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Dominault Michel

Les travaux encadrés par "Dominault Michel"

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4 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1 à 4
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  • Prise en charge ambulatoire des sinusites aiguës infectieuses de l'adulte    - Grignon Laurianne  -  12 avril 2018  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La rhino-sinusite aiguë est un motif courant de consultation en médecine générale. Les médecins généralistes abordent souvent cette pathologie comme une infection bactérienne et prescrivent donc un antibiotique dans 85 à 98 % des cas. Les taux de bactéries résistantes sont faibles en médecine générale, mais tout de même en augmentation. La bonne prise en charge des infections à germes sensibles reste une priorité, en luttant contre le mésusage des antibiotiques, et en privilégiant le recours à des antibiotiques sélectionnant le moins de résistances.

    Objectif : L'objectif de cette étude était d'analyser les pratiques professionnelles des médecins généralistes lorsqu'ils sont confrontés à un patient présentant une rhino-sinusite aiguë d'origine infectieuse. Nous nous sommes également intéressés à des objectifs complémentaires que sont la fréquence du motif de consultation et les symptômes de complication déjà rencontrés.

    Méthode : Nous avons réalisé une enquête de pratique auprès d'un échantillon de 101 médecins généralistes du Département des Deux-Sèvres grâce à l'envoi d'un questionnaire.

    Résultats : Les médecins reçoivent en moyenne au moins deux fois par semaine en période épidémique des patients pour une rhino-sinusite aiguë infectieuse. Ils connaissent les critères diagnostiques majeurs permettant de suspecter une étiologie bactérienne au cours d'une rhino-sinusite aiguë. 80% d'entre eux ont déjà rencontré une sinusite compliquée au cours de leur carrière. On retrouve une prescription trop importante d'antibiotiques pourvoyeurs de résistances ainsi que de traitements anti-inflammatoires. Les traitements vaso-constricteurs sont peu prescrits en raison de leurs effets secondaires. Enfin, la radiographie standard est encore trop demandée en cas de difficulté malgré un faible apport diagnostic.

    Conclusion : La maîtrise de l'antibiothérapie est un enjeu de santé publique. Elle permettra de préserver l'avenir thérapeutique de nos patients. Il semble donc utile de continuer à communiquer auprès des prescripteurs de ville sur les outils existants d'aide à la prescription des antibiotiques.

  • Évaluation de la prise en charge des infections dentaires en médecine générale    - Grignon Romain  -  04 juin 2014  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La carie dentaire peut aboutir à la formation d'un foyer infectieux pouvant engendrer des complications potentiellement graves. Les médecins généralistes sont amenés à recevoir des patients présentant des infections dentaires (le plus souvent sous la forme d'une douleur dentaire aiguë comme la « rage de dent »). Nous avons retrouvé peu d'études sur ce sujet.

    Objectifs : L'objectif principal était d'étudier les pratiques professionnelles des médecins généralistes lorsqu'ils se retrouvent face à un patient présentant une infection dentaire. Nous nous sommes également intéressés à des objectifs complémentaires que sont la fréquence du motif de consultation, les différentes infections dentaires déjà diagnostiquées, et enfin la formation sur le sujet vue par les praticiens.

    Méthode : Étude quantitative, descriptive, transversale, par questionnaire, auprès d'un échantillon de 100 médecins généralistes des Deux-Sèvres.

    Résultats : La participation a été de 85 %. Les médecins reçoivent en moyenne au moins deux fois par mois des patients pour une pathologie dentaire. Ils pratiquent majoritairement un examen clinique relativement complet. La prescription d'AINS est régulière pour plus de la moitié d'entre eux. Le recours quasi-systématique à l'antibiothérapie est la règle pour plus de la moitié de notre échantillon. L'orientation systématique vers un chirurgien-dentiste pour le traitement étiologique est pratiquée de façon très large. Enfin, la formation initiale concernant les pathologies dentaires est le plus souvent jugée insuffisante et la majorité des médecins est susceptible d'être intéressée par une formation complémentaire sur le sujet.

