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Chane-Ching Jean-Vincent

Les travaux encadrés par "Chane-Ching Jean-Vincent"

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  • Étude de la prise en charge de la fibrillation atriale aux urgences du Centre Hospitalier de Saintes    - Bonnaure-sorbier Alice  -  21 octobre 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La fibrillation atriale est le trouble du rythme le plus fréquemment rencontré dans les services d’accueil des urgences. Elle engendre un coût non négligeable pour le système de santé. En 2015, la SFMU, en association à la Société française de Cardiologie a publié de nouvelles recommandations concernant la prise en charge de la FA.

    L’objectif principal de cette étude était de faire un état des lieux de la prise en charge de la FA aux urgences de Saintes. L’objectif secondaire est de comparer ces prises en charge aux recommandations de la SFMU parues en 2015.

    Matériel et méthode : Nous avons réalisé une étude sur une période de 30 mois, de janvier 2016 à juillet 2018, recensant tous les patients présentant une FA au Service d’Accueil des Urgences du CH de Saintes, de manière rétrospective sur dossiers. Aucun critère d’exclusion n’a été retenu.

    Résultats : Nous avons inclus un total de 122 patients, dont 49.2% d'hommes. L'âge moyen est de 72.9 ans et 66% des patients présentaient une FA non connue. Les signes cliniques de FA sont prépondérants dans les motifs d'admission. Un facteur déclenchant a été retrouvé chez 21% des patients, avec pour majorité l’insuffisance cardiaque (31%), les infections (31%) et l’alcool (15%). 17,9 % des dossiers comprenaient le score CHAD2DS2-VASc, 9,8% score HAS BLED. L'anticoagulation par HEPARINE (39%), RIVAROXABAN (30%) et APIXABAN (25%) est prédominante, et le ralentissement par BISOPROLOL est majoritaire (79%). Les patients sont revus en général à un mois (41%). Nous avons pu montrer de manière significative (p<0,05) que l’algorithme des recommandations de la SFMU n’étaient pas suivi de manière optimale sur plusieurs critères.

    Conclusion: Notre étude montre une prise en charge perfectible dans le recueil des données, qui peuvent influer sur la prise en charge thérapeutique. Des améliorations sont proposées, telles que la mise en place d'un protocole de service, une filiarisation de cette pathologie et un besoin de formation du personnel.

  • Prise en charge des femmes victimes de violences par les médecins et sages-femmes des urgences et des maternités des centres hospitaliers de Charente-Maritime : état des lieux et obstacles    - Chaumont Maxime  -  17 décembre 2018  - Thèse d'exercice

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    Introduction : En France, une femme meurt tous les trois jours victime de son conjoint ou ex-conjoint. L'objectif principal de cette étude est d'analyser la prise en charge des femmes victimes de violences (FVV) dans les services d'Urgences et Maternités des Centres Hospitaliers (CH) de Charente-Maritime. L'objectif secondaire est la mise en évidence d'obstacles à une prise en charge optimale.

    Matériel et Méthode : Nous avons réalisé une enquête de pratique, observationnelle et descriptive sous la forme d'un questionnaire destiné aux urgentistes, gynécologues-obstétriciens et sages-femmes des CH de Charente-Maritime du 17 mars au 4 juillet 2018.

    Résultats : 78 praticiens ont répondu au questionnaire. 10% estimaient n'avoir vu aucune FVV en 2017 et aucun gynécologue-obstétricien ne posait systématiquement la question des violences à ses patientes. Dans 36% des cas, la patiente consultait pour un motif gynéco-obstétrical et dans 35% pour une demande de certificat médical initial (CMI). 91% des sages-femmes et 71% des gynécologues-obstétriciens ne rédigeaient pas de CMI et 50% des urgentistes le rédigeaient systématiquement et avec détermination de l'Incapacité Totale de Travail. Il existait une différence significative entre les trois groupes de praticiens dans le fait de rédiger le CMI dans de bonnes modalités (p<0,0001). Les résultats sur le critère secondaire ont montré que les praticiens formés repéraient plus de FVV (p<0,0001), qu'ils étaient plus à l'aise dans la gestion de ces consultations et 82% des praticiens souhaiteraient être formés sur le réseau local existant.

    Conclusion : Cette étude montre la nécessité de former les professionnels de santé afin d'améliorer le repérage des FVV, de promouvoir la bonne rédaction systématique du CMI et de favoriser la prise en charge en réseau de ces patientes.

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affiche de communication sur le dépôt des travaux d'étudiants : 215, c'est le nombre de fois où le réveil a sonné trop tôt cette année pour travailler sur mon mémoire. Franchement j'aimerai ne pas être le seul à l'avoir lu ! / Lionel Bernardin / idsworks.com
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