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Dernières soutenances

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  • Évaluation du glissement pleural en échographie dans le contrôle du positionnement de la sonde d'intubation orotrachéale aux urgences du CHU de Poitiers    - Huguenotte Fabien  -  25 avril 2018  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Notre travail évaluait l'intérêt de l'étude du glissement pleural en échographie pleuro-pulmonaire dans le contrôle du bon positionnement endotrachéal de la sonde d'intubation, en comparaison avec l'auscultation pulmonaire, chez les patients intubés aux urgences ou en pré-hospitalier.

    Méthodes : Étude monocentrique, prospective, non-interventionnelle, en simple aveugle, sur une durée de 12 mois, incluant les patients majeurs intubés aux urgences du Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Poitiers, ou en pré-hospitalier puis admis aux urgences. L'objectif principal était d'évaluer l'apport de l'étude du glissement pleural en échographie, en comparaison avec l'auscultation pulmonaire, dans le contrôle du bon positionnement endotrachéal de la sonde d'intubation. Les objectifs secondaires étaient d‘évaluer les facteurs associés au mauvais positionnement de la sonde d'intubation, les difficultés rencontrées par les praticiens et la fréquence du positionnement à risque d'intubation bronchique (≤ 2 cm de la carène).

    Résultats : Au total, 50 patients ont été inclus, comprenant 31 hommes et 19 femmes d'âge médian de 57 ans. Cinq intubations sélectives (10%) ont été retrouvées. L'étude du glissement pleural était associée à une sensibilité de 80 % (IC 95%, 44,9-100) et une spécificité de 100 % (100-100) alors que l'auscultation pulmonaire était associée à une sensibilité de 20 % (0-55) et une spécificité de 84,4% (73,8-95), (p<0,05). Aucun facteur étudié n'était significativement associé à la sélectivité de l'intubation. La difficulté de la réalisation de l'échographie était jugée faible par les médecins, avec une médiane de 1,5/10 (EI = 1). Cinq patients (10%) avaient un positionnement de leur sonde à risque d'intubation bronchique.

    Conclusion : La sensibilité et la spécificité de l'étude du glissement pleural en échographie était supérieure à l'auscultation pulmonaire dans la détection du bon positionnement de la sonde d'intubation chez les patients intubés en situation d'urgence intra ou pré-hospitalière.

  • La prise de décision partagée dans la réalisation du dépistage du cancer du col de l'utérus : évaluation des aides à la prise de décision partagée disponibles en France et au Royaume-Uni    - Dernoncourt Marion  -  24 avril 2018  - Thèse d'exercice


  • Comparaison entre Misoprostol et Sulprostone pour le déclenchement des interruptions médicales de grossesse et morts fœtales in utero en cas d'uterus cicatriciel    - Bertherat Pauline  -  24 avril 2018  - Thèse d'exercice

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    Objectif : L'objectif de cette étude était de comparer l'efficacité du misoprostol et du sulprostone pour le déclenchement du travail en cas d'interruption médicale de la grossesse (IMG) et de mort fœtale in utero (MFIU) au deuxième et au troisième trimestre de la grossesse chez les patientes ayant un antécédent d'utérus cicatriciel, avec deux protocoles similaires.

    Matériel et Méthode : Il s'agit d'une étude comparative rétrospective multicentrique menée dans quatre centres hospitaliers universitaires français entre le 1er janvier 2009 et le 31 décembre 2014. Nous avons recueilli les données de toutes les femmes ayant un antécédent d'utérus cicatriciel et un déclenchement artificiel du travail pour une IMG ou une MFIU au deuxième et au troisième trimestre de la grossesse. Les quatre centres avaient le même protocole d'induction du travail, excepté le type de prostaglandine utilisé. Le premier jour, 600 mg de mifépristone étaient administrés par voie orale, le soir du deuxième jour, des laminaires étaient placés dans le col utérin. Le troisième jour le travail était déclenché avec du misoprostol dans deux centres et du sulprostone dans les deux autres centres. Un fœticide était réalisé avant le déclenchement en cas d'IMG à plus de 22 semaines d'aménorrhée. Le misoprostol était utilisé par voie intravaginale : 1 comprimé de 200 mg toutes les 4 heures. L'administration de sulprostone consistait en une injection intraveineuse de 500 μg toutes les 10 heures. Le critère de jugement principal était le délai entre l'induction du travail et l'expulsion fœtale. Les critères de jugement secondaires étaient l'absence d'expulsion dans les 24 heures suivant le début de l'induction et la survenue de complications maternelles dans les 6 semaines post partum.

    Résultats : L'efficacité du misoprostol et du sulprostone est équivalente. Le délai d'expulsion est similaire (5h pour le misoprostol et 6,5h pour la sulprostone, p = 0,5) et le succès des deux protocoles est également équivalent avec 97,7% et 96,6% de taux d'expulsion en moins de 24 heures, respectivement (p = 0,65). Il n'y a pas de difference en terme de morbidité per et post partum.

