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Dumas-Ream Isabelle

Les travaux encadrés par "Dumas-Ream Isabelle"

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  • Évaluation des connaissances et représentations des médecins généralistes sur les régimes végétarien et végétalien et de l'impact sur la prise en charge en Nouvelle-Aquitaine    - Lesueur Élodie  -  09 décembre 2021  - Thèse d'exercice

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    INTRODUCTION : En France, le nombre de végétariens et végétaliens ne cesse d'augmenter, pour des raisons écologiques, d'éthique animale ou encore de santé. Les médecins généralistes sont en première ligne pour recevoir ces patients, avec comme objectif principal de promouvoir la santé en limitant de risque de carence. Pour cela, le médecin doit pouvoir déterminer si le régime alimentaire de son patient est équilibré et l'aider dans cette démarche. Mais en France, les recommandations scientifiques sur le sujet sont rares et les représentations du médecin généraliste peuvent alors influencer la prise en charge du patient. Ces représentations, si elles sont négatives, peuvent conduire à des discours non satisfaisants pour le patient et ainsi altérer la relation médecin-patient. OBJECTIF PRINCIPAL : Évaluer l'influence sur la prise en charge des patients végétariens et végétaliens des représentations du médecin généraliste sur ces régimes. MATERIEL ET METHODE. : Il s'agit d'une étude observationnelle transversale analytique multicentrique avec recueil de variables qualitatives auprès d'une population de médecins généralistes exerçant exclusivement en Nouvelle-Aquitaine. Cette analyse était réalisée à partir d'un questionnaire GoogleForm à destination des médecins, invités à répondre par mail. RESULTATS : 234 médecins étaient inclus dans notre étude. Pour le végétarisme, 15,8% y étaient réfractaires et 9% présentait une perception négative envers les végétariens ; pour le végétalisme ces chiffres étaient plus élevés : respectivement 64,1% et 19%. Pour autant, la prise en charge de ces patients, par la détection des carences et la connaissance de l'impact des régimes sur la santé, ne différait pas significativement selon les représentations des médecins. 34% et 20% des médecins connaissaient les nutriments à risque de carence pour le végétarisme et le végétalisme. DISCUSSION : Notre étude ne permettait pas de mettre en lien une différence de prise en charge selon les représentations des médecins. Celles-ci étaient d'ailleurs comparables à celles de la population générale avec une perception plutôt positive du végétarisme et une vision plus réfractaire sur le végétalisme. D'ailleurs, les médecins avaient tendance à déconseiller ces régimes plus fréquemment et de façon significative par rapport aux médecins enthousiastes ou neutres. Finalement, la proportion de médecin capables de déterminer correctement l'impact de ces régimes sur la santé était faible, malgré leur intérêt pour le sujet. Cette tendance peut s'expliquer par l'absence de recommandations en France et le manque de formation proposées sur le sujet.

  • La prévention quaternaire en médecine générale : perception, freins et applications possibles : étude transversale descriptive auprès de 67 médecins généralistes de la Charente    - Butaud Céline  -  16 novembre 2017  - Thèse d'exercice

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    Objectif : La prévention quaternaire est un type de prévention peu représentée dans la littérature médicale française. L'objectif de notre étude est d'évaluer la perception et la connaissance de la prévention quaternaire chez les médecins généralistes charentais ainsi que, dans un second temps, de connaître leurs opinions sur les freins à son application et les solutions envisagées.

    Matériel et méthode : Cette enquête transversale descriptive quantitative a été menée du 24 juin au 31 août 2016, par l'intermédiaire d'un questionnaire envoyé par mail pour certains et par voie postale pour les médecins dont nous n'avions pas les adresses mail. Ce questionnaire était composé de trois parties : le profil des médecins, leurs perceptions de la surmédicalisation et leurs connaissances de la prévention quaternaire, et enfin leurs opinions sur les freins à sa mise en place et les solutions pour y remédier. Les paramètres susceptibles d'influencer leurs jugements, tels que le sexe, l'âge ou le lieu d'installation, ont été recherchés par l'intermédiaire des tests de Fischer et du Chi2.

