Vous êtes ici : Accueil > Directeurs de travaux > Dubocage Marie

Dubocage Marie

Les travaux encadrés par "Dubocage Marie"

Pour être informé de la mise en ligne des nouveaux travaux correspondant à la recherche effectuée, abonnez-vous au flux RSS : rss

accès internet    accès intranet    pas d'accès
6 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1 à 6
Tri :   Date travaux par page
  • État des lieux de la prise en charge des hommes victimes de violences conjugales par les médecins généralistes de la Vienne    - Louarn Emmanuelle  -  05 décembre 2024  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : Les violences conjugales sont un problème de santé publique majeur, avec 244 000 cas enregistrés en 2022. Elles touchent les hommes et les femmes, tous les âges et toutes les catégories socio-professionnelles. La majorité des travaux portent sur les violences faites aux femmes et les stéréotypes actuels tendent à suggérer que seules les femmes sont concernées, incitant les hommes à taire leur statut. Le médecin généraliste a un rôle primordial dans la prise en charge et le suivi des victimes. Il est d'autant plus important que les enfants sont des victimes collatérales. Cette étude évaluait la prise en charge, par les médecins généralistes de la Vienne, des hommes victimes de violences conjugales.

    Méthodes : Un questionnaire de 25 questions a été diffusé en ligne, via la plateforme LimeSurvey, aux médecins généralistes installés dans la Vienne. La collecte des données s'est déroulée du 1er février 2024 au 2 septembre 2024.

    Résultats : Sur les 51 questionnaires collectés, 15 médecins dépistaient systématiquement les violences chez les femmes et, parmi eux, seulement 5 les dépistaient aussi chez les hommes. Les résultats montraient que 81 % des médecins n'étaient pas à l'aise avec le diagnostic des violences conjugales et 75 % n'étaient pas à l'aise avec cette prise en charge. Le manque de formation, le faible nombre d'hommes victimes rencontrés et le refus d'aide de la victime ont été identifiés comme des freins à la prise en charge par les médecins.

    Discussion : Le manque de formation était l'un des principaux obstacles relevés par les médecins concernant la prise en charge des victimes. Toutefois, même après avoir suivi des formations, la majorité d'entre eux se sentait encore peu à l'aise avec le diagnostic et la prise en charge des violences, bien qu'ils étaient plus à l'aise que ceux qui n'en avaient pas suivi.

    Conclusion : Malgré les recommandations existantes, les médecins dépistaient peu les violences conjugales. Cela s‘explique probablement par un manque d'aisance dans le diagnostic et la prise en charge, ces difficultés ne pouvant pas être entièrement corrigées par la réalisation de formations.

  • Évaluation de la prise en charge de la douleur chez les patients consultant pour colique néphrétique aux urgences du Centre Hospitalier Universitaire de Poitiers : Étude DOUCOU    - Mane Erjola  -  15 octobre 2021  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : Évaluer le taux de prescription dans l'heure de l'arrivée aux urgences des AINS chez les patients avec une suspicion de colique néphrétique simple.

    Méthode : Étude avant-après, menée aux urgences du CHU de Poitiers, du 01/09/2020 au 16/03/2021.

    Résultats : Avant protocole : Parmi 123 patients inclus, 44% avait reçu un AINS à H1. Dans le groupe des AINS, le taux de prescription d'uro- scanner et d'échographie était respectivement de 26%, 9% ; la durée moyenne de séjour (DMS) de 5h. Dans le groupe des antalgiques, ces taux étaient de 9%, 4% ; la DMS de 5h46. Le taux d'hospitalisation était identique, soit de 13%. Une diminution de l'EN de 38% été observée à H1 avec les AINS, vs 16% avec les antalgiques (p= 0,09). Après protocole : Parmi 103 patients inclus, 47% avait reçu un AINS à H1. Dans le groupe des AINS, le taux de prescription d'uro- scanner et d'échographie était respectivement de 14%, 2% ; la DMS de 4h43 et le taux d'hospitalisation de 8%. Dans le groupe des antalgiques, ces taux étaient de 29%, 5% ; la DMS de 6h48 et le taux d'hospitalisation de 18%. Une diminution de l'EN de 50% été observée à H1 avec les AINS, vs 16% avec les antalgiques (p= 0,006).