    Conclusion : Le misoprostol et le sulprostone ont la même efficacité pour induire le travail en cas d'IMG et MFIU chez les patientes ayant un antécédent d'utérus cicatriciel, quel que soit le terme de la grossesse et le nombre de césariennes antérieures. La sécurité est bonne dans les deux cas, mais le nombre de patientes inclues est trop faible pour étudier des événements très rares comme la rupture utérine.

  • L’écriture créative : outils et dispositifs à l’école primaire. Ecrire sur la sensation en littérature jeunesse et à partir d’oeuvres d’art en cycle 3    - Baribaud Charlene  -  24 avril 2018

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    Pendant longtemps, l’activité créatrice ou imaginaire n’a pas eu de place légitime à l’école. Le réel changement s’opère dans les programmes de 2015. Une des solutions envisagées est la pratique d’ateliers d’écriture. Ce dispositif a été testé sur une classe de cycle 3 autour des sensations. Les élèves ont été incités à développer leur imaginaire notamment en écrivant à partir de tableaux.

  • Écologie et incidence des infections après chirurgie rachidienne : étude prospective incluant 2706 patients    - Peltier Charles  -  20 avril 2018  - Thèse d'exercice


  • Utilisation des opioïdes forts dans le traitement de la douleur chronique non cancéreuse en centre de traitement de la douleur    - Rannou Delphine  -  17 avril 2018  - Thèse d'exercice

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    Objectif : Étudier l'évolution sur environ un an de la dose équianalgésique de morphine orale chez des patients arrivant sous opioïdes forts en Centre de Traitement de la Douleur.

    Méthodes : Il s'agissait d'une étude descriptive rétrospective sur dossiers médicaux du Centre Régional d'Etude et de Traitement de la Douleur du CHU de Poitiers sur des consultations de première fois entre le 1er janvier 2015 et le 31 juin 2015. Tous les dossiers de premières consultations ont été étudiés avec un recueil de données concernant la dose équianalgésique en morphine, le type de traitement par opioïdes, la pathologie, les caractéristiques des patients et les moyens mis en œuvre pour les prendre en charge.

    Résultats : 45 dossiers ont été inclus dans cette étude, 39 dossiers ont pu être étudiés avec un suivi en moyenne à 10,5 mois. Il y avait une diminution significative de la dose équianalgésique en morphine orale (p=0,04). Il n'y avait pas d'autre lien significatif mis en évidence entre cette diminution et les autres données recueillies à part une tendance à la diminution avec l'âge.

    Conclusion : Le suivi en CRETD semble amener à une diminution de la dose équianalgésique en morphine orale lorsque ce traitement était prescrit avant le début du suivi. Cela questionne sur le moment pour débuter un suivi en CRETD lors d'un traitement par opioïdes forts. La faible puissance de cette étude ne permet pas de retrouver de facteurs favorisant cette diminution et le type de recueil de données ne permettait pas de connaître l'impact de cette diminution sur la qualité de vie des patients.

  • Étude des facteurs cognitifs associés à la résistance aux traitements dans le trouble obsessionnel compulsif : approches dimensionnelle et translationnelle    - Doolub Damien  -  17 avril 2018  - Thèse d'exercice


  • Dépistage du syndrome d'apnées du sommeil par ApnéaLink™ avant ablation de fibrillation atriale : étude PREVASAS    - Perales Aurélie  -  16 avril 2018  - Thèse d'exercice

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    Contexte : Le syndrome d'apnées du sommeil est fréquemment associé à la fibrillation atriale (FA). Il constitue un facteur de risque de récidive après ablation de fibrillation atriale. La méthode diagnostique de référence est peu accessible. Il existe un moyen de dépistage plus simple, l'ApnéaLink™.

    Objectif : L'objectif de cette étude était de déterminer les éléments de l'ApnéaLink™ prédicteurs de récidive de FA après ablation.

    Méthodes : Cette étude rétrospective observationnelle monocentrique était menée au Centre Hospitalo-Universitaire de Poitiers sur des patients admis pour ablation de FA et bénéficiant la veille de la procédure d'un dépistage du syndrome d'apnées du sommeil par ApnéaLink™. Le critère de jugement principal était la récidive à 1 an. La récidive était définie par la survenue d'un épisode de FA, flutter ou tachycardie atriale au-delà du troisième mois après la procédure.

