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Poppelier Andrea

Les travaux encadrés par "Poppelier Andrea"

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6 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1 à 6
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  • Sevrage tabagique maintenu à 1 an obtenu après l'intervention d'une infirmière ASALEE dans un cabinet de médecine générale : une étude épidémiologique prospective    - Condy Isabelle  -  24 janvier 2019  - Thèse d'exercice

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    Contexte : Le tabagisme est la première cause de mortalité évitable en France. En novembre 2016, le gouvernement français a mis en place une campagne nationale d'aide au sevrage tabagique : le mois sans tabac. L'association ASALEE (Action de Santé Libérale en Equipe), permet la délégation de tâches à des infirmières spécialisées en santé publique. Elle s'est développée dans l'objectif de répondre à la demande de soins en ambulatoire. Dans ce contexte, les infirmières ASALEE étaient spécialement formées afin d'accompagner les patients désirant arrêter de fumer.

    Objectifs : L'objectif principal de cette étude était d'évaluer le taux de sevrage tabagique chez les fumeurs chronique maintenu 1 an après l'intervention d'une infirmière ASALEE dans un cabinet de médecine générale. Les objectifs secondaires étaient d'évaluer le maintien de l'arrêt du tabac à 3 et 6 mois ainsi que d'identifier les facteurs favorisants l'arrêt du tabac.

    Méthode : Etude épidémiologique descriptive prospective monocentrique. Les patients inclus étaient des fumeurs adressés par leur médecin traitant vers une infirmière afin d'arrêter de fumer. Les patients étaient rappelés à 3 mois, 6 mois et 1 an suivant l'intervention de l'infirmière. Le critère de jugement principal était le taux de sevrage tabagique maintenu à 1 an.

    Résultats : 14 patients étaient inclus. Il y avait 2 perdus de vue. Le taux de sevrage tabagique à 1 an était de 7,1% des patients. 42,9% avait arrêté pendant les 3 premiers mois et 21,4% à 6 mois.

    Conclusion : Cette étude a montré un taux important de sevrage tabagique maintenu à 1 an à la suite de l'intervention d'une infirmière ASALEE dans ce cabinet médical. Elle pourrait servir d'étude pilote pour d'autres études de plus grande envergure.

  • Existe-t-il une différence entre les médecins généralistes hommes et femmes concernant le nombre de consultations horaires en Charente Maritime ?    - Flouriot Aude  -  09 juin 2016  - Thèse d'exercice

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    Contexte : La féminisation des professions médicales, y compris de la médecine générale est en augmentation constante. Dans le contexte actuel de pénurie médicale elle implique des changements fondamentaux.

    Objectifs : Définir s'il existe une différence significative sur la durée moyenne de consultation entre médecins généralistes hommes et femmes en Charente Maritime. Déterminer s'il existe une différence sur le nombre de consultations quotidiennes selon le sexe.

    Méthode : Enquête descriptive chez les médecins généralistes hommes et femmes installés en Charente Maritime.

    Résultats : Le taux de réponse a été de 28,6 % soit 66 réponses, seulement 63 questionnaires étaient exploitables. La durée moyenne de consultation des médecins généralistes en Charente Maritime est de 18 minutes et 59 secondes. Il n'y a pas de différence selon le sexe. Il en est de même concernant le nombre de consultations quotidiennes, 23,54 en moyenne par jour ou le volume horaire hebdomadaire dédié aux soins, 7H55 en moyenne. Les médecins généralistes de Charente Maritime travaillent en moyenne 4,42 jours soit 9 demi-journées. Il n'y a pas de différence entre les 2 sexes. La seule différence notable entre les médecins généralistes selon le sexe est le temps imparti aux visites à domicile. Les femmes y consacrent moins de temps, les jeunes générations également.

    Discussion : Ces données sont à nuancer devant la faiblesse de l'échantillon interrogé. Elles sont retrouvées dans certaines études françaises. Cependant une majorité d'études françaises et étrangères retrouvent une différence significative sur la durée moyenne de consultations selon le sexe. Elle est plus longue pour les médecins femmes.

    Conclusion : La féminisation de la médecine générale ne semble pas générer de réelle diminution du temps médical. Mais qu'en est-t-il de la qualité du temps médical ?