    Conclusion : En favorisant la prescription précoce des AINS, nous avons pu observer une diminution de moitié de l'EN à H1 et une diminution de la durée moyenne de séjour.

  • Évaluation des pratiques professionnelles sur la prise en charge des traumatisés crâniens graves et modérés au service d'accueil des urgences vitales du CHU de Poitiers    - Volkun Viktoria  -  04 décembre 2020  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : Le traumatisme crânien est une pathologie fréquente et grave. La prise en charge initiale consiste à mettre en place des mesures pour limiter l'ischémie cérébrale secondaire. L'objectif principal de l'étude était d'évaluer l'adéquation de la prise en charge des patients avec score de Glasgow (GCS) < 9 à la SAUV du CHU de Poitiers avec les dernières recommandations de la SFAR.

    Matériel et méthodes : Il s'agissait d'une étude de type « avant / après » qui s'est déroulée à la SAUV du CHU de Poitiers de juin 2019 à août 2020 pour évaluer différents items : GCS initial, prévention des Agressions Cérébrales Secondaires d'Origine Systémique (ACSOS), la réalisation d'une imagerie cérébrale, la réalisation d'une osmothérapie, la réalisation du doppler trans-crânien (DTC). Une formation pratique à la réalisation du DTC et un rappel des recommandations ont été réalisés durant la période de wash-out.

    Résultats : L'évaluation initiale avec le score de Glasgow, la recherche et le traitement des ACSOS ont été réalisés dans la majorité des cas. La réalisation d'une imagerie cérébrale ainsi que l'administration d'une osmothérapie étaient réalisées dans 100% des cas. L'évaluation initiale par un DTC reste une pratique rare et ce, malgré la réalisation d'une formation pratique.

    Conclusion : La prise en charge des traumatisés crâniens modérés et sévères était partiellement respectée à la SAUV du CHU de Poitiers selon les dernières recommandations de la SFAR. Des axes d'amélioration existent afin d'y remédier.

  • Évaluation des pratiques professionnelles sur la prise en charge de l’anaphylaxie : Étude PaCHA : Étude réalisée dans le service des Urgences du CHU de Poitiers et du CH de Niort.    - Michaud-monvoisin Sylvain  -  07 septembre 2020  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : Malgré la mise à jour des recommandations de la HAS en 2016 pour la prise en charge de l'anaphylaxie, il semblerait que l’administration de l’adrénaline soit sous-utilisée. L’objectif de notre étude était d’évaluer l’adéquation de la prise en charge de l’anaphylaxie aux urgences du CHU de Poitiers et du CH de Niort avec les recommandations avant et après la mise en place d’un protocole de service.

    Matériel et méthodes : Il s’agissait d’une étude analytique prospective type avant-après réalisée entre le 1er janvier 2018 et le 31 mai 2020. Cent quarante-huit patients ont été inclus ; 92 patients pour la période avant la mise en place du protocole et 56 patients après. L'objectif principal était la comparaison de l'incidence de l'adrénaline entre les deux périodes étudiées. Les objectifs secondaires étaient la comparaison des thérapeutiques secondaires, du dosage de la tryptase, et des prescriptions de sortie avant et après protocole.

    Résultats : L’adrénaline était plus fréquemment utilisée sur la période après protocole (93% vs 77%, p=0,01). Les consignes écrites étaient plus souvent remises au patient pour la seconde période (40% vs 22%, p=0,04). Aucune différence n’a été observée entre les deux périodes pour les autres critères étudiés.

    Conclusion : La mise en place d’un protocole de service a permis un meilleur suivi des recommandations en vigueur pour le critère de jugement principal et pour l’éducation thérapeutique du patient, on peut donc s’attendre à une diminution de l’incidence de l’anaphylaxie et du nombre de formes graves.

