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Open data culturel en France : une analyse comparée des stratégies des musées et bibliothèques de lecture publique

C’est très récemment, au tournant des années 2010, que l’Open data en France a débuté son parcours. Mouvement largement relayé par les associations de défense des droits des citoyens comme Libertic, l’Open Knowledge Foundation ou Regards Citoyens, il est également porté par les collectivités territoriales qui en sont aussi les initiatrices. Puis la mission d’État Etalab créé en 2011 la plateforme data.gouv.fr destinée à recevoir les données publiques des administrations de tout le territoire. Alors que les données des administrations publiques sont de plus en plus accessibles, le gouvernement et les associations identifient rapidement que le processus n’est pas uniforme. Si les données géographiques ou de transport par exemple sont largement délivrées et réutilisables, les données culturelles le sont avec plus de retenue. Face à cette situation le Ministère de la Culture et de la Communication publient deux rapports en 2013 visant à promouvoir et encourager l’ouverture des données culturelles. Depuis le constat du gouvernement, comment a évolué l’Open data Culturel en France ? À travers les jeux de données publiés par deux types d’institutions représentatives de secteur public culturel, les bibliothèques et les musées, sur la plateforme data.gouv.fr nous devons prendre la mesure du dynamisme de l’Open data culturel et identifier les chemins que ces institutions pourraient prendre dans l’avenir afin de satisfaire les attentes dont font l’objet les données qu’elles détiennent

Rameau (langage normalisé) :
• Données ouvertes
  
• Gestion des connaissances
  
• Échange de savoirs
  
• Information électronique
  
• Liberté d'information -- Politique publique