  • Utilisation de la Carte de Professionnel de Santé par les médecins remplaçants : enquête auprès de médecins généralistes remplaçants du Poitou-Charentes    - Champagne Boris  -  02 juillet 2015  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La Carte de Professionnel de Santé (CPS) permet aux médecins, entre autres services, de créer et de télétransmettre les Feuilles de Soins Electroniques (FSE) via le système SESAM-Vitale. La CPS est strictement personnelle et authentifie son détenteur. Les médecins remplaçants peuvent posséder une CPS ou une Carte de Professionnel en Formation (CPF) s'ils ne sont pas thésés. L'objectif principal est de déterminer la proportion des remplaçants de médecine générale, en Poitou-Charentes, en 2013, qui ont utilisé au moins une fois leur carte de la famille CPS pour la création de FSE. Les objectifs secondaires sont de dégager les axes de freins à l'utilisation des CPS et de déterminer le mode de création des FSE par les remplaçants quand ils n'utilisent pas leur CPS.

    Méthodes : L'étude pilote quantitative, rétrospective, a été réalisée en 2014 grâce à un questionnaire numérique diffusé par voie électronique aux médecins généralistes remplaçants du Poitou-Charentes. 36 questionnaires ont été analysés.

    Résultats : L'étude démontre que 86,1 % des médecins répondants possédaient une CPS ou CPF. 32,3 % l'ont utilisée au moins une fois en 2013. Lorsqu'ils ne s'en servaient pas, ils ont été 91,7 % à utiliser, uniquement ou partiellement, la CPS du médecin remplacé. Les principaux freins sont en lien avec les médecins remplacés, les difficultés techniques, les difficultés des médecins remplaçants et les remboursements des actes médicaux.

    Conclusion : La fréquence d'utilisation des CPS personnelles des médecins remplaçants s'est révélée faible. Une meilleure information, des formations destinées aux médecins ainsi que des améliorations des outils informatiques pourraient optimiser son application pratique.

  • Utilisation de la Carte de Professionnel de Santé par les remplaçants : enquête auprès des médecins généralistes libéraux du Poitou-Charentes    - Staub Magali  -  12 mars 2015  - Thèse d'exercice

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    Contexte : La carte de professionnel de santé (CPS) est une carte d'identité professionnelle électronique. Elle est notamment utilisée pour signer les feuilles de soins électroniques (FSE). Étant strictement personnelle, les remplaçants sont tenus normalement d'utiliser leur propre CPS et non celle des médecins qu'ils remplacent. Or c'est rarement le cas. Les objectifs de cette étude sont d'interroger les médecins généralistes libéraux du Poitou-Charentes, afin de vérifier cette tendance et de déterminer s'ils savent qu'il existe une CPS ou CPF (carte de professionnel de santé en formation) pour les remplaçants. Les objectifs secondaires sont de vérifier si les médecins proposent l'utilisation de la CPS-remplaçant, et d'évoquer des freins à son utilisation.

    Méthode : L'étude quantitative a été menée via un questionnaire adressé par voie électronique, auprès d'un échantillon de médecins généralistes du Poitou-Charentes tirés au sort. 59 réponses ont été recueillies.

    Résultats : Dans l'échantillon représentatif des médecins généralistes de la région, 55,9% savent qu'il existe une CPS ou CPF pour les remplaçants. Sur les 78% qui se sont fait remplacer entre 2010 et 2013, 67,4% n'ont jamais proposé l'utilisation de la CPS-remplaçant. La pratique la plus courante est bien l'utilisation de la CPS du remplacé (84,8%), la CPS-remplaçant ayant été utilisée chez 17,4% des médecins seulement. Les freins évoqués sont l'absence d'information sur la législation de la CPS et sur l'existence de cette carte pour les remplaçants, des problèmes techniques, des inquiétudes sur le règlement des tiers payants et un manque d'intérêt de la part des généralistes.

    Discussion et conclusion : L'information sur la règlementation de la CPS, et l'existence de la CPS-remplaçant n'est pas assez diffusée par les organismes officiels tels que l'Assurance Maladie et le Conseil de l'Ordre. La mise en oeuvre pratique n'est pas encore possible dans tous les logiciels de télétransmission, et freine l'utilisation de la CPS-remplaçant. Ces problèmes techniques doivent être corrigés par les éditeurs.