    Résultats : Au total, 67 médecins ont participé à l'étude. Pour 94% d'entre eux, il existe un réel phénomène de surmédicalisation en France. La majorité (81%) considère également que plus d'un examen prescrit sur cinq seraient inutiles et un quart d'entre eux pensent que cela représente la moitié des examens prescrits. Pourtant lorsqu'on les interroge sur leur propre pratique, 28% des médecins déclarent prescrire au quotidien des examens complémentaires qu'ils jugent inutiles et, sous la pression des patients, ce chiffre s'élève à 60%. Aucune différence statistiquement significative n'a été retrouvée entre le sexe, l'âge et le lieu d'installation et les habitudes de prescription. Seuls 15% des médecins interrogés connaissent le concept de prévention quaternaire, alors que 87% déclarent l'appliquer au quotidien sans le savoir. La prévention quaternaire apparaît pour la grande majorité (94%) comme un enjeu de santé publique. Les freins les plus fréquemment cités sont : la pression des patients, la peur de méconnaître un diagnostic et la peur du risque judiciaire. Les solutions pour y remédier sont par ordre de priorité : l'information des patients, la réalisation d'un dossier médical informatisé et la formation des professionnels de santé.

    Conclusion : La prévention quaternaire est encore peu connue parmi les médecins généralistes charentais même s'ils sont conscients d'un phénomène de surmédicalisation. L'information des patients, la formation des soignants et la généralisation du dossier médical informatisé semblent être les mesures prioritaires vers une meilleure prise en charge des patients.

  • Prévention quaternaire chez les internes en médecine générale    - Fossat India-Marie  -  13 décembre 2016  - Thèse d'exercice

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    Objectif : État des lieux des connaissances des IMG de la région Poitou-Charentes en matière de prévention quaternaire, et évaluer dans un second temps leurs besoins en formation et leur intérêt à se former à cette prévention.

    Matériels et méthodes : Nous avons réalisé du 21 Juin 2016 au 05 Septembre 2016 une enquête observationnelle, descriptive, quantitative en région Poitou-Charentes. Un questionnaire anonyme a été diffusé par mail avec un lien internet pour les réponses. La population étudiée était l'ensemble des internes inscrits au DES du DMG de la faculté de médecine de Poitiers, des années universitaires correspondant aux promotions 2013-2014, 2014-2015 et 2015-2016.

    Résultats : Le degré de sensibilisation au diagnostic de situation depuis le début de l'internat était élevé pour la majorité des internes interrogés, soit 51% (n=55), modéré pour 25% (n=27), et très élevé pour 18% (n=19). Au moment de l'enquête, les participants étaient 76% (n=82) à avoir validé un RSCA . Le degré de sensibilisation aux principes de l‘EBM depuis le début de l'internat était quant à lui élevé pour la majorité des internes interrogés, soit 44% (n=47), modéré pour 30% (n=32) et très élevé pour 13% (n=14). Parmi les IMG restants, 17% (n=18) qui avaient déjà entendu parler de la P4, soit 18 des 108 participants, seuls 12 avaient tenté d‘expliquer en une phrase le principe de prévention quaternaire, dont 3 ayant déclaré ne plus s‘en souvenir. 6 d'entre eux avaient donné une explication correcte ou se rapprochant de la définition de la P4. La moitié d'entre eux, soit 51% (n=55), ne pensaient pas être pleinement formés à la protection du patient. Le thème du séminaire pour lequel les internes interrogés avaient eu le plus d'intérêt, au moment de l'enquête, était celui concernant la relation médecin-patient, soit 44% (n=48). En GEAPI, c'est le thème de l‘incertitude qui les avait intéressés le plus, soit 28% (n=30). La très grande majorité, soit 89% (n=96) des internes interrogés déclaraient être intéressés par une formation sur la P4.

    Conclusion : Cette étude montre que la P4 selon le modèle relationnel est mal identifiée, peu connue voir inconnue des IMG en Poitou-Charentes ayant participé à cette enquête. Pourtant, les IMG, semblent avoir besoin d'outils pédagogiques comme ceux de la P4, ce qui leurs permettraient une meilleure compréhension de la complexité de la relation médecin-patient, ainsi qu'une meilleure gestion de leurs propres doutes et de ceux de leur patient.

  • Les résistances des médecins généralistes à la substitution aux opiacés‎ : regard sur les pratiques à la marge des réseaux    - Bastiat François  -  17 janvier 2013  - Thèse d'exercice

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    Introduction : En France, les patients qui nécessitent un traitement de substitution aux opiacés, ont des difficultés à se faire prendre en charge dans de bonnes conditions, dans certains secteurs où les réseaux ville-hôpital toxicomanie sont peu ou mal implantés. Que faudrait-il faire pour améliorer ces conditions de prise en charge ?

