Vous êtes ici : Accueil > Directeurs de travaux > Houpert Tyffanie

Houpert Tyffanie

Les travaux encadrés par "Houpert Tyffanie"

Pour être informé de la mise en ligne des nouveaux travaux correspondant à la recherche effectuée, abonnez-vous au flux RSS : rss

accès internet    accès intranet    pas d'accès
3 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1 à 3
Tri :   Date travaux par page
  • La contraception masculine : vers une contraception partagée ? Connaissance et acceptabilité de la contraception masculine chez les hommes. Evaluation de la plaquette du CeGIDD de Poitiers comme outil d’information    - Mercie Camille  -  13 juin 2023

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : actuellement, la contraception est majoritairement prise en charge par les femmes. Pourtant des méthodes contraceptives masculines existent (préservatif, retrait, vasectomie) et de nouvelles se démocratisent (contraception masculine thermique et hormonale). Les hommes sont favorables à leur utilisation mais leur accessibilité est limitée et sont peu connues du grand public. Dans une démarche de contraception partagée au sein du couple, se pose la question de la place de l’homme dans la contraception. L’objectif est d’évaluer les connaissances et l’acceptabilité des hommes pour la contraception masculine et dans un deuxième objectif de déterminer la pertinence de la plaquette du CeGIDD de Poitiers comme outil d’information de la contraception masculine.

    Matériel et méthode : une étude prospective quantitative et qualitative à visée descriptive et interprétative a été réalisée entre juillet 2022 et octobre 2022, dans la région Nouvelle-Aquitaine. L'enquête quantitative était basée sur les résultats de 240 questionnaires anonymes recueillis au CeGIDD de Poitiers et en ligne via la plateforme lime survay. Concernant l’enquête qualitative, des entretiens semi-directifs auprès de 11 hommes volontaires ont été menés.

    Résultats : 100% de notre population connaissaient une ou plusieurs méthodes contraceptives masculines, dont 70% connaissaient le préservatif, le retrait et la vasectomie et 74,6% connaissaient la contraception masculine hormonale et/ou thermique. Une majorité des hommes connaissant le préservatif et le retrait, avaient déjà utilisés ces deux méthodes. En revanche concernant la vasectomie, la contraception hormonale et thermique, même si une majorité connaissaient les méthodes, très peu avaient déjà testé l’une de ces méthodes. 90% des hommes étaient prêts à utiliser une contraception uniquement masculine.58,3% s’estimaient insuffisamment informés sur le sujet et 73,5% souhaitaient plus d’information à ce sujet.

    63,6% des hommes interrogés considéraient que la plaquette leur avait apporté des connaissances. 100% d’entre eux pensaient que la plaquette était un bon outil d’information, mais que des améliorations devaient être apportées.

    Conclusion : Les hommes sont prêts à se contracepter. Cependant la sensibilisation, par les médias et les professionnels de santé, restent nécessaires à la mise en place de leurs pratiques.

  • Évaluation des besoins et attentes de la population consultante au CeGIDD en 2022 à la Vie de la Santé    - Hrbacek Mariana  -  02 février 2023  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : Le cadre novateur du CeGIDD du CHU de Poitiers au sein de la Vie la Santé en fait un lieu privilégié d'accueil des consultants, dont les attentes évoluent avec les déterminants de la santé sexuelle. Afin de répondre au mieux aux missions de la Stratégie Nationale de Santé Sexuelle 2017-2030 et d'adapter nos pratiques professionnelles, nous avons souhaité établir le besoin de la population actuelle en matière de consultation au CeGIDD et repérer les facteurs qui la conduisent à s'y orienter.

    Matériels et Méthodes : Nous avons mené une étude descriptive transversale en analysant des questionnaires anonymes remplis sur la base du volontariat par les consultants du CeGIDD entre le 01 février 2022 et le 10 août 2022.

    Résultats : Au total 110 usagers ont été inclus dans l'étude, dont 65 femmes, 43 hommes et 2 individus non genrés. Le public consultant était représenté à plus de 70% par des jeunes âgés de 18 à 25 ans, dont 78% d'étudiants. 11,8% des usagers avaient un critère de précarité de soin. Les motifs de consultation les plus répandus étaient le dépistage ou traitement d'une IST (66,36%) et l'accident de préservatif (21,82%). 51,61% des primo-consultants avaient déjà rencontré des difficultés à aborder une problématique sexuelle avec un professionnel de santé. Les trois premières raisons motivant les usagers à consulter au CeGIDD plutôt que chez leur médecin traitant étaient l'habitude des professionnels à aborder la sexualité (24,62%), l'anonymat (20,36%) et la gratuité (19,15%).