    Conclusion : La perspective d'une formation plus complète des médecins en matière de pathologie dentaire serait souhaitable. Elle pourrait permettre de lever les doutes diagnostics qui existent parfois chez certains praticiens Il en résulterait peut-être une diminution des prescriptions d'antibiotiques et d'anti-inflammatoires.

  • Prise en charge thérapeutique des toxicomanes aux opiacés : éléments déterminant l'orientation de l'activité des médecins généralistes vers la substitution    - Vo Van Carole  -  10 avril 2014  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Notre objectif était de mettre en évidence les paramètres influençant les médecins généralistes à prendre en charge des patients toxicomanes aux opiacés suite au constat d'une stagnation du nombre de médecins impliqués dans cette discipline.

    Méthode : Après une recherche bibliographique, une enquête qualitative a été menée auprès de 15 médecins généralistes des Deux-Sèvres qui se sont soumis à des entretiens semi-dirigés. Le corpus obtenu a ensuite été soumis à une analyse thématique.

    Résultats et discussion : Dans la prise en charge des toxicomanes aux opiacés les compétences de la médecine générale apparaissent tantôt comme des freins lorsque les médecins sont dans l'impossibilité de les appliquer, tantôt comme des moteurs quand ils y ont recours. Cet oxymore s'explique par le fait que l'alliance thérapeutique médecin-patient n'est possible que si les préjugés sur ces patients sont dépassés, que l'on considère la substitution comme une discipline qui va bien au delà du simple diagnostic et du traitement.

    Conclusion : Il existe un fossé entre l'univers socio-culturel du patient toxicomane aux opiacés et celui du médecin généraliste. Il doit être franchi pour modifier le regard porté par certains médecins généralistes et les inciter à accueillir au mieux ces patients, pour leur permettre de trouver une satisfaction dans cette démarche, de la poursuivre et de la reproduire avec d'autres patients.

  • Analyse des freins et facteurs de motivation pour la pratique du suivi gynécologique en médecine générale : point de vue de médecins généralistes et de patientes : enquête réalisée au sein du département des Deux Sèvres    - Champeaux Rémi  -  10 juillet 2013  - Thèse d'exercice

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    La diminution du nombre de gynécologues médicaux et obstétricaux dans les prochaines années confère aux médecins généralistes un rôle important à jouer dans la pratique du suivi gynécologique des femmes. De plus, l'acquisition de compétences au cours de leur cursus universitaire et/ou lors de formations complémentaires leur permet la réalisation d'un suivi simple et régulier.

    Nous avons ainsi voulu connaitre et analyser les réticences et facteurs de motivations des médecins généralistes et des patientes concernant le suivi gynécologique en médecine générale. Notre étude a porté sur un échantillon de 200 médecins généralistes en activité exerçant dans les Deux Sèvres (taux de réponse de 48,5%) et sur 70 patientes réparties dans différents cabinets médicaux du département.

    Notre audit a mis en évidence, dans une grande majorité des cas (92,8%), la nécessité de la pratique de la gynécologie en médecine générale. La réalisation de gestes techniques, l'intérêt de la discipline et la diversification de la patientèle représentent les attraits essentiels. Cependant, des entraves persistent comme le manque de temps, la réticence des patientes et la présence de gynécologue à proximité.

    Du point de vue des patientes, 91,4% déclarent se faire suivre sur le plan gynécologique mais seulement 23,4% font appel à un médecin généraliste. La gêne et le sexe de ce dernier sont les principaux freins évoqués. A l'inverse, les femmes suivies par leur médecin traitant sont motivées par la confiance et l'accessibilité aux consultations. Une meilleure sensibilisation des patientes sur la compétence des médecins généralistes ainsi que des outils de formations performants pour les praticiens peuvent être des arguments en vue d'améliorer la qualité des soins et le suivi des femmes.

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affiche de communication sur le dépôt des travaux d'étudiants : 215, c'est le nombre de fois où le réveil a sonné trop tôt cette année pour travailler sur mon mémoire. Franchement j'aimerai ne pas être le seul à l'avoir lu ! / Lionel Bernardin / idsworks.com
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