    Méthode : Nous avons réalisé une enquête qualitative dans le secteur de la ville de Cognac, au moyen d'entretiens semi-directifs auprès de douze médecins généralistes. Les entretiens ont été enregistrés sur un dictaphone et retranscrit sur un corpus, qui a été analysé de manière thématique et transversale.

    Résultats : Les résistances principales au suivi des patients usagers d'opiacés sont la surcharge d'activité et le manque de ponctualité, le sentiment d'isolement par rapport au CSST avec qui la majorité n'a pratiquement pas de contact, le manque de connaissance, que l'on retrouve aussi dans l'insatisfaction par rapport aux objectifs de décroissance de dose, qui n'est pas un critère pertinent à prendre en compte. L'image du patient usager de drogues n'apparait pas péjorative dans l'ensemble, il n'y a pas eu de plaintes par rapport au comportement. Les médecins qui s'investissent un peu se plaignent de voir trop de patients, un médecin n'exerce plus suite à des sanctions, générant un afflux de patients. Les autres médecins ont tendance à leur adresser les nouveaux patients. Les médecins ne souhaitent pas se spécialiser malgré eux.

    Discussion : Malgré un recrutement faible inhérent au terrain de l'étude, les résultats sont en accord avec les données de la bibliographie. La prise de contact avec le réseau serait plus bénéfique que la formation. Un axe de réflexion pour imposer des quotas de suivi pour les médecins serait bénéfique pour les médecins et les patients.

  • Evaluation de la pertinence du recours à une structure des urgences des patients adressés par le médecin généraliste : étude réalisée au centre hospitalier d’Angoulême en Charente    - Onno Maëlla  -  20 décembre 2012  - Thèse d'exercice

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    OBJECTIF : L'objectif de notre étude est d'évaluer la pertinence du recours à des structures d'urgences des patients adressés par le médecin généraliste et ainsi, d'identifier les améliorations à apporter dans ce contexte.

    METHODE : Il s'agit d'une étude rétrospective et monocentrique concernant tous les patients adressés par le médecin généraliste à la structure des urgences du CH d'Angoulême pendant les jours et heures d'ouverture des cabinets libéraux de médecine générale sur une période de deux semaines soit, du lundi 9 janvier 2012 au vendredi 20 janvier 2012. L'outil d'analyse était une fiche de recueil de données contenant une grille d'évaluation de la pertinence inspirée de la version française de l'Appropriateness Evaluation Protocol (AEP).

    RESULTATS : Au total, 203 patients ont été inclus. Les recours non pertinents représentaient un taux de 5,4%. Parmi eux, 55% des personnes étaient âgées de 75 ans ou plus. La demande d'avis diagnostique et/ou thérapeutique (45,4%) ainsi que l'aide sociale (36,3%) représentaient les principaux besoins de ces patients. Les lieux d'hébergement les mieux adaptés étaient le domicile (54,6%) et les structures d'hébergement (45,5%). Les raisons expliquant le recours étaient la décision médicale (36,3%) puis la décision du patient et/ou sa famille (27,3%) et l'organisation des soins (27,3%).

    CONCLUSION : Le recours des patients adressés par le médecin généraliste à la structure des urgences du CH d'Angoulême est majoritairement pertinent. Toutefois, des améliorations sont possibles afin de diminuer le taux de recours non pertinents et ainsi, améliorer la prise en charge du patient.

  • Dysfonction érectile : quels sont les facteurs influençant le recours au médecin traitant ?    - Hicquel Nicolas  -  10 décembre 2012  - Thèse d'exercice

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    La dysfonction érectile (DE) est une pathologie fréquente, plus de 30% des hommes de plus de 40 ans en sont atteints en France. Elle retentit sur la qualité de vie et est associée à de multiples pathologies tant organiques que psychogènes. Malheureusement, bien qu'il y ait de nombreux traitements ayant prouvé leur efficacité, peu de patients consultent pour dysfonction érectile (moins de 30 % consultent leur médecin pour cette raison). Devant ce constat nous avons donc porté notre étude sur les facteurs influençant le recours au médecin traitant pour dysfonction érectile.

    Notre étude descriptive a été réalisée entre Décembre 2011 et Février 2012 dans les cabinets de Médecine Générale de la région Poitou-Charentes. 164 patients de plus de 45 ans ont été interrogés à l'aide d'un auto questionnaire, les patients ont été sélectionnés sans autres critères que celui de l'âge. La prévalence de la DE était déterminée à l'aide de la question de McKinlay et les facteurs incitant ou dissuadant les patients de consulter leur médecin traitant ont été tirés de plusieurs articles de la littérature.