    Résultats : 121 patients ont été inclus du 5 janvier 2015 au 31 décembre 2016, dont 75,2% d'hommes. L'âge médian était de 61 ans. 47,9% des patients étaient en FA paroxystique, 47,9% en FA persistante et 4,1% en FA persistante de longue durée. Le taux de récidive à 1 an était de 19,0% en cas de FA paroxystique et 23,8% en FA non paroxystique. Le taux de saturation en oxygène en ApnéaLink™ était prédictif de récidive de FA (p=0,021). L'IAH n'avait pas de valeur prédictive (p=0,242). Les autres facteurs prédictifs de récidive étaient le diabète (p=0,019), la présence de cardiopathie dilatée primitive (p=0,038), le volume atrial gauche scanographique (p=0,019), le taux de NTproBNP (p=0,006), la réalisation de lignes antérieures (p=0,003) et la présence de FA à la sortie d'hospitalisation (p=0,004).

    Conclusion : Dans notre population, les paramètres de l'ApnéaLink™ n'avaient pas de valeur prédictive de récidive de FA après ablation hormis le taux de saturation en oxygène nocturne.

  • Les Officiers de Santé de la Marine du XIXe siècle face à la fièvre jaune : une mise en lumière du rôle essentiel de la pharmacie    - Chasseriau Jacques  -  13 avril 2018  - Thèse d'exercice

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    De la fin du XVIIIe siècle au début du XXe siècle, les Officiers de Santé de la Marine ont laissé une trace indélébile dans l’Histoire des Sciences. L’enseignement reçu dans les écoles de Médecine navale de Brest, Toulon, et plus encore dans celle de Rochefort, leur a donné pendant plus de deux siècles les outils nécessaires à la découverte et la compréhension du monde. Ils l’ont observé, classé, ordonné. Embarqués au titre de Médecin et Chirurgien à bord des navires d’expédition ou de transport français parcourant le monde, ils ont retranscrit dans leurs rapports de fin de campagne leur travail quotidien, mélange d’une théorie apprise de leurs maîtres et d’une réalité parfois bien éloignée de cette théorie. Cependant, la lecture de ces rapports laisse entrevoir que leur activité était fortement marquée par une pratique pharmaceutique que l’Histoire semble avoir mise de côté. À travers le combat de ces hommes contre la fièvre jaune au cours du XIXe siècle, cette thèse démontre que c’est pourtant en grande partie leur rôle de Pharmacien qui a fait leur quotidien. La Chirurgie n’étant plus aussi dominante que sur les navires de guerre et la Médecine étant encore trop limitée techniquement, la Pharmacie a joué un rôle essentiel dans les soins apportés aux malades et dans le quotidien à bord des navires. Ainsi, par une présentation de la position de la Pharmacie dans l’école de Médecine navale de Rochefort et son arsenal, ainsi que par l’analyse des rapports de fin de campagne retraçant le combat contre la fièvre jaune au cours du XIXe siècle, cette thèse se propose de mettre en lumière le rôle essentiel de la Pharmacie dans le travail des Officiers de Santé.

  • Prise en charge ambulatoire des sinusites aiguës infectieuses de l'adulte    - Grignon Laurianne  -  12 avril 2018  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La rhino-sinusite aiguë est un motif courant de consultation en médecine générale. Les médecins généralistes abordent souvent cette pathologie comme une infection bactérienne et prescrivent donc un antibiotique dans 85 à 98 % des cas. Les taux de bactéries résistantes sont faibles en médecine générale, mais tout de même en augmentation. La bonne prise en charge des infections à germes sensibles reste une priorité, en luttant contre le mésusage des antibiotiques, et en privilégiant le recours à des antibiotiques sélectionnant le moins de résistances.

    Objectif : L'objectif de cette étude était d'analyser les pratiques professionnelles des médecins généralistes lorsqu'ils sont confrontés à un patient présentant une rhino-sinusite aiguë d'origine infectieuse. Nous nous sommes également intéressés à des objectifs complémentaires que sont la fréquence du motif de consultation et les symptômes de complication déjà rencontrés.

    Méthode : Nous avons réalisé une enquête de pratique auprès d'un échantillon de 101 médecins généralistes du Département des Deux-Sèvres grâce à l'envoi d'un questionnaire.

    Résultats : Les médecins reçoivent en moyenne au moins deux fois par semaine en période épidémique des patients pour une rhino-sinusite aiguë infectieuse. Ils connaissent les critères diagnostiques majeurs permettant de suspecter une étiologie bactérienne au cours d'une rhino-sinusite aiguë. 80% d'entre eux ont déjà rencontré une sinusite compliquée au cours de leur carrière. On retrouve une prescription trop importante d'antibiotiques pourvoyeurs de résistances ainsi que de traitements anti-inflammatoires. Les traitements vaso-constricteurs sont peu prescrits en raison de leurs effets secondaires. Enfin, la radiographie standard est encore trop demandée en cas de difficulté malgré un faible apport diagnostic.

    Conclusion : La maîtrise de l'antibiothérapie est un enjeu de santé publique. Elle permettra de préserver l'avenir thérapeutique de nos patients. Il semble donc utile de continuer à communiquer auprès des prescripteurs de ville sur les outils existants d'aide à la prescription des antibiotiques.

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