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Charrier Élodie

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4 travaux ont été trouvés. Voici les résultats 1 à 4
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  • Évaluation de l'efficacité et de la tolérance des patchs à haute concentration de capsaïcine (8%) dans le traitement des douleurs neuropathiques au Centre régional d'étude et de traitement de la douleur du CHU de Poitiers    - Martin Cyril  -  02 mai 2018  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Les patchs de capsaïcine à haute concentration sont indiqués dans le traitement des douleurs neuropathiques réfractaires aux antalgiques classiques. Cette étude a pour objectif d'évaluer l'efficacité et la tolérance de ce traitement chez les patients du centre régional d'étude et de traitement de la douleur du C.H.U de Poitiers.

    Méthode : Nous avons réalisé une étude rétrospective, descriptive chez les patients traités par patchs de capsaïcine pour des douleurs neuropathiques entre juin 2013 et novembre 2016. L'efficacité des patchs était définie par une diminution de l'intensité douloureuse supérieure à 30%. La tolérance a été évalué par la survenue d'au moins un effet indésirable.

    Résultats : Nous avons inclus 80 patients, 32 hommes (40%) et 48 femmes (60%), d'un âge moyen de 54,4 ans. Les étiologies des douleurs neuropathiques les plus fréquentes étaient les douleurs post-chirurgicales (48,75%), les névralgies post-zostériennes (18,75%) et les douleurs liées à un syndrome douloureux régional complexe (16,25%). L'ancienneté moyenne des douleurs était de 3,6 ans. L'intensité moyenne des douleurs avant le traitement était de 5,9/10 (selon une échelle numérique). En termes d'efficacité, 22 patients (26,25 % ; [IC 95% : 16,60 - 35,89]) ont présenté une réduction de plus de 30 % de l'intensité des douleurs. En termes de tolérance, 45 patients (56,25% ; [IC 95% : 45,38 - 67,12]) ont présenté au moins un effet indésirable.

    Conclusion : Les patchs de capsaïcine possèdent une efficacité modérée, comparable aux autres thérapeutiques utilisées dans les douleurs neuropathiques. La tolérance de ce traitement est bonne avec des effets secondaires principalement locaux et rapidement régressifs. Il présente peu de contre-indication et surtout une absence d'interaction avec d'autre traitement. Ils répondent bien à la demande des patients qui souhaitent de plus en plus des thérapeutiques non médicamenteux.

  • Utilisation des opioïdes forts dans le traitement de la douleur chronique non cancéreuse en centre de traitement de la douleur    - Rannou Delphine  -  17 avril 2018  - Thèse d'exercice

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    Objectif : Étudier l'évolution sur environ un an de la dose équianalgésique de morphine orale chez des patients arrivant sous opioïdes forts en Centre de Traitement de la Douleur.

    Méthodes : Il s'agissait d'une étude descriptive rétrospective sur dossiers médicaux du Centre Régional d'Etude et de Traitement de la Douleur du CHU de Poitiers sur des consultations de première fois entre le 1er janvier 2015 et le 31 juin 2015. Tous les dossiers de premières consultations ont été étudiés avec un recueil de données concernant la dose équianalgésique en morphine, le type de traitement par opioïdes, la pathologie, les caractéristiques des patients et les moyens mis en œuvre pour les prendre en charge.

    Résultats : 45 dossiers ont été inclus dans cette étude, 39 dossiers ont pu être étudiés avec un suivi en moyenne à 10,5 mois. Il y avait une diminution significative de la dose équianalgésique en morphine orale (p=0,04). Il n'y avait pas d'autre lien significatif mis en évidence entre cette diminution et les autres données recueillies à part une tendance à la diminution avec l'âge.

    Conclusion : Le suivi en CRETD semble amener à une diminution de la dose équianalgésique en morphine orale lorsque ce traitement était prescrit avant le début du suivi. Cela questionne sur le moment pour débuter un suivi en CRETD lors d'un traitement par opioïdes forts. La faible puissance de cette étude ne permet pas de retrouver de facteurs favorisant cette diminution et le type de recueil de données ne permettait pas de connaître l'impact de cette diminution sur la qualité de vie des patients.

