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Baudin-Hajri Cécile

Les travaux encadrés par "Baudin-Hajri Cécile"

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  • La diméthyltryptamine (DMT), une molécule psychédélique et endémique : étude de ses effets sur l'organisme et de son utilisation thérapeutique potentielle    - Livonnen Marc  -  10 juillet 2023  - Thèse d'exercice

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    La diméthyltryptamine (DMT) est une molécule chimiquement simple qui est souvent définie comme étant un hallucinogène endogène. L’objectif de ce travail est de définir la diméthyltryptamine par sa classification, sa description physico-chimique, pharmacologique et de ces différents effets (exogènes et endogènes) sur l’organisme. Ces données, nous permettront ensuite d’explorer le potentiel d’utilisation thérapeutique de la molécule.

    La DMT est une molécule hallucinogène psychédélique. Elle provoque donc des modifications de la perception sensorielle spécifiques à cette famille. Les psychédéliques sont présents sur la liste des produits stupéfiants et sont interdits en France.

    La DMT est un agoniste des récepteurs à la sérotonine et des récepteurs sigma-1. Son profil pharmacologique se distingue notamment par une action rapide, de courte durée et une mauvaise biodisponibilité par voie orale, liée à un métabolisme rapide par les monoamines oxydases. Son usage est illustré par l’ayahuasca, une boisson traditionnelle d’Amérique du sud. La DMT est également une molécule endogène. Dans ce contexte, son rôle n’est pas encore bien défini, mais il serait associé à la régulation de mécanismes physiopathologiques comme la protection cellulaire ou la modulation des réponses immunitaires et inflammatoires.

    Son utilisation en thérapeutique serait envisageable en psychiatrie comme antidépresseur ou anxiolytique dans le cadre de psychothérapie. Les propriétés de régulation de la protection cellulaire de la DMT, pourraient quant à elles, être exploitées dans les situations provoquant une hypoxie tissulaire comme les arrêts cardio-vasculaires, les AVC ou dans un contexte de transplantation d’organe.

  • Devenir des enfants nés d’une mère psychotique : à propos d’études de cas au sein du Centre Hospitalier Psychiatrique Henri Laborit de Poitiers    - Plassart Anaïs  -  10 septembre 2018  - Thèse d'exercice

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    Les troubles psychotiques présents entre 0,5 et 2% de la population, sont caractérisés par au moins l’un des symptômes suivants : hallucinations, délires, comportements moteurs anormaux ou désorganisés, symptômes négatifs, pensées désorganisées. La prise en charge de ces troubles repose sur des traitements antipsychotiques, une psychothérapie et des séances d’électro-convulsivo-thérapie. Par ailleurs, il n’est pas rare que ces patients déclarent des comorbidités liées à la psychose, telles que d’autres troubles mentaux, des conduites addictives, des maladies somatiques, augmentant le risque de mortalité de ces sujets. Ces malades ont souvent aussi des conditions de vie précaires et malsaines (monoparentalité, précarité, violence, troubles alimentaires…). Par conséquent, être mère dans ces circonstances pourra engendrer : des comportements maltraitants (physique, psychologique, par négligence ou par carence) ; des toxicités médicamenteuses sur l’enfant pendant la grossesse et à la naissance ; des altérations, dès la grossesse, dans la construction des liens mère-enfant ; des abandons de l’enfant et des placements du fait des hospitalisations fréquentes et une majoration pour l’enfant de développer des troubles mentaux par la génétique maternelle. Dans ces conditions, l’enfant né d’une mère psychotique va présenter des troubles tout au long de ses phases développementales, c’est-à-dire toute sa vie. Il manifestera des troubles du comportement, des troubles du développement, des troubles fonctionnels, des troubles mentaux, des troubles émotionnels, un risque d’infanticide, ainsi que de la souffrance et des ressentis négatifs pouvant entrainer sa mort par suicide. Cependant, il existe des facteurs protecteurs pouvant diminuer la gravité ou la fréquence des troubles développés par l’enfant. Ce travail est notamment illustré par des cas bibliographiques et des cas cliniques, retrouvés au sein du centre hospitalier psychiatrique Henri Laborit de Poitiers.

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affiche de communication sur le dépôt des travaux d'étudiants : 215, c'est le nombre de fois où le réveil a sonné trop tôt cette année pour travailler sur mon mémoire. Franchement j'aimerai ne pas être le seul à l'avoir lu ! / Lionel Bernardin / idsworks.com
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