    Dans notre étude, 52,4% des patients sont atteints de dysfonction érectile et 31,4 % d'entre eux l'ont signalée à leur médecin traitant. Les raisons incitant les patients à consulter leurs médecin traitant sont : la recherche d'une aide médicamenteuse (51,9%), le retentissement psychologique de la DE (33,3%), le retentissement négatif sur leur vie de couple (25,9 %), car la DE les dévalorisaient (22,2%), l'insistance de leur conjointe (18,5%), de connaitre la cause de leur DE (7,4%). Les raisons dissuadant les patients de consulter leur médecin traitant sont : la conviction que la DE est due au vieillissement (71,2 %), la DE n'est pas un problème (16,9%), ils en ont déjà parlé à un spécialiste (15,2%), leur médecin est de sexe féminin (5,1%), le manque de moyens pour financer le traitement (1,7%).

    Le désir d'un traitement efficace, le retentissement psychologique et relationnel sont les raisons principales incitant les patients à consulter. Les raisons dissuadant les patients de consulter sont de l'ordre de fausses croyances (DE lié au vieillissement) ou liées à des barrières psychologiques (honte). Ces raisons montrent bien que les médecins généralistes ont un rôle d'information et d'écoute important et qu'ils ne doivent pas hésiter à prendre l'initiative de parler de la DE.

  • Nouvelles formes de coopération en médecine générale : enjeux, freins, et applications possibles : enquête d'opinion auprès de 85 médecins généralistes de la Charente    - Gaborit Claire  -  30 novembre 2012  - Thèse d'exercice

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    Introduction : En France, la démographie médicale va subir une baisse inéluctable de ses effectifs au cours des 10 prochaines années. Parallèlement, les besoins de santé augmentent compte tenu de l'accroissement attendu de la population et notamment dans sa tranche la plus âgée. Se posent alors les questions de l'optimisation, de l'organisation des soins et de la prise en charge des patients. C'est dans une logique de substitution et de diversification des activités que les réflexions sur le projet de « Nouvelles Formes de Coopérations » (=NFC) entre les professionnels de santé ont commencé à voir le jour. Il nous a paru pertinent, dans ce contexte, d'étudier l'opinion des Médecins Généralistes du département de la Charente, sur ces NFC. En effet, la Charente est un département particulièrement exposé à cette pénurie de médecins.

    Matériel et Méthode : Pour connaître l'opinion des Médecins Généralistes de la Charente sur ce partage des compétences, nous avons choisi de réaliser une enquête transversale descriptive. Un questionnaire a été envoyé par mail et par voie postale pour les médecins dont nous n'avions pas l'adresse mail. Il se composait en trois parties : le profil des médecins, le type de coopérations possibles et leur opinion sur le sujet. Nous avons étudié plusieurs paramètres, à partir de tests de Fisher et de Chi2, afin de voir s'ils constituaient des facteurs influençant l'avis des médecins, tels que l'âge, le sexe, le lieu d'exercice ou encore le mode d'exercice.

    Résultats : Notre étude met en évidence de façon significative (p<0,001) que les médecins maîtres de stage sont plus informés et connaissent davantage les réseaux, tel qu'ASALEE, par rapport aux autres médecins. Ils sont également davantage prêts à s'investir dans la formation des paramédicaux, selon un test de Chi2 significatif (p=0,0025). De façon générale, les médecins sont très favorables à déléguer l'éducation du patient à un paramédical (95% de l'échantillon) ; tout comme le dépistage, où ils sont 81% à être favorables. Selon un test de Chi2 avec un p= 0,013, nous constatons que travailler seul constitue un frein à la mise en place ce type de coopérations ; de la même façon, d'après un test de Chi2 avec un p=0,0046, être âgé de plus de 50 ans constitue un obstacle au développement de ce partage de compétences.

    Conclusion : Les NFC peuvent être une des solutions d'avenir, mais elles ne pourront pas se mettre en place de façon pérenne sans quelques aménagements. Les pouvoirs publics devront faciliter les protocoles et modifier notre législation. Le véritable enjeu de la désertification médicale est de rendre la médecine générale attractive pour faire face à la demande de soins croissante qui attend les médecins généralistes les prochaines années. Favoriser le regroupement des professionnels est à encourager pour essayer de séduire les jeunes générations à s'installer. Ainsi on pourra peut-être un jour, voir se développer les NFC avec de futurs médecins qui seront prêts à s'investir dans cette voie.

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