  • Importance relative des conditions d'exercice professionnel dans la décision d'accepter la succession d'un médecin généraliste : étude quantitative réalisée auprès des médecins généralistes remplaçants en Poitou-Charentes    - Sling Romain  -  11 septembre 2014  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Depuis plusieurs années les inégalités de répartition géographique des médecins, notamment des médecins généralistes placés en première ligne, inquiète notre pays. Malgré les incitations à l'installation et les recherches actives de successeurs par les pouvoirs publics La médecine générale libérale traverse une crise de vocation avec un nombre de cessations d'activité supérieur aux nouvelles installations.

    Objectif : Evaluer, sur un échantillon de médecins généralistes remplaçants du Poitou-Charentes, l'importance des caractéristiques d'exercice du métier pour déterminer les facteurs favorables ou défavorables à la succession d'un médecin généraliste installé.

    Matériel et méthode : Enquête quantitative par questionnaire en ligne réalisée auprès des médecins généralistes remplaçants sur la région Poitou-Charentes. A chaque critère était demandé d'évaluer un niveau d'importance auquel était attribué une valeur numérique. Les moyennes obtenues ont été comparées pour établir un classement précisant l'existence ou l'absence de différence significative entre chacun des critères.

    Résultats : Le questionnaire a permis de recueillir 99 réponses. Les critères défavorables à la reprise d'une activité de médecine générale sont respectivement : l'absence de secrétariat, le cabinet solitaire, le cabinet accolé au domicile, le salariat et l'utilisation uniquement d'un secrétariat téléphonique. En l'absence de ces facteurs négatifs, l'informatisation du cabinet, les bons rapports entre confrères d'un même cabinet, la possibilité au conjoint de conserver son emploi actuel et consulter sur rendez-vous, sont les principaux facteurs favorisant la décision d'un remplaçant pour accepter une succession.

    Conclusion : Cette étude a permis de faire ressortir de manière significative un certains nombre de critères sur lesquels les médecins généralistes remplaçants fonderont leur décision de succéder à un médecin généraliste installé. Certains facteurs sont immuables, il faudra alors chercher comment conseiller les médecins "à risque" pour rendre leur succession intéressante.

  • Evaluation du tutorat du DES de médecine générale à l'UFR de Poitiers en 2013    - Anselme Franck  -  01 juillet 2013  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le décret n°2004-67 du 16 janvier 2004 a permis de mettre en place une nouvelle méthode d'enseignement des internes de médecine générale. L'Unité de Formation et de Recherche (UFR) de Poitiers a choisi, entre autres, d'accompagner les internes à travers le tutorat par les enseignants cliniciens ambulatoire. Une première évaluation de cette pratique a été faite en 2008 par le Département de Médecine Générale (DMG) et a aboutie à la révélation d'une certaine incompréhension de l'intérêt du tutorat.

    Objectifs : Cinq ans après ces modifications, une nouvelle évaluation relevant les points forts de cette méthode pédagogique est légitime. Les points positifs et négatifs du tutorat en général, ainsi que ceux de ses applications permettront de proposer des modifications du tutorat.

    Population et méthode : La population étudiée correspond à l'ensemble des utilisateurs du tutorat de médecine générale à l'UFR de Poitiers, soit l'ensemble des tuteurs et l'ensemble des internes inscrits en novembre 2012. Les anciens internes issus de la promotion 2009, et ayant terminé la formation en novembre 2012 ont aussi été interrogés. Un questionnaire qualitatif, semidirigé a été adressé aux tuteurs et aux internes. Ces questionnaires explorent les points positifs et négatifs du tutorat et de ses applications.

    Résultats : Les résultats organisés en arbres thématiques ont révélés plusieurs points nécessitant des modifications de cette méthode pédagogique. L'adhésion des internes peut être améliorée par le choix orienté du tuteur à l'aide d'une liste plus détaillée des tuteurs disponibles. La formation des tuteurs doit être développée afin de leur redonner confiance. La simplification des outils utilisés permettrait de privilégier les échanges. Le statut d'évaluateur du tuteur semble nuire à ces échanges et l'utilisation d'un autre tuteur pour les évaluations permettrait d'améliorer ces échanges par la liberté de parole des internes.

    Conclusion : Le tutorat est aujourd'hui identifié comme indispensable à la formation des internes de médecine générale. Toutefois, certains réglages sont nécessaire afin d'améliorer son utilisation et l'adhésion de tous les participants.

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