    Conclusion : Le profil des consultants correspondait à la population cible attendue au CeGIDD par l'ARS. Les usagers étaient pour la grande majorité satisfaits de leur parcours au sein de la Vie la Santé. Leurs attentes relevaient surtout du dépistage des IST associé à une prise en charge psychologique et sexologique. Les mesures de prévention ciblant cette population ainsi que les liens de coopération avec la médecine générale pourraient être renforcés.

  • Etat des lieux des connaissances de la population consultante au CeGIDD de Poitiers pour un dépistage sur les papillomavirus et leurs vaccins : étude observationnelle, transversale et prospective menée au CeGIDD de Poitiers sur 340 questionnaires du 2 septembre au 30 novembre 2019    - Rimbert Leonie  -  30 septembre 2020

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : Les infections à papillomavirus sont les infections sexuellement transmissibles à la prévalence la plus forte, affectant autant les hommes que les femmes. Cependant, en France, la couverture vaccinale anti-HPV est la plus faible d’Europe. L’étude avait pour objectif d’évaluer les connaissances de la population consultante au CeGIDD sur les papillomavirus et leurs vaccins.

    Matériel et méthodes : Une étude observationnelle, transversale et prospective a été réalisée par questionnaire anonyme du 2 septembre au 30 novembre 2019 auprès des consultants du CeGIDD au CHU de Poitiers.

    Résultats : Le taux de participation de l’étude était de 70,8 %. Sur les 340 questionnaires, un quart n’avait pas étiqueté l’homme comme un vecteur. Une personne sur deux avait la connaissance de la transmission du virus par le sexe vaginal, oral ou anal, mais les autres modes de transmission étaient connues par moins de 15 % de la population. Si 45 % des patients connaissaient l’association infections HPV et cancer du col de l’utérus, les autres localisations potentielles de cancers étaient plus fragiles, les voies aérodigestives n’étaient citées que dans 10 % des cas. Un quart avait coché les verrues génitales comme conséquences des virus. La vaccination anti-HPV et l’utilisation systématique des préservatifs étaient les deux moyens de prévention les plus cités avec respectivement 79,7 % (n=271) et 65,6 % (n=223). Si la moitié avait déjà entendu parler des vaccins anti-HPV, l’identification de la population concernée par la vaccination ne semblait pas explicite. Neuf personnes sur dix estimaient ne pas être suffisamment informées au sujet des HPV et souhaiteraient l’être en autres par le biais de l’école, des professionnels de santé et par les médias. Nous avons constaté que la population éligible à la vaccination anti-HPV était significativement plus informée sur les personnes concernées par la vaccination par rapport à celle non éligible, traduisant que l’information est véhiculée, mais qu’il est nécessaire d’augmenter l’efficience. Un score de connaissances a été créé à partir des réponses recueillies. Les personnes vaccinées ont obtenu un score significativement plus élevé que les personnes non vaccinées (p= 0,020). Le principal motif de refus à la vaccination était la peur des effets secondaires.

    Conclusion : Cette étude a confirmé la faiblesse de la connaissance des infections aux papillomavirus et l’intérêt de multiplier les actions de prévention pour augmenter la couverture vaccinale en France.

|< << 1 >> >| travaux par page

Haut de page


affiche de communication sur le dépôt des travaux d'étudiants : 215, c'est le nombre de fois où le réveil a sonné trop tôt cette année pour travailler sur mon mémoire. Franchement j'aimerai ne pas être le seul à l'avoir lu ! / Lionel Bernardin / idsworks.com
  • Avec le service Ubib.fr, posez votre question par chat à un bibliothécaire dans la fenêtre ci-dessous ou par messagerie électronique 7j/7 - 24h/24h, une réponse vous sera adressée sous 48h.
    Accédez au formulaire...

 
 

Université de Poitiers - 15, rue de l'Hôtel Dieu - 86034 POITIERS Cedex - France - Tél : (33) (0)5 49 45 30 00 - Fax : (33) (0)5 49 45 30 50
petille@support.univ-poitiers.fr - Crédits et mentions légales