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Meurice Jean-Claude

Les travaux encadrés par "Meurice Jean-Claude"

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  • Et s'il était possible de prédire le type d'appareil de PPC (constant ou autopiloté) à utiliser dans le traitement du Syndrome d'Apnées Hypopnées Obstructives du Sommeil…    - Bironneau Vanessa  -  13 octobre 2015  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Dans le cadre du Syndrome d'apnées hypopnées du sommeil (SAHOS), le choix du mode ventilatoire du traitement par Pression positive continue (PPC) reste à ce jour aléatoire. Afin de tenter d'optimiser cette stratégie thérapeutique, nous avons évalué le caractère prédictif de critères cliniques et polygraphiques, ainsi que des données issues des rapports de ventilation des appareils de PPC au cours des premiers jours de traitement.

    Méthode : A cet effet, nous avons analysé les résultats recueillis à l'inclusion et après 7 jours de traitement par autoPPC dans le cadre d'une étude nationale, prospective, multicentrique, (PREDIVARIUS).

    Résultats : 798 patients d'âge moyen 56.5 ans ± 11.7, obèses (IMC moyen : 33.1kg/m2 ± 6.9) ont été inclus dans 22 centres différents. Il s'agissait de patients sévères (IAH moyen initial : 51.2/h ± 20.9, temps avec SaO2 inférieure à 90% (SaO290): 17.4% ± 19.5). A J7, l'observance était de 5.8h ± 1.9, et la Peff moyenne était de 11.2 cmH2O ± 2.8 avec une variabilité de 2.6 cmH2O ± 1. Nous avons retrouvé une corrélation significative entre Peff et varPPC (rS = 0.59; p < 0.0001). La variabilité ne présentait que de très faibles corrélations avec certaines données cliniques et polygraphiques initiales étudiées. En revanche, la Peff était corrélée significativement avec l'IAH initial (rS = 0.26 ; p < 0.0001), ainsi qu'avec la SaO290 (rS = 0.28 ; p < 0.0001), et la SaO2 minimale (rS =- 0.30 ; p <0.0001) initiales. Enfin, le caractère positionnel du SAHOS en fonction de l'âge et le temps passé en sommeil léger semblent influencer la Peff.

    Conclusion : il semblerait que la sévérité du SAHOS et du surpoids ainsi que les caractéristiques du sommeil soient des facteurs conditionnant le comportement de la pression au cours du traitement par PPC pouvant orienter le choix thérapeutique dans la prise en charge du SAHOS.

  • Influence de l'âge des patients de plus de 65 ans sur la qualité du traitement du syndrome d'apnées obstructives du sommeil par pression positive continue    - Lorente Pierre  -  04 avril 2014  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le syndrome d’apnées obstructives du sommeil SAHOS du sujet âgé est une entité spécifique dont la qualité du traitement par pression positive continue (PPC) n'a pas été évaluée à des âges extrêmes.

    But de l’étude : Évaluer l'observance au traitement par PPC à 1 an et sa poursuite au long cours chez des patients SAHOS de plus de 65 ans, répartis en 2 groupes (Groupe 1 : 65 à 75 ans; Groupe 2 : > 75 ans) au début du traitement.

    Méthodes : 309 patients âgés de plus de 65 ans ont été appareillés par PPC au cours des 10 dernières années (Groupe 1 : n=214, âge 69,8 ± 2,8 ans; Groupe 2 : n=95, âge 79,0 2,9 ans). L'observance vis à vis de la PPC a été évaluée à 1 an et lors de leur dernier contrôle sous PPC.

    Résultats : Alors que l'observance était identique dans les 2 Groupes à 1 an (Groupe 1: 6,45 h ± 1,96; Groupe 2: 6,36 h ± 2,15), le pourcentage de patients ayant arrêté leur PPC avant 1 an était significativement plus élevé dans le Groupe 2 (p = 0,017), en l'absence de décès au cours de cette période. Au long cours, et en l'absence de différence de pourcentage de décès entre les 2 groupes, le taux de désappareillage des patients du Groupe 2 était très significativement plus élevé (p = 0,0004), de l'ordre de 25 % à 18 mois, et de 50 % à 6 ans, alors qu'il n'était que de 25% à 6 ans dans le Groupe 1. Seul l’observance (> 3 heures) s’est révélée être un facteur prédictif de désappareillage.

    Conclusion : Les patients SAHOS de plus de 65 ne peuvent être considérés comme une population homogène vis à vis de l'acceptation du traitement par PPC, justifiant une prise en charge renforcée chez les patients les plus âgés afin d'éviter un désappareillage trop important.

  • Evolution des données polysomnographiques et des comorbidités cardiovasculaires et métaboliques au long cours de patients présentant des troubles respiratoires nocturnes positionnels sans syndrome d'apnées du sommeil avéré    - Gilbert Mylène  -  08 octobre 2013  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le syndrome d'apnées hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS) est une pathologie fréquente, ayant des complications cardio-vasculaires et métaboliques, mais également un retentissement en santé publique. Le SAHOS peut avoir un caractère positionnel, avec une majoration de l'index d'apnées hypopnées (IAH) en position dorsale. Notre étude s'intéresse aux patients, appelés normaux-positionnels, ayant un IAH global normal (<10/h), mais devenant pathologique sur le dos (>10/h). L'objectif principal de l'étude était d'évaluer l'évolution de la polysomnographie chez ces patients, et des comorbidités cardio-vasculaires et métaboliques en objectif secondaire.

    Matériels et méthodes : Etude de cohorte historique portant sur 26 patients ayant bénéficié d'une première polysomnographie entre 2005 et 2010, et recontactés pour un deuxième enregistrement en 2013.

    Résultats : Le délai moyen entre les deux enregistrements était de 5.5 ans ± 1.4. Cinquantesept pourcent des patients initialement normaux-positionnels ont développé un SAHOS patent, marqué par un IAH > 10/h. On retrouvait une augmentation significative de l'IAH global de 6.55/h ± 2.26 à 16.57/h ± 13.3 (p=0.0002), et de l'IAH non dos de 2.37/h ± 2.13 à 11.15/h ± 12.2 (p=0.0001). En revanche, l'IAH sur le dos ne variait pas entre les deux examens. La qualité du sommeil se modifiait, avec une réduction significative du temps de sommeil lent profond (p=0.03), et une augmentation du temps de sommeil passé avec une saturation inférieure à 90% (p<0.0001). L'augmentation de l'IAH non dos était corrélée au poids initial (p=0.029). On retrouvait une progression significative des cas d'hypercholestérolémie (p=0.008) et de troubles du rythme cardiaque (p=0.02).

    Conclusion : Notre étude a permis de montrer que les patients initialement considérés comme normaux, mais ayant un IAH sur le dos supérieur à 10 par heure, ont un risque accru de développer un SAHOS en majorant leur IAH non dos, avec comme facteur prédictif d'évolution le poids initial.

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