envisager des actions correctives, des procédures de vérifications et ainsi maintenir élevée la performance des interventions d’urgences intra-hospitalières liée au contenu et à l’utilisation du chariot d’urgence.

  • DESC de Médecine d'urgence : quel ressenti des futurs praticiens quant à leur formation ? Enquête auprès des étudiants de l'inter région Grand Ouest    - Mesnier Thomas  -  26 septembre 2013  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La Médecine d'Urgence (MU) est une spécialité récente en France. Depuis 2004, la formation est validée par un diplôme d'étude spécialisée complémentaire (DESC). Aucune étude n'a évalué cette formation jusque là. Objectifs : Évaluer le ressenti des étudiants en DESC MU quant à leur formation dans l'inter région Grand Ouest.

    Matériel et méthodes : Enquête déclarative d'opinion. Un questionnaire évaluant la formation théorique et pratique a été envoyé entre juin et juillet 2013 par courrier électronique aux étudiants en première année de DESC MU de l'inter région Grand Ouest. Six domaines étaient abordés : profil des répondants, formation théorique, formation pratique, état de confiance des étudiants et compétences en fin d'internat, post-internat et questions sur la filière de Médecine d'Urgence.

    Résultats : Le taux de réponses était de 70 %. La formation était jugée globalement bonne par 60 % des étudiants. La formation théorique était jugée de bonne qualité par 62 % d'entre eux avec des disparités selon les facultés. 80 % exprimaient que l'enseignement leur avait permis d'améliorer leurs compétences. 65 % jugeaient la formation pratique en quatre semestres insuffisante. L'enseignement de plusieurs gestes techniques leur semblait insuffisant. 98 % pensaient qu'il serait nécessaire de réaliser plus d'enseignements par simulation. Les étudiants se sentaient d'ores et déjà capables d'accueillir et prendre en charge en autonomie des patients consultant aux urgences. 48 % auraient choisi le DES de Médecine d'Urgence si celui ci avait existé au moment de débuter l'internat.

    Discussion : La formation des futurs praticiens en Médecine d'Urgence est jugée satisfaisante par les apprenants dans l'inter région Grand Ouest. Il apparaît essentiel d'y faire participer un nombre croissant de médecins urgentistes et de poursuivre le développement de l'enseignement par simulation. La formation en Médecine d'Urgence doit rester attractive et suivre l'évolution de sa filière universitaire pour que les plus jeunes choisissent cette voie. Cette évaluation de la formation en Médecine d'Urgence devra être répétée et étendue au niveau national afin de contribuer à son évolution et à l'essor de notre spécialité.

  • Patients relevant de la médecine générale consultant aux urgences : caractéristiques de la population et évaluation d'une filière spécifique de prise en charge    - Chaudet Arnaud  -  08 mars 2013  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Les patients consultant pour des problèmes non urgents sont souvent rendus responsables de l'engorgement des services d'urgences. Dans la littérature, ils représentent de 4,8% à 90% de l'activité totale. Une filière de prise en charge spécifique intégrée au sein des urgences est une solution peu préconisée en France. L'objectif de ce travail est d'étudier les patients des urgences relevant de la médecine générale ambulatoire (PUMGA) et d’évaluer l'intérêt de leur prise en charge dans une filière spécifique (filière courte).

    Matériel et méthodes : Durant huit semaines nous avons inclus les patients majeurs consultant spontanément aux urgences adultes du CHU de Poitiers, et sortant sans avoir eu d'examen complémentaire ou d'acte thérapeutique. Un questionnaire leur était proposé sur leurs caractéristiques socio-démographiques, parcours de soins et motivation à choisir les urgences comme lieu d'examen. Nous avons comparé les délais et temps de prise en charge des PUMGA entre les diverses filières de soin. Enfin, les délais de prise en charge des patients évalués graves et le nombre de patients « partis sans attendre » ont été collectés puis comparés avec une période antérieure à l'instauration de la filière courte.

    Résultats : 557 patients ont été inclus (8,7% de l'activité totale) et 355 questionnaires remplis. Ils sont jeunes, masculins et plutôt précaires. 50% consultent en journée, pour des motifs d'ordre traumatologique, rhumatologique et cutané. La nuit, les motifs ophtalmologiques et ORL prédominent. Ils choisissent les urgences pour la spécificité du service (42,9%) et l'indisponibilité de leur médecin (26%). La filière courte permet de diminuer les temps et délais de prise en charge des PUMGA, respectivement de 45,8% et de 26%. Elle est associée à une amélioration non significative du délai de prise en charge des patients évalués graves. En revanche, elle n’a aucun retentissement sur les patients « partis sans attendre ».

    Conclusion : Les patients qui viennent aux urgences de manière réellement inappropriée sont peu nombreux. Une filière de prise en charge spécifique intégrée au sein des urgences est une solution performante permettant d'améliorer la gestion du flux de patients.

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