  • Étude descriptive de 30 patients avec syndrome douloureux régional complexe pris en charge dans le Centre régional d'étude et de traitement de la douleur de Poitiers    - Makos Tomasz  -  17 juin 2016  - Thèse d'exercice

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    Introduction : Le syndrome douloureux régional complexe est une maladie chronique et invalidante ayant une prise en charge complexe et mal codifiée. L'objectif de cette étude est d'évaluer la douleur, le statut socioprofessionnel et la qualité de vie des patients à deux ans de leur première consultation au Centre régional d'étude et de traitement de la Douleur du CHU de Poitiers.

    Matériels et méthodes : Un questionnaire a été envoyé aux patients vus pour la première fois au CRETD entre octobre 2012 et avril 2013 avec un diagnostic de SDRC. La douleur a été évaluée avec l'échelle numérique (EN) et ses retentissements sur la vie quotidienne avec le questionnaire Concis sur les douleurs (QCD). La durée d'arrêt de travail, les modalités et les facteurs de reprise professionnelle ont été étudiés. La qualité de vie a été évaluée à l'aide du questionnaire SF36. Les influences du sexe, de l'âge, du membre atteint, du niveau de douleur, et le statut professionnel ont été évalués.

    Résultats : 30 patients d'âge moyen de 49,4 ans ont été inclus. 69,6% des patients ont repris le travail avec un délai moyen de 18,1 mois ± 11,3. La douleur moyenne est de 4,5 ± 2,63, plus élevée chez les patients hospitalisés en hôpital de jour par rapport à ceux pris en charge en ambulatoire. Le retentissement de la douleur est plus élevé sur le travail habituel, parmi tous les comportements quotidiens évalués. Nous avons mis en évidence une diminution de la qualité de vie dans les domaines physiques et psychiques du SF36. La douleur corrélait modérément avec la qualité de vie. Les patients qui n'ont pas repris le travail présentaient des scores dans les domaines physiques et psychiques plus faibles que ceux qui ont repris leur travail.

    Conclusion : La douleur chronique joue un rôle important dans les conséquences du SDRC, influençant la reprise du travail et la qualité de vie. Une collaboration plus active pluridisciplinaire pourrait contribuer à diminuer les séquelles et les conséquences du SDRC.

  • Suivi à 5 mois de 78 patients fibromyalgiques recevant un traitement par stimulation magnétique transcrânienne répétitive selon le protocole du Centre Régional d'Etude et de Traitement de la Douleur de Poitiers    - Brussaux Julien  -  06 octobre 2015  - Thèse d'exercice

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    Introduction : La fibromyalgie est une maladie fréquente, invalidante et de prise en charge difficile. Parmi les traitements non médicamenteux, une technique se développe : la stimulation magnétique transcrânienne répétitive (SMTr) du cortex moteur primaire gauche.

    L'objectif de cette étude est d'évaluer l'amélioration de la qualité de vie de patients fibromyalgiques après 5 mois de traitement suivant notre protocole. Nous évaluerons secondairement l'évolution des symptômes cardinaux de cette pathologie : douleur, fatigue, qualité de sommeil et thymie.

    Matériel et méthode : Cette étude rétrospective a été menée au sein du Centre Régional d’Étude et Traitement de la Douleur du Centre Hospitalier Universitaire de Poitiers entre septembre 2011 et juin 2015. 78 patients fibromyalgiques recevaient une induction thérapeutique par 4 séances, une par jour, puis une consolidation par 5 séances, une par semaine, suivi d'un entretien par des séances espacées de 2 puis 3 et 4 semaines selon leur efficacité et leur tolérance. Le critère de jugement principal était évalué par le score FIQ aux séances 1 et 15. Les critères secondaires étaient l'évolution de la douleur (END), fatigue (ENF) et qualité de sommeil (EVS) des 24 dernières heures mesurés avant chaque séance ainsi que l'anxiété et la dépression par le questionnaire HAD mesuré aux séances 1, 10 et 15.

    Résultats : Nous avons observé une amélioration de 30.75% du FIQ chez 37 patients avec un écart type (ET) de 34. Les critères secondaires montraient une amélioration des END de 17.5% (ET 46.4), des ENF de 31.4% (ET 31.19), des EVS de 19% (ET 61.8) et de l'HAD de 21,28% (ET 49,2). 73% de nos patients ont eu au moins un effet indésirable, le plus souvent mineur et transitoire.

    Discussion : Ces résultats démontrent que la SMTr à haute fréquence du cortex moteur primaire gauche constitue une thérapeutique adjuvante intéressante pour une population de patients fibromyalgiques résistant aux traitements recommandés.

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