  • Analyse du parcours de soins des patients adressés par leur médecin traitant aux urgences du CHU de Poitiers    - Epailly Maxime  -  13 février 2019  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Introduction : Ces dernières années, la fréquentation des services d'urgence français n'a cessé d'augmenter avec 21 millions de passages en 2016. Certains patients sont adressés par leur médecin traitant et d'autres viennent d'eux même. L'objectif de cette étude est de faire un état des lieux sur la population des patients adressés par leur médecin traitant afin d'évaluer la concordance entre le diagnostic du généraliste et celui de l'urgentiste. Matériel et méthodes : Il s'agissait d'une étude observationnelle durant la période du 01/03/2018 au 01/06/2018 au sein du service d'urgence adulte du CHU de Poitiers. Les patients inclus étaient les majeurs adressés par leur médecin traitant avec un courrier et les patients non adressés. Résultats : 9045 patients ont été inclus dans l'étude dont 456 adressés par un médecin généraliste et 8589 non adressés. Une concordance entre le diagnostic évoqué par le généraliste et celui de l'urgentiste a été retrouvée dans 84,4% des cas. Près de 40% des patients adressés par leur médecin avaient plus de 80 ans. Les patients âgés adressés par leur médecin nécessitaient plus fréquemment une hospitalisation (73%). Les patients adressés avaient significativement plus de risque d'être hospitalisés et plus d'examens complémentaires que les patients non adressés (p<0,05). Conclusion : La concordance des diagnostics témoigne d'une bonne appréciation clinique du malade par le généraliste. La création d'une ligne d'appel directe et d'une filière gériatrique permettraient de faciliter le lien entre médecine de ville et hospitalière ainsi que d'améliorer le flux des patients âgés aux urgences.

  • État des lieux des connaissances concernant la prise en charge de la colique néphrétique : étude réalisée dans le Service des urgences du CHU de Poitiers du 1er juin 2015 au 31 mai 2016    - Weber Édouard  -  26 avril 2018  - Thèse d'exercice

    Voir le résumé
    Voir le résumé
    Objectif : Évaluer l'adéquation de la prise en charge des coliques néphrétiques au service d'accueil des urgences (SAU) du CHU de Poitiers avec les dernières recommandations en vigueur.

    Matériel et méthode : Étude analytique rétrospective réalisée dans le service des Urgences du CHU de Poitiers du 1er juin 2015 au 31 mai 2016.

    Résultats : Le taux d'administration du kétoprofène était de 58,1 %. La réalisation d'un bilan biologique était de plus de 90 % avec le dosage de la CRP dans 70 % des cas. La réalisation de la BU est retrouvée pour 96 % des patients. Le recours à l'imagerie aux urgences a concerné un patient sur quatre. Le taux d'hospitalisation était de 13,3 %. Parmi les patients traités en ambulatoire, 75 % ont reçu une prescription de kétoprofène. Une imagerie a été prescrite chez 83,5 % des patients traités en ambulatoire, une analyse spectrophométrique du calcul dans 6,9 % des cas.

    Conclusion : La prise en charge de la colique néphrétique dans le service des Urgences du CHU de Poitiers n'est pas en adéquation avec les dernières recommandations en vigueur. Il convient d'insister sur l'importance de l'administration du kétoprofène de façon précoce et systématique sous réserve des CI. Le dosage de la CRP, non recommandé, doit également être revu. La prise en charge ambulatoire doit être améliorée avec la poursuite du traitement par AINS à domicile et la réalisation de l'analyse spectrophotométrique systématique du calcul.

|< << 1 >> >| travaux par page

Haut de page


affiche de communication sur le dépôt des travaux d'étudiants : 215, c'est le nombre de fois où le réveil a sonné trop tôt cette année pour travailler sur mon mémoire. Franchement j'aimerai ne pas être le seul à l'avoir lu ! / Lionel Bernardin / idsworks.com
  • Avec le service Ubib.fr, posez votre question par chat à un bibliothécaire dans la fenêtre ci-dessous ou par messagerie électronique 7j/7 - 24h/24h, une réponse vous sera adressée sous 48h.
    Accédez au formulaire...

 
 

Université de Poitiers - 15, rue de l'Hôtel Dieu - 86034 POITIERS Cedex - France - Tél : (33) (0)5 49 45 30 00 - Fax : (33) (0)5 49 45 30 50
petille@support.univ-poitiers.fr - Crédits et mentions légales