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Asquier Louis

Les travaux encadrés par "Asquier Louis"

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3 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1 à 3
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  • Prise en charge des patients immigrés par les médecins généralistes du bassin de vie de La Rochelle    - Garatain Estelle  -  30 janvier 2020  - Thèse d'exercice

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    En 2015, la population immigrée représentait 10% de la population française. Des études ont observé une dégradation de l'état de santé des immigrés sur ces trente dernières années. La prise en charge des immigrés constitue un véritable enjeu de santé publique et repose en grande partie sur les médecins généralistes.

    Nous avons réalisé une étude descriptive afin d'évaluer les difficultés et les inquiétudes des médecins généralistes du bassin de vie de La Rochelle à prendre en charge des patients immigrés. Nous avons également étudié le lien entre les médecins généralistes et la PASS de La Rochelle. Nous avons diffusé un questionnaire auprès de 199 médecins généralistes. 76.2% des médecins généralistes déclarent suivre des immigrés dans leur patientèle et 56.7% déclarent avoir des difficultés ou des inquiétudes concernant leur prise en charge. Leurs difficultés concernent la barrière linguistique et/ou culturelle, les besoins spécifiques en matière de soin, et les difficultés administratives et/ou sociales.

    Plus de 50% des médecins ne connaissent ni la PASS ni son rôle et les patients sont adressés en suite de prise en charge dans moins de 20% des cas. Cette étude suggère que les populations immigrées rencontrées en ville et à la PASS ne sont pas les mêmes (plus grande précarité sociale à la PASS).

    Il parait prioritaire de développer des outils à destination des médecins généralistes comme développer l'accès à l'interprétariat en médecine de ville, développer un carnet de santé ou un dossier médical partagé, intégrer différents professionnels de santé et renforcer le réseau ville-hôpital.

  • Les motivations et les freins à l'exercice de Médecin Correspondant du SAMU : étude descriptive qualitative auprès des internes de médecine générale du Poitou-Charentes    - Grisoni Adrien  -  05 octobre 2019  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le dispositif Médecins Correspondant du SAMU (MCS) officialisé en 2007 semble être une réponse efficace à l’objectif de l’accès aux soins urgents pour tous en moins de 30 minutes. Malgré une politique de recrutement, la présence des MCS est inégalement distribuée sur le territoire français comme la Charente Maritime qui n’en possède plus depuis 2018. Cette étude s’intéresse à l’ensemble des internes de médecine générale de la région Poitou-Charentes et s’efforce d’explorer leurs freins et leurs motivations à rejoindre le dispositif.

    Matériel et Méthode : Les formulaires ont été complétés en ligne et sur papier par les internes de médecine générale du Poitou-Charentes du 14 mars au 14 juillet 2019 de façon anonyme. Une courte présentation du dispositif précédait un ensemble de 34 QCM explorant les éventuelles motivations et les différents freins à rejoindre le dispositif. Le critère de jugement principal était la connaissance de la fonction MCS avant la participation à l’étude.

    Résultats : Dans notre étude, 206 formulaires ont été analysés soit 59.5% de la population cible. Ils étaient 52.4% des internes interrogés à estimer ne pas connaitre le dispositif de MCS avant de répondre à l’étude, ceux en ayant eu connaissance l’avaient été par le bouche-à-oreille à 44.9%. Le frein principal était pour 34.5% la peur des contraintes organisationnelles, dont 85.4% sur la gestion du temps. Parmi les autres freins, 33.9% évoquaient d’abord la peur de ne pas être performant en cas d’urgence vitale avec une anxiété moyenne estimée à 6.6/10 et des compétences à 5.6/10 face à l’urgence. Le manque d’intérêt est évoqué en priorité pour 12.4% des internes. La rémunération n’est pas déterminante selon 55.8% des internes, elle est estimée à 100€ pour une sortie. Ils sont 85.0% des internes à estimer qu’un médecin installé en milieu rural doit s’investir dans les urgences vitales à proximité de son cabinet, de plus ils sont 79.1% à estimer que la formation MCS serait bénéfique à leur pratique quotidienne.

    Conclusion : La majorité des internes de Médecine Générale du Poitou-Charentes ne connaissaient pas la fonction MCS, ce qui semble être la première limite à l’adhésion au dispositif. Les autres freins sont la peur de ne pas être performant, malgré une formation à l’urgence qu’ils jugent correcte, une difficulté organisationnelle principalement sur la gestion du temps, et un manque d’intérêt par certains pour la médecine d’urgence. La principale motivation reste le gain de chance pour le patient, la formation initialement dispensée est également un argument. La rémunération ne semble pas être un élément déterminant majeur.

  • Traumatisme crânien léger chez le patient sous anticoagulant ou antiagrégant : étude du respect des recommandations au Centre hospitalier de La Rochelle    - Masse-Baret Ségolène  -  05 octobre 2018  - Thèse d'exercice

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    Objectifs : En 2012, la SFMU a publié des recommandations sur la prise en charge des patients victimes d'un traumatisme crânien léger. Face à l'augmentation du nombre de passages aux Urgences, au vieillissement de la population et au nombre croissant de patients sous antiagrégant et anticoagulant, nous avons décidé d'analyser le respect de ces recommandations au Centre Hospitalier de La Rochelle. L'objectif principal de notre étude était donc d'analyser le respect de ces recommandations chez les patients sous antiagrégant ou anticoagulant. Les objectifs secondaires étaient de décrire la prise en charge et les caractéristiques de ces patients au sein de la filière des traumatisés crâniens.

    Méthodes : Il s'agissait d'une étude rétrospective monocentrique d'avril 2016 à juin 2017, tous les patients de plus de 18 ans sous antiagrégant ou anticoagulant présentant un traumatisme crânien léger étaient inclus. Nous avons étudié le respect des recommandations chez ces patients ainsi que leurs caractéristiques et celles de leur prise en charge.

    Résultats : Nous avons inclus 194 patients dans notre étude. Les recommandations ont été respectées chez 4/101 (5,94 %) patients sous anticoagulant et 1/93 (1 %) des patients sous antiagrégant. Aucun scanner à H+24 n'a été réalisé mais 121/194 (62,37%) scanners ont été réalisés dont 15/121 (12%) étaient anormaux. Il y a eu 1/194 (0,052%) patient qui a bénéficié d'une intervention chirurgicale dans les suites de son traumatisme.

    Conclusion : Le respect des recommandations n'est pas optimal ce qui doit amener à nous remettre en question via la création d'un protocole de service mais aussi via une nouvelle sensibilisation de l'équipe médicale à ce sujet. D'une manière plus globale, une mise à jour de ces recommandations est à envisager au vu de l'évolution des données et des pratiques professionnelles.

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